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[Projection] « La (très) grande évasion »

[Projection] « La (très) grande évasion »

Les dérives du capitalisme ! Serait-il devenu incontrôlable ? Révélations successives de scandales financiers, environnementaux.. Et parmi ces scandales, l’évasion fiscale. Les multinationales, leurs dirigeants sont de plus en plus riches et échappent de plus en plus à l’impôt par des moyens... légaux ou non.

Bruxelles | sur https://stuut.info

À travers de vibrantes déclarations, les politiques voudraient nous faire croire que les mécanismes de l’évasion fiscale sont incompréhensibles et qu’elle est donc impossible à endiguer…

Que nous reste-t-il à nous citoyens pour résister ? Les bulletins de vote, on connaît les réponses ? Les revendications, les manifestations face à cette injustice fiscale ? Bien sûr mais aujourd’hui, histoire de nous redonner du courage, nous vous proposons d’en rire aussi.

Scénario de Yannick Kelgoat et Denis Robert.

LA (TRÈS) GRANDE ÉVASION - Yannick Kergoat

Voir en ligne : Festival du Cinéma d’ATTAC (lien facebook)


Anciens évènements

[Projection] « La (très) grande évasion » de Yannick Kelgoat

 jeudi 12 janvier 2023  19h00 - 21h00
 jeudi 12 janvier 2023
19h00 - 21h00
 Cinéma Aventure,

 

Galerie du Centre (accès rue des Fripiers) n°57
1000 Bruxelles

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Extrême-droite / Antifascisme

Fabian, 11 ans, fauché par la police : pour une émotion collective qui lutte contre l’oubli des autres morts

Fabian, 11 ans, fauché par la police : pour une émotion collective qui lutte contre l’oubli des autres morts Samedi 02 juin 2025, à Bruxelles. Un enfant de 11 ans, Fabian, meurt percuté par une voiture de police alors qu’il se trouve sur sa trottinette. Les circonstances exactes restent floues, mais l’événement a bouleversé une partie importante de la population. Une émotion forte s’est exprimée dans les médias, sur les réseaux sociaux, dans les familles, dans la rue. Et cette émotion est légitime. Elle est nécessaire. Un enfant meurt, et rien ne devrait jamais banaliser cela. 1. Un meurtre d’Etat à analyse à l’aulne raciale. Pourtant, à Bruxelles Panthères, à et dans tous les milieux antiracistes de terrain, nous savons qu’il ne s’agit ni d’un fait divers isolé, ni d’un simple accident de la route. C’est un meurtre d’État. Un assassinat policier inscrit dans un système de domination raciale. Dire cela n’est pas une provocation. C’est un impératif analytique. Il est impossible de comprendre la mort de Fabian sans adopter une lecture antiraciste, c’est-à-dire une lecture qui relie cette tragédie à un système plus large, celui de la suprématie blanche, et à ses manifestations concrètes dans les dispositifs policiers, judiciaires et médiatiques. C’est pourquoi l’ensemble des questions doivent être posées, y compris celle des (in)sensibilités différenciées selon la race. Car au-delà de la tristesse, du choc, de la sidération, une question politique profonde se pose. Pourquoi certaines morts suscitent-elles l’émotion collective et d’autres non ? Pourquoi la mort de Fabian devient-elle un fait de société, alors que celle d’Adil, d’Ibrahima, de Mehdi, de Lamine, …— pour ne citer qu’eux — n’a pas provoqué une indignation aussi large, aussi partagée, aussi transversale ? Soyons clairs : il ne s’agit pas d’opposer les douleurs. Il ne s’agit pas de dire que la mort de Fabian « mérite moins » de compassion. Au contraire : chaque vie compte, chaque deuil mérite d’être entendu, chaque injustice doit être dénoncée. Ce que nous proposons ici, c’est un déplacement du regard. Un appel à élargir notre boussole morale. Une invitation à interroger nos sensibilités collectives : à qui s’adresse-t-on quand on parle de victime ? À partir de quand une mort devient-elle « intolérable » ? Mais nous proposons aussi de penser Fabian comme une victime du racisme d’Etat. Les deux doivent être pensées « en même temps ». 2. La mort de Fabian, 11 ans : un meurtre d’État, un meurtre raciste — lecture antiraciste d’une tragédie structurelle 2.1. Une police structurée par la race Commençons par-là : la police belge est une structure d’État raciste, et elle ne peut être comprise autrement. Rappelons-le, le racisme n’est pas une attitude individuelle, mais, d’après la géographe abolitionniste Ruth Gilmore, la production et l’exploitation de différences groupales justifiant l’exposition différenciée à la mort. Or, que fait la police en...

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