🏴ââ ïž InĂ©dit pour la compile Rap Against The Bassines, disponible Ă prix libre en soutien Ă Bassines Non Merci sur le bandcamp de Skalpel et en physique dans les luttes.
💧shaihulud💧ruines du vieux monde💧 (lien youtube)
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Le ravage Ă©cologique est en cours. La croissance « verte », le solutionnisme technologique ou la transition douce par lâĂtat sont des mythes rĂ©confortants dont il faut maintenant faire le deuil. Deux possibilitĂ©s se prĂ©sentent alors Ă nous : lâeffondrement des Ă©cosystĂšmes ou celui du systĂšme capitaliste. Dans le premier cas, les conditions nĂ©cessaire Ă la vie sur Terre se trouvent extrĂȘmement rĂ©duites. Dans le deuxiĂšme cas, câest-Ă -dire si le systĂšme capitaliste sâeffondre, les Ă©cosystĂšmes reprennent vie, les communautĂ©s humaines et non-humaines peuvent sâĂ©panouir. Face au ravage Ă©cologique nous devons dĂ©manteler le capitalisme et les infrastructures sur lequel il repose. Le mouvement Ă©cologiste actuel Le mouvement Ă©colo emploi une stratĂ©gie dĂ©fensive, consistant essentiellement Ă limiter la casse. Cela se traduit par des manifestations/actions non-violente visant une lĂ©gislation plus respectueuse des milieux naturel, par des occupations de lieux dâimplantations de grands projets inutiles et destructeurs, ou, dans une logique libĂ©rale, par la sensibilisation des individus afin quâils opĂšrent des changements personnels dans leurs modes de vie. Ces stratĂ©gies posent plusieurs problĂšmes. La modification lĂ©gislative Ă pour lâinstant prouvĂ© son inefficacitĂ©, les politiques feront tout pour conserver leurs intĂ©rĂȘts et ceux des capitalistes (rĂ©-introduction des nĂ©onicotinoĂŻdes, une seule proposition gardĂ©e parmi les 146 de la Convention citoyenne pour le climatâŠ). La dĂ©sobĂ©issance civile peut ĂȘtre un mode dâaction excluant pour les personnes ne pouvant se permettre de se livrer Ă visage dĂ©couvert Ă la rĂ©pression de lâĂtat. De plus en lâabsence de flanc radical (partie offensive du mouvement) les actions de dĂ©sobĂ©issance ne peuvent crĂ©er un rapport de force suffisant au changement. Par rapport aux occupations (par exemple les ZAD), elles nĂ©cessitent que nous soyons toujours plus nombreux·ses pour maintenir un rapport de force, faute de moyens face Ă lâĂtat et les multinationales. Nous mobilisons donc toutes nos forces sur quelques luttes localisĂ©es et pendant ce temps la destruction continue partout ailleurs sans que les infrastructures du ravage en cours ne soient touchĂ©es. De plus, la perte de mobilitĂ© engendrĂ©e par les occupations nous rend facilement localisable, nous perdons lâinitiative et lâavantage de la surprise dont notre ennemi obtient le monopole. Aussi, cette stratĂ©gie demande du temps, Ă©normĂ©ment de temps, et ce temps nous ne lâavons plus. Nous devons lutter contre le rĂ©flexe rituel qui nous amĂšne Ă choisir automatiquement cette tactique et requestionner sa pertinence dans chaque contexte de lutte. Victoire ? Au final, nos victoires, ou du moins absences de dĂ©faite, se rĂ©sument Ă Ă©viter une Ă©niĂšme destruction mais en aucun cas les piliers du systĂšme ne sont affectĂ©s. Nous devons nous rĂ©approprier ce que le systĂšme capitaliste Ă dĂ©jĂ conquis et dĂ©truit et le rendre inapte Ă dĂ©truire quoi que ce soit de plus....
Un procĂšs sâest tenu le jeudi5 janvier Ă La Rochelle. Deux hommes comparaissaient pour des dĂ©gradations commises sur la rĂ©serve de Cram-Chaban (Charente-Maritime) le 6 novembre 2021. Le procureur de la RĂ©publique a requis Ă leur encontre des peines de cinq et six mois de prison avec sursis. Le jugement a Ă©tĂ© mis en dĂ©libĂ©rĂ© au 2 mars Un autre procĂšs sâest tenu vendredi, cette fois Ă Niort. Cinq hommes Ă©taient mis en cause pour leur participation Ă la manifestation survenue le 22 septembre 2021 Ă MauzĂ©-sur-le-Mignon (Deux-SĂšvres). Ce jour-lĂ , en plein congrĂšs de la FNSEA Ă Niort, le chantier de cette mĂ©ga rĂ©serve dâeau pour lâirrigation, alors en construction, avait Ă©tĂ© envahi par des manifestants. Une bĂąche de protection et une pelleteuse avaient Ă©tĂ© endommagĂ©es (voir notre article). La salle du tribunal judiciaire de Niort Ă©tait trop petite pour accueillir les quelque deux cents personnes du comitĂ© de soutien. La plupart dâentre elles, encadrĂ©es par un imposant dispositif de forces de lâordre, sont restĂ©es devant le bĂątiment. Les peines prononcĂ©es sont : Des peines de 2 mois de sursis simple Ă 6 mois avec sursis probatoire. Des interdictions diverses de territoire. Deux amendes pour refus de prise de signalĂ©tique ou dâADN. Une relaxe. En novembre dernier, quatre autre manifestants avaient Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă deux et trois mois de prison pour des dĂ©gradations (voir notre article). Le 25 mars, une nouvelle manifestation dâampleur est annoncĂ©e par les anti-bassines qui promettent une mobilisation inĂ©dite.
Le quotidien libĂ©ral belge Lâecho titrait un article dans son Ă©dition du week-end du 12 novembre 2022 « Le mouvement climatique belge menacĂ© dâinfiltration extrĂ©miste ». Lâarticle commence par sâinquiĂ©ter de la tournure quâa prise la mobilisation contre contre lâagro-industrie en France et les affrontements qui y ont lieu entre manifestant.e.s et la police. Dans les Deux-SĂšvres, plus de 50 collectifs, syndicats et associations se mobilisent depuis quelques mois contre un projet de mĂ©ga-bassines4. Lâauteur reconnaĂźt dâemblĂ©e que la situation belge est bien diffĂ©rente, avant dâĂ©tablir un grand nombre de comparaisons. « [Les journalistes] ont constaté » « une radicalisation dâune frange du mouvement climat » par le biais dâune « tentative dâentrisme », encore « marginale » de militant.e.s issu.e.s de lâextrĂȘme gauche rĂ©volutionnaire au sein du mouvement climat. » 1. La maniĂšre de prĂ©senter les militants rĂ©volutionnaires comme extĂ©rieurs au mouvement social est une stratĂ©gie policiĂšre classique : il sâagit dâune dĂ©lĂ©gitimation des propositions radicales en prĂ©sentant les rĂ©volutionnaires comme des rĂ©cupĂ©rateurs.trices extĂ©rieurs.es. Cette prĂ©sentation du mouvement Ă©cologiste comme Ă©tant un mouvement modĂ©rĂ© et qui se radicalise par lâinfiltration dâĂ©lĂ©ments extrĂ©mistes exogĂšnes ne rĂ©siste pas Ă un examen de lâhistoire de la mouvance. Celle-ci a toujours Ă©tĂ© marquĂ©e par une hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© et a, depuis ses dĂ©buts, eu un pĂŽle radical. On peut penser Ă lâauteur amĂ©ricain Murray Boockchin et ses thĂ©ories sur lâĂ©cologie sociale dĂšs les annĂ©es 60 qui ont inspirĂ© la rĂ©volution au Rojava (2012, Nord-Est de la Syrie). La deuxiĂšme attaque sur le mouvement semble tout droit sortie dâun manuel de gestion des mouvements sociaux : « RĂ©sultat : le mouvement climat se retrouve polarisĂ©, [âŠ] est poussĂ© dans le dos par les radicaux. Il ne veut pas entrer dans une logique de confrontation interne, donc il rĂ©agit, au mieux, par un silence gĂȘnĂ©, au pire par un argumentaire disant que les actions militantes sont complĂ©mentaire » poursuit François Gemenne2. Il sâagit ici dâopposer les bons militant.e.s modĂ©rĂ©.e.s et raisonnables aux mauvais militant.e.s radicaux. Lâarticle se pose, en conclusion, en conseiller politique du mouvement « La radicalisation risque de couper le mouvement climat dâune grande partie de la sociĂ©tĂ©. Elle va faire peur aux gens les plus hĂ©sitants, les plus rĂ©formistes, soit ceux que lâon aurait le plus besoin de convaincre, alors que 85% des EuropĂ©ens se disent aujourdâhui concernĂ©s par la cause climat. Si le mouvement sâenferme dans la polarisation, sans dĂ©gager un consensus social, nous sommes condamnĂ©s Ă lâimmobilisme. » Que tirer comme enseignement de cet article ? PremiĂšrement, le mouvement Ă©colo commence Ă faire peur aux autoritĂ©s et aux chefs dâentreprises alors que depuis 60 ans ceux-ci sont dans le dĂ©ni de lâĂ©cocide qui se dĂ©roule sous nos yeux. Câest, quelque part, que le mouvement Ă©cologiste semble aller dans le bon...
Le 29 octobre dernier, des milliers de personnes convergeaient Ă Sainte-Soline dans les Deux-SĂšvres contre le projet de mĂ©gabassine avait Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă 2500 gendarmes. Des milliers de grenades tirĂ©es faisant plusieurs des blessĂ©s graves (voir notre article). La rĂ©pression se poursuit sur le plan judiciaire. Un procĂšs avait lieu ce lundi 28 novembre Ă Niort. Les avocats des 5 manifestants demandent un report : certains avocats sont absents et lâun de prĂ©venus, Robin, nâa pu se dĂ©placer. Il avait Ă©tĂ© gravement blessĂ© par un tir de LBD dans la tĂȘte, il a des sĂ©quelles et ne pouvait donc pas assister au procĂšs. Le juge refuse le report : il veut juger un homme en son absence, absence causĂ©e par les blessures infligĂ©es par les forces de lâordre. Les prĂ©venus et les avocats prĂ©sents quittent la salle. Le jugement a donc lieu dans une salle vide. Le juge mĂšne une audience Ă charge alors quâaucun fait concret nâest reprochĂ© aux prĂ©venus : ils sont poursuivis pour « participation Ă un groupement en vu de commettre des violences ou dĂ©gradations de biens ». 5 personnes parmi 8000 autres, pour lâexemple. Dans la salle, le procureur demande une peine « dâavertissement » : 4 mois de prison avec sursis et une interdiction de sĂ©jour sur le territoire des Deux-SĂšvres de 5 ans. Le juge rend sa dĂ©cision dans la foulĂ©e. Pour deux prĂ©venus : 2 mois de sursis et 3 ans dâinterdiction de sĂ©jour dans le dĂ©partement pendant 3 ans, 3 mois sursis pour les deux autres, dont celui qui a Ă©tĂ© blessĂ©. Cette parodie de procĂšs fait suite Ă une circulaire du gouvernement. Le Ministre de la Justice a demandĂ© le 9 novembre aux procureurs une « rĂ©ponse pĂ©nale systĂ©matique et rapide » contre les anti-bassines. La circulaire donnait des consignes aux magistrats concernant « le traitement judiciaire des infractions commises dans le cadre des contestations de projets dâamĂ©nagement du territoire » : usage systĂ©matique de comparutions immĂ©diates, des « interdictions de paraĂźtre ou de participer aux manifestations » et des « interdiction de sĂ©jour dont la violation est sanctionnĂ©e dâune peine de deux ans dâemprisonnement. », ainsi des investigations poussĂ©es sur les opposants.
Depuis un an, le mouvement parti du marais poitevin pour arrĂȘter les mĂ©ga-bassines a pris une ampleur retentissante par le biais dâune sĂ©rie de manifestations populaires et dâactions de dĂ©sobĂ©issance destinĂ©es Ă arrĂȘter les chantiers en cours. Ces cratĂšres gĂ©ants dâune dizaine dâhectares, remplis en puisant dans les nappes phrĂ©atiques sont devenus le symbole dâune maladaptation au changement climatique. Ils incarnent le maintien coĂ»te que coĂ»te dâune irrigation excessive et dâun modĂšle agro-industriel qui Ă©crase les paysan.nes, dĂ©truit les milieux naturels et menace in fine les populations. A partir dâune sĂ©rie de nouvelles bassines projetĂ©es dans les Deux-SĂšvres, ces infrastructures menacent de se rĂ©pandre dans dâautres rĂ©gions Ă grand renfort dâargent public. Avec la mobilisation historique de Sainte-Soline, câest Ă lâensemble du pays et bien au-delĂ que se sont vus rĂ©vĂ©lĂ©s les enjeux de lâaccaparement de lâeau par une minoritĂ© dâirrigants, en pleine sĂ©cheresse systĂ©mique. Face Ă la dĂ©termination et au nombre chaque fois croissant de manifestantâąes, le gouvernement nâa pour lâinstant pour seule rĂ©ponse que dâinterdire, rĂ©primer et annoncer Ă lâarrachĂ©e 30 nouvelles mĂ©ga-bassines dans la Vienne. Mais de toutes parts, le dispositif bassine et ses protocoles prennent lâeau, de nombreuxâąses acteursâątrices clĂ©s des territoires concernĂ©s â tout comme une partie croissante du monde paysan ou scientifique â le rejettent de plus en plus ouvertement. Il faut maintenant faire en sorte que ce refus aboutisse. Tant que les chantiers continuent, tant que le gouvernement, infĂ©odĂ© aux lobbies et multinationales de lâagro-chimie se refuse Ă un moratoire, tant que la question du partage de lâeau ne sera pas remise au cĆur du dĂ©bat, le mouvement va devoir encore se renforcer. Nous appelons donc Ă une manifestation internationale anti-bassines le 25 mars prochain dans le Poitou-Charentes. Cette manifestation aura de nouveau pour enjeu dâimpacter concrĂštement les projets de bassines et leur construction, Ă Sainte-Soline, MauzĂ©-sur-le-Mignon ou ailleurs⊠Elle pourra se dĂ©ployer aussi vers les lieux de pouvoir oĂč ces projets sont Ă©chafaudĂ©s. Lâappel Ă cette mobilisation est portĂ© par un ensemble dâassociations, syndicats, partis, ONG, fermes et collectifs⊠Que ce soit face Ă la rĂ©forme des retraites ou aux mĂ©ga-bassines, il nous faut dĂ©sormais faire primer la mise en commun et la solidaritĂ©, et mettre fin Ă la mainmise croissante dâune minoritĂ© sur les ressources vitales et les richesses. Puisque le gouvernement passe en force, puisquâil y a plus que jamais urgence Ă protĂ©ger lâeau, les terres nourriciĂšres et Ă faire obstacle Ă la fuite en avant du modĂšle agro-industriel, nous ne doutons pas un seul instant ĂȘtre encore beaucoup plus nombreuxâ ses et tout aussi dĂ©terminĂ©â es Ă nous retrouver le 25 mars. Ce large rassemblement fera aussi la place Ă des temps de convergences pour construire dâautres projets de territoires ainsi quâĂ de beaux moments...
Hier jâĂ©tais Ă Sainte-Soline. Et depuis la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes, je nâavais jamais vu un tel niveau de carnage. DĂ©jĂ , on va arrĂȘter de parler de simples gaz lacrymogĂšne : ce qui Ă©tait envoyĂ© sur les manifestants et manifestantes Ă©taient des grenades GM2L (qui on un souffle, une dĂ©tonation et propulsent des Ă©clats) et des tirs de lanceur balle dĂ©fense (LBD). Ces armes ont fait de nombreux blessĂ©s. On en a dĂ©nombrĂ© plus de 200. DĂšs le dĂ©but de la manifestation, jâai pris en charge des personnes blessĂ©es, parmis elles une personne inconsciente. En quelques minutes le temps de lâĂ©vacuer plus Ă distance de la manifestation, jâai vu une route entiĂšre de personnes allongĂ©es Ă mĂȘme le sol, ramenĂ©es lĂ pour ĂȘtre Ă©vacuĂ©es : des visages en sang, des plaies importantes, une fracture ouverte, un oeil explosĂ©, un traumatisme rachidien, une fracture du rocher, des personne inconscientes, des gens qui pleurent⊠jâai jamais vu ça, câĂ©tait un champ de bataille. Dans cette ambiance de guerre, on nâavait quâun seul vĂ©hicule pour Ă©vacuer les gens vers le relais des ambulances qui ne pouvaient pas intervenir sur place. Par dessus tout, le 15 nous dit au tĂ©lĂ©phone ne pas pouvoir passer le barrage des forces de lâordre, alors quâon tentait dâĂ©vacuer une personne dans un Ă©tat grave. On comptait notamment 5 personnes inconscientes et blessĂ©es Ă la tĂȘte. Il a fallu « trier » les personnes Ă Ă©vacuer. Au tĂ©lĂ©phone, lâopĂ©rateur du 15 Ă©tait impuissant. Et Ă un moment, oui, jâai fondu en larmes, dĂ©passĂ©e par la situation. Aujourdâhui on sait que S., une des personnes blessĂ©e Ă la tĂȘte a Ă©tĂ© admis en rĂ©animation et que son pronostic vital est toujours engagĂ©. Je reste marquĂ©e par un tout jeune manifestant, indĂ©niablement eborgnĂ©, qui me suppliait que je lui dise quâil ne perdrait pas son oeil. Je reviens choquĂ©e, cassĂ©e de cette manifestation, oĂč malgrĂ© tout la mobilisation massive contre la privatisation de lâeau par les mĂ©ga bassines Ă©tait une victoire. Images tirĂ©es de la vidĂ©o de de "Bassine Non Merci" Plus de communiquĂ©s et de retours sur le site des Soulevements de la Terre et sur Bassine Non Merci
LâArctic Sunrise, un navire de la flotte internationale de Greenpeace, devait rester amarrĂ© trois jours Ă Nice, dans le sud-est de la France, Ă partir de mercredi avec la trentaine de navires scientifiques dâONG invitĂ©s Ă Nice en marge du sommet de lâONU sur les ocĂ©ans. Ces navires doivent se relayer dans le port pour accueillir le grand public jusquâĂ jeudi, puis les dĂ©lĂ©gations du sommet. Mais le maire et le prĂ©fet ont pris un arrĂȘtĂ© annulant la participation de lâArctic Sunrise. LâarrĂȘtĂ© fait suite Ă une demande de la ministre de la Transition Ă©cologique, AgnĂšs Pannier-Runacher, exprimĂ©e lors dâun comitĂ© de pilotage organisĂ© le 22 mai Ă Nice. La ministre avait reprochĂ© Ă Greenpeace le largage en mer le 21 mai, depuis lâArctic Sunrise, dâune quinzaine de rochers dans une aire protĂ©gĂ©e de la MĂ©diterranĂ©e pour empĂȘcher le chalutage de fond. LâONG avait rĂ©pliquĂ© quâil sâagissait justement dâempĂȘcher une activitĂ© certes interdite, mais qui perdurait. Le cabinet de la ministre a dĂ©menti, assurant quâelle ne sâoccupait pas des sujets dâordre public, renvoyant la mairie et le prĂ©fet Ă leur dĂ©cision.
Un témoignage critique des SoulÚvements de la terre. Texte écrit à six mains par des membres du collectif STop Micro, qui a co-organisé en mars 2025 un évÚnement avec les SoulÚvements de la Terre. Analyse politique et éthique des pratiques des SDT.
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