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Tournée des lieux de luttes féministes à Bruxelles

Tournée des lieux de luttes féministes à Bruxelles

Pour les femmes et pluralités de genre, le Front FéministeS du Réseau ADES, te donne rendez-vous ce 8 mars pour un tour des lieux de luttes féministes à vélo. Cet événement a lieu en mixité choisie sans hommes cisgenres.

Bruxelles | sur https://stuut.info

🚵‍♀️ QUAND ? Le mercredi 8 mars, départ 8h45
🚵‍♀️ OÙ ? Départ, Avenue de la Joyeuse Entrée, dans l’entrée du cinquantenaire
🚵‍♀️ COMMENT ? À vélo, avec vos pancartes, paillettes et boom box !

🗣 Parce que nous voulons soutenir et rendre hommage à toutes les luttes féministeS d’ici et d’ailleurs.
🗣 Parce que nous avons plus que jamais besoin de nous réapproprier cet espace public de façon collective, de réaffirmer notre légitimité́ à la faire.
🗣 Parce que nous avons la force de lutter : nos vélos, nos voix, nos pancartes, notre solidarité et notre adelphité sont nos armes !
>> Parcours facile et accessible dans la mesure du possible : plat ou de la descente.

*** plus d’info à venir ***

Voir en ligne : Event Facebook / Reseau Ades


Anciens évènements

Tournée de lieux de luttes féministes à Bruxelles

 mercredi 8 mars 2023  08h45 - 23h59
 mercredi 8 mars 2023
08h45 - 23h59
 Entrée du Parc du cinquantenaire ,

 

Avenue de la Joyeuse Entrée, 1040 Bruxelles, Belgique

Notes

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APPEL À LA GRÈVE DES FEMMES* LEMARS 2023

Ce 8 mars 2023 le Collect.i.e.f 8 Maars appelle les femmes* à la grève partout en Belgique. Pour la cinquième année des milliers de femmes* se mobilisent dans le pays pour dire : « quand les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête ». Mobilisons-nous entre collègues, voisines, amies, militantes. Ensemble soyons solidaires, puissantes et entendues. Nous sommes actuellement dans un contexte de crise sociale, énergétique, économique, climatique et politique sans précédent. Ces crises qui affectent particulièrement les femmes, les minorités de genre, les personnes racisées, migrantes ou porteuses de handicap nous obligeant à nous unir. Nous portons un combat qui n’a pas de frontières ! Nous sommes solidaires de toutes les femmes du monde entier. LA GRÈVE DES FEMMES* C’EST QUOI ? On reprend cet outil historique de lutte dans un contexte de mobilisation des femmes internationale pour visibiliser le rôle important que joue le travail des femmes dans le fonctionnement de cette société. Nous sommes toutes des travailleuses, que ce soit des travailleuses salariées, indépendantes, informelles, non payées, domestiques, etc… POURQUOI EST-CE TOUJOURS NÉCESSAIRE DE SE MOBILISER ET FAIRE GRÈVE EN 2023 ? Pour assurer une vie digne : salaire, pension, pouvoir d’achat. En 2023 une femme gagne toujours annuellement 23% de moins (tous secteurs confondus) qu’un homme. 43% des femmes travaillent à temps partiel pour 11% des hommes. Pourtant, seule une minorité d’entre elles l’ont réellement choisi. A la retraite, en moyenne une femme gagne en moyenne 400 euros de moins qu’un homme. La réforme actuelle des pensions minimums pourrait même augmenter encore les inégalités femmes-hommes. Dans ce contexte de crise économique, les factures deviennent impayables et le coût de la vie ne cesse d’augmenter. Nous devons bloquer l’augmentation des factures, pas nos salaires. Assez de ces inégalités qui nous précarisent. Pour repenser les services publics et revaloriser des métiers dans lesquels les femmes sont surreprésentées. Trouver des solutions collectives pour permettre un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Insuffisance de places dans les crèches, travailleuses sociales à bout, hôpitaux en détresse. Assez de la destruction des services publics et dévalorisation des métiers de soin qui font peser une responsabilité collective quasi exclusivement sur les épaules des femmes* Pour la libre disposition de nos corps et l’accessibilité à des services de santé pour toutes. La loi de l’avortement reste toujours restrictive et peu accessible pour les plus précaires d’entre nous et les femmes migrantes. Avorter est un droit fondamental. En Belgique, nous attendons toujours la dépénalisation complète de l’IVG. Protections hygiéniques taxées à 21%. Faiblesse du programme de l’éducation à la sexualité et la prévention des violences sexuelles et sexistes. Climat transphobe, homophobe persistant sans structure...

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Appel à rejoindre la grève féministe ce 8 mars 2023 !

Tant que l’égalité ne sera pas atteinte, nous ne lâcherons rien ! De l’Amérique Latine, en passant par l’Espagne, la Suisse et de nombreux autres pays, l’appel international pour la grève des femmes* prend de l’ampleur depuis 2018. Alors que nous vivons une période historique de crises sociale, économique, écologique et démocratique, 1% des plus riches ont capté près de deux tiers de toutes les nouvelles richesses produites depuis 2020, 42 0000 milliards de dollars . Ces crises touchent particulièrement les femmes, la classe travailleuse avec et sans emploi, les personnes migrantes et/ou racisées et les minorités de genre. Par-delà la diversité de nos vécus, combats et actions, nous pensons important de rejoindre et renforcer cet appel à la grève et aux mobilisations pour l’égalité. Par un arrêt d’une journée ou d’une heure du travail salarié, des tâches domestiques, des études et/ou de la consommation, nous voulons montrer que « lorsque les femmes* s’arrêtent, le monde s’arrête ». 1. Stop à la précarisation des femmes* ! Pour des salaires, des conditions de travail et des pensions qui permettent de vivre dignement ! Crèches, soins et services non marchands, commerce ou nettoyage, les femmes sont surreprésentées dans des secteurs essentiels, mais pourtant très peu rémunérés. Elles sont d’autant plus exploitées si elles sont en séjour précaire, sans permis de travail. En 2023, les femmes gagnent annuellement 21,6% de moins que les hommes en Belgique, tous secteurs confondus . Elles sont surreprésentées dans des secteurs avec des salaires très bas, des contrats temporaires et des emplois à temps partiel subi. Et la situation s’empire vu que durant la période de 1980 à 2020, la part des femmes travaillant à temps partiel est passé de 20 % à 43%. Presque 4 fois plus que les hommes (11% en 2020). Pourtant, seule une minorité d’entre elles l’a réellement choisi. Augmentons le salaire minimum, limitons le temps partiel forcé. Toutes ces inégalités de salaire se répercutent sur les revenus de remplacement et s’accumulent au moment de la pension : la pension moyenne des femmes en Belgique est inférieure à 1000€/mois . Alors que la Vivaldi voulait défendre l’égalité femmes-hommes, la réforme actuelle sur la pension minimum augmentera encore les inégalités. Dans ce contexte d’inflation, les factures sont impayables. Nous devons bloquer les prix, pas nos salaires, ni nos allocations. Enfin, le montant des allocations familiales doit permettre de couvrir les dépenses liées à l’éducation des enfants. 2. Investir dans les crèches et dans des solutions collectives pour lutter contre la double journée de travail des femmes Ménages, enfants, courses, … les femmes continuent d’assumer 2/3 des tâches domestiques et familiales . C’est 100% pour les familles monoparentales. Une puéricultrice pour 9 enfants en crèche, comme c’est le cas en Flandre, c’est dangereux pour les enfants et intenable pour les travailleuses. La situation est...

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A mes pairs barbares,

A manger les enrobages de non-monogamie éthique et autres sur les sites de rencontre et dans les interactions quotidiennes avec des ami.es, enrobages, pour partie libérateurs des suaves saveurs de l’horizontalité et libération des genres mais, pour partie, et je gage plus grande, motif d’un maintien dans un état dominé des corps de femmes, la digestion impossible de mon estomac ancestral ne pouvait que déboucher sur la gerbe phrastique que j’expose ici. La voici agencée au mieux. En clair, petites observations analytiques en prose sur les (affichages de) nouvelles façons de relationner : situationship, non-monogamie, etc. A mes pairs barbares, Notre domination (entre autres) : celle-là dont nous escomptons soutirer les bénéfices affectifs et sexuels propres à garantir l’épanouissement de l’Homme Accompli Universel Mais, de bonne grâce chers barbares, Gardons-nous de lorgner en Benoit l’avant-garde self-qualifié allié des Lucien, Eugerrand, et cie. Qui par le miracle de la rencontre d’une écoute religieuse de podcasts (tout à fait excellents du reste), de lectures classiques du féminisme à la recherche furieuse de la combinatoire propre à désamorcer dans l’acte de séduction les lignes de défense féministes et ça n’est pas systématique, s’entend, merci. - Manifestent rien que l’homologie d’un état soit disant dépassé : du réchauffé de mauvais goût après transport par avion et.ou ferry Car dans l’explicitation pontificale de nouvelles façons de relationner Dans les prédicats d’éthique éthiquettés d’où tiquent les tics d’un cantique adressée par leur queues Dans la fausse mise à l’équivalence des places par l’énoncé fallacieux du même au même qui, Passé au tamis d’une ingénierie de la novlangue, Innerve par la presse et les publications bourgeoises de la droite chaussée gauchement, Là, juste à cet endroit, Loge le murmure du sauvage à qui tend l’oreille aux statistiques sérieuses et à l’hétérophénoménologie Une franche rigolade immédiatement suivie d’une déprime généralisée et, dira le masculin barbare égoïstement, la rage. Car dans la libre contractualisation des partis, antichambre du désormais lieu sacré du couple fier héritier du sacré mariage d’antan Dans cet espace-temps indéterminé d’une géographie sociale franchement bien située D’où la textualité des choses est suspendue dans la clause a-situationnelle d’interdiction aux codicilles à rendre fou tout ethnométhodologiste S’y retrouvent ni plus ni moins que les mêmes schèmes dénoncés dans ce qui semble de mauvais goût pour le civilisé masculin Coloniser et maintenir l’emprise sur les corps féminins, alors sous les essences d’espèce de distribution des rôles de genre, Désormais dans le silence abominable du grondement des pulsions sexuels tues par l’agitation d’un diplôme universitaire « feminism 101 ». Rendu à conclure - en statistiques, s’entend toujours, merci : Tout cet effort non pas dans la perspective émancipatrice,...

Partout Partout |

4 décembre - 18h30 - cinéma Vendôme

[projection] À NOTRE SANTÉ

À NOTRE SANTÉ Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz, Mari­nette Mor­mont, Soraya Soussi Face aux vio­lences médi­cales, Vic­to­riae, Sarah et Sophie s’évertuent à faire bou­ger les lignes. Actions com­mu­nau­taires, ate­liers d’autodéfense ou dénon­cia­tion des dis­cri­mi­na­tions : elles explorent d’autres manières de prendre soin et luttent en faveur d’une san­té glo­bale, res­pec­tueuse et inclu­sive pour toutes les femmes*. Dans le sillage de Pas sans elles, pre­mier film de ce groupe de réa­li­sa­trices, A notre san­té (54 minutes) pro­pose d’accueillir les récits de ces femmes qui subissent ces vio­lences de plein fouet en rai­son de leur poids, leur cou­leur de peau, leur iden­ti­té de genre ou encore des stig­mates asso­ciés aux per­sonnes sans chez-soi ou usa­gères de sub­stances psy­cho-actives. Ce film est une invi­ta­tion à nous unir dans le com­bat pour le droit à la san­té pour toutes* et à par­ti­ci­per à la quête de pra­tiques de soins alternatives. Le film est dis­po­nible en fran­çais avec sous-titres sourds et mal­en­ten­dants (SME) Avant pre­mière : Jeu­di 4 décembre 2025 à 18h30 au ciné­ma Ven­dôme — chaus­sée de Wavre 18, 1050 Bruxelles (réser­va­tion souhaitée) Entrée prix libre le film sera éga­le­ment pro­je­té au Centre Cultu­rel de Jette le 30/01/26 à 13h30 et à 19h, sui­vi d’un échange avec les pro­ta­go­nistes du film. Pour orga­ni­ser une pro­jec­tion, vous pou­vez adres­ser une demande à l’a­dresse diffusion@zintv.org Réa­li­sa­trices : Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz, Mari­nette Mor­mont, Soraya Soussi Avec la par­ti­ci­pa­tion de : Sarah Tshin­gu­ta Mus­senge, Sophie Godenne, Vic­to­riæ Pildaer Image : Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz Son : Tama­ra Pier­no, Veró­ni­ca Ortiz, Mari­nette Mor­mont, Soraya Soussi Mon­tage : Nina Alexan­dra­ki, Valen­tin Fayet Mon­tage son et Mixage : Lola Ciosek Musique : Tho­mas Michel Eta­lon­nage : Arshia Davari Une pro­duc­tion ZIN TV Avec le sou­tien du Centre du Ciné­ma et de l’Audiovisuel de la Fédé­ra­tion Wallonie-Bruxelles

Bruxelles Bruxelles | Santé / Soins |

17 décembre - 10h00 - Centre Librex

Arpentage du livre « Le conflit n’est pas une agression. Rhétorique de la souffrance, responsabilité collective et devoir de réparation » de Sarah Schulman

Des relations intimes aux politiques globales, Sarah Schulman fait le constat d’un continuum : individus comme États font souvent basculer les situations conflictuelles dans le registre de l’agression, criminalisant leurs opposants pour couper court à la contradiction et échappant ainsi à leur propre responsabilité dans les conflits. En distinguant conflit et agression, l’autrice interroge notre culture de la stigmatisation. Ce travail profond, aussi courageux qu’impertinent, montre comment la sanction et la répression prennent le pas sur l’auto-analyse à l’échelle individuelle et collective, et comment l’altérité sert de justification à la violence et à l’exclusion. Ce livre intentionnellement polémique offre un aperçu des dynamiques contemporaines et historiques qui prennent les différences intimes, raciales et géopolitiques pour des éléments déclencheurs de la course à l’injustice, à l’exclusion et à la répression. Le conflit n’est pas une agression est un virulent plaidoyer contre le phénomène culturel de l’accusation, révélant combien les personnes en situation de pouvoir exacerbent et manipulent la crainte de l’« autre » pour éviter toute remise en question. Site de l’édition : https://editions-b42.com/produit/le-conflit-nest-pas-une-agression/ Un arpentage, c’est quoi ? Il s’agit d’une lecture collective d’une œuvre. Cette technique issue des milieux ouvriers facilite l’accès à un ouvrage ; permettant de se l’approprier en développant collectivement son analyse critique. Nous alternerons entre « temps de lecture individuel » (au rythme de chacun·e) et « discussion collective » Il s’agit d’une mise au travail collectif. L’idée est de se donner un temps collectif, pour aborder une thématique en douceur et de manière conviviale. INFOS PRATIQUES * Quand ? Le mercredi 17 décembre 2025 * Où ? Au Centre Librex : 66 rue Coenraets – 1060 Bruxelles * Quelle heure ? De 10H à 17H (accueil à partir de 09h45) * Pour qui ? Tout le monde, aucun de prérequis nécessaire excepté un bon niveau de français (lire et parler) * PAF ? Gratuit * Inscriptions indispensables https://centrelibrex.be/rendez-vous/17-12-2025-arpentage-du-livre-le-conflit-nest-pas-une-agression-rhetorique-de-la-souffrance-responsabilite-collective-et-devoir-de-reparation-de-sarah-schulman/ Max 12 personnes ! => en cas d’annulation, merci de nous le faire savoir dès que possible afin de libérer votre place * Infos/Contacts Marie François, animatrice socioculturelle pour le Centre Librex mfrancois@centrelibrex.be Morgane Borensztejn, formatrice à la Ligue de Droits Humains mborensztejn@liguedh.be

Bruxelles Bruxelles | Guerre / Antimilitarisme |

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