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[France] Georges Abdallah en grève de la faim pour soutenir des prisonniers révolutionnaires turcs

[France] Georges Abdallah en grève de la faim pour soutenir des prisonniers révolutionnaires turcs

Ailleurs | sur https://stuut.info | Collectif : Secours Rouge

En Turquie, 10 prisonniers révolutionnaires sont en grève de la faim illimitée pour dénoncer l’isolement carcéral (en particulier dans les prisons de type S, Y et R), les transferts forcés et exiger de meilleures conditions de détention (voir notre article ). Alors que l’un d’entre eux – Sercan Ahmet Arslan – entame son 200e jour de grève de la faim ce 7 mai 2025, une journée internationale d’action est organisée ce même jour pour les soutenir. Dans ce cadre, le communiste libanais et prisonnier politique Georges Abdallah fait aujourd’hui une journée de grève de la faim en solidarité avec le combat de ces révolutionnaires emprisonnés.

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26 juillet - journée - Bergerie de Roiveau

Bienvenue à la 12e édition de La Petite Foire Paysanne

Bienvenue à la 12e édition de La Petite Foire Paysanne Le Mouvement d’Action Paysanne et toutes les équipes de La Petite Foire Paysanne vous donnent rendez-vous pour cette 12e édition, à la Bergerie de Roiveau, à Tournay (Neufchâteau), les 26 et 27 juillet 2025. La Petite Foire Paysanne 2025 : ALLIANCES & RÉSILIENCES ! Porte d’entrée de cette 12e édition : ALLIANCES & RÉSILIENCES ! En décidant de cette thématique, nous ouvrons large la vitrine militante de La Petite Foire. Pour faire Alliances, Résiliences et Convergences des luttes qui replacent l’humain et l’agroécologie paysanne au cœur de l’alimentation. Liens solidaires avec la société civile. Coordination consolidée avec les organisations citoyennes. Avec celles et ceux, paysan.ne.s, artisan.e.s, agriculteur.trice.s, points de vente du circuit-court, qui produisent, transforment et distribuent, et qui, en amont et aval, les accompagnent de leurs outils et machines. Avec celles et ceux qui mangent. Avec tou.te.s celles et ceux qui luttent pour changer le modèle agricole dominant, dans leurs associations et au travers de leur créativité artistique. Unir nos forces ? Un droit et un choix d’avenir ! Nos luttes, comme nos alternatives, sont indispensables, mais séparées les unes des autres. Elles sont impuissantes face à l’agrobusiness. Nous savons que nos adversaires sont bien organisés et ont pour eux la puissance financière et les privilèges y afférents (médias dominants, puissance marketing et économique, lobbying sur les pouvoirs publics…). Il est grand temps de rendre visible leur rôle et leurs pratiques dans ce système alimentaire mortifère qui ne profitent qu’à quelques-uns. Il est grand temps de se mobiliser. De s’organiser. De faire Alliances & Résiliences ! Face au système dominant et destructeur de l’agroindustrie, en Belgique et partout dans le monde, des paysan·ne·s et des citoyen·ne·s résistent et mettent en œuvre d’autres systèmes alimentaires. Relocalisés, résilients et réparateurs du vivant. Conjuguant biodiversité et productivité agricole, de manière écologique, systémique et démocratique. Pour les déployer à large échelle, nous continuerons à livrer bataille au quotidien, à unir nos forces et à construire des alliances et résistances nouvelles, tout en soutenant celles et ceux qui expérimentent déjà d’autres pratiques, de la semence à l’assiette. Nous voulons aussi défendre des politiques publiques qui placent la réalisation du droit à l’alimentation et les droits des paysan.ne.s avant la défense des intérêts de l’agrobusiness. Nous voulons remettre une agriculture à taille humaine au cœur du système. Reprendre en main notre alimentation et notre production. Acheter et vendre en filière courte. Travailler dans des conditions dignes pour une rémunération juste. Élaborer une gouvernance démocratique de nos productions alimentaires accessibles à tout.e.s, en lien avec les chantiers de sécurité sociale alimentaire. Une...

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Santé / Soins

MANIFESTE POUR UNE TERRE SANS POISON

🌾 « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » 1. 📜 Il fut un temps… Il fut un temps pas si lointain, où nos paysans, debout à l’aube, cultivaient avec humilité, patience et savoir.
 Pas de chimie de laboratoire.
 Pas de tracteurs de guerre recyclés en engins agricoles.
Pas de graines brevetées.
 Juste : la terre, les saisons, le compost, le soleil, l’eau, et la vie. Nos ancêtres cultivaient sans engrais chimiques, sans pesticides, sans plastique, sans algorithmie. Et pourtant, ils récoltaient. 2.Quand est-ce que tout a basculé ? Années 1950–1970.
 Au lendemain de la guerre, l’industrie chimique cherche un débouché civil à ses inventions militaires.
 Le nitrate des bombes devient l’engrais azoté. 
Le gaz de combat devient pesticide. 
Les semences deviennent stériles et propriétaires. 
L’agriculteur devient dépendant. 
La terre devient malade.
 Les fruits deviennent fades.
Et nous, devenons malades à petit feu. Le pacte faustien de la grande distribution C’est aussi à cette époque que la grande distribution fait son entrée dans les campagnes.
 Elle promet aux agriculteurs des contrats juteux, des débouchés sécurisés, des volumes garantis. Mais à une condition : produire vite, produire beaucoup, produire standardisé.
 Alors l’agriculture intensive s’impose. La monoculture remplace la biodiversité. Le fermier devient fournisseur.
 Et le terroir devient une usine à rendement.
 Ce jour-là, on a trahi le pacte sacré entre la terre et ceux qui la cultivent. 3.Le cercle vicieux de la mort douce Voici la boucle absurde de notre époque :
 On empoisonne la terre → 
Elle produit une nourriture malade → 
On mange cette nourriture dégénérée → 
On développe des maladies chroniques → 
On consomme des médicaments chimiques → Ces mêmes industriels...

Partout Partout |

4 octobre - journée - A définir

Anti-olympiades inter-squat anti-national inter-vide - AïAï

Inscris-toi pour les Anti-olympiades Inter-squat anti-nationales intervide (aka aï aï) ! Les aï aï c’est quoi ? Les aï-aï c’est des olympiades pour les squattters. Jusque là, facile. Mais comme on est quand même anticapitalistes, on a dû rajouter anti- à olympiades pour avoir l’air sérieux. Ensuite, comme on est anti-tout, le nom s’est rallongé malgré nous et après comme tout le monde nous demande toujours « mais au fond, vous les anarchistes (remplacez par votre étiquette révolutionnaire préférée), qu’est-ce que vous proposez alors ? » On a dû rajouter des mots pour dire qu’on est aussi pour des trucs. Et « inter » c’est pas seulement dans « intermarché » mais ça veut dire « exprimant la réciprocité ou l’action mutuelle » et ça, c’est beau. C’est comme ça qu’on en est arrivées aux anti-olympiades inter-squat anti-nationales, intervide. Mais ça se décline en antifascistes intersolidaires, antipatriarcales interfeministes, anti, inter à l’infini, d’où aïaïaïaïaï, le cri des capitalistes quand on fera la révolution mais pour le moment, faut bien avouer, le notre quand on se fait expulser... Pourquoi des antiolympiades ? Parce que nous, squatters bruxelloises, avant tout, on aime le sport. En témoigne : notre souplesse à se faufiler dans des soupirails, nos sprints légendaires pour fuir les keufs, nos lancés de pavés mythiques et, preuve par excellence, CrashTest, notre fanzine anarchopunk préféré en a fait le thème de son numéro 5 (la preuve ici : https://stuut.info/Zine-CrashTest-5-SPORT-prepa-6-6656). Si ça c’est pas la plus grande preuve d’amour entre squatters et sport ? Mais encore plus que le sport, nous, squatters bruxelloises, ce qu’on aime c’est la compèt. Eh oui concours de qui grattera le chômage ou le CPAS le plus longtemps (moi le max que j’ai entendu c’est 11 ans, vous ?), épreuve de fusion entre son propre corps et le canapé de sa maison, bataille mentale sur qui craquera en premier et ira racheter du PQ, championnat du max de réutilisation de tasse à café qui traîne sans la nettoyer, la compétitivité est partout dans les squats... Les aï aï finalement, c’est la fusion de tout ça... Les aï aï c’est pour qui ? Les aïaï c’est pour les squatters de Bruxelles et d’ailleurs. Et comme il y a absolument aucune embrouille à Bruxelles autour des limites entre squat/occup’/truc éphémère d’artistes antisquat, etc. on s’est dit que y avait pas besoin de préciser plus, ce serait clair pour tout le monde. Parce que finalement, être squatters c’est surtout de l’autodéfinition et du ressenti donc si tu te sens squatter, inscris-toi (non pliz les artistobobogaucho qui chope des baux précaires sur le dos des squat c’est pas pour vous, le ressenti a des limites). L’inscription se fait par équipe, donc par squat. Les gens qui sont des squatters de l’âme et qui vivent pas en squat, faites vos équipes (spécial dédicace à nos plombiers et électriciens fav, love sur vous) Quelles sont les compétences nécessaires pour participer...

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