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Appel au soutien à Donderberg Sauvage à la occupation de la forêt à Bruxelles

Appel au soutien à Donderberg Sauvage à la occupation de la forêt à Bruxelles

Des militants de la groupe Donderberg Sauvage occupent depuis vendredi matin la forêt sur la Donderberg à Laeken pour empêcher l’abattage des arbres

Bruxelles | sur https://stuut.info

Chers acteurs de protection environnementale, amoureux et curieux du vivant, agents de transition vers une société plus juste et durable,

Le collectif Donderberg Sauvage fait appel à vous aujourd’hui afin de le soutenir dans la défense par l’occupation du Donderberg situé au nord de Bruxelles, dans la commune de Laeken !
La Donderberg est une friche de 3 hectares d’une valeur écologique importante, située au milieu d’un quartier densément peuplé. Cette forêt joue un rôle crucial pour maintenir la qualité de vie du quartier et constitue un maillon dans le couloir écologique qui relie plusieurs parcs bruxellois. Pour la construction du projet HOP, une école avec parking et terrains de sport, 171 arbres devraient être abattus, dont plusieurs sont âgés. En août, urban.brussels a accordé le permis de construction définitif.

Depuis vendredi matin une vingtaine d’activistes occupent la forêt menacée par le bétonnage du Donderberg. Avec cette occupation permanente, le groupe souhaite empêcher l’abattage des arbres pour faire place au projet de construction mégalomane.

Votre soutien à cette action serait précieux et important !
Comment soutenir ?

Love and rage !✊️🌳❤️‍🔥

Voir en ligne : Donderberg Sauvage

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Écologie

Double victory for the Donderberg ! Happy meeting

Double victoire pour le Donderberg ! Rencontre festif Dubbele overwinning voor de Donderberg ! Feestelijke bijeenkomst NL//EN below De bonnes nouvelles de printemps pour les oiseaux, les écureuils et les petits singes aussi : Double victoire pour le Donderberg !!! 🙈🥳 1) A la suite du recours de l’assos Save Donderberg, le Conseil d’État a suspendu un permis d’urbanisme qui aurait détruit Donderberg, un coin de paradis sauvage au cœur de Bruxelles. 🍀 2) L’abattage des arbres de haute tige à Bruxelles est strictement interdit du 1er avril au 15 aout 🌿 🌳 🌲 🦊 🌳 🌳 Cela signifie que pour les mois à venir, les arbres et les animaux du Donderberg sont en sécurité 🌳 🌲 🦊 🌳 🌳 Et c’est pour cela que le collectif Donderberg Sauvage veut célèbrer avec vous ! ❣️ le mercredi 10 avril à 19h❣️ Où : dans les locaux de l’asbl « El Fréon » à Jette Rue Uyttenhove 71-77, Jette Les portes ouvrent à 19h Bouffe à prix libre et pour les boissons il y aura un bar à prix populaires (remember the cash 👑) Après le repas, un moment d’échange sur comment utiliser les mois à venir pour continuer à organiser notre lutte pour sauver le Donderberg sauvage 🌰🐿️ On vous attend nombreuses et nombreux ! 🐜🐜🐜 NL Ook goed lentenieuws voor vogels, eekhoorns en kleine aapjes : dubbele overwinning voor Donderberg !!!! 🙈🥳 1) De Raad van State schort de stedenbouwkundige vergunning op, die Donderberg, een stukje wilde natuur in het hart van Laken, zou hebben vernietigd. 🍀 2) Het kapseizoen is officieel geëindigd op 1 april, en de kap van hoge bomen in Brussel is strikt verboden tot 15 augustus 🌿 🌳 🌳 🌲 🦊 🌳 🌳 Dit betekent dat de bomen en dieren op de Donderberg de komende maanden veilig zijn 🌳 🌲 🦊 🌳 🌳 🌳 En dit wil het collectief Donderberg Sauvage samen met jou vieren ! ❣️ op woensdag 10 april op 19h❣️ Waar : in de lokalen van de vzw « El Fréon » in Jette, Uyttenhovestraat 71-77, Jette Welkom vanaf 19u, eten aan vrije bijdrage en drinken aan kleine prijsjes (vergeet geen cash 👑) Na het eten zullen we je op de hoogte brengen van onze plannen, en brainstormen we samen hoe we de komende maanden kunnen gebruiken praten over hoe we de komende maanden kunnen gebruiken om je voor te bereiden op de volgende etappe in onze strijd voor het behoud van het Wilde Donderberg 🌰🐿️ We hopen velen van jullie daar te zien ! 🐜🐜🐜 EN Good spring news for birds, squirrels and little monkeys too : double victory for the Donderberg !!!! 🙈🥳 1) Following an appeal by the Save Donderberg association, the Council of State has suspended planning permission that would have destroyed Donderberg, a corner of wild paradise in the heart of Brussels. 🍀 2) The cutting down of tall trees in Brussels is strictly prohibited from 1 April to 15 August 🌿 🌳 🌲 🦊 🌳 🌳 This means that for the next few months, the trees and animals of the Donderberg are safe 🌳 🌲 🦊 🌳 🌳 And that’s why the Donderberg Sauvage collective wants to celebrate with you !...

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Écologie

Réappropriation des chemins vicinaux menacés du Donderberg (Laeken)

Le 15 septembre dernier le Gouvernement bruxellois sur la proposition du Ministre-Président décide par arrêté de suprimer partiellement les chemins vicinaux n° 14 et 29 de la Ville de Bruxelles au Donderberg, à Laeken. La suppression de deux chemins vicinaux peut sembler anecdotique ; c’est pourtant une double atteinte écologique. D’une part ces chemins sont nés des usages des habitants, des mobilités douces qui traversent les milieux. Ce sont des communs reconnus en droit, et il n’appartient donc pas au gouvernement de décider seul de leur suppression. Cette manière de faire la ville par en bas n’est pas du tout obsolète - comme on voudrait nous le faire croire en les supprimant : ces voies constituent des éléments importants d’un réseau écologique bruxellois. En empruntant ces corridors écologiques, les espèces non-humaines démontrent le caractère multi-spécifique des chemins vicinaux. Ce réseau doit être maintenu et développé à chaque endroit de la ville, à l’heure où le milieu urbain apparaît incontournable pour ralentir le rythme de l’extinction des espèces non-humaines. Le Tuiniersforum des jardiniers (TFJ) soutient le collectif Save Donderberg et invite les citoyens à muscler la résistance face à cette majorité dangereuse. Il fait appel à tous pour venir au Donderberg ce dimanche 16 octobre, dans le cadre du Slow ways weekend, organisé par WalkBrussels, pour se réapproprier ces chemins vicinaux menacés. L’élimination de ces sentiers constitue en elle-même une perte inadmissible pour les Laekenois et les Bruxellois, qui ne pourront plus déambuler paisiblement dans ces chemins connectés aux environs leur permettant un contact avec la nature, tant recherchée par les citadins, singulièrement, depuis la pandémie de COVID. Mais cette destruction en augure une pire encore, puisque la commune et la région souhaitent la bétonisation du site du Donderberg et l’abattage de 171 arbres hautes tiges. À l’heure du dérèglement climatique et de ses premiers effets mortels dans nos pays jusqu’ici épargnés, notamment lors des vagues de chaleur, des sécheresses et des inondations, un consensus scientifique existe pour développer fortement les « solutions naturelles » d’atténuation. Il s’agit simultanément de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’augmenter les capacités d’adaptation aux effets du dérèglement climatique. Les scientifiques préconisent notamment de : Laisser le carbone dans le sol et ne pas détruire les puits de carbone ; Maintenir et augmenter la surface végétale et arborée, qui génère ombre, régule la température, filtre l’air, ralentit naturellement l’écoulement des eaux, augmente la biodiversité ; Maintenir et augmenter la surface des sols vivants qui abritent la plus grande part de biodiversité, sont perméables et permettent d’éviter les surcroîts d’écoulements qui aggravent les inondations ; Rafraîchir les villes en été, les tempérer en hiver. La situation est connue, les solutions sont identifiées. (...)

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Écologie

Friche Josaphat : les associations et collectifs demandent le retrait du PAD Josaphat

Des membres du gouvernement socialiste bruxellois ont réaffirmé le 20 septembre dernier leur volonté de bâtir sur 42 hectares de zones naturelles à Bruxelles, dont la friche Josaphat. Au nom du droit de tou·te·s les Bruxellois·es à avoir accès à un logement abordable ET à la nature, le collectif Sauvons la friche Josaphat et l’ensemble des associations et collectifs signataires rappellent leurs positions, dans une perspective plus large. “Quand le climat se dérègle, quand le béton envahit le vert de la ville, quand la biodiversité se casse la figure, les groupes les plus fragiles souffrent en premier. Pour eux comme pour de nombreux autres citadins, la nature en ville et ses bienfaits doivent profiter à tous, à commencer par les plus vulnérables. La vraie justice sociale, c’est bien la nature et le logement, pas l’un ou l’autre” déclare Pierre Ryckmans, porte-parole du collectif Sauvons la friche Josaphat. Bruxelles manque de logements abordables Bruxelles ne manque pas d’immeubles mais de logements abordables. Le but est de loger des gens à des prix raisonnables, pas de soutenir la promotion immobilière. La reconversion et la rénovation d’immeubles existants est une des priorités. La Secrétaire d’Etat au Logement ne dit pas autre chose en se félicitant de la rénovation de 18.467 logements, tandis que 13.435 autres sont en passe de l’être. La friche Josaphat : réservoir de biodiversité et symbole d’un nécessaire changement de paradigme 20.000 personnes ont signé la pétition Stop Béton à Bruxelles : Sauvons la friche Josaphat, visant à arrêter d’artificialiser les sols vivants, 8.000 suivent les réseaux sociaux dédiés, plus de 1.000 personnes ont marché le 13 mars 2022 autour du site. Le dossier a fait l’objet d’un rejet massif lors des enquêtes publiques (plus de 2.000 réactions négatives en novembre 2021). Le site est un havre de biodiversité : plus de 1200 espèces différentes y ont été répertoriées. C’est un refuge bruxellois essentiel pour les abeilles, bourdons, libellules, papillons, et une étape cruciale pour les oiseaux en migration. La partie ouest est qualifiée de « zone de très haute valeur biologique » par Bruxelles Environnement. Des collectifs et associations ont proposé plusieurs alternatives à la bétonisation du site Ces alternatives détaillées et motivées n’ont pas été écoutées par les pouvoirs publics. Pourtant, la friche Josaphat est une cuvette enclavée, humide en saison, au sous-sol lourdement pollué et traversée par une voie ferrée. La mobilité du quartier est déjà complexe, avec les transports publics et des voiries régulièrement saturés. Nous demandons aux autorités de procéder au changement de paradigme qui s’impose et de réconcilier nature et logement, en retirant l’actuel projet de Plan d’Aménagement Directeur Josaphat de l’ordre du jour du Gouvernement bruxellois. Signataires : Associations / collectifs / personnalités Comité Mediapark Collectif citoyen Protégeons la vallée...

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Écologie

Save Donderberg !

Le permis d’urbanisme a été délivré pour le projet HOP5, qui va détruire le site naturel du Donderberg. Le Donderberg est un magnifique site naturel de 2,6 hectares avec une longue histoire et une très riche faune et flore, un véritable poumon vert situé à 300m du métro Bockstael à Laeken. Le mont Donderberg n’a jamais vu une construction de son existence. Ancienne pépinière du Domaine royal, on y retrouve toujours fruitiers anciens et arbres remarquables. Le Donderberg fait partie de l’ensemble constitué par les Jardins du fleuriste et les serres du Stuyvenberg. Laissé à l’état sauvage depuis plus de 50 ans, la nature (faune et flore) y a pleinement ses droits. Le site, enclavé entre la rue du Mont Saint-Alban, la rue des Horticulteurs et la rue Médori, est menacé depuis 2013 par un projet immobilier de la Régie foncière de la Ville de Bruxelles, ledit projet HOP (pour Horticulteurs-Perruches – on ne sait pas d’où la Ville sort son appelation Clos des perruches). Le projet HOP5 (5e version du projet depuis 2016) prévoit la construction d’une école maternelle et primaire francophone de 672 élèves, d’une salle de sport et d’un local de quartier, ainsi qu’un immeuble de 8 logements, un local pour une profession libérale et un parking souterrain de 17 places en lisière de site. Un projet bien trop dense et aux conséquences dramatiques pour le Donderberg comme pour ses abords. Il entraînera sur ce site naturel et à valeur historique, la mise en péril d’arbres protégés et l’abattage de 150 arbres matures, 14.000 m² de surface bétonnée, soit l’imperméabilisation de 80 % de la surface (avec les risques connexes d’inondations), des problèmes de mobilité vu le gabarit des voiries du quartier et la proximité de deux méga complexes scolaires existants et enfin l’altération du panorama depuis les “Jardins du Fleuriste” : autant de raisons qui rendent ce projet inacceptable. La préservation de cet espace boisé offre de nombreux avantages, ceux-mêmes décrits dans le ”Plan canopée” de la Ville de Bruxelles, à savoir une modération des températures pour le quartier en cas d’épisodes caniculaire, la préservation de la biodiversité, le stockage de CO2 par les arbres. L’ouverture de cet espace au quartier permettrait la création d’un nouvel espace vert à proximité du quartier dense de Bockstael qui a besoin de respirer. Les enjeux pour le site du Donderberg sont donc multiples à l’heure de l’urgence climatique. Alors que d’aucuns militent pour l’ouverture du Domaine royal voisin, le Donderberg qui en faisait partie est, lui, directement en péril. Face aux multiples défis de l’urgence climatique, il va de notre responsabilité de sanctuariser les zones naturelles en milieu urbain. Au projet HOP, nous préférons le projet HOPE, pour garder l’espoir de changer l’affectation de ce patrimoine naturel unique, traité comme un vulgaire terrain à bâtir. Venez (re)découvrir le Donderberg ce dimanche 16 Avril 2023 de 14 à 16h ! Et pour voir comment...

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Écologie

[Brochure] Au carrefour de la logistique

AU CARREFOUR DE LA LOGISTIQUE. LA GÉOGRAPHIE DU TRANSPORT INDUSTRIEL Un, deux, puis dix, puis cinquante. En réponse à l’offensive génocidaire de l’armée israélienne contre la population palestinienne entassée dans ce qui est peut-être la plus grande prison à ciel ouvert au monde, des navires commerciaux et militaires essuient des tirs de missiles, de drones et d’attaques de hors-bords lancées depuis les côtés yéménites par les milices islamiques des Houthis. Saignée par une guerre civile depuis 2014, notamment grâce aux apports consistants des entreprises d’armement occidentales à l’armée saoudienne et ses alliés, le Yémen est considéré comme un des pays les plus pauvres au monde. La guerre civile, les conséquences écologiques de son exposition au réchauffement climatique et son effondrement économique et social sont à l’origine de centaines de milliers de mort, des millions de gens sont menacés de famine et de pénuries d’eau. Pourtant, c’est de là qu’est partie un offensif complètement inattendu qui a réussi à gripper le commerce mondial. Les attaques contre les navires commerciaux passant par la Mer Rouge, goulot d’étranglement notoire du transport maritime et intensément surveillée et quadrillée par les forces militaires occidentales, aurait affecté près de 90% du commerce mondial. Les armateurs ont modifié les trajectoires de leur porte-conteneurs et navires pétrolières, augmentant de façon phénoménale les coûts de transport. Les industriels européens et américains ont connu des ruptures dans leurs chaînes d’approvisionnement. Les prix du pétrole, du gaz, des matières premières et des marchandises transportées par conteneur se sont envolées avec des effets délétères sur l’inflation qui affecte presque toutes les économies du monde. Les attaques en Mer Rouge – effectuées avec des moyens relativement simples, mais très efficaces – visant le trafic sur un des principaux axes du commerce mondial, illustrent l’importance de la logistique dans les sociétés techno-industrielles. Cette importance ne se situe pas uniquement à une échelle macroéconomiques, mais se décline jusqu’à la route départementale qui assure la connexion routière entre l’entrepôt et le supermarché. Contrairement à ce que le discours creux sur la « dématérialisation » pourrait faire croire, le déploiement des nouvelles technologies et du numérique n’ont pas fait diminuer les investissements dans la logistique du transport, bien au contraire. Rien qu’en construction autoroutière, les investissements mondiaux pour construire des toutes nouvelles routes dépassent les 3400 milliards de dollars [1]. Un financement à la hauteur d’une véritable guerre contre ce qui n’est pas encore relié, désenclavé ou traversé par des routes goudronnées, quatre fois plus que les dépenses militaires annuels des Etats-Unis [2]. Montagnes percées, forêts rasées, biotopes exterminés, cours d’eau endigués – qu’il s’agisse d’autoroutes, d’infrastructures ferroviaires, d’installations portuaires, (...)

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Bienvenue à la 12e édition de La Petite Foire Paysanne Le Mouvement d’Action Paysanne et toutes les équipes de La Petite Foire Paysanne vous donnent rendez-vous pour cette 12e édition, à la Bergerie de Roiveau, à Tournay (Neufchâteau), les 26 et 27 juillet 2025. La Petite Foire Paysanne 2025 : ALLIANCES & RÉSILIENCES ! Porte d’entrée de cette 12e édition : ALLIANCES & RÉSILIENCES ! En décidant de cette thématique, nous ouvrons large la vitrine militante de La Petite Foire. Pour faire Alliances, Résiliences et Convergences des luttes qui replacent l’humain et l’agroécologie paysanne au cœur de l’alimentation. Liens solidaires avec la société civile. Coordination consolidée avec les organisations citoyennes. Avec celles et ceux, paysan.ne.s, artisan.e.s, agriculteur.trice.s, points de vente du circuit-court, qui produisent, transforment et distribuent, et qui, en amont et aval, les accompagnent de leurs outils et machines. Avec celles et ceux qui mangent. Avec tou.te.s celles et ceux qui luttent pour changer le modèle agricole dominant, dans leurs associations et au travers de leur créativité artistique. Unir nos forces ? Un droit et un choix d’avenir ! Nos luttes, comme nos alternatives, sont indispensables, mais séparées les unes des autres. Elles sont impuissantes face à l’agrobusiness. Nous savons que nos adversaires sont bien organisés et ont pour eux la puissance financière et les privilèges y afférents (médias dominants, puissance marketing et économique, lobbying sur les pouvoirs publics…). Il est grand temps de rendre visible leur rôle et leurs pratiques dans ce système alimentaire mortifère qui ne profitent qu’à quelques-uns. Il est grand temps de se mobiliser. De s’organiser. De faire Alliances & Résiliences ! Face au système dominant et destructeur de l’agroindustrie, en Belgique et partout dans le monde, des paysan·ne·s et des citoyen·ne·s résistent et mettent en œuvre d’autres systèmes alimentaires. Relocalisés, résilients et réparateurs du vivant. Conjuguant biodiversité et productivité agricole, de manière écologique, systémique et démocratique. Pour les déployer à large échelle, nous continuerons à livrer bataille au quotidien, à unir nos forces et à construire des alliances et résistances nouvelles, tout en soutenant celles et ceux qui expérimentent déjà d’autres pratiques, de la semence à l’assiette. Nous voulons aussi défendre des politiques publiques qui placent la réalisation du droit à l’alimentation et les droits des paysan.ne.s avant la défense des intérêts de l’agrobusiness. Nous voulons remettre une agriculture à taille humaine au cœur du système. Reprendre en main notre alimentation et notre production. Acheter et vendre en filière courte. Travailler dans des conditions dignes pour une rémunération juste. Élaborer une gouvernance démocratique de nos productions alimentaires accessibles à tout.e.s, en lien avec les chantiers de sécurité sociale alimentaire. Une...

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