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15/11 Soirée de soutien à Getting the Voice Out

15/11 Soirée de soutien à Getting the Voice Out

Danser et soutenir Getting the voice out, ce vendredi 15 novembre à La Vallée.

Bruxelles | sur https://stuut.info | Collectif : Getting The Voice Out

Le collectif ATTUNED vous invite à La Vallée le vendredi 15/11 pour une soirée de soutien au collectif Getting the Voice Out, les bénéfices de la soirée leur seront directement reversés.

Getting the voice out lutte contre l’enfermement de personnes migrantes en centres fermé, et contre l’enfermement et les frontières de manière générale.

Pourquoi leur action est importante ?
L’accès à l’information concernant les centres fermés est pratiquement inexistant. En tant qu’acteur de terrain indépendant, Getting the Voice Out rend visible les moyens de répression inhumains qui sont utilisés pour restreindre les libertés des personnes détenues : précarisation, intimidation, médication, torture, violence, emprisonnement...

La lineup :
Bambi b2b STDJ (mental techno, trance progressive, dubby sounds)
Moogly b2b Serotonine (psygressive trance, groovy techno)

Informations pratiques :
╬╬╬ Lieu : Rue Adolphe Lavallée 39, 1080 Bruxelles
╬╬╬ Donations : 8/10/12€ OU un gsm fonctionnel et son chargeur
╬╬╬ 22h > 4h
╬╬╬ cash ou zinne


Anciens évènements

Soirée de soutien à Getting the Voice Out

 vendredi 15 novembre 2024  22h00 - 04h00
 vendredi 15 novembre 2024
22h00 - 04h00
 LaVallée,

 

Rue Adolphe Lavallée 39, 1080 Bruxelles

Notes

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Santé / Soins

Visite au centre fermé de Steenokerzeel (127 bis)

Compte rendu d’une visite au centre fermé de Steenokkerzeel Par Youri Lou Vertongen – 31 octobre J’ai été sollicité, il y a quelques jours, pour rendre visite à un jeune exilé palestinien détenu depuis un mois au centre fermé de Steenokkerzeel (127 bis), après avoir été arrêté à la sortie d’un rassemblement en soutien à la Palestine sur la place de la Bourse, en plein centre de Bruxelles. Cette demande m’a explicitement été adressée en tant que chercheur en sciences sociales travaillant sur les dispositifs (anti-)migratoires. La visite visait à documenter non seulement son parcours et les raisons de son arrestation, mais aussi les conditions concrètes de détention dans l’un des espaces centraux de la politique de contrôle des étrangers en Belgique. Le centre 127 bis de Steenokkerzeel n’est pas simplement une architecture carcérale, il est littéralement un dispositif, c’est-à-dire un agencement de pratiques, de discours et de techniques destiné à rendre visible, contrôlable et gouvernable une certaine population – les étrangers, les sans-papiers, les indésirables. Posé au milieu de nulle part, implanté en lisière de l’aéroport de Zaventem, le complexe est pris en étau entre le tarmac, la nationale et les champs vides. Le va-et-vient des avions qui décollent et atterrissent rythme en continu le paysage sonore, rappel ironique d’une liberté de circuler réservée à d’autres, mais aussi écho permanent de la menace d’une expulsion imminente. Je connais évidemment ces espaces depuis plusieurs années, en tous cas en théorie : je les ai étudiés, analysés dans certaines de mes recherches. J’y ai aussi manifesté des dizaines de fois, crié ma rage devant leurs grilles, attendu avec d’autres que des silhouettes apparaissent aux fenêtres. Il y a une quinzaine d’années, lors d’une manifestation devant le centre de Vottem, la lourde porte métallique verte s’était ce jour-là laissée enjamber, tandis que la grille intérieure avait cédé sous la pression collective, laissant entrevoir, l’espace de quelques minutes, l’intérieur de la cour et les visages derrière les barreaux. Cet instant d’effraction, arraché à la logique du contrôle, portait une intensité subversive : celle d’un contact, d’un échange de regards à travers la frontière. On avait envahi la cour, échangé quelques mots, quelques gestes avec les détenus, avant d’être arrêtés en bloc. C’était un moment de rupture, presque de fête pour le jeune activiste que j’étais, une irruption collective dans un espace que l’État s’emploie d’ordinaire à tenir hors de vue, une brèche ouverte dans un dispositif d’enfermement pensé pour ne jamais être traversé. Aujourd’hui, c’est la version inverse que j’ai expérimentée : le dedans sous contrôle, l’accès administré, l’hospitalité encadrée. J’ai donc pénétré pour la première fois « légalement » dans un centre fermé. J’hésite à dire « entrer » tant ce terme prend en ce lieu précisément conçu pour empêcher toute sortie, une tonalité cynique. On n’entre pas...

Belgique Belgique |

22 novembre - 17h30 - Rockin’ Squat

Repression beyond borders, transnational response (benefit event)

Imagining transnational tools : collective responses to the new European authoritarian turn (français en dessous) Is it possible to envision new transnational strategies of solidarity and complicity ? Can we imagine forms of internationalism that not only respond to repression but also, in practical terms, open new horizons of liberation ? For decades, the Italian NO TAV movement has resisted against the building of a useless high-speed train network, which threatens to destroy the communities and the environment of a whole mountain valley, enduring a violent state repression. On November 22, we’re coming together for a day of solidarity and fundraising to support comrades facing fines and sanctions. In the face of the growing right-wing shift across Europe and beyond, we will meet with political groups who have experienced (and continue to experience) state repression. Together, we’ll share experiences and strategies to strengthen our collective resistance through a public debate, followed by a party. Join us for a day of solidarity, exchange, and shared struggle : 📌 17.30 Debate (in English) 📌 20.00 Community dinner (vegetarian and vegan) 📌 22.00 DJ night 💶 Bring cash FR Imaginer des outils transnationaux : réponses collectives au nouveau tournant autoritaire européen Est-il possible d’envisager de nouvelles stratégies transnationales de solidarité et de complicité ? Pouvons-nous imaginer des formes d’internationalisme qui non seulement répondent à la répression, mais ouvrent aussi, concrètement, de nouveaux horizons de libération ? Depuis des décennies, le mouvement italien NO TAV résiste à la construction d’un réseau ferroviaire à grande vitesse inutile, qui menace de détruire les communautés et l’environnement de toute une vallée montagneuse, subissant une violente répression étatique. Le 22 novembre, nous nous réunissons pour une journée de solidarité et de collecte de fonds afin de soutenir nos camarades confrontés à des amendes et des sanctions. Face à la montée de l’extrême droite en Europe et au-delà, nous rencontrerons des groupes politiques qui ont subi (et continuent de subir) la répression étatique. Ensemble, nous partagerons nos expériences et nos stratégies afin de renforcer notre résistance collective à travers un débat public, suivi d’une fête. Rejoignez-nous pour une journée de solidarité, d’échange et de lutte commune : 📌 17h30 Débat (en anglais) 📌 20h00 Dîner communautaire (végétarien et végétalien) 📌 22h00 Soirée DJ 💶 Apportez du cash

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