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[USA] Vers une criminalisation du front POLISARIO

[USA] Vers une criminalisation du front POLISARIO

Le congressiste ultra-conservateur Joe Wilson, qui relaye régulièrement les intérêts de la monarchie marocaine, va soumettre une proposition de loi visant à criminaliser le front POLISARIO et à le désigner comme organisation terroriste.

Ailleurs | sur https://stuut.info | Collectif : Secours Rouge

« La législation arrive bientôt », a-t-il confirmé le jeudi 22 mai sur son compte officiel X. « Trump va s’en occuper », a-t-il ajouté. Le 11 avril dernier, il annonçait avoir entamé l’introduction d’une loi dans ce sens. Le 19 avril, sur X, le même Joe Wilson insistait pour que le Polisario soit classé comme « groupe terroriste étranger » par l’administration américaine. « Trump va s’en occuper », avait-t-il promis une première fois.

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Logement / Squat

MANIFESTE POUR UNE VILLE QUI NE REND PAS FOU·OLLE

🏙️🏙️ Nous sommes en train de construire des villes qui nous détruisent I. LA VILLE MODERNE, UNE MALADIE DOUCE Dans nos villes, on ne vit plus : on tient.
On avale des journées comme on avale des anxiolytiques.
On habite des murs sans voisins, on parcourt des rues sans regards.
Le jour, on travaille trop pour payer ce qu’on ne désire plus ;
le soir, on décompresse sur des écrans qui nous épuisent.
Le week-end, on consomme pour se donner l’illusion de vivre. La ville est devenue une usine à mal-être, une chaîne de production de solitude, de fatigue mentale, de stress diffus, invisible mais omniprésent. On y court après le temps, on y perd le sens.
Le bruit est constant. Les surfaces sont dures. Les regards évitent. Le vivant est rare. L’air est lourd. Le mental craque.
La ville est devenue toxique. II. UNE FABRIQUE DE SURCONSOMMATEURS TRISTES Mais ne vous inquiétez pas : on a des solutions à vendre. • Tu es épuisé·e ? Achète une boisson énergisante. • Tu es seul·e ? Va consommer dans un tiers-lieu branché. • Tu es triste ? Regarde les pubs, elles t’expliqueront ce qu’il te manque. • Tu es en burn-out ? Prends deux semaines de vacances dans une ville qui ressemble à la tienne. La ville ne guérit pas les symptômes qu’elle crée — elle les exploite. III. DES ÉLUS SANS VISION, OU COMPLICES Pendant que les gens se tuent à vivre, que fait-on ? On inaugure des ronds-points.
On installe des bancs design, mais sans ombre ni âme.
On bétonne des terres vivantes pour construire des résidences « durables » en polystyrène.
On subventionne des centres commerciaux dans des zones où les gens ne peuvent même plus respirer.
On « verdit » des projets pour mieux les vendre. Tout ça au nom d’un progrès qui n’a plus rien d’humain. IV. ET SI ON ARRÊTAIT TOUT ? Et si la ville était une impasse ? Et si le courage politique, c’était de dire stop à cette course folle ?
Et si on choisissait la santé mentale plutôt que la croissance ?
Le lien plutôt que le flux.
Le repos plutôt que la productivité.
Le vivant plutôt que le rentable. V. CE QUE NOUS DEMANDONS, MAINTENANT Nous, habitants épuisés, rêveurs urbains, travailleurs dépressifs, jeunes sans horizon, aînés oubliés, citoyens encore lucides, nous exigeons : • ⚠️ Un moratoire immédiat sur toute nouvelle zone commerciale ou projet bétonnant des sols vivants. • 📵 La suppression de toute publicité dans l’espace public. • 🚶 Des semaines sans voiture obligatoires, pour retrouver le silence, l’air, la marche. • 🧠 Des centres de santé mentale gratuits dans tous les quartiers. • 🌳 Des espaces publics libérés de l’obligation de consommer : des bancs pour ne rien faire, des lieux pour flâner, penser, rêver. • 🥕 La reconversion des parkings et friches en lieux de repos, de cultures potagères et de lien humain. • 🧱 Un urbanisme du soin, pas de la rentabilité. VI. CONCLUSION : LA VILLE DOIT SE GUÉRIR OU S’EFFACER Nous ne voulons plus vivre dans une ville qui nous...

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