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SoliConcerts : Mona SV+Bavo Braakbal+Kania Tieffer+Eiedma

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🫕🫕We start the night with some quality vegan/veggie food. Come early if you want to grab a bite🫕🫕

Bruxelles | sur https://stuut.info | Collectif : Versterker BXL | Collectif : Versterker BXL

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𝐌𝐨𝐧𝐚 𝐒𝐕 (Ambient Duo)
𝐴 𝑑𝑖𝑎𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑏𝑒𝑡𝑤𝑒𝑒𝑛 𝑎 𝑐𝑙𝑎𝑟𝑖𝑛𝑒𝑡 𝑎𝑛𝑑 𝑡ℎ𝑒 𝑎𝑢𝑑𝑖𝑜 𝑓𝑟𝑜𝑚 𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑛𝑑 𝑟𝑒𝑐𝑒𝑖𝑣𝑒𝑑 𝑣𝑖𝑑𝑒𝑜 𝑚𝑒𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒𝑠. 𝑇ℎ𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑖𝑐 𝑠𝑘𝑒𝑡𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑑 𝑜𝑓 𝑑𝑟𝑜𝑛𝑒 𝑙𝑜𝑜𝑝𝑠, 𝑝𝑖𝑡𝑐ℎ-𝑠ℎ𝑖𝑓𝑡𝑖𝑛𝑔 𝑑𝑒𝑙𝑎𝑦𝑠, 𝑎𝑛𝑑 𝑙𝑜-𝑓𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑟𝑖𝑛𝑔 𝑡ℎ𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑎𝑙𝑖𝑡𝑦 𝑜𝑓 𝑣𝑖𝑑𝑒𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑒𝑑 𝑒𝑥𝑝𝑒𝑟𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑠ℎ𝑎𝑟𝑒𝑑 𝑜𝑛 𝑚𝑒𝑠𝑠𝑎𝑔𝑖𝑛𝑔 𝑎𝑝𝑝𝑠.

𝐁𝐚𝐯𝐨 𝐁𝐫𝐚𝐚𝐤𝐛𝐚𝐥 & 𝐝𝐞 𝐑𝐚𝐝𝐛𝐫𝐚𝐤𝐞𝐫𝐬 (Solo Improv Noisepunk)
𝐵𝑎𝑣𝑜 𝐵𝑟𝑎𝑎𝑘𝑏𝑎𝑙 𝑖𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑛𝑔 𝑢𝑠 𝑎 ℎ𝑦𝑏𝑟𝑖𝑑 𝑠𝑒𝑡 𝑜𝑓 𝑛𝑜-𝑖𝑛𝑝𝑢𝑡 𝑛𝑜𝑖𝑠𝑒. 𝐻𝑖𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑛𝑑 𝑖𝑠 𝑚𝑜𝑠𝑡𝑙𝑦 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑑 𝑏𝑦 𝑐𝑟𝑒𝑎𝑡𝑖𝑛𝑔 𝑎 𝑛𝑒𝑣𝑒𝑟-𝑒𝑛𝑑𝑖𝑛𝑔 𝑓𝑒𝑒𝑑𝑏𝑎𝑐𝑘 𝑙𝑜𝑜𝑝 𝑤ℎ𝑖𝑐ℎ 𝑖𝑠 𝑡ℎ𝑒𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑑, 𝑐𝑢𝑡-𝑢𝑝, 𝑎𝑙𝑡𝑒𝑟𝑒𝑑, 𝑏𝑢𝑡𝑐ℎ𝑒𝑟𝑒𝑑, 𝑟𝑒-𝑠𝑎𝑚𝑝𝑙𝑒𝑑 𝑎𝑛𝑑 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑙𝑦 𝑏𝑟𝑜𝑢𝑔ℎ𝑡 𝑡𝑜 𝑦𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑎𝑟𝑠 𝑤𝑖𝑡ℎ 𝑎 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑙𝑒 𝑙𝑎𝑦𝑒𝑟 𝑜𝑓 𝑚𝑎𝑔𝑖𝑐 𝑠𝑝𝑟𝑖𝑛𝑘𝑙𝑒𝑠. 𝐸𝑥𝑝𝑒𝑐𝑡 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑜𝑓 ℎ𝑎𝑟𝑠ℎ 𝑛𝑜𝑖𝑠𝑒 𝑎𝑛𝑑 𝑎𝑙𝑙 𝑦𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑟 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑠.

𝐊𝐚𝐧𝐢𝐚 𝐓𝐢𝐞𝐟𝐟𝐞𝐫 (Solo Synthpunk)
𝐽𝑜𝑦𝑓𝑢𝑙 𝑀𝑎𝑑𝑛𝑒𝑠𝑠 𝑜𝑓 l𝑖𝑣𝑒 𝐿𝑜𝑓𝑖 s𝑜𝑙𝑜 𝑆𝑦𝑛𝑡ℎ𝑝𝑢𝑛𝑘 s𝑜𝑢𝑛𝑑𝑠.
𝑇ℎ𝑖𝑠 𝑚𝑢𝑠𝑖𝑐 𝑠𝑝𝑒𝑎𝑘𝑠 𝑓𝑜𝑟 𝑖𝑡𝑠𝑒𝑙𝑓. 𝐿𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛 𝑖𝑡 ℎ𝑒𝑟𝑒 https://soundcloud.com/kaniatieffer
𝑜𝑟 ℎ𝑒𝑟𝑒 https://kaniatieffer.bandcamp.com/album/family-and-transformation

𝐄𝐢𝐞𝐝𝐦𝐚 (Housewife of DOOM)
𝐴 𝐿𝑖𝑡ℎ𝑢𝑎𝑛𝑖𝑎𝑛 𝑛𝑜𝑖𝑠𝑒 𝑝𝑜𝑝/ 𝑒𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑜 𝑝𝑢𝑛𝑘 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡, 𝑛𝑜𝑤 𝑏𝑎𝑠𝑒𝑑 𝑖𝑛 𝐵𝑟𝑢𝑠𝑠𝑒𝑙𝑠. 𝐶𝑜𝑚𝑏𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑜𝑓 𝑒𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑜 𝑝𝑜𝑝 𝑏𝑒𝑎𝑡𝑠 𝑤𝑖𝑡ℎ 𝑔𝑢𝑖𝑡𝑎𝑟𝑠, 𝑛𝑜𝑖𝑠𝑦 𝑠𝑦𝑛𝑡ℎ𝑠, 𝑠𝑜𝑚𝑒𝑡𝑖𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑣𝑒𝑛 𝑗𝑎𝑧𝑧𝑦 𝑏𝑟𝑎𝑠𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑤ℎ𝑖𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑐𝑎𝑙𝑠 𝑔𝑜 𝑓𝑟𝑜𝑚 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑖𝑛𝑔 𝑡𝑜 𝑠𝑐𝑟𝑒𝑎𝑚𝑖𝑛𝑔 𝑎𝑛𝑑 𝑡ℎ𝑒𝑛 𝑡𝑜 𝑝𝑜𝑝 𝑚𝑒𝑙𝑜𝑑𝑖𝑒𝑠 : 𝑎𝑙𝑙 𝑡ℎ𝑒𝑠𝑒 𝑒𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑐𝑟𝑒𝑎𝑡𝑒 𝑡ℎ𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒𝑟 𝑜𝑓 𝑡ℎ𝑖𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑗𝑒𝑐𝑡. 𝑒𝑖𝑒𝑑𝑚𝑎 𝑖𝑠 𝑙𝑜𝑢𝑑, 𝑤ℎ𝑖𝑛𝑦 𝑎𝑛𝑑 𝑒𝑐𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑖𝑐, 𝑠ℎ𝑒’𝑠 𝑖𝑛 𝑦𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑠𝑛’𝑡 𝑎𝑓𝑟𝑎𝑖𝑑 𝑡𝑜 𝑡𝑎𝑘𝑒 𝑢𝑝 ℎ𝑒𝑟 𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒.

https://eiedma.bandcamp.com/album/pick-a-card

+++++𝐃𝐉 𝐂𝐀𝐑𝐏𝐀𝐂𝐂𝐈𝐎 until 01H 𝑌𝑜𝑢 𝑐𝑎𝑛𝑛𝑜𝑡 𝑏𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑝𝑎𝑐𝑐𝑖𝑜 𝑡ℎ𝑎𝑛 𝐷𝐽 𝑐𝑎𝑟𝑝𝑎𝑐𝑐𝑖𝑜 +++++++

🅴🆅🅴🆁🆈🆃🅷🅸🅽🅶 𝙸𝚂 𝙿𝚁𝙸𝚇 𝙻𝙸𝙱𝚁𝙴/𝚅𝚁𝙸𝙹𝙴 𝙱𝙸𝙹𝙳𝚁𝙰𝙶𝙴/ 𝙳𝙾𝙽𝙰𝚃𝙸𝙾𝙽 𝙱𝙰𝚂𝙴𝙳
🅰🅻🅻 🅿🆁🅾🅵🅸🆃 𝙶𝙾𝙴𝚂 𝚃𝙾 𝙼𝙴𝙳𝙸𝙲𝙰𝙻 𝙰𝙽𝙳 𝙻𝙾𝙶𝙸𝚂𝚃𝙸𝙲 𝚂𝚄𝙿𝙿𝙾𝚁𝚃 𝙾𝙵 𝙿𝙴𝙾𝙿𝙻𝙴 𝚆𝙸𝚃𝙷𝙾𝚄𝚃 𝙿𝙰𝙿𝙴𝚁𝚂

Sound and Light By VERSTERKER
https://versterkerbxl.wordpress.com/


Anciens évènements

SoliConcerts : Mona SV+Bavo Braakbal+Kania Tieffer+Eiedma

 samedi 9 mars 2024  18h00 - 01h00
 samedi 9 mars 2024
18h00 - 01h00
 370Grados,

 

Chaussée de Ninove 370, Anderlecht

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Extrême-droite / Antifascisme

Au lieu de reconnaître la « Palestine », les pays devraient retirer leur reconnaissance à Israël

Joseph Massad, 30 mai 2024. Mardi, trois autres États européens ont officiellement reconnu un État palestinien non-existant. L’Irlande, l’Espagne et la Norvège sont les derniers à se joindre à plus de 140 autres membres des Nations Unies pour reconnaître cette entité fantôme. L’Autorité palestinienne, créée en 1993 pour aider Israël à réprimer la résistance palestinienne à la colonisation et à l’occupation israéliennes, s’est félicitée de l’expansion de ce club improbable. D’autres États européens comme la Belgique, Malte et la Slovénie ont également menacé d’emboîter le pas. Les Israéliens, qui refusent aux Palestiniens le droit à un État depuis 1948, ont réagi avec colère à cette décision largement symbolique. Cependant, comme je vais le montrer, la reconnaissance internationale d’un État palestinien fantôme a été l’une des principales façons par lesquelles les membres de l’ONU insistent, en violation des règlements de l’ONU, pour reconnaître le droit d’Israël à rester un État raciste et suprématiste juif. Nier l’indépendance palestinienne Peu de temps après l’occupation de la Palestine par les Britanniques à la fin de 1917, les Palestiniens ont exigé – et se sont vu refuser – leur indépendance. Mais ce n’est qu’en 1937 qu’une proposition refusant explicitement aux Palestiniens leur propre État fut avancée. La Commission Peel britannique a recommandé la partition de la Palestine entre les colons juifs et le jeune État de Transjordanie d’alors. Dirigée par Lord Robert Peel, la commission a en outre recommandé l’expulsion d’un quart de million de Palestiniens de la zone désignée comme État colonial juif et la confiscation pure et simple de leurs biens. Le reste de la Palestine et les Palestiniens seraient annexés à la Transjordanie. Le rapport Peel a été abandonné en raison de l’indignation des Palestiniens et des pays arabes. Ensuite, ce fut au tour de l’ONU, en 1947, de refuser aux Palestiniens l’indépendance dans toute la Palestine, du Jourdain à la mer Méditerranée. L’organisme international a rejeté le rapport minoritaire de son Comité spécial des Nations Unies sur la Palestine (UNSCOP). Il a adopté une résolution de partition visant à diviser le pays entre les colons juifs et les Palestiniens autochtones. En 1946, la population de la Palestine s’élevait à un peu moins de deux millions d’habitants, soit 1.972.000 habitants. Les Palestiniens représentaient près de 70 pour cent de la population, soit 1.364.000 personnes, tandis que 608.000 colons juifs constituaient le reste. La résolution 181 de l’AGNU, connue sous le nom de « Plan de partition », proposait deux États, dont chacun aurait eu une majorité palestinienne autochtone, tout comme Jérusalem, qui était censée relever de la juridiction de l’ONU. Selon le plan, la population de l’État palestinien serait composée de 818.000 Arabes palestiniens et de moins de 10.000 colons juifs, soit un pour cent de la population totale. L’État juif proposé...

Partout Partout |

20 septembre - 14h00 - Place Buisset, Charleroi

Manifestation pas de prisons pour sans-papiers, ni à Jumet, ni ailleurs !

En mémoire de Semira Adamu et contre le centre fermé de Jumet et son monde, rendez-vous le 20 septembre à Charleroi. Le 20 septembre à Charleroi, une manifestation est organisée contre les politiques migratoires belges et européennes, violentes, racistes et inhumaines. ❤ Cette marche commémorera la vie et la lutte de Semira Adamu, militante sans-papiers tuée par la police lors d’une expulsion forcée en 1998. Nous n’oublions pas, nous ne pardonnons pas et nous continuons son combat.❤ Cette année encore, la mobilisation dénonce particulièrement le projet de centre fermé à Jumet, prévu pour 2028. Ce centre serait le plus grand lieu d’enfermement administratif et de déportation de Belgique et s’inscrit dans un plan national initié par l’extrême-droite : celui de criminaliser, enfermer et déporter les personnes sans-papier. Charleroi soutient ce projet malgré l’opposition citoyenne locale. La ville carolo utilise une rhétorique sécuritaire et raciste pour justifier son soutien au centre fermé, criminalisant les exilé•es En la mémoire de Semira, de Mawda, Tamazi et Baudoin, en solidarité avec toutes les personnes violentées, persécutées et tuées par les politiques migratoires déshumanisantes, rassemblons-nous, réclamons la liberté de circulation et d’installation pour tous et toutes, exigeons la fermeture des centres fermés et l’abandon des projets de constructions de ces prisons qui ne disent pas leur nom. Exigeons l’arrêt des rapatriements et des violences d’État envers les personnes sans-papiers. 🥁📢Rendez-vous le 20 septembre à 14h, place Buisset soyons innombrables à refuser les projets politiques de l’extrême droite🥁📢

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L’Arizona belge (partie 3 – l’asile) : radiographie d’une politique migratoire répressive, raciste et inhumaine

Le 31 janvier 2025, le nouveau gouvernement fédéral dévoile enfin son accord de coalition tant attendu. Dès les premières lignes du préambule, le ton est donné : Bart De Wever, fraîchement nommé Premier ministre sous la bannière de la N-VA, ne cherche pas à cacher la dureté de la politique à venir. Il avertit que le chemin ne sera pas “une promenade de santé” et que les mesures annoncées exigeront “des sacrifices de la part de tous les acteurs de notre société”. Mais au-delà de cette rhétorique de fermeté, ce texte est nauséabond tant par ses propos que par les justifications avancées. En effet, à travers les paragraphes de ce document, on perçoit une volonté claire de stigmatiser certaines catégories de la population. Les arguments invoqués par le gouvernement s’appuient notamment sur la prétendue “arrivée massive de migrants” et sur une criminalisation à peine voilée de ces personnes. Cette approche, loin d’être neutre, alimente les peurs et les divisions, tout en légitimant des mesures restrictives et discriminatoires. Le texte ne se contente pas d’annoncer des réformes : il distille, ligne après ligne, une vision anxiogène, raciste et partiale de la société, qui ne peut qu’inspirer le malaise et l’indignation. Notre collectif veut un monde sans frontières et sans murs, où chaque personne pourrait vivre et voyager où elle le souhaite. Comme on pouvait s’en douter, c’est loin de ce qui s’annonce pour les prochaines années, tant en Belgique qu’en Europe. Presque six mois après la publication de l’accord du gouvernement Arizona, nous souhaitons revenir sur les grandes lignes des éléments qui concernent “l’Asile et la Migration”. Pour garder une trace claire du moment historique que nous sommes en train de vivre, du basculement toujours plus profond vers une société alimentée par la peur et la répression. Nous aborderons quatre grandes parties : 1/ l’accueil 2/ le séjour 3/ l’asile 4/ la détention et l’expulsion PARTIE 3 – ASILE Demandes d’asile sous surveillance Les demandes d’asile sont déjà de véritables parcours de combat. Les personnes qui sont obligées de passer par ces procédures sont déshumanisées, infantilisées, inspectées et mises sous pression par l’administration belge. Déjà beaucoup trop longues, inaccessibles et injustes, ces procédures vont encore plus se durcir. Le renforcement du « devoir de coopération » oblige désormais les demandeur·euses d’asile à livrer toutes leurs données numériques (téléphones, tablettes, ordinateurs) à l’administration dès l’introduction de leur demande. C’est une intrusion grave dans la vie privée de ces personnes qui est désormais rendue légale, et qui place les personnes sous surveillance permanente. Ça fait peser une pression psychologique supplémentaire sur des personnes souvent déjà traumatisées. Le « refus de coopérer », une demande que l’administration juge tardive ou la moindre suspicion de fraude deviennent un motif potentiel de rejet de la demande d’asile....

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