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Tue-tête - Soirée chants de lutte

Tue-tête - Soirée chants de lutte

Bruxelles | sur https://stuut.info | Collectif : DK

« TUE-TÊTE, petit kilo de chansons belles et rebelles. Un florilège de chants populaires et subversifs, hymnes de joyeuses manifs, poésie-colère, tubes de dancefloor ou de cantères - avec leurs contextes et traductions soignées. Soit 666 pages d’histoires pour grands soirs et petits matins, à chanter soi-même et à pleins. »

A l’occasion de la sortie du livre Tue-tête (qui est en tournée pour fêter ça), réunissons-nous au DK pour découvrir le projet, arpenter ensemble ses 666 pages de chants, en apprendre quelques-uns et chanter ensemble à pleins poumons ! Ramenez vos instruments si vous en avez !

  • Soirée à prix libre !
  • Bar ouvert + petites choses à manger.
  • Il y aura des exemplaires du livre à vendre pour celleux qui voudraient repartir avec.
  • Infos : dans l’agenda du Stuut ou dans celui du site des Actrices et Acteurs des Temps Présents.
« If I can’t sing, it’s not my revolution ! » (Emma « Tue-tête » Goldman Jr.)

Anciens évènements

Tue-tête - Soirée chants de lutte

 mardi 12 juillet 2022  19h00 - 22h00
 mardi 12 juillet 2022
19h00 - 22h00
 Le DK,

 

70b rue de Danemark, 1060 Saint-Gilles

Notes

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Extrême-droite / Antifascisme

L’Arizona belge (partie 3 – l’asile) : radiographie d’une politique migratoire répressive, raciste et inhumaine

Le 31 janvier 2025, le nouveau gouvernement fédéral dévoile enfin son accord de coalition tant attendu. Dès les premières lignes du préambule, le ton est donné : Bart De Wever, fraîchement nommé Premier ministre sous la bannière de la N-VA, ne cherche pas à cacher la dureté de la politique à venir. Il avertit que le chemin ne sera pas “une promenade de santé” et que les mesures annoncées exigeront “des sacrifices de la part de tous les acteurs de notre société”. Mais au-delà de cette rhétorique de fermeté, ce texte est nauséabond tant par ses propos que par les justifications avancées. En effet, à travers les paragraphes de ce document, on perçoit une volonté claire de stigmatiser certaines catégories de la population. Les arguments invoqués par le gouvernement s’appuient notamment sur la prétendue “arrivée massive de migrants” et sur une criminalisation à peine voilée de ces personnes. Cette approche, loin d’être neutre, alimente les peurs et les divisions, tout en légitimant des mesures restrictives et discriminatoires. Le texte ne se contente pas d’annoncer des réformes : il distille, ligne après ligne, une vision anxiogène, raciste et partiale de la société, qui ne peut qu’inspirer le malaise et l’indignation. Notre collectif veut un monde sans frontières et sans murs, où chaque personne pourrait vivre et voyager où elle le souhaite. Comme on pouvait s’en douter, c’est loin de ce qui s’annonce pour les prochaines années, tant en Belgique qu’en Europe. Presque six mois après la publication de l’accord du gouvernement Arizona, nous souhaitons revenir sur les grandes lignes des éléments qui concernent “l’Asile et la Migration”. Pour garder une trace claire du moment historique que nous sommes en train de vivre, du basculement toujours plus profond vers une société alimentée par la peur et la répression. Nous aborderons quatre grandes parties : 1/ l’accueil 2/ le séjour 3/ l’asile 4/ la détention et l’expulsion PARTIE 3 – ASILE Demandes d’asile sous surveillance Les demandes d’asile sont déjà de véritables parcours de combat. Les personnes qui sont obligées de passer par ces procédures sont déshumanisées, infantilisées, inspectées et mises sous pression par l’administration belge. Déjà beaucoup trop longues, inaccessibles et injustes, ces procédures vont encore plus se durcir. Le renforcement du « devoir de coopération » oblige désormais les demandeur·euses d’asile à livrer toutes leurs données numériques (téléphones, tablettes, ordinateurs) à l’administration dès l’introduction de leur demande. C’est une intrusion grave dans la vie privée de ces personnes qui est désormais rendue légale, et qui place les personnes sous surveillance permanente. Ça fait peser une pression psychologique supplémentaire sur des personnes souvent déjà traumatisées. Le « refus de coopérer », une demande que l’administration juge tardive ou la moindre suspicion de fraude deviennent un motif potentiel de rejet de la demande d’asile....

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[Brochure] Pourquoi je suis athée

On débat pour savoir si mon manque de foi en un Dieu omniprésent et omniscient découle de mon orgueil et d’une outrecuidante vanité. Il ne m’est jamais venu à l’esprit que je pourrais être un jour impliqué dans une polémique de ce genre. À la suite de quelques discussions avec mes amis, (si mon évocation de l’amitié n’est pas ici déplacée) je me suis aperçu qu’après m’avoir connu, souvent depuis peu, certains d’entre eux se sont hâtés de conclure que mon athéisme provenait de ma sottise et qu’il constituait l’expression de ma vanité. Même dans ce cas, cela posait un grave problème. Je ne me vante pas d’être au-dessus de ces folies humaines. Je suis, après tout, un être humain et rien de plus. Et personne ne peut prétendre être plus que cela. Une de mes faiblesses réside dans mon exigence de fierté. Je suis connu pour passer pour un tyran parmi mes amis. Parfois, je suis aussi qualifié de fanfaron. Certains se sont toujours plaints de mon autoritarisme et de ma propension à forcer les autres à se soumettre à mon opinion. Ce qui, dans une certaine mesure, est vrai. Je ne nie pas cette accusation. On peut parler d’orgueil à ce sujet. En ce qui concerne les valeurs, rétrogrades, méprisables, obsolètes de notre société, je suis un sceptique extrême. Et cette question ne concerne pas ma seule personne. C’est une chose d’être fier de ses idées, de ses pensées. Mais ce ne peut être appelé une fierté désincarnée. La fierté, ou vous pouvez utiliser le mot, la vanité, relèvent toutes deux d’une évaluation exagérée de la personnalité de chacun. Mon athéisme résulte d’un orgueil inutile, ou ai-je cessé de croire en Dieu après une longue et profonde réflexion ? Je tiens à partager avec vous mon cheminement. Essayons d’abord de distinguer l’orgueil de la vanité, deux choses bien différentes. Je n’ai jamais été en mesure de comprendre comment une fierté sans fondement, vide, pourrait empêcher une personne de croire en Dieu. Je ne peux refuser de reconnaître la grandeur d’une personne véritablement admirable que si j’ai obtenu la gloire sans faire de sérieux efforts, ou que je manque des facultés mentales supérieures nécessaires pour m’élever. C’est aisé à comprendre, mais comment est-il alors possible qu’un croyant puisse se transformer en un non-croyant à cause de sa vanité ? Seules deux choses sont possibles : soit un homme estime être lui-même en possession de qualités divines, ou il va plus loin et se déclare être un dieu. Dans ces deux états, il ne peut être un athée dans l’entière acception du mot. Dans le premier cas, il ne conclut pas au rejet pur et simple de l’existence de Dieu ; dans l’autre, il affirme l’existence d’une sorte de pouvoir surnaturel responsable du fonctionnement de l’univers. Il ne nous contredit pas s’il prétend être lui-même un dieu ou considère Dieu comme une réalité au-dessus de son être propre. Le point réel, cependant, est que dans les deux cas il reste un théiste, un croyant. Il n’est pas un athée. Je veux insister...

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