Liberez Richard

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Aujourd’hui l’histoire risque de se répéter si nous ne nous mobilisons pas !

Richard N. est un homme gay d’origine Camerounaise. Il est actuellement incarcéré au centre de rapatriement de Steenokkerzeel [4] près de l’aéroport de Zaventem. Il risque d’être expulsé vers le Cameroun à tout moment.

Membre de l’association arc-en-ciel depuis 2018, il s’investit au sein de la communauté LGBTQIA+ et fréquente régulièrement les lieux queer de Liège et de Bruxelles. En Janvier 2023, Richard et son compagnon entament une procédure de mariage.

En Mars 2023, Richard N. est arrêté et mis en détention dans un centre fermé dans l’optique d’ être déporté. Alors même qu’un renvoi au Cameroun mettrait Richard N. dans une situation à risque, le CGRA (Commissariat Général aux Réfugiés et Apatrides) tente de justifier son action en mettant en doute son orientation sexuelle, ce qui légitimerait son expulsion vers le Cameroun.

Rappelons que le Cameroun est reconnu par divers organismes comme un Etat anti-LGBTQIA+. La loi en vigueur tend à criminaliser les personnes appartenant à ces communautés en condamnant les relations sexuelles entre adultes de même sexe sous peine de 6 mois à 5 ans d’emprisonnement, et d’une amende de 20 000 à 200 000 FCFA [5]. Cette loi homophobe et liberticide favorise un climat d’hostilité avec son lot d’arrestations, de passages à tabac voire d’assassinats comme le soulignent les récents rapports de Human Right Watch, de l’Ambassade Américaine, de la Cour Européenne des droits de l’homme et de l’ONU.

On soulignera cependant que les violences homophobes ne se cantonnent à aucune géographie puisque Richard N. a également été victime d’une agression à Liège, en raison de son orientation sexuelle.

Nous appelons donc à un mouvement massif de protestation contre l’enfermement de Richard N.
Car l’Etat Belge est coupable de la violation de ses droits [6]
et du droit international.

Soutenons Richard et réclamons sa libération pour affirmer avec lui, son droit à la vie et à la sécurité sur le territoire Belge !

Racismes / Colonialismes

Liberté pour Richard : Témoignage de son partenaire

[ Retranscription témoignage du partenaire de Richard ] Q : Alors d’abord la première question que je voulais demander c’est : quand vous avez appris que Richard a été arrêté, c’était quoi votre première réaction ? R : Ma première réaction c’est que il(s) me dise(nt) ce qu’il doit faire, il est où. J’ai téléphoné à la seconde au 127bis, on m’a dit ce qu’il fallait faire pour lui rendre visite. Et depuis là, non, on ne s’est pas quittés, je suis toujours avec lui. J’essaie de lui rendre visite. Au départ j’allais même deux fois par semaine et il y a parfois des moments où on a des visites intimes. Q : Et donc au centre, tout le monde sait que vous êtes ensemble ? Quand vous allez rendre visite et tout ça. R : Oui tout à fait. C’est moi seul qui y vais, personne d’autre y va. Dîtes-vous bien que si il n’y avait pas un amour entre lui et moi, quelque chose de réel, depuis le 28 mars, je crois qu’il y avait d’autres choses à faire. Je me suis privé. Je devais même voyager. J’ai des problèmes familiaux mais quand j’y vais d’ailleurs, j’y vais en cachette. Pas en cachette mais j’y vais discrètement mais j’ai du renvoyer en attendant que (?) sa situation, ce n’est pas possible. Q : Et par rapport au CGRA, parce que vous les avez contacté, envoyé un courrier. Ils ont dit qu’ils allaient revenir vers vous et jusqu’à présent... R : Euh c’est beaucoup plus l’Office des Etrangers qui m’a répondu. Je l’avais fait avant, pas le vendredi de la semaine passé, le vendredi d’avant. Et j’ai écrit et ils m’ont répondu automatiquement qu’ils accusent réception et qu’ils me répondent, que je ne dois pas les joindre endéans les dix jours ouvrables. Bon, nous sommes donc le vendredi et le lundi j’ai reçu encore la même réponse automatique, forcément, c’était le week-end. Ils m’ont répondu comme ça et le mardi, on m’a envoyé un mail comme quoi il faut que j’envoie le numéro national de Richard et je l’ai envoyé instamment. Et donc j’attends. Supposons que les 10 jours ouvrables sont tombés mardi, donc mercredi, jeudi, on est dimanche, c’est l’administration, moi j’attends. Q : Et pourquoi vous pensez que la Belgique elle veut pas reconnaitre la nature de votre relation avec Richard et la réalité de ce que Richard dit ? R : Le problème c’est qu’en fait on a toujours eu un jugement des apparences. Comme il est un peu trop masculin alors ça ne va pas fonctionner... et on croit que ce qu’il dit n’est pas vrai. Il a voulu dire la vérité parce qu’en fait, je suis issu du même pays, la même ethnie même d’ailleurs. Seulement, moi j’avais senti en lui qu’il était gay comme moi aussi. Mais personne ne peut dire que je suis gay. Il a été jugé de un par son apparence, par sa façon d’être, parce qu’il est trop macho. C’est moi qui suis son féminin dans l’histoire. Et donc dans cette histoire, on n’a pas cru. Parce que lui il est comme ça, il est naturel, il dit les choses comme il les ressent. On a même fait des vidéos et...

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Racismes / Colonialismes

[Communiqué de Presse] Richard N., « pas assez gay » pour être protégé par la Belgique ?

Empêchons la déportation de Richard ce 14 octobre. Help de deportatie van Richard op 14 oktober voorkomen. Let’s stop Richard’s deportation this October 14. Richard N., « pas assez gay » pour être protégé par la Belgique ? Empêchons la déportation de Richard ce 14 octobre. Depuis six mois, Richard N., demandeur d’asile gay, habitant à Liège depuis plusieurs années, est injustement détenu dans le centre fermé de Steenokkerzeel 127bis. Le 14 octobre prochain, L’État belge, remettant en question l’orientation sexuelle de Richard, souhaiterait exécuter son ordre de quitter le territoire, lui enlevant ainsi le droit à une protection internationale. Or, déporter Richard dans son pays d’origine, le Cameroun, où l’homosexualité est répréhensible pénalement (la peine de prison allant de 6 mois à 5 ans), pourrait mettre sa vie en péril. En effet, outre les atteintes aux droits fondamentaux des personnes détenues, Amnesty International et Human Rights Watch rapportent de nombreux faits de violence envers les personnes LGBTQIA+ : traitements discriminatoires, maltraitance physiques et psychologiques, actes de tortures, viols et meurtres. Rappelons que le 20 septembre dernier, le député fédéral Écolo Simon Moutquin a interpellé la Secrétaire d’Etat à l’Asile et la Migration, Nicole de Moor (CD|V), sur l’expulsion de Richard N. Il a demandé à la Secrétaire d’Etat son opinion sur la situation des personnes LGBTQIA+ au Cameroun et Nicole de Moor a avoué qu’elle était très problématique. Pourtant Richard reste, à ce jour, détenu et risque d’être expulsé ce 14 octobre. Notons que le refus du CGRA (Commissariat Général aux Réfugiés et Apatrides) d’offrir à Richard la protection internationale dont il a besoin est contraire à la Convention de Genève et à la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne dont est signataire la Belgique. Qui plus est, ce refus est absolument incompréhensible puisque Richard est ouvertement gay et est, d’ailleurs, membre actif de l’association arc- en-ciel de Liège depuis 2018. En outre, son compagnon et lui désiraient rendre leur union officielle quelque temps avant son arrestation. Bien que les condamnations de la Belgique par la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Humain) soient devenues aussi fréquentes que sans conséquences, le Comité de Soutien à Richard refuse, non seulement, de s’y habituer ; mais aussi que cette pratique puisse s’installer en toute impunité et dans le silence. Depuis plusieurs mois, le Comité, composé de nombreux citoyen.ne.s et collectifs se mobilise pour visibiliser la situation de Richard avec une pétition signée par près de 500 citoyens. C’est donc au nom de l’égalité et de la justice pour tou.te.s que le Comité de Soutien à Richard exige la protection internationale et la libération immédiate de Richard N.  #LiberezRichard #PasAssezGay #NietGayGenoeg #NotGayEnough #FreeRichard #BevrijdRichard Le comité de soutien pour Richard : Citoyen.ne.s lambda solidaire - Lavender - (...)

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PAS ASSEZ GAY ? NIET HOMO GENOEG ? LES AUTORITÉS BELGES EXIGENT QUE LES DEMANDEURS D’ASILE PROUVENT LEUR ORIENTATION SEXUELLE

Le 27 octobre 2020, la Belgique a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme, à l’unanimité. Sa condamnation fait suite à l’infraction du droit international pour avoir expulsé des ressortissants Soudanais sans avoir préalablement examiné le risque qu’ils soient soumis à des traitements inhumains et dégradants en cas de retour à Khartoum. Aujourd’hui l’histoire risque de se répéter si nous ne nous mobilisons pas ! Richard N. est un homme gay d’origine Camerounaise. Il est actuellement incarcéré au centre de rapatriement de Steenokkerzeel près de l’aéroport de Zaventem. Il risque d’être expulsé vers le Cameroun à tout moment. Membre de l’association arc-en-ciel depuis 2018, il s’investit au sein de la communauté LGBTQIA+ et fréquente régulièrement les lieux queer de Liège et de Bruxelles. En Janvier 2023, Richard et son compagnon entament une procédure de mariage. En Mars 2023, Richard N. est arrêté et mis en détention dans un centre fermé dans l’optique d’ être déporté. Alors même qu’un renvoi au Cameroun mettrait Richard N. dans une situation à risque, le CGRA (Commissariat Général aux Réfugiés et Apatrides) tente de justifier son action en mettant en doute son orientation sexuelle, ce qui légitimerait son expulsion vers le Cameroun. Rappelons que le Cameroun est reconnu par divers organismes comme un Etat anti-LGBTQIA+. La loi en vigueur tend à criminaliser les personnes appartenant à ces communautés en condamnant les relations sexuelles entre adultes de même sexe sous peine de 6 mois à 5 ans d’emprisonnement, et d’une amende de 20 000 à 200 000 FCFA. Cette loi homophobe et liberticide favorise un climat d’hostilité avec son lot d’arrestations, de passages à tabac voire d’assassinats comme le soulignent les récents rapports de Human Right Watch, de l’Ambassade Américaine, de la Cour Européenne des droits de l’homme et de l’ONU. On soulignera cependant que les violences homophobes ne se cantonnent à aucune géographie puisque Richard N. a également été victime d’une agression à Liège, en raison de son orientation sexuelle. Nous appelons donc à un mouvement massif de protestation contre l’enfermement de Richard N. Car l’Etat Belge est coupable de la violation de ses droits et du droit international. Soutenons Richard et réclamons sa libération pour affirmer avec lui, son droit à la vie et à la sécurité sur le territoire Belge ! Lavender Arc-en-ciel Liège Collectif susu AfroRainbow Féministes Anti-racistes DiivinesLGBTQI_plus Shoga Shoga SomeOfUs BxlDéVie Getting The Voice Out Interpellation le 20 septembre 2023 à la Chambre des représentants Interpellation de Simon Moutquin (Ecolo) Réponse de Nicole De Moor (CD|V) secrétaire d’État à l’Asile et la Migration Fin de l’interpellation, réponse de Simon Moutquin English version Richard Ngaballa is currently being forcefully held in the 127bis center in Steenokerzeel (Belgium), and is under threat of deportation to his native Cameroon....

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Prise de parole pour la libération de Richard

Lors du rassemblement organisé le 9 aout 2023 devant le CGRA pour réclamer la libération de Richard, plusieurs prises de micros se sont enchaînés, dont une, ici retransmise. Prise de parole du collectif Susu : Aujourd’hui nous nous retrouvons devant le commissariat général aux réfugiés, plus connu sous le nom de CGRA, pour protester contre l’emprisonnement et la condamnation de notre frère Richard, injustement enfermé depuis le mois de mars. Richard vient du Cameroun où l’homosexualité est condamné par des peines de prison. Comme d’autres dont la vie et le droit à la liberté sont enfreints dans leur pays d’origine. Il aurait dû recevoir la protection internationale que la Belgique s’est engagée à donner à travers la signature de pactes et conventions internationales relative à la protection et l’accueil des groupes à risques. Alors qu’il mène les démarches nécessaires à l’obtention de cette protection. Il se voit refuser le certificat de célibat par son pays d’origine. LE CGRA est bien au courant que la législation camerounaise criminalise l’homosexualité. Il pouvait être tout à fait envisageable que ce document ne lui soit pas délivrer. On voit déjà ici se dessiner la réelle politique du CGRA. Le fait que Richard se retrouve en centre fermé, comme un prisonnier, n’est pas dû à un hasard. Ce n’est pas dû à une malencontreuse erreur. C’est dû à la politique migratoire belge et européenne qui place de facto les demandeurs d’asile dans une position de présumés coupables de fraude. Pour Richard, le CGRA, va remettre en doute son orientation sexuelle, puis va ensuite l’accuser sans preuves d’être homosexuel contre paiement d’argent, avant de violer ses droits à deux reprises. La première fois quant au droit à la vie familiale et l’ouverture du droit au séjour. Une deuxième fois, lorsque le CGRA décide sans éléments fondés de prendre une mesure d’éloignement immédiat, au lieu des 30 jours ouvrables, usuels. Voici nos exigences : Nous demandons sa libération immédiate et la reconnaissance de son droit de protection internationale ! Aujourd’hui, nous sommes là pour Richard. Mais en tant qu’africains nous avons pour la plupart eu des personnes sans-papiers dans nos maisons, nos familles. Dont la vie était en standby pendant des années, qui ont été exposés aux métiers les plus dangereux, qui ont été séparés de leurs enfants, parents, frères, sœurs… et ce sont retrouvés pris en otage en Belgique. Pour eux, pas de droits, alors que tous les jours le pillage de leurs pays d’origine par la Belgique et les autres empires coloniaux tuent, répand la misère et pousse à l’exil. Pour toutes ces raisons, nous revendiquons l’abolition des frontières et du système migratoire belge et des pays du Nord, raciste et homophobe. Nous voulons la fin de la prédation des ressources sur notre Continent, la fin des missions militaires bidons servant à soi-disant amener la paix là où ils ont semé la terreur ! Qu’il fasse le bilan au Sahel, à...

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[Rassemblement] Exigeons la libération de Richard

Soyons nombreux.ses au rassemblement en soutien à Richard, ce mercredi 9 août à 10h, Devant la chambre du conseil à Liège , Ou devant le CGRA à Bruxelles ! Richard Ngaballa est un homme gay camerounais, détenu au centre fermé 127bis depuis mars 2023. Menacé d’expulsion, il risque la prison et la mort au Cameroun. Arrivé en 2016 en Belgique, Richard a depuis déposé quatre demandes de protection internationale qui ont toutes été rejetées par le CGRA, et donc l’Etat belge. Alors que tout l’entourage de Richard est au courant de son homosexualité, qu’il vit avec son compagnon et fréquente des lieux LGBTQIA+, il se voit refuser la protection internationale. Le CGRA a tout d’abord déclaré, et sans aucune preuve, que Richard faisait “cela” pour de l’argent. Lors d’une demande ultérieure, le CGRA a estimé qu’il n’y avait aucun danger pour Richard au Cameroun. Or, une plainte a été déposée à son encontre à Yaoundé. Et de nombreux rapports attestent des dangers encourus pour les personnes LGBTQIA+ au Cameroun actuellement. Il est impossible de prouver son homosexualité, a fortiori quand le CGRA part du principe que l’on ment. Malgré une tentative de procédure de cohabitation légale qui n’a pas pu aboutir car il a été impossible d’obtenir le certificat de célibat nécessaire au Cameroun ; malgré une attestation du compagnon de Richard et tous les éléments fournis par celui-ci ; malgré les violences homophobes subies par Richard en centre d’accueil et attestées ; le CGRA s’obstine à refuser la protection internationale. Exigeons la libération immédiate de Richard Ngaballa ! Pour soutenir Richard vous pouvez : – Rejoindre le rassemblement prévu ce mercredi 9 août 2023 à 10h devant le CGRA, rue Ernest Blerot 39, 1070 Anderlecht, organisé par plusieurs collectifs – Ecrire aux institutions responsables. Pour cela, voir le post

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Appel à soutien - Situation de Richard N.

Il fait actuellement face à un risque imminent d’expulsion forcée vers le Cameroun 24 JUILLET 2023 Il y a peu, nous communiquions sur la situation alarmante de Richard Ngaballa. Contraint de fuir le Cameroun en raison de son homosexualité, il s’est vu refuser l’asile par l’État belge, qui a évoqué un manque de preuves de son orientation sexuelle. Il fait actuellement face à un risque imminent d’expulsion forcée vers le Cameroun, pays où il a déjà subi des tortures et mauvais traitements. Richard a déjà été confronté à une première tentative d’expulsion le vendredi 14 juillet 2023. La prochaine tentative sera certainement organisée avec une escorte policière, et donc plus difficile à résister. ICI COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 17 /07/2023. Alors que tout l’entourage de Richard est au courant de son homosexualité, le CGRA (et via lui, l’État belge) dit ne pas être convaincu. Une décision prise en dépit des risques encourus de prison et de violence à Yaoundé. Une plainte y a pourtant été posée à l’encontre de Richard au sujet de son homosexualité. Getting the Voice Out se positionne contre toutes formes d’enfermement et contre les frontières. Toute personne devrait avoir le droit de vivre et se déplacer où elle le souhaite. Par conséquent, nous ne reconnaissons pas la légitimité des instances migratoires et d’asile. Cependant, il nous semble important de dénoncer l’absurdité des décisions prises et l’impact que celles-ci ont sur la vie des personnes concernées. Si vous souhaitez soutenir Richard, vous pouvez écrire au Commissariat Général aux Réfugiés et Apatrides (CGRA) et à l’Office des Etrangers afin de signaler votre indignation face au traitement dont il fait l’objet de la part de l’État belge. (Plus bas lettre type et adresses des services concernés) Lettre-type et adresses : Monsieur le directeur de l’Office des Etrangers, Madame, Monsieur, J Je vous envoie ce mail afin de vous interpeller sur la situation de Richard Ngaballa, actuellement détenu au centre fermé 127bis. Monsieur Ngaballa a été contraint de fuir le Cameroun en raison de persécutions liées à son orientation sexuelle, et a demandé la protection internationale à plusieurs reprises. Si Monsieur Ngaballa est expulsé au Cameroun, il risque la mort ou la prison. Nous considérons que Richard Ngaballa doit être libéré de toute urgence et recevoir le statut de réfugié en Belgique pour bénéficier de la protection à laquelle il a droit. Nous vous demandons de procéder à la libération de Richard Ngaballa de toute urgence. Bien à vous, À envoyer à : Centre fermé 127 bis : Accueil : onthaalbis@ibz.fgov.be / T : 02 755 00 00 Service social : 127bis.socialedienst@ibz.fgov.be Service “retour” : 127bis.returnoffice@ibz.fgov.be Office des Etrangers : infodesk : infodesk@ibz.fgov.be / 02 793 80 00 Service “asile, interview et décisions” : asile.interviews@ibz.fgove.be / 02 206 13 72 Freddy Roosemont, Directeur de l’Office des Etrangers –...

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