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Save Donderberg !

Save Donderberg !

Le permis d’urbanisme a été délivré pour le projet HOP5, qui va détruire le site naturel du Donderberg.

Bruxelles | sur https://stuut.info

Le Donderberg est un magnifique site naturel de 2,6 hectares avec une longue histoire et une très riche faune et flore, un véritable poumon vert situé à 300m du métro Bockstael à Laeken.

Le mont Donderberg n’a jamais vu une construction de son existence. Ancienne pépinière du Domaine royal, on y retrouve toujours fruitiers anciens et arbres remarquables. Le Donderberg fait partie de l’ensemble constitué par les Jardins du fleuriste et les serres du Stuyvenberg. Laissé à l’état sauvage depuis plus de 50 ans, la nature (faune et flore) y a pleinement ses droits.

Le site, enclavé entre la rue du Mont Saint-Alban, la rue des Horticulteurs et la rue Médori, est menacé depuis 2013 par un projet immobilier de la Régie foncière de la Ville de Bruxelles, ledit projet HOP (pour Horticulteurs-Perruches – on ne sait pas d’où la Ville sort son appelation Clos des perruches).

Le projet HOP5 (5e version du projet depuis 2016) prévoit la construction d’une école maternelle et primaire francophone de 672 élèves, d’une salle de sport et d’un local de quartier, ainsi qu’un immeuble de 8 logements, un local pour une profession libérale et un parking souterrain de 17 places en lisière de site. Un projet bien trop dense et aux conséquences dramatiques pour le Donderberg comme pour ses abords.

Il entraînera sur ce site naturel et à valeur historique, la mise en péril d’arbres protégés et l’abattage de 150 arbres matures, 14.000 m² de surface bétonnée, soit l’imperméabilisation de 80 % de la surface (avec les risques connexes d’inondations), des problèmes de mobilité vu le gabarit des voiries du quartier et la proximité de deux méga complexes scolaires existants et enfin l’altération du panorama depuis les “Jardins du Fleuriste” : autant de raisons qui rendent ce projet inacceptable.

La préservation de cet espace boisé offre de nombreux avantages, ceux-mêmes décrits dans le ”Plan canopée” de la Ville de Bruxelles, à savoir une modération des températures pour le quartier en cas d’épisodes caniculaire, la préservation de la biodiversité, le stockage de CO2 par les arbres. L’ouverture de cet espace au quartier permettrait la création d’un nouvel espace vert à proximité du quartier dense de Bockstael qui a besoin de respirer.

Les enjeux pour le site du Donderberg sont donc multiples à l’heure de l’urgence climatique. Alors que d’aucuns militent pour l’ouverture du Domaine royal voisin, le Donderberg qui en faisait partie est, lui, directement en péril. Face aux multiples défis de l’urgence climatique, il va de notre responsabilité de sanctuariser les zones naturelles en milieu urbain. Au projet HOP, nous préférons le projet HOPE, pour garder l’espoir de changer l’affectation de ce patrimoine naturel unique, traité comme un vulgaire terrain à bâtir.

Venez (re)découvrir le Donderberg ce dimanche 16 Avril 2023 de 14 à 16h !

Et pour voir comment agir pour la sauvegarde du Donderberg, cliquez ici.

Non à la bétonnisation !
Non à la destruction des espaces naturels !
Solidarité avec les autres luttes en cours, à Vottem, Bierset et Sainte-Soline !

Voir en ligne : Save Donderberg


Anciens évènements

Save Donderberg !

 dimanche 16 avril 2023  14h00 - 16h00
 dimanche 16 avril 2023
14h00 - 16h00
 Donderberg,

 

Rue des horticulteurs 111
1020 Laeken

Notes

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Création d’un comité local des soulèvements de la terre

19 avril - 18h - Marais Wiels Bonjour à toutes et à tous. Un comité local des soulèvements de la terre se met en place à bruxelles. Une adresse mail a été créée à ce sujet : sdt-bruxelles@proton.me Les soulèvements de la terre appellent à des manifestations de solidarité le 19 avril, en France et ailleurs. L’idée serait donc de se rassembler à 18h au marais wiels le 19 avril, où des prises de parole seront effectuées. Le marais wiels a été choisi de par les luttes écologistes qui entourent l’existence du lieu. Il faudrait y être présent en nombre ! L’appel des soulevements à la création de comités locaux sera lu, et une banderole sera potentiellement déployée. Il sera expliqué ce que sont les soulèvements de la terre, et les prises de paroles seront libres. C’est l’occasion de faire connaissance, de rencontrer les différents comités qui seraient intéressés pour faire partie du mouvement. Faites donc passer le mot à la fois aux collectifs militants et aux collectifs écolos, paysans, etc. Une page facebook va bientôt être mise en place, ainsi qu’un evenement facebook, et sera relayé sur stuut. Après mercredi, un autre moment sera organisé pour nous connaître, nous rencontrer, comprendre nos lignes communes et ce que nous pouvons et voulons faire ensemble. Il s’agira d’une discussion publique, nous ne parlerons donc pas de sujets sensibles, qui feront l’objets de temps à part. Venez nombreux, venez masqués ou non, invitez du monde ! A très vite Ci-dessous l’appel des soulevements de la terre : Des comités locaux des Soulèvements de la Terre : Cette année, des groupes d’organisation se sont formés localement pour se ressaisir collectivement de la dynamique des Soulèvements de la Terre. Ces groupes locaux répondent à un double objectif. D’un côté, ils participent à la montée en puissance du mouvement en mobilisant localement pour les actes du calendrier national. Ils organisent des réunions publiques, collent des affiches, louent des bus, viennent à nombreux ou encore aident aux différentes commissions qui rendent possibles les actes (cantines, logistiques, communication, etc.). De l’autre, ils permettent d’ancrer les Soulèvements de la Terre. Ils sont en lien avec les luttes locales autour de chez eux, ils font vivre la composition propre aux Soulèvements, ou encore, ils organisent des veilles écologiques. Cette dynamique est toute jeune, mais on compte déjà de nombreux comités locaux explicites ou non,répartis un peu partout en France (Cévènnes, Bretagne, Pyrénées Orientales, Manche...). Tout un maillage territorial peut ainsi se tisser, de proche en proche, permettant à la fois de construire des alliances, de soutenir les luttes, et de se donner de la force d’organisation pour les actes du calendrier national. Le lien de ces comités, mis à jour au fur et à mesure : See full screen

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Écologie

Réappropriation des chemins vicinaux menacés du Donderberg (Laeken)

Le 15 septembre dernier le Gouvernement bruxellois sur la proposition du Ministre-Président décide par arrêté de suprimer partiellement les chemins vicinaux n° 14 et 29 de la Ville de Bruxelles au Donderberg, à Laeken. La suppression de deux chemins vicinaux peut sembler anecdotique ; c’est pourtant une double atteinte écologique. D’une part ces chemins sont nés des usages des habitants, des mobilités douces qui traversent les milieux. Ce sont des communs reconnus en droit, et il n’appartient donc pas au gouvernement de décider seul de leur suppression. Cette manière de faire la ville par en bas n’est pas du tout obsolète - comme on voudrait nous le faire croire en les supprimant : ces voies constituent des éléments importants d’un réseau écologique bruxellois. En empruntant ces corridors écologiques, les espèces non-humaines démontrent le caractère multi-spécifique des chemins vicinaux. Ce réseau doit être maintenu et développé à chaque endroit de la ville, à l’heure où le milieu urbain apparaît incontournable pour ralentir le rythme de l’extinction des espèces non-humaines. Le Tuiniersforum des jardiniers (TFJ) soutient le collectif Save Donderberg et invite les citoyens à muscler la résistance face à cette majorité dangereuse. Il fait appel à tous pour venir au Donderberg ce dimanche 16 octobre, dans le cadre du Slow ways weekend, organisé par WalkBrussels, pour se réapproprier ces chemins vicinaux menacés. L’élimination de ces sentiers constitue en elle-même une perte inadmissible pour les Laekenois et les Bruxellois, qui ne pourront plus déambuler paisiblement dans ces chemins connectés aux environs leur permettant un contact avec la nature, tant recherchée par les citadins, singulièrement, depuis la pandémie de COVID. Mais cette destruction en augure une pire encore, puisque la commune et la région souhaitent la bétonisation du site du Donderberg et l’abattage de 171 arbres hautes tiges. À l’heure du dérèglement climatique et de ses premiers effets mortels dans nos pays jusqu’ici épargnés, notamment lors des vagues de chaleur, des sécheresses et des inondations, un consensus scientifique existe pour développer fortement les « solutions naturelles » d’atténuation. Il s’agit simultanément de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’augmenter les capacités d’adaptation aux effets du dérèglement climatique. Les scientifiques préconisent notamment de : Laisser le carbone dans le sol et ne pas détruire les puits de carbone ; Maintenir et augmenter la surface végétale et arborée, qui génère ombre, régule la température, filtre l’air, ralentit naturellement l’écoulement des eaux, augmente la biodiversité ; Maintenir et augmenter la surface des sols vivants qui abritent la plus grande part de biodiversité, sont perméables et permettent d’éviter les surcroîts d’écoulements qui aggravent les inondations ; Rafraîchir les villes en été, les tempérer en hiver. La situation est connue, les solutions sont identifiées. (...)

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Friche Josaphat : les associations et collectifs demandent le retrait du PAD Josaphat

Des membres du gouvernement socialiste bruxellois ont réaffirmé le 20 septembre dernier leur volonté de bâtir sur 42 hectares de zones naturelles à Bruxelles, dont la friche Josaphat. Au nom du droit de tou·te·s les Bruxellois·es à avoir accès à un logement abordable ET à la nature, le collectif Sauvons la friche Josaphat et l’ensemble des associations et collectifs signataires rappellent leurs positions, dans une perspective plus large. “Quand le climat se dérègle, quand le béton envahit le vert de la ville, quand la biodiversité se casse la figure, les groupes les plus fragiles souffrent en premier. Pour eux comme pour de nombreux autres citadins, la nature en ville et ses bienfaits doivent profiter à tous, à commencer par les plus vulnérables. La vraie justice sociale, c’est bien la nature et le logement, pas l’un ou l’autre” déclare Pierre Ryckmans, porte-parole du collectif Sauvons la friche Josaphat. Bruxelles manque de logements abordables Bruxelles ne manque pas d’immeubles mais de logements abordables. Le but est de loger des gens à des prix raisonnables, pas de soutenir la promotion immobilière. La reconversion et la rénovation d’immeubles existants est une des priorités. La Secrétaire d’Etat au Logement ne dit pas autre chose en se félicitant de la rénovation de 18.467 logements, tandis que 13.435 autres sont en passe de l’être. La friche Josaphat : réservoir de biodiversité et symbole d’un nécessaire changement de paradigme 20.000 personnes ont signé la pétition Stop Béton à Bruxelles : Sauvons la friche Josaphat, visant à arrêter d’artificialiser les sols vivants, 8.000 suivent les réseaux sociaux dédiés, plus de 1.000 personnes ont marché le 13 mars 2022 autour du site. Le dossier a fait l’objet d’un rejet massif lors des enquêtes publiques (plus de 2.000 réactions négatives en novembre 2021). Le site est un havre de biodiversité : plus de 1200 espèces différentes y ont été répertoriées. C’est un refuge bruxellois essentiel pour les abeilles, bourdons, libellules, papillons, et une étape cruciale pour les oiseaux en migration. La partie ouest est qualifiée de « zone de très haute valeur biologique » par Bruxelles Environnement. Des collectifs et associations ont proposé plusieurs alternatives à la bétonisation du site Ces alternatives détaillées et motivées n’ont pas été écoutées par les pouvoirs publics. Pourtant, la friche Josaphat est une cuvette enclavée, humide en saison, au sous-sol lourdement pollué et traversée par une voie ferrée. La mobilité du quartier est déjà complexe, avec les transports publics et des voiries régulièrement saturés. Nous demandons aux autorités de procéder au changement de paradigme qui s’impose et de réconcilier nature et logement, en retirant l’actuel projet de Plan d’Aménagement Directeur Josaphat de l’ordre du jour du Gouvernement bruxellois. Signataires : Associations / collectifs / personnalités Comité Mediapark Collectif citoyen Protégeons la vallée...

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Écologie

Marais Wiels : que se trame-t-il à Forest ?

En mai se déroulait une manifestation à Forest pour la préservation du marais Wiels. Qu’est-ce qu’est le marais Wiels ? Il s’agit d’un terrain laissé à l’abandon pendant plusieurs années suite à la perforation de nappes phréatiques par une compagnie qui voulait y bâtir des logements et contribuer à la gentrification déjà bien entamée des communes du Sud de Bruxelles. Cela fait plus de dix ans que le terrain passe de main en main avec pour objectif d’y bâtir des logements de luxe. Actuellement, c’est la région qui veut y construire des logements. Mais les projets n’aboutissant pas, la nature n’a pas attendu et a commencé à y reprendre ses droits. S’y trouve maintenant, une zone naturelle assez sauvage qui offre un endroit où toute une faune et une flore se développe au cœur même de la ville. Cependant, les projets immobiliers n’ont jamais été oubliés. Une farouche résistance de la part d’habitants du quartier, d’associations ou de passionnés continue à s’y opposer et à lutter pour la préservation de cette biosphère unique. Cette manifestation était un jalon de cette opposition. Le terrain sur lequel le Marais Wiels se situe a longtemps été la propriété de la société Blaton, qui a bénéficié vers 2003-2004 d’un permis pour construire des bureaux. Des travaux ont été entamés et ont eu pour résultat de percer la nappe phréatique située au-dessous du site et d’en faire un « marais ». À l’automne 2008, en raison de la crise des subprimes, la société Blaton a cessé ses travaux et laissé le terrain en l’état. La Région Bruxelloise a ensuite modifié le Plan Régional d’Affectation des Sols (PRAS), ce qui a permis d’envisager de construire du logement sur le site. Blaton est revenu vers la Commune de Forest à partir de 2014 avec plusieurs demandes de permis cadrant avec le rêve de la Région Bruxelloise de produire des centaines de logements assez luxueux. Ces demandes ont été combattues par des comités d’habitants. Blaton a fini par jeter l’éponge et la Région a racheté le terrain. L’enjeu est donc ce que la Région va faire : ils souhaitent toujours construire des logements, mais en moins grande quantité. L’aspect écologique est très intéressant, puisque la succession des activités artificielles (industrie pendant le 20e siècle, travaux début 21e) a conduit à la création d’un biotope naturel tout à fait particulier. Groupe facebook Marais Wiels : https://www.facebook.com/groups/816164325164124 Source photo : www.lebrass.be

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Marche Tenreuken-Hippodrome de Boitsfort

6e étape pour la défense des sites naturels menacés ➥➥➥ NL Hieronder ➥➥➥ FR 📢 Rejoignez la GRANDE MARCHE organisée pour sauver Ten Reuken et la Forêt de Soignes Nous partirons de Tenreuken, corridor écologique menacé de minéralisation par différents projets immobiliers. Nous rejoindrons le site de l’hippodrome où un projet de parking menace une partie de la forêt via une modification du PRAS. La marche suivra la lisière et en illustrera l’importance. Ensemble, rappelons aux politiques que la nature en ville est indispensable à ses habitants ! ✊ Pour en savoir plus sur les revendications lisez la carte blanche que nous avons co-signée dans Le Soir (via le lien ci-dessous) ✊ Nous avons également remis au gouvernement un manifeste demandant un moratoire immédiat sur la destruction des sols vivants à Bruxelles (à consulter via le lien ci-dessous) Une initiative du Tuiniersforum des jardiniers avec les groupes d’action et les collectifs citoyens défendant la nature en ville. Avec le soutien de Natagora. Après les marches pour le Champ des Cailles, la Friche Josaphat, le Donderberg, le Marais Wiels, le Meylemeersch, c’est au tour de la lisière de la Forêt de Soignes avec les sites de Tenreuken et de l’hippodrome de Boitsfort ! D’autres marches suivront pour de nombreux autres sites menacés ✊✊✊ RDV dimanche 11 Septembre Accueil à partir de 13h30 Tenreuken 1170 (Tram N°8) Départ de la marche à 14h30 Marche jusqu’à l’hippodrome de Boitsfort Stands et discours. ➥➥➥ NL 📢 Kom naar deze GROTE MARS, georganiseerd om Ten Reuken en het Zoniënwoud te redden. We vertrekken aan Ten Reuken, ecologische corridor, bedreigd met verharding door verschillende immobiliën. Vandaar trekken we naar de site van de hippodroom waar een project voor een parking, door een gewijzigde GBP (de PRAS), een deel van het Zoniënwoud bedreigt. De mars loopt gedeeltelijk langs de bosrand en zal het belang daarvan belichten. Laten we samen de politici herinneren aan de essentie van natuur in de stad voor haar bewoners ! ✊ Om meer te weten over onze eisen kan u de open brief lezen die we samen ondertekenden in Le Soir (consulteren via link hieronder) ✊ We overhandigden ook een manifest aan de regering om een onmiddellijk moratorium te vragen op de vernieling van de levende Brusselse bodem die u kan kan consulteren via link hieronder (manifest in beide talen) : Een initiatief van het Tuiniersforum des jardiniers met andere actiegroepen, burgercollectieven die de natuur in de stad verdedigen en met de steun van Natagora. Na de marsen voor de Champ des Cailles, de Josaphatfriche, de Donderberg, het Wiels Moeras en de Meylemeerschvallei is het nu aan de sites Tenreuken en de hippodroom van Bosvoorde. Andere marsen volgen voor de talrijke bedreigde sites ✊✊✊✊✊ Afspraak op zondag 11 September Onthaal vanaf 13u30 Ten

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Appel au soutien à Donderberg Sauvage à la occupation de la forêt à Bruxelles

Des militants de la groupe Donderberg Sauvage occupent depuis vendredi matin la forêt sur la Donderberg à Laeken pour empêcher l’abattage des arbres Chers acteurs de protection environnementale, amoureux et curieux du vivant, agents de transition vers une société plus juste et durable, Le collectif Donderberg Sauvage fait appel à vous aujourd’hui afin de le soutenir dans la défense par l’occupation du Donderberg situé au nord de Bruxelles, dans la commune de Laeken ! La Donderberg est une friche de 3 hectares d’une valeur écologique importante, située au milieu d’un quartier densément peuplé. Cette forêt joue un rôle crucial pour maintenir la qualité de vie du quartier et constitue un maillon dans le couloir écologique qui relie plusieurs parcs bruxellois. Pour la construction du projet HOP, une école avec parking et terrains de sport, 171 arbres devraient être abattus, dont plusieurs sont âgés. En août, urban.brussels a accordé le permis de construction définitif. Depuis vendredi matin une vingtaine d’activistes occupent la forêt menacée par le bétonnage du Donderberg. Avec cette occupation permanente, le groupe souhaite empêcher l’abattage des arbres pour faire place au projet de construction mégalomane. Votre soutien à cette action serait précieux et important ! Comment soutenir ? En rejoignant nous directement sur le site. Votre présence compte ! Localisation : https://maps.app.goo.gl/rW9PqWunTrqKBBdu9 Partager sur vos réseaux Par votre expérience et expertise Via la (co)création d’ateliers, animations, des moments musical, ... Par des dons financiers https://opencollective.com/donderberg-sauvage Par des dons de matériel Love and rage !✊️🌳❤️‍🔥

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

4 juillet - journée -

[France/Tarn] Turboteuf, l’A69 c’est TOUJOURS NON

4-6 juillet, Tarn (81) Weekend de mobilisation – Animation - Concerts Rassemblement Samedi 14h Le 27 février dernier, le tribunal administratif de Toulouse jugeait l’autorisation environnementale de l’A69 illégale. Il estimait les dommages irréversibles que cette autoroute allait entraîner beaucoup trop importants au vu des « bénéfices très limités qu’aurait ce projet pour ce territoire et ses habitant.es ». Depuis lors, les machines se sont enfin tues ! Le 28 mai, le tribunal administratif de Toulouse a offert un sursis exécutoire pour que NGE puisse continuer les travaux en attendant la nouvelle décision du tribunal sur le fond, venant ternir les espoirs de remporter ce combat emblématique dans les luttes contre les grands projets écocidaires et anachroniques au profit d’intérêts privés. Une nouvelle décision de la cour d’appel aura lieu fin novembre, pouvant stopper les travaux à nouveau, seulement quelques petits mois après leur reprise. Durant ces 3 dernières années, tous les moyens nécessaires ont été mis en place contre cette langue de bitume de 400ha : actions juridiques, blocages, occupations, désarmement, sensibilisation, visibilisation de la lutte. Mais une stratégie a primée, celle de la complémentarité des modes d’intervention. Si c’est une décision juridique qui a forcé le chantier à s’arrêter en février, il est impossible de la décorréler des innombrables actions de terrain ayant amené des milliers de personnes – riverain.es, paysan.nes, écureuil.les, juristes, zadistes, parent.es d’élèves, artistes, retraité.es – à résister pied à pied sur le sol tarnais. Il s’agit donc d’affirmer que nous ne les laisserons pas passer en force et recommencer. Nous ne les laisserons pas poursuivre jusqu’au bout de leur politique de la destruction accomplie et arguer qu’un chantier ne peut plus être arrêté puisqu’il est déjà trop avancé. L’heure n’est plus au bitume mais à penser la renaturation des dizaines de kilomètres de prairies fertiles, collines et forêts arasées. Il n’y a plus lieu de remettre en route les tractopelles, mais bien de renoncer enfin aussi aux autres chantiers – méga-bassines, LGV Bordeaux Toulouse, LGV Lyon Turin, Canal Nord Seine Europe, A412, A133-A134, et bien d’autres – qui intoxiquent nos territoires, accaparent ce qu’il nous reste des terres et d’eau pour les rentes d’une minorité. Nous organisons donc une fête et rassemblement d’enterrement de l’A69 les 4,5,6 juillet aux abords du tracé de l’autoroute. Toutes les infos sur linktr.ee/stop_a69

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26 juin - 18h30 - Bosch

Soirée antinucléaire - Microfissures

Lancement de la brochure antinucléaire Microfissures et projection du documentaire La colère dans le vent Jeudi 26 juin au Bosch nous vous proposons une soirée autour de la thématique du nucléaire. Ouverture des portes à 18h30 Prix libre 19h - Présentation de la brochure Microfissures sur le nucléaire en Belgique La Belgique compte 2 centrales nucléaires, quelques missiles états-uniens, projette d’enfouir des déchets radioactifs pour au moins 100.000 ans, abroge la loi de sortie du nucléaire, investit dans des projets de recherches.... On est un petit groupe antinuke de non-spécialistes qui se sont dit que ça méritait d’en parler davantage ! Contre le nucléaire et son monde, pour comprendre l’histoire de la nucléarisation de la Belgique et son lien avec l’histoire coloniale et qui sont les acteurices actuelles Présentation du projet d’infokiosque mobile de fanzines sur le nucléaire °*°*°* Pause soupe *°*°*°* 20h30 - Projection du documentaire « La colère dans le vent » d’Amina Weira (Vrai vrai films, 2016, Niger, 54min) "Dans ma ville d’origine Arlit, au Nord du Niger, Areva exploite l’uranium depuis 1976. Aujourd’hui, une bonne partie de cette région, balayée par les vents de sable, est contaminée. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt. Cette exploitation a complètement désorganisé la vie de la population. Une partie de l’année, de violents vents de sable enveloppent entièrement la ville. Ce vent de poussière propage des substances radioactives. Chacun cherche un abri. La ville devient calme, toutes les activités sont stoppées. Mon père, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au cœur de ce film. Il va dépoussiérer ses souvenirs, les 35 années de son passage à la mine. Grâce à mon père, je vais à la rencontre d’autres anciens travailleurs qui ont certainement leur mot à dire."

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Écologie

[Ouganda] La répression pour imposer un projet d’oléoduc

L’oléoduc EACOP prévoit de mesurer environ 1.400 km de long, allant du Parc national Murchison Falls en Ouganda, jusqu’au port de Tanga en Tanzanie, pour acheminer du pétrole des 400 puits ougandais de Tilenga et Kingfisher jusqu’à la mer, où il pourra être vendu à l’international. Il est estimé que 246.000 barils de pétrole couleront chaque jour dans cet oléoduc, pendant les 25 années d’exploitation prévues. Ce projet est porté par les gouvernements de l’Ouganda, de la Tanzanie, ainsi que TotalEnergies et la China National Offshore Oil Corporation. 100.000 personnes ont été expropriées et lésées dans l’opération (les indemnités étant bien inférieures à la valeur des terres exprorpiées). En Ouganda, les protestations, pourtant pacifiques, sont réprimées. Une centaine de personnes ont été arrêtées et menacées par la justice, pour avoir participé à des manifestations. Le 21 mai, 9 personnes ont été arrêtées pour avoir manifesté devant le la banque KCB. Elles doivent faire face à l’accusion de « nuisances publiques ». Le 4 juin, Stephen Kwikiriza, figure de proue du mouvement d’opposition à l’EACOP, a été enlevé par des militaires. Il a été amené de poste militaire en poste militaire pendant une semaine pour y être passé à tabac, avant d’être jeté, mal en point, au bord d’un route, il y a deux jours.

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