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Aprèm de PAC – Arpentage du livre « Notre corps, nous-mêmes », manuel féministe

Aprèm de PAC – Arpentage du livre « Notre corps, nous-mêmes », manuel féministe

Bruxelles | sur https://stuut.info

Pour poursuivre la réflexion autour de la question « Médecine : reflet de la société patriarcale ? », Présence et Action Culturelles vous propose un atelier d’arpentage du manuel féministe « Notre corps, nous-mêmes ». Ce livre a été édité pour la première fois en 1973 et réactualisé en 2020.

Il remet en cause les savoirs médicaux, se veut un assemblage de productions de savoirs sur le corps des femmes. Cet ouvrage a la particularité de placer les expériences vécues des femmes au centre de la production de savoirs sur leur corps. Il marque également une volonté de reprendre le flambeau légué par les générations précédentes, d’assurer la continuité des savoirs.

📙C’est quoi un arpentage ?

Un arpentage est une lecture collective d’une œuvre. Cette technique issue de l’éducation populaire rend un livre plus accessible et permet à un groupe de s’approprier l’œuvre en développant, ensemble, une analyse critique. Il n’est pas nécessaire de lire le livre à l’avance ni de l’acheter pour venir à un arpentage.

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🔸Activité gratuite
🔸Inscription recommandée : https://miniurl.be/r-5z9e
🔸Cette journée est proposée en non-mixité choisie personnes FINTA.

Voir en ligne : PAC


Anciens évènements

Aprèm de PAC – Arpentage du livre « Notre corps, nous-mêmes », manuel féministe

 mardi 25 mars 2025  13h30 - 16h00
 mardi 25 mars 2025
13h30 - 16h00
 Présence et Action Culturelles,

 

Rue Lambert Crickx 5 - 1070 Bruxelles

Notes

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Santé / Soins

MANIFESTE POUR UNE TERRE SANS POISON

🌾 « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » 1. 📜 Il fut un temps… Il fut un temps pas si lointain, où nos paysans, debout à l’aube, cultivaient avec humilité, patience et savoir.
 Pas de chimie de laboratoire.
 Pas de tracteurs de guerre recyclés en engins agricoles.
Pas de graines brevetées.
 Juste : la terre, les saisons, le compost, le soleil, l’eau, et la vie. Nos ancêtres cultivaient sans engrais chimiques, sans pesticides, sans plastique, sans algorithmie. Et pourtant, ils récoltaient. 2.Quand est-ce que tout a basculé ? Années 1950–1970.
 Au lendemain de la guerre, l’industrie chimique cherche un débouché civil à ses inventions militaires.
 Le nitrate des bombes devient l’engrais azoté. 
Le gaz de combat devient pesticide. 
Les semences deviennent stériles et propriétaires. 
L’agriculteur devient dépendant. 
La terre devient malade.
 Les fruits deviennent fades.
Et nous, devenons malades à petit feu. Le pacte faustien de la grande distribution C’est aussi à cette époque que la grande distribution fait son entrée dans les campagnes.
 Elle promet aux agriculteurs des contrats juteux, des débouchés sécurisés, des volumes garantis. Mais à une condition : produire vite, produire beaucoup, produire standardisé.
 Alors l’agriculture intensive s’impose. La monoculture remplace la biodiversité. Le fermier devient fournisseur.
 Et le terroir devient une usine à rendement.
 Ce jour-là, on a trahi le pacte sacré entre la terre et ceux qui la cultivent. 3.Le cercle vicieux de la mort douce Voici la boucle absurde de notre époque :
 On empoisonne la terre → 
Elle produit une nourriture malade → 
On mange cette nourriture dégénérée → 
On développe des maladies chroniques → 
On consomme des médicaments chimiques → Ces mêmes industriels...

Partout Partout |

4 octobre - journée - A définir

Anti-olympiades inter-squat anti-national inter-vide - AïAï

Inscris-toi pour les Anti-olympiades Inter-squat anti-nationales intervide (aka aï aï) ! Les aï aï c’est quoi ? Les aï-aï c’est des olympiades pour les squattters. Jusque là, facile. Mais comme on est quand même anticapitalistes, on a dû rajouter anti- à olympiades pour avoir l’air sérieux. Ensuite, comme on est anti-tout, le nom s’est rallongé malgré nous et après comme tout le monde nous demande toujours « mais au fond, vous les anarchistes (remplacez par votre étiquette révolutionnaire préférée), qu’est-ce que vous proposez alors ? » On a dû rajouter des mots pour dire qu’on est aussi pour des trucs. Et « inter » c’est pas seulement dans « intermarché » mais ça veut dire « exprimant la réciprocité ou l’action mutuelle » et ça, c’est beau. C’est comme ça qu’on en est arrivées aux anti-olympiades inter-squat anti-nationales, intervide. Mais ça se décline en antifascistes intersolidaires, antipatriarcales interfeministes, anti, inter à l’infini, d’où aïaïaïaïaï, le cri des capitalistes quand on fera la révolution mais pour le moment, faut bien avouer, le notre quand on se fait expulser... Pourquoi des antiolympiades ? Parce que nous, squatters bruxelloises, avant tout, on aime le sport. En témoigne : notre souplesse à se faufiler dans des soupirails, nos sprints légendaires pour fuir les keufs, nos lancés de pavés mythiques et, preuve par excellence, CrashTest, notre fanzine anarchopunk préféré en a fait le thème de son numéro 5 (la preuve ici : https://stuut.info/Zine-CrashTest-5-SPORT-prepa-6-6656). Si ça c’est pas la plus grande preuve d’amour entre squatters et sport ? Mais encore plus que le sport, nous, squatters bruxelloises, ce qu’on aime c’est la compèt. Eh oui concours de qui grattera le chômage ou le CPAS le plus longtemps (moi le max que j’ai entendu c’est 11 ans, vous ?), épreuve de fusion entre son propre corps et le canapé de sa maison, bataille mentale sur qui craquera en premier et ira racheter du PQ, championnat du max de réutilisation de tasse à café qui traîne sans la nettoyer, la compétitivité est partout dans les squats... Les aï aï finalement, c’est la fusion de tout ça... Les aï aï c’est pour qui ? Les aïaï c’est pour les squatters de Bruxelles et d’ailleurs. Et comme il y a absolument aucune embrouille à Bruxelles autour des limites entre squat/occup’/truc éphémère d’artistes antisquat, etc. on s’est dit que y avait pas besoin de préciser plus, ce serait clair pour tout le monde. Parce que finalement, être squatters c’est surtout de l’autodéfinition et du ressenti donc si tu te sens squatter, inscris-toi (non pliz les artistobobogaucho qui chope des baux précaires sur le dos des squat c’est pas pour vous, le ressenti a des limites). L’inscription se fait par équipe, donc par squat. Les gens qui sont des squatters de l’âme et qui vivent pas en squat, faites vos équipes (spécial dédicace à nos plombiers et électriciens fav, love sur vous) Quelles sont les compétences nécessaires pour participer...

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1er septembre - 14h00 - locaux du MOC de Liège

10 octobre, journée internationale de lutte contre le sans-abrisme

Le 10 octobre 2024, les sans chez-soi et leurs représentant·es ont rappelé aux Ministres Monsieur Coppieters et Madame Neven que les sans chez-soi ne sont pas des sans-droits. Sans nouvelles, un rappel va leur être envoyé le 10 octobre 2025 ! Des revendications très concrètes ont été déposées dans les mains des ministres le 10 octobre 2024 : Loyers impayés = loyers impayables. Il faut un contrôle du prix des loyers – Il faut un investissement massif dans les logements publics. Pas de sortie d’institution, ni d’expulsion sans réelle solution de logement. Moratoire de 5 ans pour les dettes faites avant et pendant la vie en rue. Suppression du statut cohabitant pour les personnes sortant de la rue. N’ayant reçu aucune nouvelle, les sans chez-soi et leurs représentant·es comptent en prendre en retournant à Namur le 10 octobre 2025. Pour préparer cette mobilisation, une réunion est organisée le lundi 1er septembre à 14h à Liège (dans les locaux du MOC, rue Saint-Gilles, 29 – Arrêt de tram Pont d’Avroy ou Gare de Liège Carré). Un appel est lancé pour former un collectif de personnes concernées et des organisations qui les soutiennent, un peu partout en Wallonie. Profitons de l’été pour relayer cet appel au sein de nos réseaux. En 2024, les travailleurs du secteur de l’accueil s’étaient joints à la mobilisation, s’inquiétant du retard dans les versements de subsides. Les sans chez-soi et leurs collectifs espèrent que cette année le secteur soutiendra également la mobilisation de leur public en relayant et en accompagnant la mobilisation en 2025. Contact

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