stuut.info

Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours

13 juin - journée - lE DK

Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours

Nous relayons l’appel du SKB Belgique

Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours
Le 13, 14 et 15 juin 2025, une grève de la faim se fera en solidarité avec les prisonniers politiques !

Bruxelles | sur https://stuut.info | Collectif : Secours Rouge

Nous relayons l’appel du SKB Belgique

Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours

Le 13, 14 et 15 juin 2025, une grève de la faim se fera en solidarité avec les prisonniers politiques !

L’objectif de ce mouvement de grève est de soutenir les prisonniers et prisonnières en Turquie qui observent une grève de la faim, tout en mettant en lumière les conditions inhumaines des prisons d’isolement de type « Pit ».
Ces prisons, récemment construites dans le nord du Kurdistan et en Turquie, sont conçues pour l’isolement extrême et infligent des tortures psychologiques et physiques aux prisonniers.
Alors que les prisons turques sont déjà surpeuplées, avec plus de 400 000 personnes détenues, de nouvelles prisons basées sur l’isolement sont en cours de construction.

Avec cette grève de la faim, qui s’organise dans différentes villes d’Europe, le SKB revendique : fermeture immédiate des prisons de type « fosse » (isolement extrême)
Fin de toutes les formes de détention à l’isolement
Liberté pour tous les prisonniers politiques

Début : vendredi 13 juin à 11 h
Fin : dimanche 15 juin à 15 h
Lieu : Rue de Danemark 70B, 1060 Saint-Gilles (Bruxelles)

Allez leur rendre visite et les soutenir !

Voir en ligne : Instagram du SKB

Agenda

Appel à la solidarité - Grève de la faim de 3 jours

 vendredi 13 juin 2025  Toute la journée
15 juin iCal
 vendredi 13 juin 2025
Toute la journée
15 juin iCal
 lE DK,

 

Rue de Danemark 70B, 1060 Saint-Gilles (Bruxelles)

Notes

Une question ou une remarque à faire passer au Stuut? Un complément d'information qui aurait sa place sous cet article? Clique ci-dessous!

Proposer un complément d'info

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Texte du message
  • Ce formulaire accepte les raccourcis SPIP [->url] {{gras}} {italique} <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

ARTICLES LIÉS

Racismes / Colonialismes

« Révolution Internationale » : nouveau canal d’information ! Rojava - Kurdistan - Internationalisme

Depuis des décennies le peuple Kurde se bat pour la liberté. Se basant à l’origine sur une conception classique du marxisme-léninisme, le mouvement de libération du Kurdistan s’est transformé par un processus de renouvellement théorique et pratique dans la lutte politique, notamment grâce au penseur et figure majeure du mouvement Abdullah Öcalan. En 2012, alors que le Moyen-Orient est en ébullition suite au Printemps des Peuples, le Rojava (le Kurdistan Syrien) est déclaré autonome. Malgré les conditions très dures et les attaques incessantes des États voisins, une révolution sociale basée sur la libération des femmes, l’autonomie démocratique et la co-existence inter-ethnique se développe. Des communes, formant l’unité sociale de base, sont déclarées et des unités d’auto-défense s’organisent pour défendre le territoire autonome. En 2014 le Rojava brise l’isolement international à l’occasion du siège de Kobanê : grâce à la résistance héroïque des forces de la guérilla (YPG et YPJ), Daesh est repoussé pour la première fois. Le monde entier semble découvrir qu’une utopie se développe en plein cœur de ce chaos. Depuis, il est très rare d’entendre parler dans les médias occidentaux de ce qu’il se passe au Rojava, au Kurdistan, et on en apprend encore moins sur les idées révolutionnaires qui guident la libération kurde et qui pourraient également guider bien d’autres libérations sociales. Alors même que la révolution et la résistance continuent de se développer et d’être attaqué au quotidien : assassinats réguliers par drone au Rojava, attaques des positions de la guérilla au Bashur (Irak), répression carcérale et judiciaire au Bakur (Turquie), régime de la terreur au Rojhilat (Iran)… Depuis l’Europe et la francophonie nous avons beaucoup à apprendre de ce qui se passe là bas. Plus les liens seront forts entre les peuples, plus nous pourrons tenir tête à la classe capitaliste mondiale. Pour briser l’embargo médiatique nous lançons donc « Révolution Internationale » ! Ce sera un canal destiné au partage d’actualités, d’informations et de matériel sur la révolution actuelle qui se déroule au Kurdistan, dans une perspective internationaliste. Pour rejoindre le canal : →t.me/Rev_Internationale En ce moment la situation est particulièrement critique au Rojava et dans le nord et l’est de la Syrie : l’Etat fasciste turc a lancé une nouvelle opération militaire d’envergure et depuis le jeudi 05 octobre des villages, des villes et des infrastructures essentielles sont bombardées. Des civils et membres des forces d’auto-défense sont assassinés par les forces armées turques, et on compte déjà de nombreux blessés. Le rapport de force se joue aussi niveau médiatique : la Turquie se permet ces attaques car il n’y a pratiquement aucunes réactions internationales. Brisons ce silence ! Défendons la Révolution du Rojava et les peuples en lutte au Moyen-Orient ! Pour vous informez et propager l’information : rejoignez et partagez ce canal...

Ailleurs Ailleurs |

DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Santé / Soins

UNE MUTUELLE PAR ET POUR LES PERSONNES SANS-PAPIERS

En Belgique, être une personne sans-papiers c’est vivre sans titre de séjour légal, sans accès garanti aux droits sociaux de base, dont les soins de santé. Depuis 1996, la procédure d’Aide Médicale Urgente (AMU) permet en théorie de répondre à ces besoins. Mais dans les faits, les obstacles sont nombreux : démarches lourdes, discriminations, disparités entre communes. Face à ce constat, un projet est en train d’émerger à Bruxelles : créer une mutuelle autogérée par et pour les personnes sans-papiers. L’idée a germé dans un petit groupe mixte, composé de personnes avec et sans papiers. Inspiré d’une initiative similaire, déjà active à Liège, ce projet entend répondre aux lacunes de l’AMU, tout en affirmant une vision politique de la santé comme droit fondamental. Plusieurs assemblées publiques ont permis de commencer à identifier les besoins, les freins et les potentiels. D’autres auront lieu prochainement pour s’accorder sur le modèle et procéder à sa structuration en ASBL. « On ne veut pas d’un système vertical où certains décident pour les autres. L’objectif est que les personnes concernées soient les premières actrices de la mutuelle », explique un·e des initiateur·rices. Un projet politique et collectif À travers des assemblées exploratoires et deux soirées de soutien, une dynamique se met en place. Une ASBL servira de caisse commune et d’instance formelle de décision. L’enjeu est clair : sortir de la logique d’urgence et créer une mutuelle durable, gérée par ses membres bénéficiaires, ouverte à toutes les personnes sans-papiers de Bruxelles, voire également à d’autres personnes en situation de difficulté d’accès aux soins. Pour présenter la démarche, les membres du collectif font le tour des lieux d’occupation à Bruxelles. Cet ancrage local facilite la création de liens de confiance, souvent essentiels dans les contextes de grande précarité. Ce sont aussi des lieux où la mutualisation des moyens fait sens. Le projet prévoit la mise en place de guichets pour récupérer l’argent, dans les squats, les occupations et au-delà, pour toucher aussi les personnes isolées. Des permanences administratives seraient également organisées pour accompagner les démarches liées à l’AMU, et à la création d’un compte bancaire, mais aussi, à terme, pour soutenir les demandes de régularisation, mettre en place des permanences juridiques, faire du suivi. Soigner, militer, créer du lien La mutuelle ne vise pas à remplacer l’AMU, mais à la compléter. En ciblant particulièrement les soins non couverts (santé mentale, gynécologie, paramédicale, hygiène, bien-être etc.), elle veut pallier les manques des aides officielles. Le principe : les membres versent une cotisation, les prestations de soins et autres dépenses sont ensuite remboursées sur présentation d’attestations et de prescriptions, voire directement facturées à la mutuelle par les services de santé « partenaires ». Pour fonctionner, le projet aura besoin d’un répertoire de (...)

Bruxelles Bruxelles |

27 juin - 17h30 - Bruxelles Laïque

Paradis artificiels : légitime défonce ?

Paradis artificiels : légitime défonce ? Le 27 juin 2025 À Bruxelles Laïque (Avenue de Stalingrad 18-20 - 1000 Bruxelles) Dans le cadre de la campagne Support don’t punish Au programme : une conférence sur le capitalisme et la drogue et des micro-conférences artistiques sous forme de Micro-doses. Le tout gratuit ! On vit dans un monde qui carbure. Café, sucre, antidépresseurs, anxiolytiques, weed, MDMA, écrans, proto, codéine, ayahuasca, coke du vendredi, vin du dimanche, shit de l’ennui, pilules du sommeil et rêves de défonce. Et pourtant, on ne parle jamais vraiment de drogue. On condamne ou on banalise. On médicalise ou on criminalise. Mais quand est-ce qu’on écoute ? Quand est-ce qu’on rit ? Quand est-ce qu’on met en scène ce chaos intime et collectif ? « Paradis artificiels : légitime défonce ? », c’est une conférence et une soirée scénique qui met les drogues sur le plateau. Pas pour faire le procès. Pas pour faire l’éloge. Mais pour ouvrir les vannes. 𝐏𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞 17h30 : Narco Planète : conférence avec Sarah Fautré 20h : Micro-doses : micro-conférences artistiques autour de la drogue 𝐈𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 💥 Gratuit sur inscription : https://shop.utick.net/?pos=VARIETES&module=CATALOGUE 🤝 Partenariat : Labo-chantier Variétés/Bruxelles Laïque + Support don’t punish

Bruxelles Bruxelles | Santé / Soins |
Santé / Soins

[Palestine] L’armée israélienne protége les criminels qui pillent l’aide humanitaire

L’armée israélienne a reconnu, vendredi 6 juin, avoir protégé et armé un groupe criminel palestinien pour affaiblir le Hamas dans la bande de Gaza. Ce groupe rassemble une centaine de membres d’une tribu bédouine dirigés par Yasser Abou Chabab. Le gang opère dans la région de Rafah (ville à cheval entre la bande de Gaza et l’Égypte), pille les camions d’aide humanitaire (photo) et de se livre au trafic de drogue. Yasser Abou Chabab, était précédement liée à l’État islamique. Le Hamas avait tué quatre membres de ce gang et Abou Chabab aurait été précédemment emprisonné par le Hamas pour trafic de drogue. Son frère aurait été tué par le Hamas lors d’une opération de répression contre le pillage des convois d’aide de l’ONU. Le Hamas a toujours soutenu que les collaborateurs de l’armée d’occupation et l’armée elle-même se livraient au pillage de l’aide humanitaire et la fabrication de crises humanitaires à Gaza. L’utilisation de la criminalité contre la résistance du peuple palestinien n’est pas nouvelle. Cette politique passe généralement par une inactivité systématique de la police face aux gangs tant qu’ils s’en prennent aux arabes. Les meurtres de dizaine d’arabes palestiniens, assassinés par ces gangs par ce qu’ils refusaient d’être racketés, sont classés sans suite, tandis que la mort de chaque juif israélien est traité comme une priorité nationale – bien en accord avec les principes racistes constitutifs de l’état d’Israël. En laissant prospérer le trafic de drogue et le racket, les autorités israéliennes poussent la jeunesse palestinienne vers les gangs. Cette politique permet d’éviter qu’ils ne soient influencés par les forces de la résistance, de dissoudre les solidarités dans les communautés et d’échanger des informations en échange de protections. C’est une vieille pratique policière déjà employée aux USA contre les Black Panthers et par la Turquie contre le PKK.

Ailleurs Ailleurs |

Publiez !

Comment publier sur Stuut ?

Stuut est un média ouvert à la publication.
La proposition d'article se fait à travers l’interface privée du site.
Si vous rencontrez le moindre problème ou que vous avez des questions,
n’hésitez pas à nous le faire savoir par e-mail: contact@stuut.info