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[Podcast] Genres de Voix - Les Promesses de l’Aube

[Podcast] Genres de Voix - Les Promesses de l’Aube

C’est jeudi matin, dans le présent ou le futur, sur la bande FM ou l’interné : bienvenue dans les promesses de l’aube.

Partout | sur https://stuut.info

Genres de Voix (lien youtube) : parcours de transitions vocales. Un podcast sur le thème du vécu de personnes transgenres par rapport à leur voix, et de façon plus générale sur le lien entre le genre et la voix.

Les témoignages sont diffusés dans le but d’explorer ce sujet encore assez méconnu autour des transidentités, ainsi que de partager ces expériences d’évolution vocale auprès d’autres personnes trans*.

Cherchez & Choississez vos Voix & Voies.

Voir en ligne : Radio Panik

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[Zine] Détransition, désistance et désinformation : Un guide pour comprendre le débat sur les enfants trans

Récemment, alors que les personnes transgenres sont devenues plus visibles, elles ont fait l’objet d’un examen de plus en plus minutieux de la part des médias. Des politiciens, des commentateurs et des journalistes ignorant tout des questions transgenres se sont soudainement précipités pour peser sur ces questions importantes (...). Certaines de ces personnes ont des agendas anti-trans très clairs. D’autres sont des intrus (peut-être bien intentionnés) qui croient qu’en lisant quelques documents de recherche et en interrogeant quelques personnes ici et là, ils peuvent acquérir une « compréhension objective » de ce sujet complexe, qui couvre un demi-siècle d’histoire. Et malheureusement, ils centrent souvent leurs éditoriaux et leurs réflexions sur un segment particulièrement vulnérable de notre communauté : les enfants transgenres. Texte de Julia Serano publié sur infokiosques.net Je participe aux communautés trans depuis 1994. Entre toutes ces expériences, et mes nombreuses années en tant qu’autrice trans, militante, artiste et conférencière — prendre la parole pendant les événements communautaires, les conférences, et dans des universités à travers l’Amérique du nord — j’ai eu des conversations intimes et profondes sur les expériences et problèmes trans avec à peu près un millier de personnes transgenres (peut-être plus). J’ai fait des recherches approfondies à la fois sur la littérature médicale et sur l’histoire des « barrières » psychiatriques/médicales liées à l’accès des soins pour les personnes trans, pour mon livre Whipping Girl : Une femme transsexuelle sur le sexisme et le bouc émissaire de la féminité, paru en 2007. Mon travail s’est poursuivi dans mes écrits et mon activisme liés aux diagnostics trans dans le DSM-V récemment publié. Au cours de ces un peu plus de 20 années, j’ai été témoin de la lente évolution depuis l’ancien système de contrôle de soins — impliqué dans la science pathologique et adoptant souvent des positions antagonistes face aux patients trans/sujets de recherche — jusqu’à ce qui est devenu progressivement notre système de soins trans actuel. Il fonctionne en partenariat avec les communautés trans, et il a progressivement pris les intérêts des personnes trans à cœur. Cette évolution n’a pas été le seul résultat d’une remise en cause de ce système par les militant·es trans (même s’il y a eu de nombreuses contestations). Au contraire, ce changement a été facilité par une tendance plus générale au sein de la recherche et de la médecine — loin des attitudes paternalistes du « Praticien sachant » du milieu du vingtième siècle. Les praticiens et chercheurs ont pris progressivement conscience qu’il fallait réellement se préoccuper et obtenir des retours de la part des communautés qu’ils aident. Cette transition n’a pas été parfaite, ni complète (car la vieille garde adhère toujours aux anciennes méthodes). Mais les changements qui se sont produits au cours de ma vie ont été extrêmement prometteurs. (...)

Santé / Soins

Trans* Solidarity Fund Belgium (TSFB)

Qui ? TSFB est un collectif constitué de personnes Trans* et qui se réunit depuis début 2022 . Nous nous rencontrons, pour l’instant à Bruxelles, une fois par mois à date et horaires fixes dans une dynamique de volontariat, d’autogestion et d’horizontalité. Conscient.e.s de l’énergie que peut drainer de s’engager bénévolement au sein d’un collectif en quête de justice communautaire nous affirmons que la durée de présence où le degré d’investissement n’est pas un critère pour évaluer la légitimité de quiconque qui souhaite se greffer à l’initiative du fonds. Chaque personne du collectif a la liberté à tout moment de venir et partir, s’investir puis se retirer ou choisir de marquer une pause. Contexte ? Dans le monde entier, les personnes transgenres sont victimes de violences. Qu’il s’agisse de discrimination, d’absence de reconnaissance ou de statut juridique, de violences ou d’assassinats, les personnes sont confrontées à des abus effroyables fondés sur leurs identités et leurs expressions de genre. Des activistes courageuxreuses font un travail vital pour protéger et améliorer la vie des trans, mais le financement est insuffisant et fragile. Malgré la croissance du financement LGBTQI, les organisations trans* sont profondément sous-financées. En 2017, une enquête révélait que plus de la moitié des personnes trans* dans le monde disposaient d’un budget annuel inférieur à 9.047€ (« The State of Trans Organizing », GPP 2017). Sur le plan professionnel les personnes transgenres ont beaucoup de difficultés à trouver du travail en Belgique. Dans le cadre de la plus grande étude jamais réalisée en Europe auprès de personnes transgenres issues des 28 états-membres, pas moins de 53% de tous les répondants belges ont indiqué se sentir discriminés dans leur recherche d’emploi. La moyenne européenne s’élève à 37%, et la Belgique semble être le plus mauvais élève de la classe. (Being Trans in the EU – Comparative analysis of the EU LGBT survey data, FRA, 2014). Pour l’heure : l’accès à des revenus stables reste systémiquement entravé par nos transitions & expressions de genre. Les priorités de nourriture & de toits font que les frais liés à nos identités peuvent très tôt devenir des épreuves supplémentaires au quotidien (traitements, démarches administratives, accompagnement en santé-mentale, vetements etc.). Quoi ? Le Fond de Solidarité Trans* Belgique souhaite apporter des formes d’aides directes et garanties en attendant que la société ne s’ajuste. Le fonds et la campagne de donation liée ont étés rendus publiques le 30 Juillet 2022. En Novembre 2022 : nous avons pu rendre accessible la 1re aide : « Sos Factures ». Notre objectif : attribuer des packs à 5 personnes par mois donnant accès à des services relevant -d’après nous- de première nécessité tels que : la prise en charge de traitements hormonaux, l’achat de vêtements choisis, des séances d’épilation du visage, un smartphone ou encore la prise en...

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Trans International Day Of Remembrance

Ce dimanche c’estle TDOR (trans international day of rememberance) venez nombreu.ses.x pour rendre hommages à nos mort.x.e.s PLACE de L’ALBERTINE à 18h30 [FR] Le dimanche 20 novembre 2022, nous organiserons en collaboration avec  @eclat_collectif (https://www.instagram.com/eclat_collectif/),  @tsfbelgium (https://www.instagram.com/tsfbelgium/)  et @utsopi.asbl (https://www.instagram.com/utsopi.asbl/)  un rassemblement à 18h30 place de l’Albertine pour le TDoR, Jour du souvenir trans, à Bruxelles. Le TDoR est une journée annuelle de mobilisation pour rendre hommage aux personnes trans tuées par la transphobie. Plus d’informations viendront prochainement [NDLS] Op zondag 20 november 2022 18u30 organiseren we samen met  @eclat_collectif (https://www.instagram.com/eclat_collectif/),  @tsfbelgium (https://www.instagram.com/tsfbelgium/)  en @utsopi.asbl (https://www.instagram.com/utsopi.asbl/)  een bijeenkomst op het Albertinaplein (Place de l’Albertine) in Brussel voor Transgender Day of Remembrance (Transgender Gedenkdag). Transgender Day of Remembrance is een jaarlijkse herdenking van trans personen die dat jaar zijn gestorven door de gevolgen van transfobie. Meer informatie volgt zo snel mogelijk. [EN] Sunday 20th of November 2022, we are organizing in collaboration with  @eclat_collectif (https://www.instagram.com/eclat_collectif/)  @tsfbelgium (https://www.instagram.com/tsfbelgium/)  and @utsopi.asbl (https://www.instagram.com/utsopi.asbl/)  a gathering at 18h30 place de l’Albertine for the TDoR, Trans Day of Rememberance, in Brussels. The TDoR is an annual day of mobilization to commemorate the trans people who have been killed by transphobia. More information coming soon.

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Extrême-droite / Antifascisme

PRESSION : DES ACTIVISTES POURSUIVI·ES POUR AVOIR BLOQUÉ UNE ENTREPRISE D’ARMEMENT ISRAÉLIENNE EN BELGIQUE

Le 4 mars 2024, une centaine d’activistes a bloqué le site de OIP-Elbit Systems, une entreprise d’armement israélienne pour dénoncer la complicité belge avec le génocide en cours en Palestine. Depuis, des poursuites judiciaires ont été entamées et 7 activistes font face à un procès pour leur participation au blocage. L’entreprise OIP exige des activistes des dédommagements, ce qui les expose à 70 000 euros d’amende. Le jour du blocage, deux entreprises avaient été visées en Belgique : OIP-Elbit à Oudenaarde et Thalès à Herstal. Les collectifs qui avaient organisé l’action expliquaient s’attaquer à ces entreprises car elles « produisent des armes, des technologies militaires ou de surveillance utilisées par le régime d’apartheid israélien et sont complices du génocide en cours à Gaza ». À défaut d’un embargo belge au niveau politique, les activistes ont voulu mettre en oeuvre un embargo citoyen en s’attaquant au matériel de ces entreprises. Les activistes rappelaient que OIP est une filiale du producteur d’armes israélien Elbit Systems, qui est le plus grand fabricant d’armes privé d’Israël : « Elbit fournit 85 % des drones et la plupart des équipements militaires terrestres utilisés par l’armée israélienne. La multinationale de l’armement française Thalès entretient quant à elle des relations de longue date avec Israël et collabore avec Elbit System. » En septembre 2025 avait lieu un premier procès : celui de la militante Anuna De Wever, pour des graffitis réalisés sur le site de l’entreprise OIP à Tournai en décembre 2023 et pour le motif « d’association de malfaiteurs ». Ce 21 octobre 2025, le verdict est tombé : suspension du prononcé pour les graffitis et Anuna De Wever a finalement été acquittée de l’accusation « d’association de malfaiteurs ». Avec ses avocates, elle entreprend désormais un procès à l’encontre de OIP–Elbit pour complicité dans un génocide. Entre-temps, se déroule une autre affaire juridique : celle de 7 activistes qui ont participé à l’action de blocage en mars 2024. OIP-Elbit les poursuit et réclame des sommes pour compenser les pertes financières mais aussi lesdits « dommages moraux » à l’issue du blocage de 2024. Les activistes visés et leurs camarades de Stop Elbit maintiennent toutefois leur ligne : « Nous refusons de laisser une compagnie israélienne fabriquer en toute impunité des armes sur le territoire belge. […] Aujourd’hui Elbit nous poursuit en justice et nous demande des indemnités. Ne les laissons pas gagner. » Le procès a lieu le 16 février 2026. Les activistes appellent au soutien le jour du procès mais aussi à un soutien financier, et à rejoindre les actions de Stop Elbit. Ce procès s’inscrit dans la criminalisation des personnes qui se prononcent publiquement en opposition au génocide en cours en Palestine et à la complicité de l’état belge dans ce génocide, notamment via des matériaux d’armement. En Belgique, le projet de la loi dissolution (ou loi Quintin) s’inscrit (...)

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4 décembre - 18h30 - cinéma Vendôme

[projection] À NOTRE SANTÉ

À NOTRE SANTÉ Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz, Mari­nette Mor­mont, Soraya Soussi Face aux vio­lences médi­cales, Vic­to­riae, Sarah et Sophie s’évertuent à faire bou­ger les lignes. Actions com­mu­nau­taires, ate­liers d’autodéfense ou dénon­cia­tion des dis­cri­mi­na­tions : elles explorent d’autres manières de prendre soin et luttent en faveur d’une san­té glo­bale, res­pec­tueuse et inclu­sive pour toutes les femmes*. Dans le sillage de Pas sans elles, pre­mier film de ce groupe de réa­li­sa­trices, A notre san­té (54 minutes) pro­pose d’accueillir les récits de ces femmes qui subissent ces vio­lences de plein fouet en rai­son de leur poids, leur cou­leur de peau, leur iden­ti­té de genre ou encore des stig­mates asso­ciés aux per­sonnes sans chez-soi ou usa­gères de sub­stances psy­cho-actives. Ce film est une invi­ta­tion à nous unir dans le com­bat pour le droit à la san­té pour toutes* et à par­ti­ci­per à la quête de pra­tiques de soins alternatives. Le film est dis­po­nible en fran­çais avec sous-titres sourds et mal­en­ten­dants (SME) Avant pre­mière : Jeu­di 4 décembre 2025 à 18h30 au ciné­ma Ven­dôme — chaus­sée de Wavre 18, 1050 Bruxelles (réser­va­tion souhaitée) Entrée prix libre le film sera éga­le­ment pro­je­té au Centre Cultu­rel de Jette le 30/01/26 à 13h30 et à 19h, sui­vi d’un échange avec les pro­ta­go­nistes du film. Pour orga­ni­ser une pro­jec­tion, vous pou­vez adres­ser une demande à l’a­dresse diffusion@zintv.org Réa­li­sa­trices : Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz, Mari­nette Mor­mont, Soraya Soussi Avec la par­ti­ci­pa­tion de : Sarah Tshin­gu­ta Mus­senge, Sophie Godenne, Vic­to­riæ Pildaer Image : Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz Son : Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz, Mari­nette Mor­mont, Soraya Soussi Mon­tage : Nina Alexan­dra­ki, Valen­tin Fayet Mon­tage son et Mixage : Lola Ciosek Musique : Tho­mas Michel Eta­lon­nage : Arshia Davari Une pro­duc­tion ZIN TV Avec le sou­tien du Centre du Ciné­ma et de l’Audiovisuel de la Fédé­ra­tion Wallonie-Bruxelles

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