Soutien / Entraide

Logement / Squat

Crise de l’accueil : Occupation pour un accueil décent des demandeur·euses d’asile

🔴 Crise de l’accueil : occupation du futur centre de crise fédéral par des demandeur·euses d’asile. Retour en vidéo sur les dernières 24h. Depuis ce dimanche 12 mars, des demandeur·euses d’asile et des soutiens occupent le futur centre de crise fédéral, 9 boulevard Albert II à Saint-Josse. Cette occupation intervient après l’expulsion d’une cinquantaine d’exilé·es de l’Allée du Kaai, vendredi soir. Un dispositif policier important est rapidement arrivé sur place bloquant l’ensemble des entrées du bâtiment et refusant, dans la violence, tout ravitaillement. Le dispositif : des dizaines de policier·ères ayant retiré volontairement leur matricule, la brigade canine, 2 autopompes, des bombes de gaz lacrymo et un policier armé d’un FN303 (flashball). La pression des soutiens a finalement permis de faire entrer de la nourriture, de l’eau et du matériel de première nécessité ce lundi 13 mars en début d’après-midi. La police est toujours sur place. Le gouvernement ne propose toujours pas de solution de logement pour ces demandeur·euses d’asile tel que la loi le prévoit. Crise de l’accueil : Occupation pour un accueil décent des demandeur·euses d’asile Lecture LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES #niemandisillegaal #refugeeswelcome @murmures @ades https://www.irruption.be/ https://www.instagram.com/irruption_webmedia/ https://www.facebook.com/IrruptionMedia

Bruxelles Bruxelles |
Extrême-droite / Antifascisme

Manifestation contre les violences policières (Bruxelles)

🔴 Ce mercredi 15 mars, plusieurs centaines de personnes se sont réunies place Poelart à Bruxelles pour manifester contre les violences policières. La marche s’est conclue par une série de discours dans le centre-ville, au parc de la place du Nouveau marché aux Grains, lieu symbolique car le terrain de basket qui s’y trouve porte le nom de Mehdi Bouda, jeune homme de 17 ans tué par la police le 20 Août 2019. La manifestation avait pour but de faire vivre la mémoire de Sourour Abouda, décédée le 12 janvier dernier en cellule du commissariat de police de la zone Bruxelles-Ixelles (rue Royale), ainsi que de commémorer d’autres victimes de violences policières telles que Semira, Mawda, Lamine, Mehdi, Ouassim, Sabrina, Adil, Ibrahima et d’autres. Plusieurs personnes ont pris la parole, dont les membres des familles des victimes. Les mots sont forts et dénoncent la violence subie par les victimes et leurs familles de la part de la police et de l’État. Ils exigent vérité et justice : 👉 La fin des violences et du harcèlement policier dans les quartiers populaires 👉 La fin de l’incarcération de masse 👉 La fin des politiques ultrasécuritaires de surveillance, de contrôle et de répression 👉 Des enquêtes indépendantes loin des syndicats policiers 👉 Des réparations aux familles et aux victimes de violences policières 👉 La fin de la suspicion généralisée des populations racisées notamment les populations musulmanes ou perçues comme telles 👉 La mise à pied des policiers.ères visé.e.s par des enquêtes et le renvoi systématique des policiers.ères reconnu.e.s coupables 👉 L’interdiction des méthodes létales d’arrestation Les slogans “Lamine, Mehdi, Ouassim et Sabrina, On n’oublie pas, On pardonne pas !” ansi que “Pas de Justice, Pas de Paix !” furent clâmés haut et fort. Manifestation contre les violences policières (Bruxelles) Lecture @justice_pouribrahima @justice_pouribrahima @justice4mawda @justicepouradil @osvp_collectif_bxl LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES https://www.irruption.be/ https://www.instagram.com/irruption_webmedia/ https://www.facebook.com/IrruptionMedia

Bruxelles Bruxelles |
Économie / Anticapitalisme

Assemblée générale Fondation Marius Jacob (+ souper/visite)

Le samedi 25 mars aura lieu notre prochaine assemblé générale : une assemblée et soirée conviviale, mais aussi une visite du musée du capitalisme pour celleux qui veulent découvrir ce super projet. Après un peu plus de trois an d’existence, c’est l’occasion de fêter le chemin parcouru avec tous les compagnon.e.s de routes de la fondation (mutualisateur.trice.s, projets soutenus, projets des fonds spécifiques). Moment d’assemblée pour les membres pour se redonner des perspectives pour les prochains mois, présentation de l’avancement de la fondation pour celles et ceux qui voudraient en savoir plus, rencontres, échanges, ,.. Bref, l’occasion de se retrouver ensemble pour continue à construire cette belle dynamique. POUR S’INSCRIRE : https://framaforms.org/inscription-ag-fondation-marius-jacob-25-mars-167792 16h-18h : Visite du musée du capitalisme Exposition itinérante engagée sur le système économique capitaliste, le musé a pour but d’ouvrir le débat pour acquérir des clés de compréhension sur ce système complexe qui structure nos vies. Accompagné·es d’un·e guide, venez parcourir l’expo et (re)découvrir ce super projet collectif ! 18h-20h : ASSEMBLÉE GÉNÉRALE Le but de cette assemblée sera bien évidement de présenter l’avancement de la fondation, les projets soutenus et les nouveau fonds spécifiques. Mais aussi de discuter et valider différentes propositions visant à fluidifier le fonctionnement de la fondation (adaptation des critères d’attribution des bourses,...), à améliorer la communication et stimuler le recrutement de nouvelles personnes qui mutualisent. 20h : Repas collectif et moment convivial Repas végan et bar à prix libre.

Bruxelles Bruxelles |
Contrôle social / Répression

Fin de l’appel à solidarité pour les 4 condamné.e.s de la lutte contre la maxi-prison

Le procès des 4 condamné.e.s pour la destruction de la maquette de la maxi-prison de Haren aura fait couler de l’encre, de la sueur et des mousses. C’est en mai 2015 que la maquette est détruite lors d’une manifestation à l’intérieur de la régie des bâtiments. En octobre 2021, au bout de 6 années de procès, 4 militant.e.s, pourtant non-impliqué.e.s dans la destruction, sont condamné.e.s à payer 43.000 euros en dommages et intérêts à la Régie des bâtiments. Nous voici en juillet 2022, le joyeux constat de l’efficacité de l’auto-gestion solidaire est bel et bien là. Appels à dons, soirées de soutien et tractages ont montré leurs preuves : la somme est remboursée ! Merci à toutes celles et ceux qui ont contribué, d’une manière ou d’une autre, à cet élan de solidarité. Cette victoire n’est pas que financière, elle montre que face au rouleau compresseur de la justice belge, les militant.e.s s’organisent pour ne pas laisser couler des camarades de luttes. Face à la démesure du verdict, diverses solidarités se sont opposés à cette tentative de l’Etat d’enrayer la lutte contre la maxi-prison en brisant quelques militant.e.s. Des solidarités unies contre l’injustice du verdict et pour nourrir la lutte visant un monde sans prison. Celle-ci n’est pas finie, la maxi-prison ouvre ses portes en septembre 2022. Soyons nombreu.x.se.s à leur faire savoir, inlassablement, qu’on ne va pas les laisser faire. Brique par brique Mur par mur Détruisons toutes les prisons ! Le comité de soutien aux 4 condamné.e.s

Bruxelles Bruxelles |
Médias

Soirée de soutien aux 4 condamné.e.s de la lutte contre la maxi-prison de Haren

Concert avec : RENÉ BINAMÉ (anarcho punk chansonnette Be) Ditch ! (crust punk Suisse) Shit Tax ! (crust punk Montreal) Hobo Deatcult ! (sludge Montreal) Prix libre en soutien aux 4 condamné.e.s Infos sur le procès sur le site web Condamnés pour 1 maquette Appel à solidarité pour les 4 condamné.e.s : "Durant l’été 2014, le terrain du Keelbeek à Haren, situé à la périphérie Nord de Bruxelles, est occupé par des opposant.e.s au projet de Maxi-Prison. Sur ces 18 hectares de terre agricole et de nature, l’Etat rêve en effet de construire la plus grande prison de Belgique. L’occupation, surnommée ZAD du Keelbeek , a pour but de défendre cet espace vert menacé par le béton et de stopper l’extension du parc carcéral prévue par le gouvernement fédéral. Car, sans même attendre les permis, la Régie des bâtiments tente de démarrer les travaux à plusieurs reprises. Mais à chaque fois, les engins de chantier sont repoussés par les opposant.e.s au projet. Entre les cabanes dans les arbres et le potager, les zadistes y expérimentent aussi un autre mode de vie, écologique, solidaire et auto-géré. Le 20 mai 2015 se déroule l’audience publique de la commission de concertation concernant le projet de maxi-prison. Le même jour, refusant de suivre les chemins balisés par le pouvoir, une quinzaine de zadistes décident d’exprimer leur opposition en manifestant à l’intérieur de la Régie des bâtiments. Dénouement imprévu : la maquette de la maxi-prison, exposée dans le hall d’entrée, est détruite durant l’action. Suite à cette manifestation, une enquête est ouverte par le parquet et 4 personnes, pourtant non-impliquées dans la destruction, se retrouvent devant les tribunaux. Le 19 février 2016, sans même avoir pu identifier les auteurs de la destruction et malgré les contradictions évidentes entre le témoignage du vigile et les images des caméras de surveillance, le tribunal correctionnel condamne les 4 personnes à 10 mois de prison avec 3 ans de sursis pour « destruction de bien mobilier en bande ». Le 18 avril 2018, le verdict est confirmé par la cour d’appel de Bruxelles. Le 1er octobre 2021, le tribunal prononce le verdict pour le volet civil de l’affaire. Les 4 militant.e.s sont condamné.e.s à rembourser 43.000 euros à la Régie des bâtiments, propriétaire de la maquette détruite. Ce verdict arbitraire et douloureux conclut 6 années de procès et confirme la stratégie répressive de L’Etat : frapper lourdement quelques opposant.e.s pour faire peur à toustes les autres et tenter d’étouffer toute contestation. Car depuis le début du projet, la Maxi-Prison est vivement combattue de toutes parts. Entre la ZAD, les habitant.e.s de Haren, les collectifs anti-carcéraux et écolos, les actions contre le projet sont nombreuses. Alors les forces de l’ordre se permettent de surveiller les moindres faits et gestes des opposant.e.s. Alors la Justice n’hésite pas à balayer tous les arguments de la défense d’un revers de main et à...

Bruxelles Bruxelles |
Contrôle social / Répression

Appel à solidarité pour les 4 condamné.e.s

Appel à solidarité pour les 4 condamné.e.s Durant l’été 2014, le terrain du Keelbeek à Haren, situé à la périphérie Nord de Bruxelles, est occupé par des opposant.e.s au projet de Maxi-Prison. Sur ces 18 hectares de terre agricole et de nature, l’Etat rêve en effet de construire la plus grande prison de Belgique.L’occupation, surnommée ZAD du Keelbeek , a pour but de défendre cet espace vert menacé par le béton et de stopper l’extension du parc carcéral prévue par le gouvernement fédéral. Car, sans même attendre les permis, la Régie des bâtiments tente de démarrer les travaux à plusieurs reprises. Mais à chaque fois, les engins de chantier sont repoussés par les opposant.e.s au projet. Entre les cabanes dans les arbres et le potager, les zadistes y expérimentent aussi un autre mode de vie, écologique, solidaire et auto-géré. Le 20 mai 2015 se déroule l’audience publique de la commission de concertation concernant le projet de maxi-prison. Le même jour, refusant de suivre les chemins balisés par le pouvoir, une quinzaine de zadistes décident d’exprimer leur opposition en manifestant à l’intérieur de la Régie des bâtiments. Dénouement imprévu : la maquette de la maxi-prison, exposée dans le hall d’entrée, est détruite durant l’action. Suite à cette manifestation, une enquête est ouverte par le parquet et 4 personnes, pourtant non-impliquées dans la destruction, se retrouvent devant les tribunaux. Le 19 février 2016, sans même avoir pu identifier les auteurs de la destruction et malgré les contradictions évidentes entre le témoignage du vigile et les images des caméras de surveillance, le tribunal correctionnel condamne les 4 personnes à 10 mois de prison avec 3 ans de sursis pour « destruction de bien mobilier en bande ». Le 18 avril 2018, le verdict est confirmé par la cour d’appel de Bruxelles Le 1er octobre 2021, le tribunal prononce le verdict pour le volet civil de l’affaire. Les 4 militant.e.s sont condamné.e.s à rembourser 43.000 euros à la Régie des bâtiments, propriétaire de la maquette détruite. Ce verdict arbitraire et douloureux conclut 6 années de procès et confirme la stratégie répressive de L’Etat : frapper lourdement quelques opposant.e.s pour faire peur à toustes les autres et tenter d’étouffer toute contestation. Car depuis le début du projet, la Maxi-Prison est vivement combattue de toutes parts. Entre la ZAD, les habitant.e.s de Haren, les collectifs anti-carcéraux et écolos, les actions contre le projet sont nombreuses. Alors les forces de l’ordre se permettent de surveiller les moindres faits et gestes des opposant.e.s.Alors la Justice n’hésite pas à balayer tous les arguments de la défense d’un revers de main et à finalement condamner 4 personnes, sur seule base de leur présence à une manifestation durant laquelle il y a eu des dégradations. Alors les juges accueillent avec bienveillance toutes les factures qui peuvent faire gonfler la note, allant jusqu’à comptabiliser 4 maquettes et 5000 euros pour le (...)

Bruxelles Bruxelles |

| 1 | ... | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 |

Suivre tous les articles "Soutien / Entraide"

Publiez !

Comment publier sur Stuut ?

Stuut est un média ouvert à la publication.
La proposition d'article se fait à travers l’interface privée du site.
Si vous rencontrez le moindre problème ou que vous avez des questions,
n’hésitez pas à nous le faire savoir par e-mail: contact@stuut.info