Samidoun se retrouve une nouvelle fois dans le collimateur en raison de ses liens supposés avec l’Université populaire de Bruxelles qui a fait l’objet de plaintes au pénal suite l’occupation de locaux de l’ULB dans le campus Solbosch au printemps dernier, qui a mené à des centaines de milliers d’euros de réparations. Samidoun, une organisation de soutien aux prisonniers palestiniens issue de la gauche laïque révolutionnaire palestinienne, est interdite en Allemagne aux États-Unis et au Canada, mais pas en Belgique où elle est considérée comme une organisation « extrémiste », mais pas « terroriste », « ne présentant pas de risque direct de passage à la violence politique ». Samidoun est cependant ciblée par la coalition Arizona qui, si elle parvient à trouver un accord de gouvernement, devrait prononcer sa dissolution, à la demande de Georges-Louis Bouchez, qui souhaite aussi que ministre de l’Intérieur se substitue aux bourgemestre pour interdire certains rassemblements. Le tout accompagné palr les habituels amalgames entre antisionisme et antisémitisme.
La dissolution de Samidoun dans le pré-accord gouvernemental
La dissolution de Samidoun dans le pré-accord gouvernemental
Voir en ligne : Secours Rouge
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