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[Soirée de Soutien] Keep talking about CONGO

[Soirée de Soutien] Keep talking about CONGO

Bruxelles | sur https://stuut.info

🔥✊[KEEP TALKING ABOUT CONGO : Soirée de Soutien ! ]🔥✊
Vendredi 9 mai - 18H30 à l’Adésif !

Au programme :

🔴18H30 Lecture de passage du zine : "Le fond de la terre est rouge"
Après 3 mois d’existence, l’assemblée de lutte en soutien au Congo "Les Mauvaises Mines", sort un fanzine sur la guerre du sous-sol qui ravage le cœur de l’Afrique depuis plus de 30 ans.

Né d’une volonté de concrétiser les liens entre les horreurs du Congo et l’économie capitaliste globale, « Le fond de la terre est rouge » nous plonge dans la sanglante machine à extraire qui produit guerres, exploitation et destructions. Plus qu’un texte de contre-information, ce fanzine se veut être un appel à la solidarité et à la lutte aux cotés des exploité.es au Congo et ailleurs. Car le malheur du Congo nous concerne directement. Dénoncer et transformer la réalité congolaise, c’est bousculer la réalité mondiale présente !

🔴19h30 à 21h : Sérigraphie de l’Atelier clandestin à prix libre : amène ton textile !
Et bar à prix libre tenu par le front antifa🔥
Amène du Cash, toute la thune récoltée va à la lutte Stop Genocost !


Anciens évènements

Soirée de soutien : Keep talking about CONGO

 vendredi 9 mai 2025  18h30 - 23h30
 vendredi 9 mai 2025
18h30 - 23h30
 ADESIF,

 

71 rue de Liedekerke, 1210 Saint-Josse-Ten-Noode

Notes

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Écologie

[Brochure] Au carrefour de la logistique

AU CARREFOUR DE LA LOGISTIQUE. LA GÉOGRAPHIE DU TRANSPORT INDUSTRIEL Un, deux, puis dix, puis cinquante. En réponse à l’offensive génocidaire de l’armée israélienne contre la population palestinienne entassée dans ce qui est peut-être la plus grande prison à ciel ouvert au monde, des navires commerciaux et militaires essuient des tirs de missiles, de drones et d’attaques de hors-bords lancées depuis les côtés yéménites par les milices islamiques des Houthis. Saignée par une guerre civile depuis 2014, notamment grâce aux apports consistants des entreprises d’armement occidentales à l’armée saoudienne et ses alliés, le Yémen est considéré comme un des pays les plus pauvres au monde. La guerre civile, les conséquences écologiques de son exposition au réchauffement climatique et son effondrement économique et social sont à l’origine de centaines de milliers de mort, des millions de gens sont menacés de famine et de pénuries d’eau. Pourtant, c’est de là qu’est partie un offensif complètement inattendu qui a réussi à gripper le commerce mondial. Les attaques contre les navires commerciaux passant par la Mer Rouge, goulot d’étranglement notoire du transport maritime et intensément surveillée et quadrillée par les forces militaires occidentales, aurait affecté près de 90% du commerce mondial. Les armateurs ont modifié les trajectoires de leur porte-conteneurs et navires pétrolières, augmentant de façon phénoménale les coûts de transport. Les industriels européens et américains ont connu des ruptures dans leurs chaînes d’approvisionnement. Les prix du pétrole, du gaz, des matières premières et des marchandises transportées par conteneur se sont envolées avec des effets délétères sur l’inflation qui affecte presque toutes les économies du monde. Les attaques en Mer Rouge – effectuées avec des moyens relativement simples, mais très efficaces – visant le trafic sur un des principaux axes du commerce mondial, illustrent l’importance de la logistique dans les sociétés techno-industrielles. Cette importance ne se situe pas uniquement à une échelle macroéconomiques, mais se décline jusqu’à la route départementale qui assure la connexion routière entre l’entrepôt et le supermarché. Contrairement à ce que le discours creux sur la « dématérialisation » pourrait faire croire, le déploiement des nouvelles technologies et du numérique n’ont pas fait diminuer les investissements dans la logistique du transport, bien au contraire. Rien qu’en construction autoroutière, les investissements mondiaux pour construire des toutes nouvelles routes dépassent les 3400 milliards de dollars [1]. Un financement à la hauteur d’une véritable guerre contre ce qui n’est pas encore relié, désenclavé ou traversé par des routes goudronnées, quatre fois plus que les dépenses militaires annuels des Etats-Unis [2]. Montagnes percées, forêts rasées, biotopes exterminés, cours d’eau endigués – qu’il s’agisse d’autoroutes, d’infrastructures ferroviaires, d’installations portuaires, (...)

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26 juillet - journée - Bergerie de Roiveau

Bienvenue à la 12e édition de La Petite Foire Paysanne

Bienvenue à la 12e édition de La Petite Foire Paysanne Le Mouvement d’Action Paysanne et toutes les équipes de La Petite Foire Paysanne vous donnent rendez-vous pour cette 12e édition, à la Bergerie de Roiveau, à Tournay (Neufchâteau), les 26 et 27 juillet 2025. La Petite Foire Paysanne 2025 : ALLIANCES & RÉSILIENCES ! Porte d’entrée de cette 12e édition : ALLIANCES & RÉSILIENCES ! En décidant de cette thématique, nous ouvrons large la vitrine militante de La Petite Foire. Pour faire Alliances, Résiliences et Convergences des luttes qui replacent l’humain et l’agroécologie paysanne au cœur de l’alimentation. Liens solidaires avec la société civile. Coordination consolidée avec les organisations citoyennes. Avec celles et ceux, paysan.ne.s, artisan.e.s, agriculteur.trice.s, points de vente du circuit-court, qui produisent, transforment et distribuent, et qui, en amont et aval, les accompagnent de leurs outils et machines. Avec celles et ceux qui mangent. Avec tou.te.s celles et ceux qui luttent pour changer le modèle agricole dominant, dans leurs associations et au travers de leur créativité artistique. Unir nos forces ? Un droit et un choix d’avenir ! Nos luttes, comme nos alternatives, sont indispensables, mais séparées les unes des autres. Elles sont impuissantes face à l’agrobusiness. Nous savons que nos adversaires sont bien organisés et ont pour eux la puissance financière et les privilèges y afférents (médias dominants, puissance marketing et économique, lobbying sur les pouvoirs publics…). Il est grand temps de rendre visible leur rôle et leurs pratiques dans ce système alimentaire mortifère qui ne profitent qu’à quelques-uns. Il est grand temps de se mobiliser. De s’organiser. De faire Alliances & Résiliences ! Face au système dominant et destructeur de l’agroindustrie, en Belgique et partout dans le monde, des paysan·ne·s et des citoyen·ne·s résistent et mettent en œuvre d’autres systèmes alimentaires. Relocalisés, résilients et réparateurs du vivant. Conjuguant biodiversité et productivité agricole, de manière écologique, systémique et démocratique. Pour les déployer à large échelle, nous continuerons à livrer bataille au quotidien, à unir nos forces et à construire des alliances et résistances nouvelles, tout en soutenant celles et ceux qui expérimentent déjà d’autres pratiques, de la semence à l’assiette. Nous voulons aussi défendre des politiques publiques qui placent la réalisation du droit à l’alimentation et les droits des paysan.ne.s avant la défense des intérêts de l’agrobusiness. Nous voulons remettre une agriculture à taille humaine au cœur du système. Reprendre en main notre alimentation et notre production. Acheter et vendre en filière courte. Travailler dans des conditions dignes pour une rémunération juste. Élaborer une gouvernance démocratique de nos productions alimentaires accessibles à tout.e.s, en lien avec les chantiers de sécurité sociale alimentaire. Une...

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Santé / Soins

MANIFESTE POUR UNE TERRE SANS POISON

🌾 « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » 1. 📜 Il fut un temps… Il fut un temps pas si lointain, où nos paysans, debout à l’aube, cultivaient avec humilité, patience et savoir.
 Pas de chimie de laboratoire.
 Pas de tracteurs de guerre recyclés en engins agricoles.
Pas de graines brevetées.
 Juste : la terre, les saisons, le compost, le soleil, l’eau, et la vie. Nos ancêtres cultivaient sans engrais chimiques, sans pesticides, sans plastique, sans algorithmie. Et pourtant, ils récoltaient. 2.Quand est-ce que tout a basculé ? Années 1950–1970.
 Au lendemain de la guerre, l’industrie chimique cherche un débouché civil à ses inventions militaires.
 Le nitrate des bombes devient l’engrais azoté. 
Le gaz de combat devient pesticide. 
Les semences deviennent stériles et propriétaires. 
L’agriculteur devient dépendant. 
La terre devient malade.
 Les fruits deviennent fades.
Et nous, devenons malades à petit feu. Le pacte faustien de la grande distribution C’est aussi à cette époque que la grande distribution fait son entrée dans les campagnes.
 Elle promet aux agriculteurs des contrats juteux, des débouchés sécurisés, des volumes garantis. Mais à une condition : produire vite, produire beaucoup, produire standardisé.
 Alors l’agriculture intensive s’impose. La monoculture remplace la biodiversité. Le fermier devient fournisseur.
 Et le terroir devient une usine à rendement.
 Ce jour-là, on a trahi le pacte sacré entre la terre et ceux qui la cultivent. 3.Le cercle vicieux de la mort douce Voici la boucle absurde de notre époque :
 On empoisonne la terre → 
Elle produit une nourriture malade → 
On mange cette nourriture dégénérée → 
On développe des maladies chroniques → 
On consomme des médicaments chimiques → Ces mêmes industriels...

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