À la demande de la rectrice et en collaboration avec les autorités communales de la commune de Bruxelles (Philippe Close), les occupant·es ont été vigoureusement expulsé·es.
Cette action pointe du doigt l’indifférence avec laquelle sont traitées les personnes en DPI (demande de protection internationale) ainsi que l’inaction de Nicole de Moor (secrétaire d’État à l’Asile et la Migration) pour prendre en charge les 3000 demandeur.euses d’asile encore à la rue.
En effet, plusieurs milliers de décisions de justice depuis 2 ans obligent l’Etat belge à agir pour assurer la dignité des personnes en demande d’asile. Avec cette expulsion, l’ULB se positionne comme complice d’un non-respect de l’état de droit et se détourne donc de ce qu’elle proclame comme ses « valeurs », incarnées notamment par sa campagne « ULB engagée ».
LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES
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