Entre la course des promoteurs immobiliers, la fulgurante montée des loyers, la gentrification orchestrée par la Région bruxelloise, la capitale « européenne » compterait, selon les études, de 2 000 à 20 000 unités de logements vides, bien que le fait de maintenir un bâtiment vide enfreint le code bruxellois du logement.
Des collectifs et associations opèrent des modèles socio-économiques et politiques afin de contrer le phénomène de sans-chez-soirisme. Cette rencontre évoquera ces enjeux (occuper, réquisitionner, accueillir, loger) et apportera des regards situés depuis des pratiques indispensables, souvent même inévitables.
Avec
- la Voix des Sans-Papiers de Bruxelles , un des collectifs auto-géré de personnes sans papiers (Modou Ndiaye),
- Febul - Fédération Bruxelloise Unie pour le Logement (Karine Seront)
- Communa, une asbl qui occupe des bâtiments vides et y rend possible hébergements et projets d’intérêt collectif (Antoine Dutrieu).
Modération : Milady Renoir, voisine solidaire de la lutte des sans papiers
Réservations (gratuit) : karim.tall@syndicatdesimmenses.be
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