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Les travailleur.euse.s de la santé vont prendre la rue !

Les travailleur.euse.s de la santé vont prendre la rue !

📌 Le front commun syndical lance un plan d’action dans le non marchand avec une journée nationale d’actions dans les institutions le lundi 19 décembre et une grande manifestation nationale le mardi 31 janvier.

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📌 L’ensemble des organisations syndicales dénoncent la pénurie "invivable" de personnel dans l’ensemble des métiers du non marchand, faute d’attractivité et de tenabilité.

📌 « Il y a, d’abord, de moins en moins de personnel sur le terrain, avec des collègues en incapacité de travail en raison de problèmes physiques ou psychiques, un passage au temps partiel pour tenir le coup, une fuite vers d’autres secteurs en recherche de meilleures conditions de travail et salariales ou par perte de sens, énumèrent les cinq organisations. »

❌ La santé en lutte soutiendra activement la mobilisation et invite déjà l’ensemble des participant.e.s à préparer la suite d’une mobilisation sérieuse qui sera nécessaire pour obtenir de réelles avancées pour le secteur des soins !


Non marchand : journée d’actions le 19 décembre et manifestation nationale le 31 janvier(RTBF)

Voir en ligne : La Santé en Lutte


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 mardi 31 janvier 2023  Toute la journée
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 lundi 19 décembre 2022  Toute la journée
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ARTICLES LIÉS

Santé / Soins

Réquisition dans le secteur de la santé : ce qu’il faut savoir

Nous avons été interpellé.es par une collègue ayant reçu un avis de réquisition une semaine avant la date annoncée de la grève. C’est l’occasion pour nous de faire le point sur la question et de poser le problème de cette application de la réquisition. Ce que dit la loi de 1948 : "Les commissions paritaires prévues par la loi du 5 décembre 1968 sur les conventions collectives de travail et les commissions paritaires) sont tenues de déterminer et de délimiter, pour les entreprises de leur ressort respectif, les mesures, prestations ou services à assurer, en cas de cessation collective et volontaire du travail ou en cas de licenciement collectif du personnel, en vue de faire face à certains besoins vitaux, d’effectuer certains travaux urgents aux machines ou au matériel, d’exécuter certaines tâches commandées par une force majeure ou une nécessité imprévue." (Les commissions paritaires sont tenues également de déterminer ces besoins vitaux) Ce que dit le site du SPF travail emploi et concertation sociale au sujet de la réquisition : le plus important : le droit de grève est reconnu comme un droit fondamental du travailleur ( cour de cassation en 1981, ratification de la charte sociale européenne par la Belgique en 1990) 6 secteurs d’activité sont soumis à restriction du fait du caractère de "prestation essentielle" : Le secteur des soins de santé ; Le secteur des maisons d’éducation et d’hébergement ; Le secteur gazier ; Le secteur de l’électricité ; Le secteur de la chimie ; Le secteur du pétrole. "La détermination des travailleurs qui devront effectuer ces prestations essentielles incombe, dans un premier temps, aux partenaires sociaux. Ce n’est qu’en l’absence d’accord des interlocuteurs sociaux que le ministre du Travail procède aux réquisitions de ces travailleurs." Les modalités pratiques de cette loi réquisition pour les services de santé sont décrites dans l’arrêté royal du 10 septembre 2010 Que dit ce dernier ? Les sous secteurs concernés sont : les institutions qui relèvent de la loi sur les hôpitaux ; - les maisons de repos ; - les maisons de repos et de soins ; - les maisons de soins psychiatriques ; - les initiatives d’habitation protégée pour patients psychiatriques ; - les centres de soins de jour pour personnes âgées liés à une maison de repos ou une maison de repos et de soins. et uniquement ceux ci L’article 2 stipule : "En cas de grève ou de lock-out, les deux parties s’engagent à ce que tous les patients et résidents en traitement ou à traiter ne subissent aucun préjudice au point de vue thérapeutique ou en matière de soins de base. Commentaire : la notion de « soins de base » doit être interprétée de façon restrictive et peut uniquement concerner des tâches et/ou une aide qui profitent directement aux patients mêmes sur le plan des soins infirmiers, de l’hygiène personnelle ou de la fourniture de repas. Les tâches comptables, administratives ou d’entretien ne sont pas couvertes par cette définition, sauf...

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Santé / Soins

MANIFESTE POUR UNE TERRE SANS POISON

🌾 « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » « On empoisonne ce qui nous nourrit. On nous vend des pilules pour survivre à ce qu’on nous fait manger. » 1. 📜 Il fut un temps… Il fut un temps pas si lointain, où nos paysans, debout à l’aube, cultivaient avec humilité, patience et savoir.
 Pas de chimie de laboratoire.
 Pas de tracteurs de guerre recyclés en engins agricoles.
Pas de graines brevetées.
 Juste : la terre, les saisons, le compost, le soleil, l’eau, et la vie. Nos ancêtres cultivaient sans engrais chimiques, sans pesticides, sans plastique, sans algorithmie. Et pourtant, ils récoltaient. 2.Quand est-ce que tout a basculé ? Années 1950–1970.
 Au lendemain de la guerre, l’industrie chimique cherche un débouché civil à ses inventions militaires.
 Le nitrate des bombes devient l’engrais azoté. 
Le gaz de combat devient pesticide. 
Les semences deviennent stériles et propriétaires. 
L’agriculteur devient dépendant. 
La terre devient malade.
 Les fruits deviennent fades.
Et nous, devenons malades à petit feu. Le pacte faustien de la grande distribution C’est aussi à cette époque que la grande distribution fait son entrée dans les campagnes.
 Elle promet aux agriculteurs des contrats juteux, des débouchés sécurisés, des volumes garantis. Mais à une condition : produire vite, produire beaucoup, produire standardisé.
 Alors l’agriculture intensive s’impose. La monoculture remplace la biodiversité. Le fermier devient fournisseur.
 Et le terroir devient une usine à rendement.
 Ce jour-là, on a trahi le pacte sacré entre la terre et ceux qui la cultivent. 3.Le cercle vicieux de la mort douce Voici la boucle absurde de notre époque :
 On empoisonne la terre → 
Elle produit une nourriture malade → 
On mange cette nourriture dégénérée → 
On développe des maladies chroniques → 
On consomme des médicaments chimiques → Ces mêmes industriels...

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4 octobre - journée - A définir

Anti-olympiades inter-squat anti-national inter-vide - AïAï

Inscris-toi pour les Anti-olympiades Inter-squat anti-nationales intervide (aka aï aï) ! Les aï aï c’est quoi ? Les aï-aï c’est des olympiades pour les squattters. Jusque là, facile. Mais comme on est quand même anticapitalistes, on a dû rajouter anti- à olympiades pour avoir l’air sérieux. Ensuite, comme on est anti-tout, le nom s’est rallongé malgré nous et après comme tout le monde nous demande toujours « mais au fond, vous les anarchistes (remplacez par votre étiquette révolutionnaire préférée), qu’est-ce que vous proposez alors ? » On a dû rajouter des mots pour dire qu’on est aussi pour des trucs. Et « inter » c’est pas seulement dans « intermarché » mais ça veut dire « exprimant la réciprocité ou l’action mutuelle » et ça, c’est beau. C’est comme ça qu’on en est arrivées aux anti-olympiades inter-squat anti-nationales, intervide. Mais ça se décline en antifascistes intersolidaires, antipatriarcales interfeministes, anti, inter à l’infini, d’où aïaïaïaïaï, le cri des capitalistes quand on fera la révolution mais pour le moment, faut bien avouer, le notre quand on se fait expulser... Pourquoi des antiolympiades ? Parce que nous, squatters bruxelloises, avant tout, on aime le sport. En témoigne : notre souplesse à se faufiler dans des soupirails, nos sprints légendaires pour fuir les keufs, nos lancés de pavés mythiques et, preuve par excellence, CrashTest, notre fanzine anarchopunk préféré en a fait le thème de son numéro 5 (la preuve ici : https://stuut.info/Zine-CrashTest-5-SPORT-prepa-6-6656). Si ça c’est pas la plus grande preuve d’amour entre squatters et sport ? Mais encore plus que le sport, nous, squatters bruxelloises, ce qu’on aime c’est la compèt. Eh oui concours de qui grattera le chômage ou le CPAS le plus longtemps (moi le max que j’ai entendu c’est 11 ans, vous ?), épreuve de fusion entre son propre corps et le canapé de sa maison, bataille mentale sur qui craquera en premier et ira racheter du PQ, championnat du max de réutilisation de tasse à café qui traîne sans la nettoyer, la compétitivité est partout dans les squats... Les aï aï finalement, c’est la fusion de tout ça... Les aï aï c’est pour qui ? Les aïaï c’est pour les squatters de Bruxelles et d’ailleurs. Et comme il y a absolument aucune embrouille à Bruxelles autour des limites entre squat/occup’/truc éphémère d’artistes antisquat, etc. on s’est dit que y avait pas besoin de préciser plus, ce serait clair pour tout le monde. Parce que finalement, être squatters c’est surtout de l’autodéfinition et du ressenti donc si tu te sens squatter, inscris-toi (non pliz les artistobobogaucho qui chope des baux précaires sur le dos des squat c’est pas pour vous, le ressenti a des limites). L’inscription se fait par équipe, donc par squat. Les gens qui sont des squatters de l’âme et qui vivent pas en squat, faites vos équipes (spécial dédicace à nos plombiers et électriciens fav, love sur vous) Quelles sont les compétences nécessaires pour participer...

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1er septembre - 14h00 - locaux du MOC de Liège

10 octobre, journée internationale de lutte contre le sans-abrisme

Le 10 octobre 2024, les sans chez-soi et leurs représentant·es ont rappelé aux Ministres Monsieur Coppieters et Madame Neven que les sans chez-soi ne sont pas des sans-droits. Sans nouvelles, un rappel va leur être envoyé le 10 octobre 2025 ! Des revendications très concrètes ont été déposées dans les mains des ministres le 10 octobre 2024 : Loyers impayés = loyers impayables. Il faut un contrôle du prix des loyers – Il faut un investissement massif dans les logements publics. Pas de sortie d’institution, ni d’expulsion sans réelle solution de logement. Moratoire de 5 ans pour les dettes faites avant et pendant la vie en rue. Suppression du statut cohabitant pour les personnes sortant de la rue. N’ayant reçu aucune nouvelle, les sans chez-soi et leurs représentant·es comptent en prendre en retournant à Namur le 10 octobre 2025. Pour préparer cette mobilisation, une réunion est organisée le lundi 1er septembre à 14h à Liège (dans les locaux du MOC, rue Saint-Gilles, 29 – Arrêt de tram Pont d’Avroy ou Gare de Liège Carré). Un appel est lancé pour former un collectif de personnes concernées et des organisations qui les soutiennent, un peu partout en Wallonie. Profitons de l’été pour relayer cet appel au sein de nos réseaux. En 2024, les travailleurs du secteur de l’accueil s’étaient joints à la mobilisation, s’inquiétant du retard dans les versements de subsides. Les sans chez-soi et leurs collectifs espèrent que cette année le secteur soutiendra également la mobilisation de leur public en relayant et en accompagnant la mobilisation en 2025. Contact

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