Du fait de ces mobilisations fréquentes et visibles, la perception de la police comme une menace potentielle ou réelle est de plus en plus répandue, au-delà des personnes qui la subissent directement.
Peut-être pouvons-nous nous inspirer des mouvements pour l’abolition de la police, en vue d’articuler des revendications de définancement, de désarmement, et de réduction de ses prérogatives, fonctions et marges de manœuvre, tout en tenant compte des priorités et de l’agenda des principales victimes de sa violence.
En ce sens, les stratégies de l’abolitionnisme pénal (qui vise l’abolition des systèmes policier, judiciaire, et carcéral) sont des propositions sur lesquelles nous pouvons déjà nous appuyer.
Nous vous invitons à un premier moment d’échange, à partir de quelques éléments historiques, pour partager des considérations et pistes concrètes à mettre au travail.
Cette rencontre à lieu dans le cadre du FAB, comme un moment de réflexion et de confrontation stratégique.
Le jeudi 17 juillet, à 19h (accueil-buvette dès 18h20), au Steki.
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