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International Solidarity of the workers against capitalist and State barbarism

International Solidarity of the workers against capitalist and State barbarism

Ce que nous proposons, c’est de nous organiser sur la base de nos intérêts de classe. Les travailleurs contre les patrons. Classe contre classe. Notre classe doit construire des relations de solidarité à la fois sur le territoire où nous vivons et au niveau international. A l’intérieur, pour mettre fin à des injustices comme celle dont a été victime Mohammed Khatib. Au niveau international, parce que la solidarité internationaliste des travailleurs est la seule qui puisse et doive arrêter la guerre à venir des impérialistes. Ceux qui soutiennent le massacre de Gaza n’auront aucun mal à faire de l’Europe entière un théâtre de mort pour leurs intérêts. Nous devons donc nous organiser pour défendre nos propres intérêts, qui n’ont rien à voir avec les aspirations de la bourgeoisie locale et des monopoles internationaux.

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Ce que nous proposons, c’est de nous organiser sur la base de nos intérêts de classe. Les travailleurs contre les patrons. Classe contre classe. Notre classe doit construire des relations de solidarité à la fois sur le territoire où nous vivons et au niveau international. A l’intérieur, pour mettre fin à des injustices comme celle dont a été victime Mohammed Khatib. Au niveau international, parce que la solidarité internationaliste des travailleurs est la seule qui puisse et doive arrêter la guerre à venir des impérialistes. Ceux qui soutiennent le massacre de Gaza n’auront aucun mal à faire de l’Europe entière un théâtre de mort pour leurs intérêts. Nous devons donc nous organiser pour défendre nos propres intérêts, qui n’ont rien à voir avec les aspirations de la bourgeoisie locale et des monopoles internationaux.

Aujourd’hui, alors que les États se préparent à la guerre, il est temps pour les travailleurs de retourner le tableau de bord. Dans une situation de terreur étatique constante, la classe ouvrière doit s’organiser pour répondre et récupérer ses vies volées.
En ce mois de mai, les voix des Anarchistes de Chicago s’élèvent au-dessus de tous les Etats capitalistes pour crier (avec les voix des travailleurs d’aujourd’hui) : ça suffit ! L’intensification du travail, la précarité permanente, la terreur patronale et la répression étatique constituent la toile de fond de la vie de millions de travailleurs de l’Occident capitaliste. La situation est encore pire pour les collègues qui vivent avec des papiers « inférieurs » aux papiers européens.

Combien de temps allons-nous tolérer des divisions du travail et de la vie fondées sur le colonialisme et l’impérialisme ? Enveloppe automatique des mots
Nous, les travailleurs, ici dans le Nord européen, devons mettre fin aux guerres coloniales menées par les Etats impérialistes occidentaux (en notre nom, mais jamais avec notre consentement) contre les pays du Sud. Nous devons y mettre fin parce que nos patrons profitent doublement de cette situation. D’une part, les gouvernements des États européens riches facilitent la rentabilité des patrons en Europe en pillant les ressources du Sud et en les distribuant sous diverses formes aux petits et grands patrons locaux. D’autre part, ils créent les vagues de migrants qui courent pour sauver leur vie et celle de leur famille (des bombes de l’Occident et de leurs régimes asservis), qui viennent ici et voient que leur travail ne vaut pas autant que les autres travailleurs qui ont le privilège d’avoir des « papiers », créant ainsi le terrain idéal (salaires plus bas pour tous) pour les profits des patrons.
Au fil du temps, les Etats occidentaux, « libéraux », forment ce que l’on appelle une économie de guerre. Des milliards sont dépensés pour les seuls armements de guerre, laissant les besoins des travailleurs à la merci de l’« économie libre ». En même temps, ils durcissent leur politique à notre égard, nous, les travailleurs immigrés (provoqués par le riche Nord européen), inventant sans cesse de nouvelles méthodes pour se séparer du prolétariat local. L’argent qui satisferait nos besoins devient de la poudre à canon et de la technologie pour la guerre à venir que les puissances impérialistes de l’Ouest et de l’Est préparent.
La répression de « l’ennemi intérieur » s’inscrit dans ce cadre. Lois spéciales contre le « terrorisme » (pratique utilisée pour instaurer la Révolution française bourgeoise), réduction des droits démocratiques, surveillance accrue dans les rues, réduction des libertés syndicales, despotisme policier et chasse aux sorcières permanente contre les supposés terroristes. Tout cela pour maintenir la façade d’une démocratie tolérante mais dure, qui ne tolérerait pas l’anarchie... sauf si elle est le fait du personnel politique ou de la bourgeoisie. La répression devient encore plus dure à mesure que les politiques des dirigeants de l’UE nous poussent vers la prochaine guerre impérialiste généralisée.
Cette répression s’exprime aujourd’hui à l’encontre des personnes qui s’opposent au massacre perpétré par le régime d’apartheid d’Israël dans la bande de Gaza, où les Palestiniens luttent sans relâche. Les États occidentaux ont donné leur feu vert à ce génocide et en sont complices. En plus de l’autorisation, ils fournissent quotidiennement (avant et après le 7 octobre) du matériel de guerre pour mener à bien ces atrocités dont nous entendons parler quotidiennement depuis 7 mois (...et 75 ans auparavant). Mais il y a toujours des Humains qui s’opposent à la bassesse et refusent de se taire face à cet outrage perpétré en livestream. Enveloppe automatique des mots
Samidoun en est un exemple. Une organisation de défense des droits des prisonniers palestiniens. Samidoun a été interdite d’activité en Allemagne, pays qui a été en première ligne pour défendre le massacre sioniste qui a été commis pendant tous ces mois. L’État allemand a également interdit la tenue d’une conférence sur la question palestinienne, avec des mesures sans précédent telles que l’interdiction même des messages enregistrés des participants ! Dans le même temps, l’Etat allemand, en pleine récession économique, a commencé à rééquiper son armée à travers un gigantesque programme de 100 milliards d’euros. Pour ne pas s’interroger sur le danger de cette démarche, l’Etat allemand choisit d’attaquer « l’ennemi intérieur » (d’autres Etats suivent maintenant), qui n’est autre que le prolétariat organisé qui s’oppose au militarisme des centres impérialistes. Nous considérons Samidoun comme une telle organisation. Remplacement automatique des mots
Le 15 avril 2024, Nicole De Moor, secrétaire belge à l’asile et à la migration, a annoncé dans une déclaration publique qu’elle demandait aux services belges de l’immigration de retirer le statut de réfugié à Mohammed Khatib. Ce mouvement ne s’arrêtera pas à Mohammed. Toute personne considérée comme contestant la domination de l’État sera inscrite sur une liste noire, avec le risque de conséquences juridiques et d’expulsion. Cette mesure sera prolongée jusqu’à ce que toutes les voix radicales soient étouffées par la répression étatique. Et si les voix des radicaux sont étouffées, il n’y aura plus personne pour défendre les droits des travailleurs (tant en Belgique qu’à l’étranger), des minorités, des personnes économiquement vulnérables ou des personnes affectées par le pillage de la nature pour les profits de quelques-uns. Malheureusement, les principaux syndicats belges ont pris le parti de l’État et sont très éloignés des besoins des travailleurs. Il n’y a donc que nous, les gens de la base, qui pouvons renverser la situation.
Ce que nous proposons, c’est de nous organiser sur la base de nos intérêts de classe. Les travailleurs contre les patrons. Classe contre classe. Notre classe doit construire des relations de solidarité à la fois sur le territoire où nous vivons et au niveau international. A l’intérieur, pour mettre fin à des injustices comme celle dont a été victime Mohammed Khatib. Au niveau international, parce que la solidarité internationaliste des travailleurs est la seule qui puisse et doive arrêter la guerre à venir des impérialistes. Ceux qui soutiennent le massacre de Gaza n’auront aucun mal à faire de l’Europe entière un théâtre de mort pour leurs intérêts. Nous devons donc nous organiser pour défendre nos propres intérêts, qui n’ont rien à voir avec les aspirations de la bourgeoisie locale et des monopoles internationaux.

Solidarité avec Mohammed Khatib. Solidarité avec la Résistance palestinienne.

Palestine libre.

Organisation de base pour la révolution sociale et la destruction des États.

Contre le cosmopolitisme du Capital, la solidarité internationaliste sincère entre les travailleurs.

Solidarité internationale entre opprimés contre les bellicistes capitalistes.

Prolétaires immigrés avec une conscience de classe

1er mai 2024


Original English

What we propose is to organise on the basis of our class interests. The workers against the bosses. Class versus class. Our class must build relations of solidarity both within the territory we live in and internationally. Within, to stop injustices like the one against Mohammed Khatib. Internationally, because the internationalist solidarity of the workers is the only one that can and must stop the coming war of imperialists. Those who support the massacre in Gaza will have no problem in making the whole of Europe a theatre of death for their interests. So we must organise ourselves to defend our own interests, which have nothing to do with the aspirations of the local bourgeoisie and the international monopolies.

Today, as the states prepare for war, it is time for the workers to turn the dashboard. In a situation of constant state terror, the working class must organize to respond and reclaim their stolen lives back.
This May the voices of the Chicago Anarchists rise above all capitalist states to cry out (with the voices of the workers today) : that’s enough ! Intensification of work, permanent precariousness, employer terror and state repression make up the backdrop of the lives of millions of workers in the capitalist West. The situation is even worse for colleagues who live on papers « lower » than European ones. How long are we going to tolerate divisions of labour and life on the basis of colonialism and imperialism ?
We, the workers, here in the European North, must put an end to the colonial wars waged by the Western imperialist States (in our name, but never with our consent) on the countries of the South. We have to put an end to it because our bosses are profiting in two ways from this situation. On the one hand, the governments of the rich European States facilitate the profitability of the bosses in Europe as they loot the resources of the South, distributing them in various forms to the small and big local bosses. On the other hand, they create the waves of migrants running to save their lives and those of their families (from the bombs of the West and their subservient regimes), who come here and see their work not worth as much as the other workers who have the privilege of having « papers », creating the ideal field (lower wages for all) for the profits of the bosses.
As time goes on, the Western, « liberal », States are forming what is called a war economy. Many billions are spent on war armaments alone, leaving the needs of the workers at the mercy of the « free economy ». At the same time they harden their policies for us, the migrant workers (caused by the rich European North), constantly inventing new methods of separation from the local proletariat. The money that would satisfy our needs becomes gunpowder and technology for the coming war that the imperialist powers of the West and East are preparing.
The suppression of the « internal enemy » is part of this framework. Special laws against « terrorism » (a practice used to establish the bourgeois French Revolution), reduction of democratic rights, increased surveillance in the streets, reduction of trade union freedoms, police despotism and a continuous witch-hunt for supposed terrorists. All this, in order to maintain the facade of a tolerant but harsh democracy which supposedly does not tolerate lawlessness... unless it is committed by the political staff or the bourgeoisie. The repression gets even harder as the policies of the EU heads push us towards the coming generalised imperialist war.
We see this repression now being expressed in people who are against the massacre committed by the apartheid regime of Israel in the ever-struggling Palestinian Gaza Strip. The Western States have given the green light to this genocide and are complicit in it. In addition to the permission, they are giving daily (before and after October 7) war equipment to carry out these atrocities that we have been reading about daily for 7 months (...and 75 years before that). But there are always Humans who stand up to the vileness and refuse to keep their mouths shut in the face of this outrage being perpetrated on livestream.
One example is Samidoun. An organization for the defence of the rights of Palestinian prisoners. Samidoun has been banned from operating in Germany, which has been at the forefront of defending the Zionist massacre that has been committed all these months. The German state has also banned the holding of a conference on the Palestinian issue, with unprecedented measures such as banning even recorded messages from the participants ! At the same time, the German state, while in economic recession, started to re-equip its army through a gigantic 100 billion euro program. In order not to question the danger of this move, the German state chooses to attack the « enemy within » (other States now follow), which is none other than the organised proletariat which is against the militarism of the imperialist centers. We consider Samidoun as such an organisation.
On 15 April 2024, Nicole De Moor, Belgium’s Secretary for Asylum and Migration, announced in a public statement that she was calling on the Belgian immigration agencies to withdraw the refugee status of Mohammed Khatib. This is a move that will not stop at Mohammed. Anyone deemed to be challenging state domination will be blacklisted, with the risk of legal consequences and deportation. This will be extended until all radical voices are drowned out by state repression. And if the voices of the radicals are drowned out, there will be no one left to defend the rights of workers (both in Belgium and internationally), minorities, the economically vulnerable or people affected by the pillaging of nature for the profits of the few. Unfortunately, the mainstream trade unions in Belgium have taken the side of the State and are far removed from the needs of the workers. So only we, the grassroots people, can reverse the situation.
What we propose is to organise on the basis of our class interests. The workers against the bosses. Class versus class. Our class must build relations of solidarity both within the territory we live in and internationally. Within, to stop injustices like the one against Mohammed Khatib. Internationally, because the internationalist solidarity of the workers is the only one that can and must stop the coming war of imperialists. Those who support the massacre in Gaza will have no problem in making the whole of Europe a theatre of death for their interests. So we must organise ourselves to defend our own interests, which have nothing to do with the aspirations of the local bourgeoisie and the international monopolies.
Solidarity with Mohammed Khatib. Solidarity with the Palestinian Resistance. Free Palestine.
Grassroots organisation for the social revolution and destruction of States.
Against the cosmopolitanism of Capital the sincere internationalist solidarity between the workers.
International solidarity between oppressed against the capitalist warmongers.

Immigrant proletarians with class consciousness
May 1 2024

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