De nombreuses zones d’ombres entourent ce décès (comme dans de nombreux cas de violences policières). La thèse du suicide par strangulation, mise en avant par la police au lendemain de sa mort, est aujourd’hui de plus en plus écartée par les autorités judiciaires.
De plus, les avocat·es n’ont toujours pas eu accès au dossier complet et à l’intégralité des images des caméras. Une contre-autopsie demandée par la famille a également été refusée. La famille et les proches de Sourour restent donc en attente de réponses et de transparence afin d’enfin pouvoir entamer leur deuil.

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