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Atelier d’autodéfense numérique

Atelier d’autodéfense numérique

Libérez votre smartphone, en supprimant les services Groogle et en installant un système d’exploitation libre.

L’atelier prendra la forme d’une installation guidée, pour partager comment choisir finalement les logiciels qui tournent sur votre appareil.

Bruxelles | sur https://stuut.info | Collectif : TechnopoliceBXL

L’atelier sera animé par Tactic et Technopolice.

Pour participer, merci d’envoyer un e-mail à : tcds@constantvzw.org

L’atelier fait partie d’une série d’événements organisés par l’association Constant pour la semaine Techno-Cul-de-Sac.

Plus d’informations ici : https://technoculdesac.constantvzw.org/..

Voir en ligne : TechnoCulDeSac


Anciens évènements

Atelier d’autodéfense numérique

 jeudi 24 novembre 2022  14h00 - 18h00
 jeudi 24 novembre 2022
14h00 - 18h00
 Studio Techno-Cul,

 

Chaussee de Jette 388

Notes

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Racismes / Colonialismes

Kimpa Vita, une femme prophétique

Kimpa Vita, une femme prophétique Aujourd’hui encore, elle est considérée comme l’une des premières révolutionnaires anticoloniales d’Afrique. Après avoir lu l’histoire de Kimpa Vita, vous n’oublierez jamais son nom, son engagement envers son peuple et son courage sans faille. Kimpa Vita n’était qu’une adolescente lorsqu’elle a commencé à défier les pouvoirs qui dirigeaient son monde. Née en 1684 au royaume du Kongo, Kimpa Vita grandit dans l’ombre grandissante de la dévastation coloniale. Autrefois puissant royaume africain, le Kongo que son peuple connaissait avait été déchiré par l’invasion européenne et la traite transatlantique des esclaves. Les envahisseurs portugais avaient alimenté les guerres civiles, dressé les dirigeants contre leur propre peuple et transformé le royaume en champ de bataille. Mais Kimpa Vita voyait un avenir différent. Formée aux pratiques spirituelles traditionnelles du Kongo en tant que guérisseuse et médium, Kimpa Vita tomba un jour gravement malade ; et alors qu’elle était allongée sur son lit de mort, elle eut une vision profonde : un Kongo unifié, libre de la guerre et du contrôle étranger . Une fois remise de sa maladie, elle se proclama prophétesse et fonda le Mouvement Antonien , un puissant soulèvement religieux et politique. Kimpa Vita prêcha que le peuple du Kongo était divinement élu, que le Christ n’était pas une figure européenne mais africaine, et que le royaume devait se libérer de la domination européenne et reconquérir sa souveraineté pour préserver son avenir et la sécurité de son peuple. Par ses enseignements, Kimpa Vita a réinterprété le christianisme d’un point de vue africain, rejetant la version de la foi des missionnaires européens qui justifiait l’esclavage et la domination européenne. Son message se répandit comme une traînée de poudre. En quelques années, des milliers de personnes, dont des soldats et des dirigeants exilés, suivirent son appel. Elle ramena ses fidèles à leur capitale abandonnée, São Salvador, et entreprit de reconstruire ce que les Portugais avaient détruit. Mais sa résistance eut un prix. Qualifiée d’hérétique et de rebelle par les autorités catholiques européennes, elle fut capturée par l’élite dirigeante du Kongo, alliée aux Portugais, et brûlée vive en 1706. Elle n’avait que 22 ans. Son exécution était censée éteindre son mouvement, mais son héritage a perduré. Plus de trois siècles plus tard, le combat qu’elle incarnait se poursuit. Aujourd’hui, les femmes congolaises mènent des mouvements pour la justice, l’autodétermination et la libération des forces modernes de l’impérialisme – les entreprises, les puissances étrangères et les élites locales qui exploitent encore les richesses apparemment inépuisables du Congo. Kimpa Vita est une prophétesse africaine, figure de la résistance à la colonisation portugaise dans l’actuel Angola au 18e siècle. Kimpa Vita serait née vers 1684 dans une famille noble...

Partout Partout |
Médias

Parution du n°4 de la revue Takakia

chants sous-marins pour couler la mégamachine (printemps-été 2025) 106 pages – prix libre (coût de fabrication 1,75 euros) Tirage : 1000 exemplaires Pour toute commande : takakia@@@riseup.net TAKAKIA #4 (Sur notre site, tu peux trouver notre clé PGP pour crypter les communications) Les anciens numéros peuvent être télécharger sur notre site : https://takakia.noblogs.org/ Merci aux troubadours itinérants, campements dans les sous-bois, locaux, brigantes forestières, bibliothèques, oiseaux-tempête, tables de presse, écureuils des villes et des campagnes, vagabondes ambulantes, infokiosques, bardes émeutiers et louves solitaires de votre acharnement à diffuser cette revue et de rendre possible cette petite aventure éditoriale. Aux autres : il n’est jamais trop tard pour rentrer dans la danse ! SOMMAIRE DU NUMÉRO 4 : Articles et récits L’appel de la forêt. Renouer le lien, respirer la liberté « On appelle ça la zone morte ». Les ravages de l’industrialisation enKanaky Ce nouveau mal de siècle qui s’empare des cœurs et des esprits : l’éco-anxiété La conquête patriarcale et la civilisation industrielle « T’aka te préparer ». Entretien où il est question de talkie et de méditation, de préparation et de cueillette, d’autodéfense et de chants, de respiration et de brigandage, ... Polluants éternels L’extinction, c’est la solitude Sang et eau. Abuelitas piedras, las gracias te doy… L’extractivisme vert au secours de la société techno-industrielle Forasche. Enseignements de Bialowieża Rubriques Résistances Ariège. Contre les projets miniers ici et ailleurs. Bretagne. « Elle va nous avaler ». Extension de la mine de Glomel Saccages de mines (affiche) Côtes françaises. L’éolien offshore : survol d’un projet ecocidaire Isère. Nouvelle mobilisation contre les usines de puces Bure. Déclarer sa flamme. Sur la question de la lutte armée dans le mouvement antinucléaire Allemagne. Les luttes écologistes en temps de changement d’époque et de multicrise « Le monde a besoin de toi, nous avons besoin de toi ». Revendication du Commando Angry Birds Mauvaises herbes Descentes de police et alliés herbaux pour le choc Aguerrissement Apprentissages de la rue. Combat et autodéfense Contes et chants La louve Ainsi nous leur faisons la guerre. Épisode 3 : Pas de fumée sans feu Hiver glaciaire C’est là que je veux être Feuilleton Le stagiaire. Épisode 2 : Relâche tes épaules Dans la boîte aux lettres de Takakia Du courrier Annexe La Gazette. Dépêches de la résistance férale

Partout Partout |
Extrême-droite / Antifascisme

Festival Résistance, des centaines de personnes pour célébrer la résistance du peuple Palestiniens’ensuit une polémique d’extrême droite

Du vendredi 6 juin au dimanche 8 juin, s’est déroulé le Resistance Festival à Saint-Gilles, à Bruxelles. De nombreuses personnes étaient au rendez-vous et l’événement fut « un succès« , selon les organisateur·ices. Cette édition, portée par une coalition d’une vingtaine de collectifs, associations et ASBL, fait désormais l’objet d’attaques diffamantes et calomnieuses, menées par certains acteurs de la droite et l’extrême droite belge ainsi que des milieux pro-israéliens, et malheureusement, relayées par une partie de la gauche. Suite à la polémique d’extrême droite, le bourgmestre de St-Gilles, Jean Spinette (PS) a annoncé sa volonté d’interdire l’évènement l’année prochaine. Le parquet a quant à lui annoncé ne pas avoir ouvert d’enquête pour le moment. 3 jours de partage et d’apprentissage collectif autour des luttes de libération populaires Organisé pour la 3e année consécutive, le Festival Resistance – tout en ayant un focus sur la Palestine – propose de célébrer les luttes de libération populaire de par le monde, de les honorer ainsi que d’apprendre collectivement à leur sujet. Le festival comprenait des activités très diverses : des discussions politiques, ateliers, tournoi sportif, diffusion de films, village militant, représentations musicales, théâtrales ou encore poétiques, interventions politiques, etc. La soirée du 6 juin marquait l’ouverture du festival, avec deux projections. Premièrement, le court-métrage Behind the Lines, réalisé par Fanny Arnulf et Youssef Haider, un documentaire qui explore les pratiques artistiques et de résistance au travers du parcours de 14 artistes vivant dans des camps de réfugié·es palestinien·nes au Liban ainsi que dans des favélas au Brésil. Ensuite, le film The Dupes, l’adaptation cinématographique de la nouvelle Men in the Sun de l’intellectuel et résistant palestinien Ghassan Kanafani. Les projections au Pianofabriek, ont été suivies d’une discussion avec un panel constitué de Fanny Arnulf et Yousseh Haider, ainsi que de Reem Shilleh et Hazem Jamjoum. Palestinienne, Reem Shilleh est chercheuse, réalisatrice et commissaire d’exposition ; elle vit entre Bruxelles et Ramallah. Hazem Jamjoum est quant à lui chercheur et auteur, traducteur de Ghassan Kanafani. « La journée du samedi 7 juin était organisée sur la place de Bethléem, à Saint-Gilles. De 15 à 22h, après le tournoi de foot matinal et malgré une météo instable, la foule était au rendez-vous, famille du quartier, collectifs, étudiant·es se sont réuni·es pour s’informer auprès du village militant et partager un moment festif et conscient autour des représentations artistiques qui se sont succédées au cours de l’après-midi » ont expliqué les organisateur·ices dans un communiqué. L’après-midi et la soirée ont été l’espace de diverses interventions politiques (OSVP, collectif Justice pour Imad, Samidoun, etc.), ainsi que d’autres interventions artistiques et poétiques (Asma Soulista, Ryaam, Raj’een, Hussein Abu Shammala, DJ (...)

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