Suite à ces violences, aux peu de protections possibles, à l’urgence et aux impasses juridiques et administratives qui en découlent,
des personnes concernées, des citoyen.ne.s, collectifs et associations tentent, en dernier recours, de s’adresser directement aux autorités.
C’est notamment le cas d’Aïsha [1], ressortissante iranienne, que la Belgique avait violemment déportée fin septembre dernier vers la Turquie. Nous relayons ici sa demande d’être entendue par les autorités françaises.
(TW : expulsion, violences, TS)




