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BXL Dévie : ON SORT UN LIVRE !

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Ce livre regroupe nos articles publiés sur le mouvement de solidarité avec le peuple palestinien à Bruxelles, du 7 octobre 2023 au 01 juillet 2024. Il y est question de manifestations, d’actions, de contradictions internes au mouvement, de répression policière et d’occupations, mais aussi de politique gouvernementale belge et de résistance en Palestine.

Pourquoi acheter le livre ?

L’année 2023-2024 a été particulièrement chargée d’un point de vue politique. Tandis que nous assistions à un génocide documenté en direct sur les réseaux sociaux, le mouvement de solidarité avec la Palestine a gagné en importance dans le monde entier. À Bruxelles, il a conduit à de nombreuses actions, manifestations et occupations.

Ce livre, nous le publions pour lutter contre l’oubli dont les combats populaires sont souvent victimes. Nous le publions pour pouvoir nous rappeler de la succession des événements à Bruxelles entre le 7 octobre 2023 et le 30 juin 2024. Toute personne souhaitant se souvenir du mouvement et analyser ses avancées politiques, pourra trouver des ressources dans notre livre.

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Bruxelles Dévie est un média indépendant et collaboratif actif à Bruxelles. Nous effectuons un travail d’information sur les actualités politiques et gouvernementales en Belgique, en ciblant particulièrement les mouvements sociaux et les violences policières. Nous visibilisons les collectifs, groupes et personnalités actif·ves dans différentes luttes sociales.

L’achat de ce livre permet de soutenir le travail bénévole et non-subsidié que nous fournissons depuis plusieurs années. Dans cette optique, nous avons décidé de faire plusieurs paliers de prix pour permettre à chacun·e de soutenir à son échelle. Les paliers sont des minimums, il est toujours possible de verser plus que le montant indiqué.

Que comporte le livre ?

Le livre fait plus de 130 pages. Il comporte 30 de nos articles déjà publiés.

Nous y avons ajouter du contenu exclusif : des photos, ainsi que plusieurs éditos et chapeaux de contextualisation et d’analyse.

L’objectif était de fabriquer un bel objet, que chacun·e puisse se souvenir de ce mouvement, qui a marqué de nombreuses personnes dans leur chaire et leur esprit.

Pour précommander le livre c’est ici

Voir en ligne : BXL Dévie

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En uniforme contre la justice : quand la police manifeste pour l’un des siens

En uniforme contre la justice : quand la police manifeste pour l’un des siens Ce vendredi 13 juin, au pied du Palais de justice de Bruxelles, un spectacle surréaliste s’est déroulé sous les yeux de manifestant·es venu·es réclamer justice pour Sourour Abouda, morte dans un contexte policier. Face à elles et eux, environ 200 policiers, en uniforme pour la plupart, sont venus soutenir l’un des leurs, inculpé pour la mort de Fabian, 11 ans. Une scène qui dit beaucoup de l’impunité policière en Belgique et du deux poids, deux mesures dans la gestion des mobilisations. Un enfant tué, un agent soutenu en uniforme Fabian, 11 ans, est mort le 4 juin à Ganshoren, renversé par un véhicule de police lancé dans une course-poursuite. Le policier au volant, âgé de 26 ans, a été inculpé pour entrave méchante à la circulation ayant entraîné la mort et placé en détention provisoire à domicile avec bracelet électronique. Cette décision a été prise car l’individu aurait menti lors de l’écriture de son PV, affirmant avoir les gyrophares et sirènes allumés, éléments démentis par l’analyse du véhicule de police. Il roulait également, toujours d’après les premiers éléments de l’enquête, à une vitesse supérieure à 40km/h dans un parc. Et pourtant cette décision a déclenché l’ire des syndicats policiers, qui dénoncent un « acharnement » judiciaire et médiatique. Le ton est donné dans l’appel à mobilisation rédigé par les collègues de l’agent, issus du service Trafic de la zone Bruxelles-Ouest : « Cela aurait pu être n’importe lequel d’entre nous. (…) Allons montrer que nous ne formons qu’un, le corps de police belge. » C’est donc à 13h, qu’environ 200 agents se sont rassemblés place Poelaert, en plein centre de Bruxelles, en uniforme, en contradiction flagrante avec la circulaire ministérielle GPI 65 de 2009 qui interdit le port de l’équipement fonctionnel lors de toute manifestation. Venir en uniforme, en tant que force publique, pour protester contre une décision judiciaire, celle d’un juge d’instruction, est un acte politique lourd de sens. Une manière de dire que la police, au-delà des procédures, reste juge de ses propres actes. « C’est un réel danger pour la démocratie que des policiers contredisent ouvertement une décision de justice, en tenue », s’indigne une manifestante. Une contre-manifestation… réprimée En face de cette manifestation en soutien au policier inculpé, quelques dizaines de citoyen·nes, venu·es dénoncer cette posture d’impunité, sont encerclé·es, nassé·es par la police. Une nasse, pourtant illégale, pratiquée ici à l’encontre de militant·es pacifiques, dont la majorité étaient présents pour soutenir la famille de Sourour. « C’est une démonstration en direct de ce que nous dénonçons : l’usage arbitraire de la force, le mépris des libertés fondamentales, la répression de toute opposition », témoigne une personne présente sur place. Une tentative de brouillage de la mobilisation pour Sourour Mais ce n’est pas...

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Los Angeles contre l’ICE : Un reportage à chaud sur les affrontement du 6 juin

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