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FATSABBATEEK #1

FATSABBATEEK #1

Bruxelles | sur https://stuut.info

Jour de congé, le repos, de calme
S’accorder une pause mais ensemble.
Un dimanche par mois,
FATSABBATS s’installera à Molenbeek
À la Fonderie - le musée du travail.
Quoi de mieux pour s’arrêter.
Des petites programmation, sur mesure,
Des ateliers, des projections, des groupe de paroles, du soin comme nous savons le faire à petit prix.


Pour sa première édition de l’année
Nous ne pouvions pas prendre en considération le climat actuel, chargé.e.s de colère, tristesse, et de fatigue, il était important de pouvoir se retrouver pour se donner la force de continuer.

14/O1/2O24
OPEN DESK for PALESTINE
Une programmation Chill et commune :
Entre deux manifs, ou Si tu as envie de participer à l’effort collectif à ta façon,
de proposer un atelier, ton film, tes créations, ton texte, Un savoir faire,
Ou juste de recevoir un peu de réconfort :
WELCOME !
Propose ton desk par mail à
Fatlisting@gmail.com

Y aura aussi
La ZONE CARE
15HOO : ARPENTAGE (lecture collective) « Se défendre » d’Elsa Dorlin
18HOO : OPEN MIC
(Inscriptions sur place)

Entrée prix libre (Prix reco : 5e)

Les fonds soulevées lors de cette première édition de FATSABBATEEK seront reversés aux associations soutenues par @brusselsagainstgenocide

Hâte de vous revoir ♥️🖤🤍💚

Voir en ligne : fatsabbats (fcb)


Anciens évènements

FATSABBATEEK #1

 dimanche 14 janvier 2024  14h00 - 21h00
 dimanche 14 janvier 2024
14h00 - 21h00
 La Fonderie - le musée du travail,

 

Molenbeek

Notes

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Racismes / Colonialismes

Racisme : des demandeurs d’asile payés 2,61 euros de l’heure dans un restaurant à Waterloo

Ils étaient forcés de travailler 12h par jour et étaient payés 2,61 euros l’heure. Recrutés directement dans des centres Fedasil par téléphone avec de fausses promesses de logement et de salaires dignes, dans le restaurant où ils étaient exploités, on n’appelait pas ces demandeurs d’asile par leurs prénoms mais en les insultant de « Noirs ». À Waterloo le gérant d’un buffet à volonté a été condamné pour traite d’être humain et discrimination raciale (discrimination d’un groupe ethnique) et plus de 12 autres chefs d’accusation. Il a écopé de 6 mois de prison ferme et doit rembourser le salaire de 3 personnes exploitées et discriminées qui se sont portées partie civile. Deux autres amendes de 28 000 et 36 000 ont été prononcées contre le gérant et sa société. Les personnes demandeuses d’asile étaient exploitées dans l’arrière-cuisine du restaurant. Elles étaient logées dans une cave insalubre, sans fenêtre ni eau chaude et sans possibilité de laver leurs habits. lls et elles vivaient et travaillaient dans des conditions indignes, loin des normes les plus élémentaires. Les faits ont été découverts en 2021, après qu’un des demandeurs d’asile se soit gravement brûlé dans l’arrière cuisine. Le gérant du restaurant a alors refusé de lui procurer les premiers soins. Deux policiers avaient ( alors a supprimer) retrouvé l’homme gravement blessé par hasard, recroquevillé devant le restaurant en sang. La brûlure de l’homme avait nécessité une greffe et il en souffre toujours. Une enquête a donc été ouverte sur les conditions de travail au sein du restaurant, en collaboration avec les agents du contrôle du bien-être au travail. Les conclusions de l’enquête font état de ( pose le constat de a supprimer) « traite des êtres humains et de discrimination à l’égard d’un groupe ethnique » au sein de l’établissement. La traite d’être humain ou l’exploitation forcée de personnes exilées ou demandeuses d’asile n’est un pas phénomène isolé en Belgique. Livreurs à vélo, travail domestique, bâtiments, restauration, … de nombreux secteurs de l’économie belge exploitent les personnes exilées car elles sont plus vulnérables, plus précaires et moins protégées. Cette exploitation déshumanisante, permet d’employer des personnes en se soustrayant aux droits des travailleur·euses, sans devoir contribuer pour la Sécurité sociale, en imposant des conditions de travail illégales et inhumaines, en utilisant les êtres humains comme des vulgaires objets pour générer toujours plus de profit. Il y a quelques semaines, des membres Jeunes MR déclaraient lors d’un débat : « Les personnes migrantes sont différentes : les Belges n’ont pas le même corps et sont moins faits pour certains métiers. » Des propos dignes de l’idéologie du racisme biologique* du 19e siècle qui expliquait que ( quand on expliquait qu’ a supprimer) l’on pouvait coloniser et mettre en esclavage des peuples entiers pour des supposées « différences biologiques entre les races »...

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