‼️NOUVELLE MENACE D’EXPULSION DEMAIN A SCHAERBEEK‼️
✊ Une nouvelle mobilisation est nécessaire afin d’empecher l’expulsion et gagner 🔥
➡️ Rdv jeudi 29/02 à 10h devant le 101, rue Colonel Bourg à Schaerbeek !
❌Stop aux expulsions❌
➡️ Demain, jeudi 29 fevrier a 10h, les 150 personnes dont 50 enfants ayant trouvé refuge dans un bâtiment à Schaerbeek sont a nouveau menacée d’expulsion. Suite a la mobilisation, le propriétaire avait reporté l’expulsion mais ne veut plus patienter.
‼️NOUVELLE MENACE D’EXPULSION DEMAIN A SCHAERBEEK‼️
✊ Une nouvelle mobilisation est nécessaire afin d’empecher l’expulsion et gagner 🔥
➡️ Rdv jeudi 29/02 à 10h devant le 101, rue Colonel Bourg à Schaerbeek !
❌Stop aux expulsions❌
101, rue Colonel Bourg, Schaerbeek
Des mouvements de révolte ont actuellement lieu dans les deux centres fermés de la zone de Bruxelles. Une quinzaine de personne détenues au Caricole et autant au 127bis ont lancé des grèves de la faim pour protester contre les violences qu’iels subissent. Une trentaine de personne ont été montrer leur soutien mardi 13 au soir devant les centres. Au centre du Caricole, les détenu.es se sont mis.es en grève suite au tabassage d’un de leur co-détenu lors d’une tentative d’expulsion. Cette personne est revenue de l’aéroport avec une main cassée et les chaussures trouées. Les grévistes dénoncent cet acte de violence et, de manière générale, leurs conditions de détention. Iels ont sorti des revendications et exigent la fin les violences lors des expulsions, un meilleur suivi juridique et un accès digne à la santé. Comme d’habitude, l’Office des étrangers s’en lave les mains, nie les violences commises et minimise les mouvements de protestation. Alors que plusieurs personnes sont décédés récemment dans les centres fermés, l’Office maintient et défend sa ligne politique honteuse. Ces mouvements de révolte nous rappellent que les frontières tuent et enferment, et qu’on ne peut rien attendre de l’État belge. Au 127bis, une grève de la faim est également en cours depuis quelques jours. C’est un ras-le-bol général qui s’exprime face aux conditions de détention inhumaines et à l’injustice de l’enfermement. Cette situation est bien connue, de nombreux témoignages nous le rappellent. Aujourd’hui les détenu.es luttent pour leur liberté et la tension monte. Mardi 13 février, nous sommes une trentaines à avoir été montrer notre solidarité avec les protestations. À l’appel des détenu.es du Caricole, nous avons donc crié notre soutien devant les deux centres. Nous avons pu communiquer avec plusieurs personnes à travers les grilles. « On en a marre, on comprend pas pourquoi on est ici. » « On nous torture. Quelqu’un est revenu avec ses chaussures trouées. » « Merci pour votre soutien » À l’heure d’aujourd’hui, les grèves continuent. Restons solidaires et continuons à maintenir des liens entre l’intérieur et l’extérieur des centres, pour que les voix des détenu.es soient entendues et que toustes les prisonnier.es soient libéré.es.
Des soldats israéliens ont reconnu, dans les colonnes du journal national Haaretz, avoir reçu l’ordre de leurs commandants d’ouvrir le feu sur la foule agglutinée près des centres de distribution de l’aide alimentaire dans la bande de Gaza. Pour la disperser même quand elle ne représentait pas de menace particulière. L’organisation Médecins sans frontières avait demandé le 27 juin le démantèlement de la “Fondation humanitaire de Gaza”, un “simulacre de distribution alimentaire” qui produit “des massacres à la chaîne”. Les quatre zones de distribution de la fondation americano-israélienne ont la taille d’un terrain de foot entouré de postes d’observation et sont entièrement contrôlées par les forces israéliennes avec un seul point d’accès. Les tirs se multiplient au moindre prétexte : Si les gens arrivent trop tôt, s’ils arrivent trop tard ou s’ils pénètrent dans le périmètre de manière désordonnée en raison de l’affluence chaotique. Depuis le début des opérations de la GHF, le ministère de la Santé de Gaza évoque un bilan de 550 morts et près de 4.000 blessés. Hier (1er juillet) plus de 170 organisations non gouvernementales ont appelé au démantèlement du programme “Fondation humanitaire de Gaza”.
Depuis près d’un mois, la militante antifa non-binaire Maja a entamé une grève de la faim pour dénoncer les conditions de son emprisonnement en Hongrie et demander à être renvoyée en Allemagne (voir notre article ). Mardi 1er juillet, son état de santé s’est tellement détérioré qu’une hospitalisation s’est avérée nécessaire. Maja a été déplacée à 260 km de Budapest vers un hôpital proche de la frontière roumaine. Les actions solidaires continuent (des banques ont été caillassées à Shwelm et à Leipzig – voir ici et ici ), mais face à cette situation alarmante, ses soutiens appellent à intensifier la mobilisation.
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