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13 juin - journée - lE DK

Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours

Nous relayons l’appel du SKB Belgique Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours Le 13, 14 et 15 juin 2025, une grève de la faim se fera en solidarité avec les prisonniers politiques ! Nous relayons l’appel du SKB Belgique Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours Le 13, 14 et 15 juin 2025, une grève de la faim se fera en solidarité avec les prisonniers politiques ! L’objectif de ce mouvement de grève est de soutenir les prisonniers et prisonnières en Turquie qui observent une grève de la faim, tout en mettant en lumière les conditions inhumaines des prisons d’isolement de type « Pit ». Ces prisons, récemment construites dans le nord du Kurdistan et en Turquie, sont conçues pour l’isolement extrême et infligent des tortures psychologiques et physiques aux prisonniers. Alors que les prisons turques sont déjà surpeuplées, avec plus de 400 000 personnes détenues, de nouvelles prisons basées sur l’isolement sont en cours de construction. Avec cette grève de la faim, qui s’organise dans différentes villes d’Europe, le SKB revendique : fermeture immédiate des prisons de type « fosse » (isolement extrême) Fin de toutes les formes de détention à l’isolement Liberté pour tous les prisonniers politiques Début : vendredi 13 juin à 11 h Fin : dimanche 15 juin à 15 h Lieu : Rue de Danemark 70B, 1060 Saint-Gilles (Bruxelles) Allez leur rendre visite et les soutenir !

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UNE MUTUELLE PAR ET POUR LES PERSONNES SANS-PAPIERS

En Belgique, être une personne sans-papiers c’est vivre sans titre de séjour légal, sans accès garanti aux droits sociaux de base, dont les soins de santé. Depuis 1996, la procédure d’Aide Médicale Urgente (AMU) permet en théorie de répondre à ces besoins. Mais dans les faits, les obstacles sont nombreux : démarches lourdes, discriminations, disparités entre communes. Face à ce constat, un projet est en train d’émerger à Bruxelles : créer une mutuelle autogérée par et pour les personnes sans-papiers. L’idée a germé dans un petit groupe mixte, composé de personnes avec et sans papiers. Inspiré d’une initiative similaire, déjà active à Liège, ce projet entend répondre aux lacunes de l’AMU, tout en affirmant une vision politique de la santé comme droit fondamental. Plusieurs assemblées publiques ont permis de commencer à identifier les besoins, les freins et les potentiels. D’autres auront lieu prochainement pour s’accorder sur le modèle et procéder à sa structuration en ASBL. « On ne veut pas d’un système vertical où certains décident pour les autres. L’objectif est que les personnes concernées soient les premières actrices de la mutuelle », explique un·e des initiateur·rices. Un projet politique et collectif À travers des assemblées exploratoires et deux soirées de soutien, une dynamique se met en place. Une ASBL servira de caisse commune et d’instance formelle de décision. L’enjeu est clair : sortir de la logique d’urgence et créer une mutuelle durable, gérée par ses membres bénéficiaires, ouverte à toutes les personnes sans-papiers de Bruxelles, voire également à d’autres personnes en situation de difficulté d’accès aux soins. Pour présenter la démarche, les membres du collectif font le tour des lieux d’occupation à Bruxelles. Cet ancrage local facilite la création de liens de confiance, souvent essentiels dans les contextes de grande précarité. Ce sont aussi des lieux où la mutualisation des moyens fait sens. Le projet prévoit la mise en place de guichets pour récupérer l’argent, dans les squats, les occupations et au-delà, pour toucher aussi les personnes isolées. Des permanences administratives seraient également organisées pour accompagner les démarches liées à l’AMU, et à la création d’un compte bancaire, mais aussi, à terme, pour soutenir les demandes de régularisation, mettre en place des permanences juridiques, faire du suivi. Soigner, militer, créer du lien La mutuelle ne vise pas à remplacer l’AMU, mais à la compléter. En ciblant particulièrement les soins non couverts (santé mentale, gynécologie, paramédicale, hygiène, bien-être etc.), elle veut pallier les manques des aides officielles. Le principe : les membres versent une cotisation, les prestations de soins et autres dépenses sont ensuite remboursées sur présentation d’attestations et de prescriptions, voire directement facturées à la mutuelle par les services de santé « partenaires ». Pour fonctionner, le projet aura besoin d’un répertoire de (...)

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27 juin - 17h30 - Bruxelles Laïque

Paradis artificiels : légitime défonce ?

Paradis artificiels : légitime défonce ? Le 27 juin 2025 À Bruxelles Laïque (Avenue de Stalingrad 18-20 - 1000 Bruxelles) Dans le cadre de la campagne Support don’t punish Au programme : une conférence sur le capitalisme et la drogue et des micro-conférences artistiques sous forme de Micro-doses. Le tout gratuit ! On vit dans un monde qui carbure. Café, sucre, antidépresseurs, anxiolytiques, weed, MDMA, écrans, proto, codéine, ayahuasca, coke du vendredi, vin du dimanche, shit de l’ennui, pilules du sommeil et rêves de défonce. Et pourtant, on ne parle jamais vraiment de drogue. On condamne ou on banalise. On médicalise ou on criminalise. Mais quand est-ce qu’on écoute ? Quand est-ce qu’on rit ? Quand est-ce qu’on met en scène ce chaos intime et collectif ? « Paradis artificiels : légitime défonce ? », c’est une conférence et une soirée scénique qui met les drogues sur le plateau. Pas pour faire le procès. Pas pour faire l’éloge. Mais pour ouvrir les vannes. 𝐏𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞 17h30 : Narco Planète : conférence avec Sarah Fautré 20h : Micro-doses : micro-conférences artistiques autour de la drogue 𝐈𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 💥 Gratuit sur inscription : https://shop.utick.net/?pos=VARIETES&module=CATALOGUE 🤝 Partenariat : Labo-chantier Variétés/Bruxelles Laïque + Support don’t punish

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[Palestine] L’armée israélienne protége les criminels qui pillent l’aide humanitaire

L’armée israélienne a reconnu, vendredi 6 juin, avoir protégé et armé un groupe criminel palestinien pour affaiblir le Hamas dans la bande de Gaza. Ce groupe rassemble une centaine de membres d’une tribu bédouine dirigés par Yasser Abou Chabab. Le gang opère dans la région de Rafah (ville à cheval entre la bande de Gaza et l’Égypte), pille les camions d’aide humanitaire (photo) et de se livre au trafic de drogue. Yasser Abou Chabab, était précédement liée à l’État islamique. Le Hamas avait tué quatre membres de ce gang et Abou Chabab aurait été précédemment emprisonné par le Hamas pour trafic de drogue. Son frère aurait été tué par le Hamas lors d’une opération de répression contre le pillage des convois d’aide de l’ONU. Le Hamas a toujours soutenu que les collaborateurs de l’armée d’occupation et l’armée elle-même se livraient au pillage de l’aide humanitaire et la fabrication de crises humanitaires à Gaza. L’utilisation de la criminalité contre la résistance du peuple palestinien n’est pas nouvelle. Cette politique passe généralement par une inactivité systématique de la police face aux gangs tant qu’ils s’en prennent aux arabes. Les meurtres de dizaine d’arabes palestiniens, assassinés par ces gangs par ce qu’ils refusaient d’être racketés, sont classés sans suite, tandis que la mort de chaque juif israélien est traité comme une priorité nationale – bien en accord avec les principes racistes constitutifs de l’état d’Israël. En laissant prospérer le trafic de drogue et le racket, les autorités israéliennes poussent la jeunesse palestinienne vers les gangs. Cette politique permet d’éviter qu’ils ne soient influencés par les forces de la résistance, de dissoudre les solidarités dans les communautés et d’échanger des informations en échange de protections. C’est une vieille pratique policière déjà employée aux USA contre les Black Panthers et par la Turquie contre le PKK.

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Ukraine, guerre, désertion, révolution ?

Une synthèse des textes publiés par le groupe anarchiste d’Ukraine "assembly", qui publie depuis des années des articles contre la guerre & pour le soutien à la désertion. Cet article est tiré du 12e numéro du journal Le Seum qui vient de paraître. Nous publions ce journal depuis bientôt 5 ans et le diffusons à plusieurs milliers d’exemplaires gratuitement. Il nous a semblé important de partager cet article afin de mieux faire connaître les positions du groupe Assembly, à une heure où, y compris chez les anarchistes, il semble ne plus faire consensus de se tenir du côté des déserteurs… Le journal est aussi disponible en pdf ici. Avec l’équipe de rédaction du SEUM, on a lu collectivement les textes d’Assembly (assembly.org.ua) disponibles en français. Assembly est à notre connaissance le seul groupe anarchiste important en Ukraine qui ne se soit pas intégré à l’État. Ce qu’ils disent s’inscrit en rupture frontale avec la propagande à laquelle nous avons été habitué-es par les médias… Et l’éclaire d’un jour nouveau. Ce que vous trouverez ci-dessous est une synthèse de ces lectures. Nous avons décidé d’organiser cette synthèse de façon chronologique et par thèmes, de l’appuyer essentiellement sur des extraits assortis de commentaires. Une synthèse des textes du groupe Assembly Avant de commencer cette synthèse, nous voulions citer cet autre entretien qui nous semble une bonne entrée en matière sur la situation avant le début de l’invasion russe, mais qui fait aussi écho de façon très frappante avec la situation en France et en Europe aujourd’hui, nous donnant une raison supplémentaire de nous intéresser à la situation en ukraine et à l’activité des camarades sur place. « Ce que vous ne lirez dans presque aucun article occidental vantant les performances de l’armée ukrainienne aujourd’hui et ce que la plupart des gens ne comprennent pas, c’est que l’entraînement, la maintenance et l’armement de l’Ukraine, ainsi que les exigences du FMI en matière de crédits accordés à l’État, sont en même temps les causes structurelles du démantèlement des hôpitaux, du sous-investissement dans l’éducation, des pensions de misère pour les retraités, de l’absence d’augmentation des salaires dans le secteur public. L’austérité est aussi l’avenir qui attend l’Ukraine si elle est un jour acceptée dans l’UE. » En Ukraine comme ici, l’économie de guerre commence en effet par la surenchère dans notre écrasement. Mais il ne s’agit pas pour nous de propager les illusions de "bonne distribution" que sert la gauche. C’est un itinéraire bis qui mène au même endroit : la défense de la nation. Vous lirez dans ce qui suit où cela nous conduit. Dès la première interview que nous avons trouvée, ce qui nous frappe, c’est la « capture » par le nationalisme ukrainien, sur lequel Assembly est assez clair : les ukrainiens sont des otages de la guerre. Cette appréciation nous semble valable bien au-delà du cas de cette guerre par ailleurs. « L’agresseur...

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11 juin - journée - La Haye Bruxelles Paris Strasbourg Genève

Convoi de justice 🇵🇸

Konvooi voor justitie 🇵🇸 Convoy for justice 🇵🇸 convoi_de_justice Mobilisation urgente concernant les détenus palestiniens Depuis octobre 2023, Amnesty International dénonce « des actes de torture et d’autres mauvais traitements » infligés aux détenus palestiniens. B’Tselem, ONG israélienne de défense des droits humains, parle de « mauvais traitements systématiques » et de « torture ». L’ONG Addameer déclare que « les détenus palestiniens sont privés de soins médicaux, de nourriture, d’eau, ainsi que de visites familiales et d’avocats. » → En janvier 2025, Addameer recensait 56 Palestiniens morts en détention depuis le début du génocide, en raison de torture, de mauvais traitements ou de privation de soins. Ce chiffre est monté à 63 morts en mars 2025, après la mort d’un adolescent détenu. Une tragédie de plus, un système de violences institutionnalisées. Le silence n’est plus une option. Un convoi citoyen pour la justice partira le 11 juin de La Haye vers Genève, pour dénoncer ces injustices devant l’ONU. Des anciens détenus témoigneront. Leurs récits doivent mener à des résolutions, des sanctions, de la justice. Chaque voix compte. Chaque présence est une conscience citoyenne. Suivez et relayez avec #convoyforjustice #palestine #justice#palestinianlivesmatter#justiceforpalestine #solidarity #humanrightsviolation#humanrights@europalestine @act4palestine_be @palestinian_voiced @middleeasteye@palestinianvideos @europe.palestine.network @urgencepalestine 📣 Appel aux associations et collectifs : Si vous souhaitez apparaître parmi les signataires de notre communiqué de presse, merci de m’envoyer au plus vite votre logo et votre accord de signature. 👉 Dès réception de votre message sur WhatsApp au 06 03 74 88 66, je vous transmettrai les éléments de communication. 🙏 Merci d’avance pour votre réactivité et votre engagement solidaire ! On compte sur vos relais ;) dans vos boucles et aussi de vos partages sur les réseaux . reposter les visuels et les posts en mettant votre musique , tagguez un max de grosse page et tagguez la notre en repost derrière !!!!! C’est important 🙏 Pour Bruxelles, on sera à Place du Luxembourg à 12h Pour trouver les ressources et autres liens : https://taplink.cc/convoy4justice?from=qr

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Prise de parole devant les bureaux du CGRA

Face au blocage des droits d’asiles des palestinien.nes sur le territoire belge Honorables fonctionnaires, Nous nous tenons devant vous aujourd’hui parce que les mots ne suffisent plus, parce que le silence n’est plus possible, parce que la blessure palestinienne saigne dans les rues d’Europe comme dans les rues de Gaza. Nous, Palestiniens, nous ne sommes pas de simples numéros sur les dossiers de demandes d’asile. Nous ne sommes pas des cas temporaires dans des systèmes d’attente lents. Nous sommes un peuple déplacé depuis plus de sept décennies et qui continue de l’être encore aujourd’hui. Nous sommes les enfants de villages détruits, de quartiers rasés et de familles anéanties sous les décombres. Nous vous demandons aujourd’hui : Comment un Palestinien fuyant la mort peut-il être refoulé ? Par quelle logique dit-on à cette personne : « Tu as un permis de séjour en Grèce, retournes-y » Le génocide se déroule sous nos yeux à tous, vous voyez les images, vous entendez l’horreur, vous avez connaissance de la situation de laquelle nous parlons depuis des semaines, des mois, des dizaines d’année. Nous le disons clairement et d’une voix ferme : Le permis de séjour en Grèce n’est pas une protection. C’est un document qui ne fournit ni abri, ni nourriture, ni soins, ni une vie décente. C’est une acceptation de la personne sur le territoire physique, mais qui maintient les gens en marge, sans espoir, sans stabilité et sans avenir. La Belgique le sait bien. Vous le savez, mais vous refusez de le voir. Ce document met-il fin aux souffrances de ceux qui ont vu leurs enfants être retirés de sous les décombres ? Suffit-il à échapper au souvenir des bombardements, au choc de la survie et à la mort de tous ceux que nous aimons ? Nous offre-t-il une éducation, un emploi digne, ou même un lit dans un abri en sécurité ? Nous ne demandons pas de privilèges. Rien d’extravagant. Nous demandons seulement à être traités comme de véritables victimes de systèmes violents et coloniaux, à être reconnus comme des réfugiés fuyant l’enfer. Aujourd’hui, nous exigeons un certain nombre de droits fondamentaux : 1. Mettre fin au rejet collectif et systématique des demandes d’asile déposées en Belgique par les Palestiniens, notamment ceux de la bande de Gaza. 2. Abolir le recours aux permis de séjour grecs comme prétexte pour rejeter la demande d’asile, tant que ces papiers ne garantissent pas une vie digne ou une véritable stabilité. 3. Accélérer les procédures bureaucratiques qui maintiennent des centaines de familles palestiniennes dans l’incertitude, dans des centres d’accueil inhumains. 4. Ouvrir une véritable enquête sur les raisons du rejet répété et systématique des dossiers palestiniens, et revoir les politiques qui les privent de leurs droits. Aujourd’hui, nous nous adressons à la conscience de l’Europe : Si l’Europe se proclame comme la terre de la liberté, qu’elle commence par le droit à la...

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Prendre soin de nos corps en lutte – outils et pratiques somatiques 12 et 13 juin - Il reste quelques places !

Les questions autour des pratiques du soin sont aujourd’hui centrales dans la majorité des collectifs du réseau Mycélium. Militer est un acte qui nous expose, nous éprouve, nous confronte aux violences de la société. Quand et comment prenons-nous le temps pour nous déposer ? De calmer notre système nerveux, de respirer ? Que peut-on faire avec son corps pour aller mieux ? Face au sentiment d’urgence ou d’impuissance, face aux violences subies et à l’épuisement qui guette bon nombre d’entre nous, prendre le temps de prendre soin est essentiel pour nos équilibres et pérenniser nos luttes. Il existe souvent une polarité entre les mondes associatifs et militants, et les mondes du soin. Comment amener des ressources somatiques dans les lieux en lutte ? Comment politiser et relier ces espaces ? Prendre soin, c’est à la fois comprendre les systèmes d’oppressions qui nous entourent, comprendre les dynamiques de pouvoir internes et externes, apprendre à envisager le conflit comme un symptôme qui nous permet d’apprendre tout en écoutant nos besoins. C’est politiser nos vécus individuels, et mettre en place des pratiques d’écoute, de soutien, et de présence. Ce sera l’axe de ces deux jours : il est politique d’apprendre à écouter nos corps et prendre soin de nous. Ce sera l’axe de ces deux jours : il est politique d’apprendre à écouter nos corps et prendre soin de nous. C’est donc pour s’offrir des outils de ressources somatiques accessibles à toustes que Mycélium organise deux jours de travail somatique, autour de techniques de respirations, de médiation, de retour à soi, de connexion à ses sensations, etc. L’objectif étant de nous outiller, de nous sentir mieux, d’offrir un accès aux ressources que l’on possède et accessibles à tout le monde. Inscriptions : par ici : https://cloud.mycelium.cc/apps/forms/s/gPMfce8K2QogGkHzMPDPryaA Venez avec des vêtements confortables et de quoi prendre notes Participation libre et consciente individuelle (prix conseillé : 75 euros pour les deux jours) Participation consciente via organisation (prix conseillé 150 euros pour les deux jours) L’argent ne doit en aucun cas être un frein à votre participation, si tel est le cas n’hésitez pas à nous contacter. Intervenant·es : Lise Mernier (chargée de projets chez Corps écrits, thérapeute en psycho-corporel et facilitatrice en intelligence collective ) et Jean Berrewaerts (Facilitateur en intelligence collective, facilitateur pour Mycélium autour des pratiques de soin dans les collectifs et thérapeute en psycho-corporel) .

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Marche Explusion chômage Ixelles-Etterbeek Werkloosheid uitsluiting mars

ACTE 2 Ce mardi 3 juin, marchons contre les exclusions du chômage ! Op dinsdag 3 juni : mars tegen de uitsluiting van werklozen ! Toutes et tous concerné⸱es ! De 17 à 77 ans ! Alle betrokkenen ! Van 17 tot 77 jaar oud ! Quel impact entraînera la mesure-phare du gouvernement Arizona ? Venez écouter les personnes concernées et les échos du terrain ce 3 juin. Le gouvernement fédéral souhaite limiter les allocations de chômage dans le temps avec un maximum de deux ans et ce, seulement pour ceux et celles qui ont déjà au moins travaillé cinq ans. Selon l’ONEM, 100.000 à 320.000 personnes au minimum sont concernées. Résultats ? Une perte de droit à l’assurance chômage pour de nombreuses personnes qui ont pourtant cotisé et se retrouvant avec un grand risque d’appauvrissement. En effet, beaucoup devront compter sur la solidarité familiale, n’ayant plus assez de ressources. Pour celles et ceux qui sont dans les conditions, on s’attend à une arrivée massive de personnes qui émargeront aux CPAS, déjà exsangues. Or, l’accompagnement des demandeur·euses d’emploi n’est pas leur mission première. Cette mesure aura aussi des conséquences importantes sur les services publics d’accompagnement des personnes en recherche d’emploi (ONEM, Actiris, VDAB, Forem) et associatifs (missions locales, alphabétisation, formation). Et cela touchera autant les personnes bénéficiaires de ces services que celles qui y sont employées. Enfin, on peut aussi imaginer qu’une bonne partie des personnes ciblées par cette mesure disparaîtront des radars… Contact : desc@liguedh.be Infos pratiques (Nous sommes en attente d’un accord de la police pour trajet) : 9:30 : Place Fernand Cocq 11:30 CPAS Ixelles 13:00 CPAS Etterbeek À l’initiative de la Ligue des droits humains, du Collectif Solidarité Contre l’Exclusion et des syndicats avec... : SAAMO Brussel, Fédération des Services Sociaux, Lire et Écrire Bruxelles, FeBISP (Fédération bruxelloise des Organismes d’Insertion Socioprofessionnelle), les réseaux francophone et néerlandophone de lutte contre la pauvreté Brussels Platform Armoede & Forum - Bruxelles contre les inégalités, CBCS, Commune colère, Actrices et Acteurs des Temps Présents, FEWASC (Fédération Wallonne des Assistants Sociaux des Cpas), CGSP ALR Ixelles et Etterbeek, CGSP ACOD ALR LRB, FGTB ABVV Bxl, CSC Bruxelles - ACV Brussel, Comité des Travailleurs.es Sans-Emploi de la CSC Bruxelles, CSC Ixelles, FGTB Etterbeek, CSC culture, MOC Bruxelles…Laten we deze dinsdag 3 juni een mars houden tegen de uitsluiting van werklozen ! Welke gevolgen zullen de voornaamste beperkende maatregelen van de Arizonaregering hebben ? Kom op 3 juni luisteren naar getroffenen en mensen op de grond. De federale regering wil de werkloosheidsuitkering beperken tot maximaal twee jaar, en alleen voor mensen die al minstens vijf jaar hebben gewerkt. Volgens de RVA zal dit minstens 100.000 tot 320.000 mensen treffen. Wat zijn de gevolgen ? Met het verlies...

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Des prisonniers sont toujours incarcérés à Saint-Gilles malgré des conditions de détention inhumaines

En avril dernier, le gouvernement fédéral faisait le choix de continuer à incarcérer des prisonniers dans la prison de Saint-Gilles afin de faire face à la surpopulation carcérale des prisons belges. Pourtant, le site carcéral saint-gillois est fréquemment pointé du doigt pour ses conditions de vie jugées inhumaines. Malgré d’innombrables alertes à ce sujet et le fait que la date de fermeture de la prison de Saint-Gilles soit repoussée chaque année depuis dix ans, l’incarcération de prisonniers sur ce site carcéral n’est donc pas près de se finir. Cet énième prolongement de l’activité de la prison de Saint-Gilles a été mis en place par la ministre de la Justice Annelies Verlinden, qui avait présenté le 15 avril dernier une note pour faire face à la surpopulation carcérale. Notons que la population carcérale moyenne en Belgique est estimée à 116,6 %, soit 16,6 % de plus que la capacité maximale des sites carcéraux. Cette note, une fois validée par le gouvernement fédéral, a permis à l’activité du site carcéral saint-gillois d’être une nouvelle fois prolongée. Pourtant, deux mois plus tôt, la Cour d’appel de Bruxelles condamnait encore une fois l’Etat belge pour traitement inhumain et dégradant des prisonniers dans la prison de Saint-Gilles. Statistiques surpopulation carcérale Voici un tableau qui dresse l’état de surpopulation des prisons belges les plus touchées par ce phénomène. L’indice de « 100 % » signifie que la totalité de la capacité d’une prison est occupée. Ainsi, avec un indice de 153,1% , un site carcéral comme celui de dinant dépasse de moitié sa capacité maximale. La surpopulation de sites carcéraux est une problématique grave étant donné qu’elle réduit drastiquement la qualité vie ainsi que le suivi personnel et psychologique des prisonniers concernés. Les mesures d’urgence de cette note sont valables pendant une période de maximum 5 ans. Bien que cette période de 5 ans puisse être raccourcie par un arrêté royal délibéré en Conseil des ministres dans le cas où une évaluation que le taux de surpopulation aurait suffisamment diminué, il serait d’un autre côté probable que la prison de Saint-Gilles soit encore en activité durant l’entièreté de cette période. Pourtant, le site carcéral saint-gillois est en état d’insalubrité très avancée et nécessite d’importants travaux de rénovation. Ce n’est pas la première fois que cette prison est pointée du doigt pour ses conditions de vie particulièrement inhumaines. En décembre dernier, le chanteur Jonas Gomes lançait l’alerte sur son compte Instagram. Après avoir donné un concert à des prisonniers dans la prison de Saint-Gilles, il a observé les conditions de vie atroces dans lesquelles les prisonniers y sont incarcérés. Dans une tribune publiée sur Instagram, le chanteur fait référence à des cellules sans fenêtres qui sont à la fois étouffantes en été et glacées en hivers, à une hygiène désastreuse : « Les prisonniers n’ont accès qu’à une ou deux douches par semaine et (...)

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HYPERINSTINCT PRÉSENTE ZAATARIC LIVE + DJ AU GESÙ

HYPERINSTINCT à l’honneur de vous présenter ZAATARIC en live set au Gesù pour une soirée dédiée à la Palestine et la music du moyen orient. La soirée permettra de récolter de l’argent pour la Palestine afin d’y faire rentrer de l’eau et de la nourriture à Gaza. HYPERINSTINCT à l’honneur de vous présenter ZAATARIC en live set au Gesù pour une soirée dédiée à la Palestine et la music du moyen orient. + Soirée avec DJ jusqu’ à 05H La soirée permettra de récolter de l’argent pour la Palestine afin d’y faire rentrer de l’eau et de la nourriture à Gaza. ZAATARIC - oud techno (23H) - Palestine RAFAEL ARAGON - electro syncrétisme (01H30) - Belgique SÃO MUSTAPHA - ELECTRO DABKÉ (03H30) - France Où : Le Gesù - rue Brialmont 11 saint josse Quand : 14/06 Heure : 23H-05H00 Prix : 5euro Présentation « Zaataric est un artiste de musique techno d’origine palestinienne, influencé par son passé chargé d’émotions et de résilience. Formé en musicologie et guitare classique au Conservatoire, il a développé sa maîtrise de la musique électronique en Europe. Son projet artistique fusionne musique traditionnelle et techno, en mettant en avant le oud palestinien. À travers sa musique, il raconte l’histoire de sa terre natale et cherche à redonner une voix à la Palestine sur la scène musicale. Son nom de scène, inspiré du zaatar, symbolise la résistance et la persévérance. » « Zaataric is a techno music artist of Palestinian origin, inspired by a past filled with emotion and resilience. Trained in musicology and classical guitar at the Conservatory, he later deepened his understanding of electronic music in Europe. His artistic project blends traditional and contemporary sounds, fusing the iconic Palestinian oud with hypnotic techno beats. Through his music, he tells the story of his homeland and aims to restore Palestine’s presence in the global music scene. His stage name, inspired by zaatar—wild thyme that grows defiantly in the Palestinian mountains—symbolizes resistance and perseverance. » Chill zone  Expo for Palestine (sur 2 étage) Reconnexion à l’ancestrale  FROM BXL TO GAZA RÉSISTANCE

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17 juin - 19h00 - La Chaumière

Collectif Patouche

Lancement de Patouche, collectif belge de personnes concernées par l’inceste et les violences sexuelles dans l’enfance. Le collectif Patouche est un collectif belge de personnes concernées par l’inceste et les violences sexuelles dans l’enfance. Il met en place des cercles de réconfort et des conférences sur cette thématique. Patouche, un cercle de réconfort pour les victimes d’inceste et de violences sexuelles dans l’enfance. Tu as subi l’inceste ou des violences sexuelles dans l’enfance. Tu n’as pas envie de rester seul.e. Nous avons une proposition pour toi : PATOUCHE, un cercle de réconfort créé par et pour des personnes concernées, où chaque voix mérite d’être entendue et crue. Viens partager ou écouter, c’est comme tu préfères. Viens pleurer ou rire, c’est comme tu veux. Nous t’accueillons dans une atmosphère de partage et de bienveillance dans laquelle les mains se serrent et s’entraident pour créer des liens authentiques. Rejoins-nous pour échanger librement, partager des ressources, chercher des infos et avancer ensemble vers un meilleur avenir, nous nous le souhaitons. Première rencontre : le mardi 17 juin 2025 de 19h à 21h à La Chaumière (Rue de Corroy, 2 - 1325 Chaumont-Gistoux) - https://lachaumiere1325.be OU le dimanche 22 juin 2025 de 14h à 16h à La Vieille Chéchette (Rue du Montenegro, 2 à Saint-Gilles) https://chechette.be Comme il s’agit d’un groupe de soutien, ce groupe ne disposera pas de psychologue. Le contenu des séances se construira avec les participant.e.s. Prix libre. Nombre limité de places. Réservation conseillée : patouche@riseup.net Rencontre avec Lisa Mac Manus le 20 juin à La Maison qui Chante à Ixelles. L’inceste et les violences sexuelles envers les enfants : un impensé impensable : Rencontre avec Lisa Mac Manus Dans le cadre d’un cycle de rencontres organisé par le Collectif Patouche, la psychotraumatologue Lisa Mac Manus viendra expliquer la complexité du vécu traumatique des victimes d’inceste et de violences sexuelles pendant l’enfance. En Belgique, aucune statistique officielle ne permet d’évaluer l’ampleur de ce phénomène sociétal. On estime toutefois que deux à trois élèves par classe en sont victimes. Derrière ce chiffre saisissant se cachent des êtres humains abîmés dans toutes les sphères de leur existence, qui se débattent avec les conséquences lourdes des violences subies. Un éclairage sera notamment apporté sur autant de symptômes que l’état de stress post-traumatique chronique, la dissociation ou encore l’amnésie. La difficulté de la prise en charge des victimes sera aussi abordée. La rencontre sera ponctuée d’un intermède musical et suivie d’un échange avec le public. La Maison qui chante - Rue du Viaduc, 122 à 1050 Ixelles Entrée à prix libre. Infos et inscriptions : patouche@riseup.net Patouche est soutenu par la Fondation Mycelium.

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[Zine] CrashTest#5 : SPORT + prépa #6

CRASH-TEST = Zine noir et blanc participatif à tendance anarco-punk, ouvert sur le monde. Le titre, le contenu, l’équipage... tout peut encore changer, c’est le principe du test , et tout peut s’arrêter, c’est le principe du crash. CRASH-TEST #5 52 petites pages en Noir et Blanc Où trouver Crash-Test ? PIY (Print It Yourself) Les liens vers le PDF sont ou seront bientôt disponibles ICI si vous souhaitez gérer des impressions, des distributions ou des ventes. Participe à Crash-Test#6 On propose pas de thème pour le n°6 mais pour le n°7 ce serra « Drogue » (au cas où ça te donne des idées) Et tout ce qui est envoyez en retard sera publié en retard. DEADLINE de la recolte du contenu le 1er MAI PARTICIPER ? C’est cool d’envoyer des trucs le plus tôt possible, comme ça d’autre personnes pourront peut être ajouter des images ou peaufiner les mises en pages toussa. mag-a-zinne@proton.me Toujours à faire, encore à faire : Print It Yourself (cf plus haut) Distribuer, faire la promo du trucs, trouver de nouvelles personnes qui pourrait aimer prendre de la place dans ces pages. Envoyez vos conseils, critiques, retours pour orienter les crash dans un meilleur axe ou vers un autre mur. Envoyer vos propositions ou contributions ou thune pour la suite. Dite nous si vous souhaitez vous occuper d’une page en particulier ou d’une rubrique en particulier. Vous pouvez rejoindre le Comité Ré(d)actionnaire pour aider à la recherche de contenus, à la compilation et à la finalisation (mise en page, impressions etc). mag-a-zinne@proton.me Le formulaire de participation est aussi toujours utilisable si vous souhaitez rejoindre l’équipage (c’est une mailing-list) sans encore trop savoir quoi y apporter (les stages d’observation sont acceptés) :https://stuut.info/IMG/pdf/formulaire_candidaturev4-2.pdf

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Technologie et prison (4) : La réalité virtuelle

Voici le quatrième épisode de la série d’articles tirés de la remarquable brochure « Technologie et prison » (ici le pdf ) réalisée par Carapatage que nous livrons en feuilleton. Aujourd’hui, la réalité virtuelle. Aux États-Unis, les casques de réalité virtuelle sont utilisés pour préparer la sortie des prisonniers de longue peine. Au Colorado, des personnes, qui ont été enfermées mineures dans les années 80-90, ont passé 3 ans à porter régulièrement des casques de réalité virtuelle pour découvrir une version numérique du monde qui les attend dehors. On simule d’abord des décors, des rues, des intérieurs, pour qu’elles puissent constater à quel point le monde a changé. Puis on leur apprendre à utiliser les outils informatiques, internet ou le téléphone. Non pas en leur filant un ordi ou un téléphone, ce serait trop simple, mais plutôt en simulant dans le casque de réalité virtuelle un ordi et un téléphone. On leur apprend à gérer leur budget ou encore on les met dans un bar où un type menace de se bagarrer avec elles et on leur demande comment réagir. En Californie, il est aussi utilité comme alternative aux permissions de sortie : les prisonniers peuvent « visiter » Paris ou la Thaïlande en VR (photo). Ce casque est aussi utilisé dans l’État de Washington pour faire suivre à moindre coût aux prisonnières des ateliers virtuels de formation à la mécanique auto. Le géant de la sous traitance carcérale, Global Tel Link (GTL), veut étendre le concept, notamment pour organiser des visites virtuelles dont on imagine facilement qu’elles pourraient remplacer des visites réelles. La visioconférence a d’ailleurs été permise à des détenu·es pour remplacer les parloirs qui avaient été supprimés lors de l’épidémie de Covid. Cette technologie est aussi promue comme un moyen de lutter contre la récidive. Parmi les récentes expérimentations on trouve des casques de réalité virtuelle destinés à des auteurs de violences conjugales où le spectateur se met tour à tour dans la peau du conjoint violent, de sa compagne et de leur petit garçon. Une phase test d’un an a débuté en octobre dernier avec une trentaine de détenus à Lyon, Meaux (avec des personnes condamnées et suivies en milieu ouvert) et Villepinte (en milieu fermé).

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