Alors qu’un groupe était venu montrer sa solidarité pendant leur moment de promenade au préau, les détenus du 127bis ont une nouvelle fois dénoncé les traitements inuhumains dont ils sont victimes dans les centres, ainsi que la violence des expulsions forcées.
Certains d’entre eux ont décidé de rester dans le préau et d’entamer une grève de la faim pour exiger leur libération.
Le lendemain, alors qu’un nouveau groupe de manifestant se rendait sur place, il a été entendu que les détenus ayant lancé le mouvement avaient été mis au cachot.
Du refoulement aux frontères jusqu’au centres fermés et aux déportations, c’est une même machine raciste qui exclue, violente et tue de trop nombreuses personnes. Il est temps de l’enrayer.
Liberté de circulation et d’installation pour toustes !
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