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[manifestation] 1er Mai Révolutionnaire

[manifestation] 1er Mai Révolutionnaire

Dimanche 11h à Morichar, Tou·te·s au 1er Mai Révolutionnaire 2022 !

Bruxelles | sur https://stuut.info | Collectif : 1er Mai Révolutionnaire

L’humanité a le couteau sur la gorge. Le capitalisme ne se limite plus, dans sa soif de profit, à lui rendre la vie infernale : il menace son existence même.

Au delà des résistances, au-delà des fronts de luttes spécifiques, émerge le besoin d’un mouvement révolutionnaire capable de rompre avec le capitalisme et toutes les formes de dominations. Le 1er Mai révolutionnaire est l’expression de ce besoin.

Pas un défilé ritualisé, pas une cohabitation des luttes, pas une plate-forme des revendications : mais l’expression de notre volonté commune de mener un processus révolutionnaire jusqu’au bout, jusqu’à la liquidation du capitalisme et des autres systèmes de domination, de sa classe dominante, et de tout ce qui assure leur pouvoir : leur État, leur parlement, leurs lois, leurs complices “critiques”, leurs alliances et leur police.

https://www.facebook.com/watch/?v=707579427233764&ref=sharing

Voir en ligne : 1er Mai Révolutionnaire


Anciens évènements

1er Mai Révolutionnaire

 dimanche 1er mai 2022  11h00 - 14h00
 dimanche 1er mai 2022
11h00 - 14h00
 Saint-Gilles,

 

Place Morichar
1060 Saint-Gilles

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Cette année pour le 1er mai, l’alliance VNR se joint à l’appel du 1er mai Révolutionnaire ! Pour un 1er mai Féministe, révolutionnaire et bien VNR. Pour la troisième fois depuis novembre, on se retrouve dans la rue pour former un bloc féministe que l’on espère massif et bien enervé. Si nous faisons le constat que le capitalisme et le patriarcat nous exploitent et utilisent nos corps pour leurs profits, nous appelons, en tant que révolutionnaires, à une réelle conscientisation des forces déployées par nos ennemis et à ce qu’implique une réelle lutte contre ceux-ci. En effet, nommer l’ennemi est une chose. Comprendre leur stratégie et leurs moyens d’agir en est une autre. Nous devons comprendre qu’en face de nous se tient une force puissante et férocement ancrée d’une part, matériellement (travail, économie, politique socio-économique) et psychologiquement (hiérarchisation, oppression, manipulation) dans nos quotidiens et dans nos vies. On a tendance a dé-violentiser les choix politiques des forces dominantes (et à les minimiser sans les prendre pour ce qu’ils sont : des attaques meurtières semblables aux frappes de guerres). Les conséquences de l’imposition d’un capitalisme brutal, et des guerres économiques et sociales sont meurtrières : nos corps sont exposés à la souffrance, à l’exploitation, à la mutilation, à la mort, notre planète et ses ressources vitales sont réduites en poussière. Ces attaques, ces violences, ces frappes sont les symptômes d’une guerre. La transphobie, l’homophobie, la misogynie sont les outils létaux du patriarcat. Il faut comprendre la lutte comme elle est : un combat contre les violences réelles, matérielles et psychologiques du capitalisme et du patriarcat. Une guerre contre l’agresseur. Afin de se maintenir en place, le capitalisme prétend tirer sa légitimité de la démocratie, de nos choix, de nos votes. Le mythe du « choix », c’est forcer notre consentement par des stratégies de manipulation. Ce que le capitalisme provoque, c’est déplacer la culpabilité entre nos mains. A la manière d’un agresseur. Afin de se maintenir en place, le capitalisme et le patriarcat nous écrasent, nous oppressent et nous figent par des biais répressifs racistes et classistes. De plus, les cadres imposés ne laissent pas de place pour toustes. Que l’on soit racisé.e, queer, non valide ou que l’on subisse toute autre oppression systémique, nous avons compris cette notion de non-choix dès le début. Jusqu’où faut-il aller pour se battre pour nos vies et ce en quoi nous croyons ? Jusqu’où faut-il aller pour abattre le pouvoir en place qui nous étouffe ? Il nous semble aujourd’hui nécessaire d’aller au bout de la radicalité et de l’indignation. 
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