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Pédal’ emploi recrute !

Pédal’ emploi recrute !

Appel à contributions pour le prochain numéro de PD La Revue.

La crise sanitaire avait motivé notre choix de sujet pour le numéro qui sortira sur le soin communautaire, mais elle a également mis en lumière un champ considérable dans nos vies, traversé par la violence des inégalités : le travail.

Partout | sur https://stuut.info

S’il est une composante déterminante dans toutes les vies, même dans le monde hétéro, des enjeux singuliers s’y jouent pour nous autres pédés, et nous en avons des expériences différentes. Ces expériences particulières du labeur, de l’effort, de la mise en mouvement de nos corps et esprits, de l’exercice de nos pouvoirs d’agir sur le monde pour réaliser quelque chose, quoi que ce soit, il nous semblait important de les partager dans notre prochain numéro.

Bien sûr, en l’entendant, ce mot nous évoque d’abord LE Travail, celui dont on nous parle à la télé, celui pour lequel on nous presse à produire toujours plus pour une bourgeoisie qui a déjà tant, en échange de si peu, celui auquel on consent pour satisfaire nos besoins, en premier, celui de vivre.

Qu’on l’apprécie ou qu’on le haïsse dans tout ce qu’il amène à vivre, de la satisfaction aux humiliations, des amitiés au mépris, on s’y attache souvent. C’est cette relation tout en ambigüité que nous aimerions explorer avec vous.

Au salariat ou en auto-entreprenariat, en contrat ou non-déclaré, dans un secteur valorisé, méprise sinon criminalisé, comme la vente de drogue ou le travail du sexe. Comment supportons-nous la sujétion dans le mon restreint du « lieu de travail », coupé du reste de nos vies ? Racontons-nous nos évasions, la complexité de nos doubles vies, et celle de nos congés, momentanés ou définitifs, volontaires ou contraints, destructeurs ou salvateurs.

Contons-nous aussi nos résistances, nos insolentes et ambivalentes complicités, nos désirs rebelles et nos excitations de révoltes, nos espoirs d’émancipation.

Racontons aussi tout le travail que nous fournissons, mais qui n’est pas payé. Ça peut être le travail bénévole dans une asso, dans un syndicat ou dans un collectif, queer ou pas queer, ce qu’on y fait, la manière dont on fait place ou non à notre pédéitude, nos combats, ce qui nous donne envie de continuer, mais aussi ce qui nous donne aussi parfois envie d’arrêter.

Et puis, bien sûr, il y a le travail domestique. Dans nos espaces de vie, qui lave les chaussettes, lave la vaisselle et garde les enfants quand il y en a ?

Comme autre forme de travail, on n’oublie pas aussi tout le travail relationnel qu’on développe pour se trouver des ami-es, faire vivre ces liens, faire de la place à de nouvelles personnes, apprendre à gérer les conflits pour essayer de se créer des petites bulles où on se sent à l’aise. Disons-nous ce que, dans nos familles au sens classique, il a fallu mettre en place pour rendre des relations plus vivables, que ce soit par exemple le travail fait à notre apparence de pédé, le travail de la pédagogie, le travail de patience. Et puis enfin, il y a le travail de soin, envers nos aîné-es et envers les plus jeunes, avec qui on crée des liens particuliers qui peuvent être aussi épuisants que riches.

Toutes ces propositions sont des pistes auxquelles on a pensé. Mais si la thématique du travail t’inspire autre chose, ON VEUT LE LIRE/LE REGARDER ! Alors envoie-nous ta contribution d’ici le 15 août 2023 :)

Et sache qu’à PD La Revue, on aime toujours les formats différents : des récits, des dessins, de la bande dessinée, des témoignages, des analyses, des photos, des blagues, de la science-fiction, etc. Pour tout ce qui est dessiné ou en image, une seule contrainte : il faut que ça soit en noir et blanc et possiblement une couleur (que vous découvrirez dans le prochain numéro !).


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 mardi 15 août 2023  Toute la journée
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Appel à contribution : PD la revue - N°5 : Soin dessus dessous

On sait que pour nos communautés traversées par les traumas, les addictions et la psychiatrisation, la santé est un terrain de lutte essentiel. La lutte contre le Sida produit de nombreux outils politiques pour limiter les conséquences des épidémies : la santé communautaire, la démocratie sanitaire, la réduction des risques et le « rien pour nous sans nous ». Les épidémies sont politiques, elles révèlent et amplifient l’exclusion du système de santé et donc de l’accès aux soins. Les institutions médicales restent des bastions d’homophobie, de validisme, de classisme, de racisme, de putophobie et de transphobie. Nous avons besoin de nous serrer les coudes et de prendre soin, de toi, de nous, de nos communautés sans jugements sur les produits qu’on prend, les façons dont on baise, ainsi que toutes nos différentes manières d’exister… Comment rompre radicalement avec les violences médicales ? Comment batailler à notre niveau pour faire bouger tout ça de l’intérieur, depuis les marges, de façon autonome ? Nos confrontations avec la violence des systèmes de santé institutionnels sont nourries de nos fragilités, et fortes de nos aventures collectives, historiques et actuelles. Nous avons toujours besoin de poursuivre nos solidarités, nos pratiques et nos discours politiques liés au soin. Racontons nos solidarités avec nos proches dans le quotidien ou quand c’est la crise, ce qui est mis en place autour de nous pour prendre en charge nos fragilités communes, ce qui a merdé dans nos tentatives et que nous voudrions réussir à mettre en place… Comment mieux transmettre ce qu’on aurait dû apprendre de l’épidémie de VIH ? Comment faire circuler les savoirs, les pratiques acquises de nos aîné-es ? Comment faire pour que le soin collectif et individuel soit visible et fonctionnel dans nos communautés ? Et en même temps, quelle place lui donner dans nos relations intimes ? Nous voudrions aussi mettre en commun des ressources pour composer avec nos isolements et nos burn out, se partager comment on s’en sort magistralement avec nos santés mentales et nos corps en vrac, quand nos pétages de plomb chez hétéroland paraissent inévitables. Et toutes ces pistes ne sont que des propositions, si la notion de soin t’évoque complètement autre chose, nous serons ravi-es de te lire ! Nous voudrions que le prochain numéro soit un patchwork de nos récits (écrits, dessinés, photographiés, rimés, peints…) pour sécher nos larmes et aiguiser nos armes. Pour contribuer, contactez nous sur revuepd@protonmail.com et retrouvez-nous sur http://www.pdlarevue.wordpress.com Twitter : @PDRevue – Insta @pdlarevue – FB : PD la revue

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Pédal’Emploi recrute !

Appel à contribution pour PD La Revue n°6 sur le thème du travail. La crise sanitaire avait motivé notre choix de sujet pour le numéro sur le soin communautaire, mais elle a également mis en lumière un champ considérable dans nos vies, traversé par la violence des inégalités : le travail. S’il est une composante déterminante dans toutes les vies, même dans le monde hétéro, des enjeux singuliers s’y jouent pour nous autres pédés, et nous en avons des expériences différentes. Ces expériences particulières du labeur, de l’effort, de la mise en mouvement de nos corps et esprits, de l’exercice de nos pouvoirs d’agir sur le monde pour réaliser quelque chose, quoi que ce soit, il nous semblait important de les partager dans notre prochain numéro. Bien sûr, en l’entendant, ce mot nous évoque d’abord LE Travail, celui dont on nous parle à la télé, celui pour lequel on nous presse à produire toujours plus pour une bourgeoisie qui a déjà tant, en échange de si peu, celui auquel on consent pour satisfaire nos besoins, en premier, celui de vivre. Qu’on l’apprécie ou qu’on le haïsse dans tout ce qu’il amène à vivre, de la satisfaction aux humiliations, des amitiés aux mépris, on s’y attache souvent. C’est cette relation toute en ambiguïté que nous aimerions explorer avec vous. Au salariat ou en auto-entreprenariat, en contrat ou non-déclaré, dans un secteur valorisé, méprisé sinon criminalisé, comme la vente de drogue ou le travail du sexe. Comment supportons-nous la sujétion dans le monde restreint du « lieu de travail », coupé du reste de nos vies ? Racontons-nous nos évasions, la complexité de nos doubles vies, et celle de nos congés, momentanés ou définitifs, volontaires ou contraints, destructeurs ou salvateurs. Contons-nous aussi nos résistances, nos insolentes et ambivalentes complicités, nos désirs rebelles et nos excitations de révoltes, nos espoirs d’émancipation. Racontons également tout le travail que nous fournissons, mais qui n’est pas payé. Ça peut être le travail bénévole dans une asso, dans un syndicat ou dans un collectif, queer ou pas queer, ce qu’on y fait, la manière dont on fait place ou non à notre pédéitude, nos combats, ce qui nous donne envie de continuer, mais aussi ce qui nous donne aussi parfois envie d’arrêter. Et puis, bien sûr, il y a le travail domestique. Dans nos espaces de vie, qui lave les chaussettes, lave la vaisselle et garde les enfants quand il y en a ? Comme autre forme de travail, on n’oublie pas non plus tout le travail relationnel qu’on développe pour se trouver des ami-es, faire vivre ces liens, faire de la place à de nouvelles personnes, apprendre à gérer les conflits pour essayer de se créer des petites bulles où on se sent à l’aise. Disons-nous ce que, dans nos familles au sens classique, il a fallu mettre en place pour rendre des relations plus vivables, que ce soit par exemple le travail fait à notre apparence de pédé, le travail de pédagogie, le travail de patience. Enfin, il y a le...

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Après la mort de Fabian, la répression policière s’abat sur les proches

Lundi 2 juin, dans le parc Élisabeth à Bruxelles, Fabian, un enfant de 11 ans, a été tué, percuté par une voiture de police qui roulait à plus de 40 km/h, sans sirène ni gyrophare, alors que des policiers poursuivaient l’enfant dans un parc. Aucune trace de freinage n’a été retrouvée sur place. Le dimanche qui a suivi, une marche blanche en hommage à Fabian a rassemblé plus de 1000 personnes. Mais cette mobilisation solidaire s’est achevée par des violences policières. La police a dispersé les participant·es avec force : usage de flashballs, autopompes, présence de la brigade anti-banditisme (BAB). Les témoignages rapportent une répression policière brutale tout au long de la semaine. Perquisitions, intimidations, passages à tabac, pression pour faire retirer une banderole. La douleur d’une communauté et l’indignation face aux meurtres policiers se sont trouvées face à une tentative d’étouffement par la violence institutionnelle. Retour sur la semaine qui a suivi le décès de Fabian. Après la mort de Fabian, la police quadrille le lieu des faits. Alors que Fabian est encore là au sol dans le parc, 2 jeunes proches de Fabian veulent venir près de lui. Ils se font chasser : gazés et insultés. Des habitant·es, des proches, viennent se recueillir au parc, et se rapprochent du lieu la scène pour essayer de comprendre, exprimer leur colère. Beaucoup sont choqué·es. Dans une vidéo que nous avons pu consulter, on entend un agent dire : « Vous allez me chercher votre carte d’identité, madame ? » alors qu’il n’y a pas plus de 10 personnes, toutes non-violentes. Un autre policier tente alors de justifier la mort de l’enfant en déclarant : « Quand vos jeunes en trottinette tuent des petites vieilles sur les trottoirs ». Ce à quoi un habitant rétorque : « Donc, rouler sur un trottoir, ça mérite la mort ? » La police a ensuite ordonné aux personnes de circuler, alors même qu’elles se trouvaient dans la rue, un espace public où elles ont pleinement le droit de circuler ou de rester. Dans la même journée, un policier lance à un habitant « Qu’est-ce que tu t’en fous, toi, t’es maghrébin ». Ce dernier nous explique : « Il dit ça comme si on avait la haine, comme si on n’avait pas de cœur ! Je lui ai dit moi, qu’il soit juif noir blanc chinois, athée, chrétien, n’importe je m’en fous je l’aurais défendu parce qu’on est des humains avant d’avoir notre nationalité, nos cultures » La police interdit de filmer ou de parler avec les témoins directs qui ont très vite été emmené·es au poste. Plusieurs personnes présentes ce soir-là affirment que c’est à cet instant que des personnes auraient été identifiées par les forces de l’ordre pour avoir exprimé leur colère en interpellant les policiers par rapport aux meurtres policiers. Dans les jours suivants, certain·es vont faire l’objet d’interpellations ciblées. Vers 19h, une dizaine de jeunes, non-blancs pour la plupart, sont présents au parc Élisabeth. Ils sont calmes, posés sur un banc. Des...

Bruxelles Bruxelles |
Racismes / Colonialismes

[France/Calais] Résumé Juin2025

AU MOINS 3 MORTS EN JUIN Le 14/06/25, Ibrahim, un homme soudanais est décédé dans une fusillade sur le camp de Loon-Plage. Le 15/06/25, deux kurdes irakiens ont été blessés par arme à feu sur le camp de Loon-Plage. L’un des deux est décédé sur le coup, l’autre a été déclaré mort à l’hôpital quelques jours après. HARCÈLEMENT – dans les bus et les trains En marge de l’opération de com de Retailleau sur les arrestations dans les transports les 18 et 19 juin, les pratiques sont infames à Calais. Arrestations arbitraires, tri des personnes (sur la ligne 423 qui fait Calais/Gravelines, les blancs rentrent d’abord par l’avant et les « autres » ensuite), interdiction de prendre les transports sur des critères fluctuants… – lors des tentatives de passage Quotidiennement sur les plages, les bateaux sont lacérés et les personnes gazées. Dans la nuit du 10 au 11/06, un groupe d’environ 150 personnes exilées dont des enfants a été forcé de marcher jusque Calais après avoir été empêché de monter sur un bateau sur la plage des Hemmes de Marck. Le groupe épuisé a été nassé, poussé et suivi par des CRS sur plus de 10 interminables kilomètres. – en mer Le projet de Retailleau d’intervenir en mer sur une bande de 300 mètres pour empêcher les départs de small-boat n’est pas encore acté mais dans la pratique, les flics ne se gênent pas pour s’asseoir sur le droit maritime. Le 13/06 à Gravelines, un média anglais a filmé des policiers dans l’eau jusque la taille en train de gazer allègrement les candidat.es au passage. EXPULSIONS En plus des expulsions toutes les 48 h sur différents lieux de survie à Calais, l’état organise des expulsions de plus grande ampleur lors desquelles il y a de nombreuses arrestations et des départs en bus forcés. Le 12/06, une grosse expulsion a eu lieu sur le camp de Grande-Synthe. Plus de 500 personnes ont été chassées. Le 18/06, la police est arrivée en force sur le camp dit Jean Bouin aux Fontinettes à Calais et a expulsé une centaine de personnes. Le préfet et la maire de la ville ont assisté à l’expulsion. Une vingtaine de familles s’y était installée. 17 personnes ont été arrêtées et emmenées à la PAF. Elles ont toutes dû donner leurs empreintes de force et sont sorties avec une OQTF. Les autres habitant.es ont été forcé.es à monter dans les bus vers les CAES. Comme à son habitude, la mairie a annoncé qu’elle allait raser toute la végétation pour éviter une réinstallation. Le quartier des Fontinettes est devenu un enjeu électoral et la mairie comme le RN inondent les boites aux lettres du quartier de messages attisant la peur et la haine Le même jour, le camp de Loon plage a été vidé de tous.tes les habitant.es. FACHO ANGLAIS Le 04/06/25, Nick Tenconi, un des leaders du parti xénophobe UKIP (UK Independance Party) et cinq autres fachos sont venus à Calais sur différents lieux de vie pour provoquer, proférer des insultes à caractère raciste et filmer les personnes exilées. Munis...

Lille/Calais Lille/Calais |
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Parution du n°4 de la revue Takakia

chants sous-marins pour couler la mégamachine (printemps-été 2025) 106 pages – prix libre (coût de fabrication 1,75 euros) Tirage : 1000 exemplaires Pour toute commande : takakia@@@riseup.net TAKAKIA #4 (Sur notre site, tu peux trouver notre clé PGP pour crypter les communications) Les anciens numéros peuvent être télécharger sur notre site : https://takakia.noblogs.org/ Merci aux troubadours itinérants, campements dans les sous-bois, locaux, brigantes forestières, bibliothèques, oiseaux-tempête, tables de presse, écureuils des villes et des campagnes, vagabondes ambulantes, infokiosques, bardes émeutiers et louves solitaires de votre acharnement à diffuser cette revue et de rendre possible cette petite aventure éditoriale. Aux autres : il n’est jamais trop tard pour rentrer dans la danse ! SOMMAIRE DU NUMÉRO 4 : Articles et récits L’appel de la forêt. Renouer le lien, respirer la liberté « On appelle ça la zone morte ». Les ravages de l’industrialisation enKanaky Ce nouveau mal de siècle qui s’empare des cœurs et des esprits : l’éco-anxiété La conquête patriarcale et la civilisation industrielle « T’aka te préparer ». Entretien où il est question de talkie et de méditation, de préparation et de cueillette, d’autodéfense et de chants, de respiration et de brigandage, ... Polluants éternels L’extinction, c’est la solitude Sang et eau. Abuelitas piedras, las gracias te doy… L’extractivisme vert au secours de la société techno-industrielle Forasche. Enseignements de Bialowieża Rubriques Résistances Ariège. Contre les projets miniers ici et ailleurs. Bretagne. « Elle va nous avaler ». Extension de la mine de Glomel Saccages de mines (affiche) Côtes françaises. L’éolien offshore : survol d’un projet ecocidaire Isère. Nouvelle mobilisation contre les usines de puces Bure. Déclarer sa flamme. Sur la question de la lutte armée dans le mouvement antinucléaire Allemagne. Les luttes écologistes en temps de changement d’époque et de multicrise « Le monde a besoin de toi, nous avons besoin de toi ». Revendication du Commando Angry Birds Mauvaises herbes Descentes de police et alliés herbaux pour le choc Aguerrissement Apprentissages de la rue. Combat et autodéfense Contes et chants La louve Ainsi nous leur faisons la guerre. Épisode 3 : Pas de fumée sans feu Hiver glaciaire C’est là que je veux être Feuilleton Le stagiaire. Épisode 2 : Relâche tes épaules Dans la boîte aux lettres de Takakia Du courrier Annexe La Gazette. Dépêches de la résistance férale

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