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Soutien au campement du Petit Chateau

Soutien au campement du Petit Chateau

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QUOI ?

Évacués du palais des droits, des jeunes sont à la rue sans rien.

VENEZ !

Ce mardi 21 février à partir de 19h pour passer la nuit dehors en solidarité avec les demandeurs d’asile déjà présents sur place.

Vous pouvez participer en emmenant vos tentes, draps, matelas, nourriture et bonne humeur, un déjeuner pour toi, un déjeuner pour un.e ami.e refugié.e.

OU ?

En face du centre Petit Château coté Molenbeek sur le Quai des Charbonnages.


Anciens évènements

Soutien au campement du Petit Chateau

 mardi 21 février 2023  19h00 - 12h00
 mardi 21 février 2023
19h00 - 12h00
 Petit Chateau,

 

Le long du canal en face du Petit Château
Quai des charbonnages
1080 Molenbeek

Notes

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EVACUATION DU SQUAT PALAIS

Un fiasco honteux et une communication mensongère des autorités ! Des militan.te.s présents aujourd’hui 14 février pendant la journée d’évacuation du « squat Palais » dénoncent une gestion calamiteuse, ainsi qu’une communication mensongère à la presse et une absence d’information envers les exilés habitants le bâtiment. Environ 250 à 300 personnes pourtant détentrices du fameux « bracelet bleu » (attestant qu’elles habitaient dans le bâtiment) et dont les autorités promettaient dès lors le relogement, ont attendu toute la journée dans la rue sans informations, sans ravitaillement et sans considération. Elles ont fini par retourner, par résignation, à l’intérieur du bâtiment. À l’heure actuelle il n’y a aucune information sur ce qu’il va se passer demain matin et sur l’opération policière annoncée. Des militant.e.s s’organisent pour être présents demain et envisager une solution suite à cette prise en charge partielle et désorganisée. Si jamais il n’y a pas de solution et que le bâtiment Palais doit fermer, ouvrir un nouveau squat sera la seule solution envisageable. Encore une fois, les autorités ne prennent pas leurs responsabilités et sont incapable d’assurer le droit au logement et à la dignité. Comment est-il possible de préparer une opération aussi importante avec autant d’amateurisme ? Il était notoire que plus de 700 personnes logeaient dans ce bâtiment, or 250 places de relogement seulement ont été prévues. Il est inacceptable de faire preuve d’aussi peu de considération envers les personnes logées dans cet environnement insalubre et surpeuplé. Que doit-on conclure de la confiance qu’il nous faut avoir dans ces promesses et ces informations ? #LogementPourTous #DignitePourTous #papierpourtous

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COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA COORDINATION DES SANS-PAPIERS DE BELGIQUE

La politique d’asile et migration belge : rien que du laisser mourir Les personnes sans-papiers ont traversé l’année 2022 avec une boule à la gorge. Elles sont vraiment assommées, car depuis 2014, rien n’a été décidé pour leur intégration dans l’Etat de droit belge. En effet, voilà déjà une décennie qu’elles continuent à toujours être la crise oubliée en Belgique. Mêmes les médias belges se refusent d’étaler leurs réalités de vie. Ils attendent toujours les actions de désespoir de ces personnes déjà très vulnérables pour essayer de parler d’elles. Installées de façon préméditée dans un trou noir, dans l’invisibilité totale, les personnes sans-papiers n’ont bénéficié d’aucun regard bienveillant des différents gouvernements qui se sont succédés. Comme d’accoutumée, à l’aube de cette nouvelle année, aucune entité d’Etat ne leur a formulé des vœux de bonheur. Les responsables politiques belges ignorent que « le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage ». Bien qu’il ait accordé un accueil bienveillant aux réfugiés ukrainiens en 2022, le gouvernement d’Alexander De Croo est en panne d’inspiration et d’initiative en matière d’asile et migration. Son programme a été de ne pas avoir de programme au sujet des personnes sans-papiers. De leur côté, la société civile et les citoyens belges se sont souvent mobilisés pour exhorter ce gouvernement à mettre en place une politique d’asile humaine et juste pour les personnes sans-papiers et à agir face à l’urgence de la crise de l’accueil. Le comble est de constater que celui-ci s’inscrit toujours dans le déni de toutes ces mobilisations citoyennes. Il refuse la nécessité de mener de profondes et minutieuses réflexions, d’ouvrir un dialogue concerté entre les différents acteurs de terrain, en vue de trouver des solutions durables et définitives à la situation des personnes sans-papiers ou encore à celle des demandeurs d’asile. Le gouvernement a délibérément fait le choix du laisser souffrir et du laisser mourir. Le constat est que, le refus des droits humains renforce l’exclusion sociale, la perte de l’identité sociale et individuelle, et la marginalisation de ces milliers de femmes, hommes et enfants qui ont choisi la Belgique comme pays d’exil. De nos jours, le spectacle de l’occupation de demandeurs d’asile sise rue des Palais à Schaerbeek, est ahurissant et à en mourir. Voilà là, une poudrière sanitaire qui montre que nous sommes en face d’un gouvernement fédéral totalement défaillant. Par ailleurs, la Coordination des sans-papiers ne comprend pas l’ambivalence de certains partis dont les promesses ne se traduisent pas dans les faits. Au niveau local, ces partis se disent favorables à l’accueil des migrants, mais restent pourtant complices au niveau fédéral en cautionnant une politique d’asile et migration qui n’est que du laisser mourir. Actuellement, ces élus du peuple se souhaitent les meilleurs vœux avec faste aux frais des contribuables. Sont-ils conscients de ce qui se passe...

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PRESSION : DES ACTIVISTES POURSUIVI·ES POUR AVOIR BLOQUÉ UNE ENTREPRISE D’ARMEMENT ISRAÉLIENNE EN BELGIQUE

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