Charbon, pétrole et gaz sont responsables de près de 80 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone depuis le début de la révolution industrielle.
Le secrétaire général de l’ONU a mis une nouvelle fois en garde contre la catastrophe climatique et rappelle que seule la fin des énergies fossiles au profit des renouvelables peut permettre d’eviter le pire.
Nous devons aujourd’hui impérativement coopérer à l’échelle internationale pour progressivement abandonner toute production de combustibles fossiles et trouver des solutions plus sûres et efficaces, et ce, dans trois domaines principaux : la non-prolifération, un désarmement mondial, une transition pacifique et juste.
C’est ce que propose l’association Fossil Fuel Non Proliferation Treaty, qui appelle à mettre en place un Traité de Non-Prolifération des Combustibles Fossiles qui serait complémentaire à l’Accord de Paris qui ne mentionne aucun engagement sur les énergies fossiles.
Ont déjà signé :
- 3000 scientifiques et universitaires,
- 101 prix Nobel,
- 500 parlementaires ( dont le Parlement Européen),
- 77 villes du monde entier,
- 1700 organisations de la société civile et de jeunes activistes (dont Greta Thunberg),
- l’OMS et des centaines de professionnels de la santé.
Pour le moment seulement 2 états insulaires ont signé ( Vanuatu et Tuvalu ) et nous voulons encourager les 27 à le faire aussi.
Le jeudi 23 mars de 17h45 à 19h15 lors du prochain Conseil Européen, nous organisons un rassemblement pour demander aux 27 chefs d’états présents à Bruxelles de soutenir cet appel à la création d’un Traité de Non-Prolifération des Combustibles Fossiles.
complements article
Une question ou une remarque à faire passer au Stuut? Un complément d'information qui aurait sa place sous cet article? Clique ci-dessous!
Proposer un complément d'info