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Débat · Le dernier guichet

Débat · Le dernier guichet

Des services publics inaccessibles, on peut accepter ça ?

Bruxelles | sur https://stuut.info

En Belgique, près d’une personne sur deux serait en situation de vulnérabilité numérique. La fracture numérique est avant tout une fracture sociale. La dématérialisation en cours depuis des années a multiplié le nombre d’exclus. Aux personnes qui ne maîtrisent pas les langues nationales ou en difficulté avec l’écrit s’ajoutent désormais les personnes âgées, peu diplômées et/ou vivant dans la précarité. La violence engendrée par la numérisation renforce le risque de non-recours aux droits et accentue les inégalités. Parlons-en !

Dans son dernier numéro, Médor prend la tension d’un monde numérique fracturé, entre les murs d’un lieu d’accueil des « e-largué·es ».

Le Gsara nous immerge, en podcasts, dans l’envers du décor de la numérisation.

Cette soirée favorisera les échanges, pour que chacun et chacune puisse participer à la discussion.

Et enfin, Médor organisera un atelier « petites annonces ».
Vous avez besoin de quelque chose ? Vous voulez faire passer un message, sans passer par le numérique ? Écrivez avec nous une annonce, à publier dans les pages du magazine. La communauté de lecteurs pourra vous aider !


Soirée co-organisée par Bruxelles Laïque, La Tricoterie, Le Gsara et Médor.
Réservations : tiffany@medor.coop
Date et horaire : Lundi 23 janvier, 20h
Tarif : Entrée libre
 : La Tricoterie (Salle des Arches)

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Anciens évènements

Débat · Le dernier guichet

 lundi 23 janvier 2023  20h00 - 22h00
 lundi 23 janvier 2023
20h00 - 22h00
 La Tricoterie,

 

158 Rue Théodore Verhaegen 1060, Bruxelles

Notes

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Contrôle social / Répression

« Bruxelles numérique » : une mesure discriminatoire

Le gouvernement bruxellois va présenter au Parlement un projet d’ordonnance visant à rendre intégralement disponibles en ligne les services administratifs, et à communiquer avec les citoyens par ce biais. Nous dénonçons la disparition des guichets humains ainsi que la dématérialisation irréfléchie de ces services. Ceci est discriminatoire. Une carte blanche signée par un important collectif d’associations et de professionnels bruxellois (voir la liste complète ci-dessous) Dans quelques jours, le gouvernement bruxellois va présenter au Parlement un projet d’ordonnance intitulé “Bruxelles numérique”, porté par le ministre Bernard Clerfayt (Défi). Cette ordonnance, qui a la même force contraignante qu’une loi, impose aux administrations régionales et communales bruxelloises (telles qu’Actiris, les CPAS ou les communes) de rendre intégralement disponibles en ligne leurs services, et de communiquer avec les citoyens par ce biais. Par contre, ce texte n’impose pas aux administrations de maintenir un guichet humain, en parallèle de ce “guichet numérique”. L’objectif de la mesure est clair : le digital va devenir la règle quand le papier et le contact humain seront des exceptions. C’est ce qu’on appelle le “digital par défaut”. On le constate depuis longtemps, les guichets physiques disparaissent de plus en plus et les usagers sont invités à s’orienter vers un site web ou une application pour trouver réponse à leur demande, y compris pour les démarches les plus fondamentales. Avec l’ordonnance, on ne peut douter que cette tendance va s’intensifier. Les situations de non-recours aux droits (au travail, au logement, aux allocations…) vont continuer de croître, et seront laissées sur le carreau toute une série de personnes pour qui cet accompagnement humain est nécessaire et même vital, notamment pour accéder aux droits sociaux. S’il est vrai que, quand le numérique fonctionne, il peut permettre à l’État et à nombre de personnes de gagner du temps et de réduire les dépenses, il ne faut pas ignorer que les inégalités numériques se creusent. Selon le Baromètre de l’inclusion numérique 2022, aujourd’hui, près d’un Belge sur deux et deux Bruxellois sur cinq sont en difficulté avec le numérique, en ce compris des jeunes. Ce chiffre augmente pour les personnes défavorisées sur le plan socio-économique (niveau de revenus) et culturel (niveau du diplôme), dont les personnes en difficulté avec la lecture et l’écriture, mais aussi les personnes âgées et certaines personnes porteuses de handicap. Cela signifie donc que l’ordonnance “Bruxelles numérique” va imposer, pour l’accès à des besoins essentiels, une voie d’accès qui met en difficulté une personne sur deux, et soulève, pour certains, de réelles questions de survie. Conserver un lien humain Sur le plan juridique, cette mesure bruxelloise pose question au regard de la Constitution, et en particulier des exigences d’égalité et de non-discrimination consacrées par les articles 10 et 11 de la (...)

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[Conférence/Formation] NUMÉRIQUE DE TERRAIN

REPRENDRE LA MAIN FACE À LA DIGITALISATION DU MONDE Suite à la journée de formation du 14 juin dernier proposée dans le cadre du cycle « Pour un numérique humain et critique » et de la campagne du GSARA « Numérisation des services publics : l’envers du décor », le collectif PUNCH (Maison du Livre, Pointculture, Action Cinéma Média Jeunes, Centre Librex, Cesep, Culture & Démocratie, La Concertation ASBL, PAC, La Revue Nouvelle et CFS-ep) vous propose une nouvelle journée de formation, le 7 octobre prochain à 9h30 au 26, rue de la victoire à Saint-Gilles. Nous avions entamé la journée précédente avec des actions en cours. Nous constatons en effet qu’il y a beaucoup d’initiatives et d’expérimentations : différentes mobilisations pour des accueils en présentiel, des tentatives d’amener des codes et des règles à la numérisation, des discours très construits sur ce qui ne peut pas se numériser, des recherches à partir des expériences directes. Celles-ci permettent un savoir précis et plus local sur comment les choses sont modifiées, mais aussi d’établir un rapport plus actif avec ces changements. Non plus les subir passivement parce que c’est le progrès, ni même se contenter de les déplorer, mais tenter d’avoir une place dans ceux-ci, les contradictions de plus en plus criantes entre promesses et annonces d’un côté, et réalité de l’autre. Nous continuerons à apporter une attention particulière aux nombreuses mobilisations et actions en cours et à venir prochainement sur le terrain et à la pluralité des revendications que chacune d’entre elles portent, de l’importance de rendre visible le travail humain qui, derrière les fermetures des guichets, permet de continuer à faire fonctionner les choses, au financement approprié à apporter aux structures de première ligne. Alors que le très officiel Baromètre de l’inclusion numérique montre dans sa toute nouvelle parution que la continuation des politiques publiques vers une numérisation accrue ne fait qu’aggraver les inégalités sociales, alors que la Région de Bruxelles-Capitale, via le cabinet du Ministre Clerfayt se prépare à faire passer son ordonnance ‘Bruxelles numérique’, entérinant le ‘Digital first’, et préparant ainsi le ‘Digital only’ à venir, il s’agit enfin d’imposer la problématisation du numérique : élargir la trop simple considération technique pour la faire apparaître dans ce qu’elle induit et modifie au-delà de ses usages, c’est-à-dire dans sa dimension entière, sociale, culturelle et politique. Ces trois axes ne résument pas l’ensemble du travail réalisé et à réaliser. Par ailleurs, ils sont bien entendu interconnectés et ne peuvent être isolés les uns des autres. Pour s’en occuper il faut aller au-delà de nos fonctions, nos missions, nos places. C’est une des données du problème : si chacun reste à sa place, la numérisation se fait avec une relative passivité. Mais si on sort un peu du cadre strict de nos missions, il devient possible de penser cette numérisation...

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[Film] « Plus personne » (ZinTv)

🎥 [NOUVEAU FILM] "Plus personne" - fr - 18 min Nous sommes très heureux·se·s de vous présenter notre dernier film "Plus personne", l’aboutissement d’un travail d’immersion d’un an dans les services sociaux de première ligne. Des services qui ont assuré un suivi humain quand toutes les portes des accès aux droits élémentaires se digitalisaient. Des travailleurs et travailleuses qui se sont fondés en collectif : Travail Social en Lutte - Belgique pour dénoncer une dérive de leur métier, que les administrations veulent transformer en sous-traitants, aux mépris de leur mission d’accompagnement social. 🙏Merci aux Services Sociaux des quartiers 1030 et à leur public pour leur accueil chaleureux lors de ces tournages. https://zintv.org/video/plus-personne/ Une immersion d’un an dans les services sociaux de première ligne. Des services qui ont assuré un suivi humain quand toutes les portes des accès aux droits élémentaires se digitalisaient. Des travailleurs et travailleuses qui se sont fondés en collectif : « Travail social en lutte » pour dénoncer une dérive de leur métier, que les administrations veulent transformer en sous-traitants, aux mépris de leur mission d’accompagnement social. Le collectif “travail social en lutte” est né en juin 2021, lors de la deuxième vague de la pandémie. Période pendant laquelle, travailleuses sociales et travailleurs sociaux de première ligne, se sont retrouvés complètements isolé.e.s et submergé.e.s. Iels ont continué à recevoir les personnes en difficultés sociales quand toutes les autres portes leurs étaient fermées. Iels ont du travailler dans l’urgence et avec les moyens du bord sans aucune reconnaissance ou considération. Iels ont aussi été les témoins privilégiés de constats qu’il fallait dénoncer. La quasi entierté des servies publics, privés et parapublics ont compté sur la numérisation pour rester accessibles, oubliant ainsi toute une partie de la population, dont les plus précarisés… L’exclusion numérique venant ainsi exacerber l’exclusion sociale… Iels ont rempli des déclarations d’impôts, demandes des bourse d’études, d’allocations loyers, d’allocations de chômage, Iels ont fait des démarches bancaires, pris des rendez-vous en ligne, imprimé et téléchargé des documents pour et avec chaque personne qui se sont adressées à elleux. Iels étaient submergés de travail et au bord de l’épuisement mais tenaient bon en pensant que cette situation était passagère… Or, lorsque les cafés ont ré-ouvert et que les compagnies aériennes ont repris leurs activités, les portes des services qui donnent accès à des droits aussi essentiels qu’un revenu de remplacement sont restées fermées…

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Numérique de terrain - Reprendre la main face à la digitalisation du monde

Dans le cadre du cycle "Pour un numérique humain et critique" et de la campagne du GSARA, le collectif PUNCH (Pointculture, Action Média Jeunes, Centre Librex, Cesep, Culture & Démocratie, La maison du livre, La Concertation ASBL, PAC, La Revue Nouvelle et CFS-ep) vous propose 1 journée pour comprendre, parfois décortiquer ou même découvrir, comment le numérique modifie nos vies. Mais aussi proposer des pistes de travail pour que le numérique ne colonise pas nos vies. Parmi les différents effets de la numérisation du social qui s’est accélérée autour des confinements liés au covid, un changement important s’opère dans ce qu’on pourrait appeler « la première ligne ». Beaucoup de guichets ont été réduits ou simplement fermés. C’est ainsi que toute une série d’acteurs, EPN (espaces publics numériques), ateliers numériques, écrivains publics numériques, bénévoles en tout genre, etc. se sont retrouvés en première ligne du travail social. Ils sont, depuis, confrontés à un public qui ne peut plus s’occuper de ses démarches administratives : contacter la mutuelle, le CPAS, remplir sa fiche d’impôts, demander un document. Cette numérisation a aussi un impact sur d’autres acteurs, notamment les assistants sociaux, qui étaient déjà en première ligne, mais qui deviennent maintenant le point d’accès indispensable pour les services nouvellement digitalisés. Gérer des boîtes mails, jongler avec des répondeurs téléphoniques (si… tapez 1, si … tapez 2…), tenter de joindre un interlocuteur, remplir des questionnaires automatiques qui se bloquent dès qu’il manque une information… Cet aspect qui constitue pourtant le quotidien de la digitalisation n’est jamais évalué ni pris en compte. Aucun responsable ne voit autre chose qu’un désagrément minime et passager. Peu d’actions vont au-delà du financement de l’achat d’ordinateurs. À ce constat qui existe depuis plus d’un an s’ajoute un autre, bien plus intéressant : un peu partout sur le terrain, il est question d’initiatives pour reprendre la main. Actions, réflexions, revendications en tout genre foisonnent. Ce sont ces initiatives qui occuperont notre journée. Connaître ces initiatives souvent très locales, tirer les enseignements qu’elles offrent, les développer, fabriquer des liens entre elles.

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Droits sociaux / Services publics

Les Gangster-e-s ont fêté saint Vioque !

Une quarantaine de Vieilles Gangstères et de Vieux Gangsters ont processionné ce samedi 18 mars en l’honneur de saint Vioque // Een veertigtal Oude Gangsters hielden verleden zaterdag 18 maart een processie ter ere van Sinter Ouwe. [NDLS hieronder] Contre les injustices et les inégalités ! Contre la vie chère et les pensions de misère ! Contre la maltraitance et contre le tout numérique ! Gloire à Saint Vioque qui représente le destin de toute l’humanité ! Gloire à Saint Vioque, patron des méprisés, des délaissés, des humiliés ! Gloire à la vieillesse et à ceux qui s’en soucient ! Dans l’humour et la bonne humeur, avec force distribution de notre journal Old-Up, sous les encouragements des passants et surtout des jeunes ! …Jusqu’à ce que la police de Bruxelles nous bloque le passage vers la Rue du Marché aux Herbes. Aucun respect pour saint Vioque ! Pas moins de 18 inspecteurs, commissaires et autres gradés mobilisés contre les Vieilles et les Vieux qui honorent saint Vioque ! Rien de mieux à faire ?!? Avec interdiction de passer, même sur les trottoirs, Avec menace de prise d’identité et d’amendes. Où est la liberté d’expression, de manifestation, d’indignation ? En tout cas, nous, les Vieilles et les Vieux en Colère, on s’est bien amusés. Et on l’a crié haut et fort : D’un vieux jamais ne te moque, car toi aussi un jour tu seras un vioque ! Procession solennelle du Gang des Vieux en colère, en l’honneur de saint Vioque ! Lecture Tegen onrecht en ongelijkheid ! Tegen de hoge kosten van levensonderhoud en miserabele pensioenen ! Tegen mishandeling en tegen alle digitale discriminatie ! Een eerbetoon aan Sinter Ouwe, die zich bekommert om het lot van de hele mensheid ! Glorie aan Sinter Ouwe, patroonheilige van de verachten, de verwaarloosden, de vernederden ! Ere aan de ouderdom en aan hen die ermee begaan zijn ! Met humor en goed humeur, Met brede verspreiding van onze Old-Up krant, Aangemoedigd door de voorbijgangers en vooral de jongeren ! …Totdat de Brusselse politie ons de weg versperde naar de Kruidenmarktstraat. Zonder respect voor Sinter Ouwe ! Niet minder dan 17 inspecteurs, commissarissen en andere officieren waren opgetrommeld tegen een eenvoudig stelletje bejaarden, processiegewijs op wandel ! Is er niets beters te doen ?!? We kregen verbod om op straat te lopen, zelfs op het voetpad, Met dreiging van identificatie en boetes. Waar is de vrijheid van meningsuiting, van betoging, van verontwaardiging ?

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Racismes / Colonialismes

Racisme : des demandeurs d’asile payés 2,61 euros de l’heure dans un restaurant à Waterloo

Ils étaient forcés de travailler 12h par jour et étaient payés 2,61 euros l’heure. Recrutés directement dans des centres Fedasil par téléphone avec de fausses promesses de logement et de salaires dignes, dans le restaurant où ils étaient exploités, on n’appelait pas ces demandeurs d’asile par leurs prénoms mais en les insultant de « Noirs ». À Waterloo le gérant d’un buffet à volonté a été condamné pour traite d’être humain et discrimination raciale (discrimination d’un groupe ethnique) et plus de 12 autres chefs d’accusation. Il a écopé de 6 mois de prison ferme et doit rembourser le salaire de 3 personnes exploitées et discriminées qui se sont portées partie civile. Deux autres amendes de 28 000 et 36 000 ont été prononcées contre le gérant et sa société. Les personnes demandeuses d’asile étaient exploitées dans l’arrière-cuisine du restaurant. Elles étaient logées dans une cave insalubre, sans fenêtre ni eau chaude et sans possibilité de laver leurs habits. lls et elles vivaient et travaillaient dans des conditions indignes, loin des normes les plus élémentaires. Les faits ont été découverts en 2021, après qu’un des demandeurs d’asile se soit gravement brûlé dans l’arrière cuisine. Le gérant du restaurant a alors refusé de lui procurer les premiers soins. Deux policiers avaient ( alors a supprimer) retrouvé l’homme gravement blessé par hasard, recroquevillé devant le restaurant en sang. La brûlure de l’homme avait nécessité une greffe et il en souffre toujours. Une enquête a donc été ouverte sur les conditions de travail au sein du restaurant, en collaboration avec les agents du contrôle du bien-être au travail. Les conclusions de l’enquête font état de ( pose le constat de a supprimer) « traite des êtres humains et de discrimination à l’égard d’un groupe ethnique » au sein de l’établissement. La traite d’être humain ou l’exploitation forcée de personnes exilées ou demandeuses d’asile n’est un pas phénomène isolé en Belgique. Livreurs à vélo, travail domestique, bâtiments, restauration, … de nombreux secteurs de l’économie belge exploitent les personnes exilées car elles sont plus vulnérables, plus précaires et moins protégées. Cette exploitation déshumanisante, permet d’employer des personnes en se soustrayant aux droits des travailleur·euses, sans devoir contribuer pour la Sécurité sociale, en imposant des conditions de travail illégales et inhumaines, en utilisant les êtres humains comme des vulgaires objets pour générer toujours plus de profit. Il y a quelques semaines, des membres Jeunes MR déclaraient lors d’un débat : « Les personnes migrantes sont différentes : les Belges n’ont pas le même corps et sont moins faits pour certains métiers. » Des propos dignes de l’idéologie du racisme biologique* du 19e siècle qui expliquait que ( quand on expliquait qu’ a supprimer) l’on pouvait coloniser et mettre en esclavage des peuples entiers pour des supposées « différences biologiques entre les races »...

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