Peut-on porter un turban, des dreadlocks ou une coiffe de plumes autochtone ? Oui et non, car les accessoires culturels fonctionnent comme des piliers d’identités pour les peuples historiquement subalternisés par l’Occident. Ils portent en eux une ancestralité et des pratiques sociales de lutte et de résistance qui doivent être respectées. Séparant l’appropriation culturelle des autres formes d’échange culturel, Rodney William révèle comment l’appropriation participe aux dispositifs d’invisibilité et de génocide culturels, en affaiblissant intentionnellement les savoirs et les connaissances des peuples noirs, autochtones et minoritaires.
Rendez-vous le mercredi 12 avril de 14h à 17h00 à Mundo-b (26, rue d’Edimbourg 1050 Ixelles) pour s’outiller collectivement sur cette thématique !
𝗣𝗥𝗢𝗚𝗥𝗔𝗠𝗠𝗘 :
14h : intro thématique et pratique, présentation des participant·e·s
14h30 -15h30 : lecture
15h30 -17h30 : restitution
𝗠𝗢𝗗𝗔𝗟𝗜𝗧𝗘́𝗦 :
mercredi 12 avril
à Mundo-b (26 rue d’Edimbourg 1050 Ixelles)
évènement gratuit, inscription via https://quinoa.be/evenement/lappropriationculturelle/
complements article
Une question ou une remarque à faire passer au Stuut? Un complément d'information qui aurait sa place sous cet article? Clique ci-dessous!
Proposer un complément d'info