Sauver le climat et l’humanité est dangereux... pour le profit
Bonjour à toutes et tous, Ce vendredi, une série d’articles, basés sur un rapport de l’OCAM judicieusement divulgué, dépeint Code Rouge (ou une partie de celui-ci) comme un dangereux mouvement extrémiste. Nous aurions pu simplement y voir du journalisme de caniveau et en rire, mais voilà que la NVA demande au parlement d’organiser une audition pour « mettre fin à la violence d’extrême-gauche ». Bref, la presse relaie sans aucune critique les positions de l’Etat et ses articles sont ensuite utilisés par le gouvernement pour criminaliser la résistance. Cette campagne de diffamation vise à nous isoler et à nous intimider. Il faut donc l’analyser pour mieux y répondre et rétablir la vérité. Lis la suite pour savoir ce qui se passe, et continue à nous suivre car nous n’en resterons pas là ! Ensemble, nous resterons debout ! Un récit de théoricien du complot Selon cet article, l’inoffensif mouvement climatique a été infiltré par des militants malveillants qui l’ont détourné de son objectif initial. En d’autres termes, il existe deux types d’activistes : Les dangereux extrémistes qui infiltrent le mouvement climatique, et les gentils activistes qui semblent trop stupides pour remarquer cette infiltration. Rien de nouveau sous le soleil, « diviser pour mieux régner » est une stratégie bien connue. Mais il y a plus : l’idéologie policière empêche les agents de l’État de concevoir que les militants, qui font campagne depuis des années pour attirer l’attention des gouvernements, ont fini par comprendre que l’élite politique n’a aucun intérêt à changer le statu-quo ; Qu’elle est plus intéressée par le maintien de superprofits pour quelques-uns au détriment du plus grand nombre. Car qui est le véritable danger ? Risquer la durabilité de notre unique planète et l’avenir de toute l’humanité ou participer à un génocide semble assez extrémiste, n’est-ce pas ? Mais non, c’est nous qui sommes présentés comme dangereux. Mais comme nous le savons, la seule bonne victime est celle qui ne se défend pas. Regardons la réalité en face : Même si un des F35 de l’État avaient été utilisé pour bombarder Cargill, les dommages causés ne seraient rien en comparaison de ceux que ces industries nocives infligent quotidiennement à la population. Nous avons déjà exposé leurs pratiques dans nos communications précédentes, ce que ces "journalistes" auraient facilement pu lire et relayer. Mais ils ne l’ont pas fait... Des journalistes ? Non ! Des propagandistes Les journalistes qui se concentrent sur le soit-disant “danger” de nos mouvements sans parler des véritables auteurs de violence contre l’humanité ne sont rien d’autre que des complices de leur campagne de diffamation. Ils développent une propagande pour légitimer la répression de l’État et nous isoler de nos soutiens potentiels dans la société et nous démoraliser. Mais nous connaissons ces tactiques et elles ne nous arrêteront pas. Malheureusement, nous ne sommes pas les...