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Actievoeren ? Doe mee aan een actietraining

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Bruxelles | sur https://stuut.info

💥 ACTIETRAININGEN 23/4 en 21/5 💥

✊ Wereldwijd voeren mensen actie tegen oorlog, voor klimaatrechtvaardigheid, voor het recht op wonen, tegen racisme,
 Door actie te voeren zetten we onze stem kracht bij en dwingen we veranderingen af. 🛠

👉 Wil jij ook actievoeren ? Een actietraining is de beste voorbereiding om veilig en effectief actie te voeren. We oefenen vaardigheden en delen informatie die tijdens geweldloze acties van pas kunnen komen :

‱ Waar letten we op als we acties organiseren ? Welke rollen zijn er tijdens acties ?
‱ Hoe communiceren we tijdens acties en hoe nemen we snel beslissingen ?
‱ Wat kunnen we doen om geweld te voorkomen of er op te reageren ?
‱ Hoe ga je om met politie en arrestatie ? Wat zijn jouw rechten ?

⏭ Doe mee en schrijf je in voor een actietraining met Vredesactie, op 23 april in Brussel of op 21 mei in Gent.

➡ info en inschrijvingen : www.vredesactie.be/actietrainingen


//Français//

💥 Formation Ă  l’action avec Vredesactie le 23/4 Ă  Bruxelles et le 21/5 Ă  Gand 💥
En néerlandais
Informations et inscriptions : www.vredesactie.be/actietrainingen


Anciens évÚnements

Actievoeren ? Doe mee aan een actietraining

 samedi 21 mai 2022  10h00 - 17h00
 samedi 21 mai 2022
10h00 - 17h00
 Gent,

 

➡ info en inschrijvingen : www.vredesactie.be/actietrainingen

Actievoeren ? Doe mee aan een actietraining

 samedi 23 avril 2022  10h00 - 17h00
 samedi 23 avril 2022
10h00 - 17h00
 Sint joost ten node,

 

➡ info en inschrijvingen : www.vredesactie.be/actietrainingen

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Histoire / Archives

Les cantines végétaliennes : un positionnement politique

Introduction Au moment oĂč ce texte est Ă©crit, la majoritĂ© des cantines dans les espaces de luttes anarchistes ou autonomes en fRance sont vĂ©gĂ©taliennes. C’est-Ă -dire qu’ielles ne servent pas de produits d’origines animales (viande, lait, Ɠuf, miel
). Cette situation pourrait amener Ă  croire qu’il s’agit d’une certaine forme de « victoire » ou en tout cas d’une reconnaissance des thĂ©ories et des luttes du mouvement antispĂ©ciste au sein des espaces anarchistes, autonomes ou de la « gauche radicale ». Ce n’est pourtant pas le cas. Les cantines vĂ©gĂ©taliennes sont des outils de lutte historique du mouvement antispĂ©ciste (comme le sabotage et les libĂ©rations). Elles s’inscrivent dans une stratĂ©gie de propagande par l’exemple. Ils s’agit de montrer que l’on peut avoir accĂšs Ă  une alimentation Ă©quilibrĂ©e, agrĂ©able et accessible sans utiliser de produits issus directement de l’exploitation d’animaux non-humains. Pourquoi cet outil de diffusion ne semble pas fonctionner au sein des espaces radicaux ? Une dĂ©politisation du choix de l’alimentation vĂ©gĂ©tale Cet Ă©chec est profondĂ©ment liĂ© au fait que la mise en place des cantines vĂ©gĂ©taliennes au sein des espaces radicaux s’est faite par la dĂ©politisation du contenu thĂ©orique et la disparition des idĂ©es antispĂ©cistes pourtant Ă  l’origine des cantines vĂ©gĂ©taliennes. Revenons sur quelques pratiques de dĂ©politisation courantes. Absence de communication sur le sujet De nombreux lieux ou espaces n’indiquent pas explicitement que les cantines sont vĂ©gĂ©tales dans leur communication. Parfois mĂȘme en justifiant que le dire explicitement amĂšnerait certaines personnes Ă  ne pas venir. Cette prĂ©tendue ouverture envers des personnes imaginaires permet donc de faire disparaĂźtre les positionnements et des choix politiques (ou leur absence) dans l’alimentation. De mĂȘme, il est exceptionnel de voir des flyers antispĂ©cistes sur les tables de ces cantines. Pourtant le choix de l’alimentation vĂ©gĂ©talienne, comme celui du prix libre ou encore de l’auto-gestion sont des choix politiques. Il s’agit d’essayer de crĂ©er ici et maintenant le monde futur. Le faux argument de l’inclusion Lorsqu’il s’agit de justifier le choix de l’alimentation vĂ©gĂ©tale, un argument qui ressort souvent, c’est qu’il s’agit d’un mode d’alimentation collective qui permet de respecter les contraintes alimentaires les plus courantes des personnes qui viennent se nourrir Ă  la cantine : hallal, casher, vegan
 Cet argument conduit Ă  mettre sur le mĂȘme pied l’adhĂ©sion Ă  des croyances religieuses que des positionnements s’opposant Ă  l’exploitation et au massacre continuel de milliards d’animaux. Pourtant, les arguments antispĂ©cistes ne sont pas issus de rĂšgles absurdes et contradictoires Ă©dictĂ©es par des figures d’autoritĂ©s, mais des choix basĂ©s sur des connaissances et analyses scientifiques et Ă©mancipatrices. Si l’inclusion est un faux argument, c’est bien parce que peu d’efforts, sont rĂ©ellement dĂ©ployĂ©s concernant l’inclusion...

Partout Partout |
ExtrĂȘme-droite / Antifascisme

Fabian, 11 ans, fauchĂ© par la police : pour une Ă©motion collective qui lutte contre l’oubli des autres morts

Fabian, 11 ans, fauchĂ© par la police : pour une Ă©motion collective qui lutte contre l’oubli des autres morts Samedi 02 juin 2025, Ă  Bruxelles. Un enfant de 11 ans, Fabian, meurt percutĂ© par une voiture de police alors qu’il se trouve sur sa trottinette. Les circonstances exactes restent floues, mais l’évĂ©nement a bouleversĂ© une partie importante de la population. Une Ă©motion forte s’est exprimĂ©e dans les mĂ©dias, sur les rĂ©seaux sociaux, dans les familles, dans la rue. Et cette Ă©motion est lĂ©gitime. Elle est nĂ©cessaire. Un enfant meurt, et rien ne devrait jamais banaliser cela. 1. Un meurtre d’Etat Ă  analyse Ă  l’aulne raciale. Pourtant, Ă  Bruxelles PanthĂšres, Ă  et dans tous les milieux antiracistes de terrain, nous savons qu’il ne s’agit ni d’un fait divers isolĂ©, ni d’un simple accident de la route. C’est un meurtre d’État. Un assassinat policier inscrit dans un systĂšme de domination raciale. Dire cela n’est pas une provocation. C’est un impĂ©ratif analytique. Il est impossible de comprendre la mort de Fabian sans adopter une lecture antiraciste, c’est-Ă -dire une lecture qui relie cette tragĂ©die Ă  un systĂšme plus large, celui de la suprĂ©matie blanche, et Ă  ses manifestations concrĂštes dans les dispositifs policiers, judiciaires et mĂ©diatiques. C’est pourquoi l’ensemble des questions doivent ĂȘtre posĂ©es, y compris celle des (in)sensibilitĂ©s diffĂ©renciĂ©es selon la race. Car au-delĂ  de la tristesse, du choc, de la sidĂ©ration, une question politique profonde se pose. Pourquoi certaines morts suscitent-elles l’émotion collective et d’autres non ? Pourquoi la mort de Fabian devient-elle un fait de sociĂ©tĂ©, alors que celle d’Adil, d’Ibrahima, de Mehdi, de Lamine, 
— pour ne citer qu’eux — n’a pas provoquĂ© une indignation aussi large, aussi partagĂ©e, aussi transversale ? Soyons clairs : il ne s’agit pas d’opposer les douleurs. Il ne s’agit pas de dire que la mort de Fabian « mĂ©rite moins » de compassion. Au contraire : chaque vie compte, chaque deuil mĂ©rite d’ĂȘtre entendu, chaque injustice doit ĂȘtre dĂ©noncĂ©e. Ce que nous proposons ici, c’est un dĂ©placement du regard. Un appel Ă  Ă©largir notre boussole morale. Une invitation Ă  interroger nos sensibilitĂ©s collectives : Ă  qui s’adresse-t-on quand on parle de victime ? À partir de quand une mort devient-elle « intolĂ©rable » ? Mais nous proposons aussi de penser Fabian comme une victime du racisme d’Etat. Les deux doivent ĂȘtre pensĂ©es « en mĂȘme temps ». 2. La mort de Fabian, 11 ans : un meurtre d’État, un meurtre raciste — lecture antiraciste d’une tragĂ©die structurelle 2.1. Une police structurĂ©e par la race Commençons par-là : la police belge est une structure d’État raciste, et elle ne peut ĂȘtre comprise autrement. Rappelons-le, le racisme n’est pas une attitude individuelle, mais, d’aprĂšs la gĂ©ographe abolitionniste Ruth Gilmore, la production et l’exploitation de diffĂ©rences groupales justifiant l’exposition diffĂ©renciĂ©e Ă  la mort. Or, que fait la police en...

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26 juin - 18h30 - Bosch

Soirée antinucléaire - Microfissures

Lancement de la brochure antinuclĂ©aire Microfissures et projection du documentaire La colĂšre dans le vent Jeudi 26 juin au Bosch nous vous proposons une soirĂ©e autour de la thĂ©matique du nuclĂ©aire. Ouverture des portes Ă  18h30 Prix libre 19h - PrĂ©sentation de la brochure Microfissures sur le nuclĂ©aire en Belgique La Belgique compte 2 centrales nuclĂ©aires, quelques missiles Ă©tats-uniens, projette d’enfouir des dĂ©chets radioactifs pour au moins 100.000 ans, abroge la loi de sortie du nuclĂ©aire, investit dans des projets de recherches.... On est un petit groupe antinuke de non-spĂ©cialistes qui se sont dit que ça mĂ©ritait d’en parler davantage ! Contre le nuclĂ©aire et son monde, pour comprendre l’histoire de la nuclĂ©arisation de la Belgique et son lien avec l’histoire coloniale et qui sont les acteurices actuelles PrĂ©sentation du projet d’infokiosque mobile de fanzines sur le nuclĂ©aire °*°*°* Pause soupe *°*°*°* 20h30 - Projection du documentaire « La colĂšre dans le vent » d’Amina Weira (Vrai vrai films, 2016, Niger, 54min) "Dans ma ville d’origine Arlit, au Nord du Niger, Areva exploite l’uranium depuis 1976. Aujourd’hui, une bonne partie de cette rĂ©gion, balayĂ©e par les vents de sable, est contaminĂ©e. La radioactivitĂ© ne se voit pas et la population n’est pas informĂ©e des risques qu’elle encourt. Cette exploitation a complĂštement dĂ©sorganisĂ© la vie de la population. Une partie de l’annĂ©e, de violents vents de sable enveloppent entiĂšrement la ville. Ce vent de poussiĂšre propage des substances radioactives. Chacun cherche un abri. La ville devient calme, toutes les activitĂ©s sont stoppĂ©es. Mon pĂšre, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au cƓur de ce film. Il va dĂ©poussiĂ©rer ses souvenirs, les 35 annĂ©es de son passage Ă  la mine. GrĂące Ă  mon pĂšre, je vais Ă  la rencontre d’autres anciens travailleurs qui ont certainement leur mot Ă  dire."

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