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Queer Families Day // Rainbow Festival

Queer Families Day // Rainbow Festival

Le dimanche 31 juillet, on célèbre les familles queers !
Il y a une fête des mères, une fête des pères… mais il existe d’autres formes de familles que le duo papa-maman.

Bruxelles | sur https://stuut.info

Les familles queers, ce sont aussi des pa’, des mamous, des mapas... Ce sont des enfants LGBTQI+, des parents queers, des familles recomposées et choisies, et des familles monoparentales. Il n’y a pas de formule fixe, c’est surtout de l’amour.
Alors pour célébrer toutes ces formes de familles on vous a concocté une journée pour les petit.e.s & grand.e.s, pour s’amuser et se rencontrer !

Cette édition sera en collaboration avec la super association TransKids.

Au rendez-vous :

🎶 Une Boum en plein air, avec DJ : pour faire danser petit-e-s et grand-e-s, sautiller partout et faire les fous/folles, de 13h à 17h.

🦄 Un château gonflable : A la demande générale, elle fait son grand retour. Car un château gonflable, c’est souvent en haut de la wishlist d’un enfant. Mais un château gonflable en forme… de LICORNE, c’est le rêve des petit-e-s et des grand-e-s !

📽 Projection en continu du documentaire SOMOS : Avec Laura Krsmanovic au son et Lydie Nesvadba à la photographie, Somos est un podcast visuel qui donne la parole à 13 jeunes de l’association Transkids qui sont transgenres, non binaires ou créatifs sur le genre. Le tout est joué sur une bande sonore de Motel.

⚽ Animations & jeux pour les enfants :

  • Lecture de livres queers (horaire à venir)
  • Guirlandes façon collages féministes urbains
  • Jeu le Mushroom Gender
  • Coloriages de dessins proposés par TransKids.

🥤Boissons & snacks par la guinguette ABY.
Une chouette buvette, pour les parents qui veulent trinquer avec les copains, parce que c’est aussi leur fête, hé. L’espace vert peut aussi accueillir vos couvertures moelleuses afin de profiter d’une après-midi en plein air.

🌱 Dans un lieu qui fait rêver, l’ancienne abbaye de Forest, qui a été réhabilitée en pôle culturel - un site vieux de 1000 ans avec un grand espace vert.

***
Avec le soutien de la COCOF, la VGC, la Ville de Bruxelles et la commune de Forest.

Voir en ligne : Rainbow House


Anciens évènements

Queer Families Day // Rainbow Festival

 dimanche 31 juillet 2022  13h00 - 17h00
 dimanche 31 juillet 2022
13h00 - 17h00
 ABY,

 

place Saint Denis 1190 Région de Bruxelles-Capitale

Notes

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Santé / Soins

LA DROGUE COMME ARME DE VIOL : DES CAS À COURTRAI, INCOURT, LIMBOURG

Pendant dix ans, dans le Limbourg, une femme a été droguée à son insu par son propre mari. Aujourd’hui placé en détention préventive depuis janvier 2025, il aurait utilisé des somnifères et sédatifs pour la plonger dans un état d’inconscience et la violer à répétition. L’enquête a révélé qu’il se procurait ces substances via des ordonnances, parfois avec l’aide de complices. Des images des agressions ont été retrouvées sur un support informatique. Ce cas de viol sous soumission chimique vient s’ajouter à une liste tristement longue, révélant un système patriarcal, où des hommes s’approprient et violentent le corps des femmes, où d’autres les protègent par leur silence et leur inaction. La victime, qui se réveillait régulièrement avec des troubles de mémoire, des sensations de malaise et des douleurs, a commencé à soupçonner que quelque chose n’allait pas. Un examen toxicologique a mis en évidence des concentrations anormalement élevées de sédatifs dans son sang. Elle a alors découvert chez elle des objets sexuels qu’elle n’avait jamais vus. En février 2025, une autre affaire était médiatisée à Courtrai, en Flandre occidentale. Trois patrons de cafés sont soupçonnés de viol, d’atteinte à l’intégrité sexuelle et d’administration intentionnelle de substances nocives ayant entraîné une incapacité, sur des dizaines de femmes entre 2021 et 2024. Derrière leur comptoir, des “bouteilles spéciales” auraient contenu de la kétamine. Selon le parquet, au moins 41 femmes ont été identifiées comme victimes après avoir été droguées à leur insu, vraisemblablement à la kétamine, mélangée à leur boisson dans les établissements concernés. L’enquête est toujours en cours et pourrait révéler d’autres victimes. En mai 2025, le tribunal correctionnel de Nivelles a condamné un homme d’Incourt pour avoir, pendant plus de dix ans, placé des médicaments dans la nourriture de son épouse dans le but de l’agresser sexuellement sans qu’elle ne s’en souvienne. Dès 2011, la victime se plaignait d’épisodes de grande fatigue et d’amnésie. Malgré de nombreux examens médicaux, aucune cause n’avait été identifiée. Leurs enfants évoquaient des « épisodes zombies », décrivant leur mère comme absente, comme si elle était ailleurs certains soirs. Ces affaires mettent en lumière une forme de violence sexuelle, souvent invisible et méconnue : la soumission chimique. La soumission chimique désigne l’administration, à l’insu ou sous la contrainte d’une personne, de substances psychoactives, somnifères, anxiolytiques, sédatifs, ou autres, dans un but criminel, le plus souvent pour commettre un viol ou une agression sexuelle. Ce procédé ne laisse souvent que très peu de traces et rend les victimes confuses, parfois incapables de se souvenir de ce qu’elles ont subi. Contrairement aux idées reçues, la soumission chimique ne se limite pas à l’usage du GHB, souvent surnommé à tort « drogue du violeur ». En réalité, ce sont majoritairement des médicaments courants, (...)

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