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CINE-RENCONTRES : MÊME SI LE LION NE VEUT PAS de ZIN TV

CINE-RENCONTRES : MÊME SI LE LION NE VEUT PAS de ZIN TV

Bruxelles | sur https://stuut.info

📽️ CINE-RENCONTRES : MÊME SI LE LION NE VEUT PAS de ZIN TV dans le cadre du 23e festival du cinéma d’ATTAC

👉Synopsis : Piquets de grève, blocages des dépôts, appel au boycott, création d’un comité de soutien, les travailleuses et travailleurs de chez Ahold Delhaize luttent depuis 6 mois avec imagination et détermination contre la franchisation de leur enseigne qui vise à détricoter leurs droits. Face à eux, une direction inflexible qui peut compter sur le soutien des juges, des huissiers et de la police pour imposer leur plan.

💬 BAT « Anatomie d’une lutte, quels moyens d’action… ? »
Avec des travailleur.eus.e.s de chez Delhaize

INFOS PRATIQUES :
DATE : le Samedi 7 octobre 2023 à 14h
LIEU : au CBO, 407 chaussée de Jette 1090 Bruxelles
ENTRÉE : PRIX LIBRE dont les recettes iront à la caisse de solidarité avec les grévistes de chez Delhaize
RESERVATIONS : merci de réserver vos places via le lien suivant :
https://zintv.org/events/projection-meme-si-le-lion-ne-veut-pas-dans-le-cadre-du-f

Plus d’infos et programme complet du festival du cinéma d’ATTAC->
https://zintv.org/agenda/le-23eme-festival-du-cinema-dattac

Voir en ligne : Zin TV


Anciens évènements

CINE-RENCONTRES : MÊME SI LE LION NE VEUT PAS de ZIN TV

 samedi 7 octobre 2023  14h00 - 16h00
 samedi 7 octobre 2023
14h00 - 16h00
 CBO,

 

407 chaussée de Jette 1090 Bruxelles

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Classisme / Lutte des classes

Actie tegen de franchisenemers van Delhaize

Action contre les repreneurs de Delhaize (Denderleeuw). Portes d’entrées brisées et clashages. Gisteravond hebben we Delhaize-winkels in Denderleeuw beklad en de ruiten van hun deuren ingeslagen. De Proxy Delhaize is eigendom van Laure en Stijn Van Der Weeën, en de aangesloten Delhaize zal worden overgenomen door deze zelfde managers in de komende weken. Onze boodschap is duidelijk : jullie bij de overheersende partij in een sociaal klassenconflict aansluiten maakt je nog geen winnaar. Noch zullen jullie op jullie twee oren kunnen slapen. Laure en Stijn Van Der Weeën hebben besloten om een geïntegreerde Delhaize-winkel over te nemen ondanks het aanhoudende sociale conflict. Ze geloven dat ze boven de stemmen van de 9.000 arbeiders staan die al meer dan 5 maanden de alarmbel doen luiden. Ze bespotten openlijk de stem van de vakbonden en tonen hun minachting voor de collectieve organisatie van arbeiders. Ze liegen en pronken een ondernemersgezin te zijn en de prioriteit te geven aan consumenten en werknemers. Leugens, franchisering is enkel goed voor de portefeuille van verre bazen en aandeelhouders. Ze nemen deel aan de communicatiecampagne van de Ahold Delhaize groep die de stem van werkgevers en aandeelhouders uitdraagt, zwevend in een uitzinnigheid naar winst. In dit sociale conflict heeft Delhaize alles ingezet op communicatie en reclame. Met nog aggressievere campagnes tijdens de zomermaanden, net de tijd waarin de vakbond onderbezet is. Ze kiezen de kant van een bestuur dat noch overlegt, noch verzoenend is. Ze nemen duidelijk hun verantwoordelijkheid, met zware gevolgen. Franchise-aankopers, we zullen jullie niet gerust laten. Delhaize heeft verschillende van zijn geïntegreerde winkels onder 24-uurs toezicht geplaatst. Ze onderschatten de weerstand. Deze komt van overal, van binnen en van buiten, zal vele vormen aannemen. Er zullen nieuwe doelwitten zijn en, bovenal, onze weerstand is niet te stoppen, franchisering of niet. Laten we niet vergeten dat de scheiding tussen je privé- en je professionele leven een luxe is van de bevoorrechte klasse. Armoede en onzekerheid raken zowel het werk als het privéleven van een bevolking die worstelt om haar overgebleven rechten en middelen te verdedigen. Cette nuit, nous avons clashé les magasins Delhaize de Denderleeuw et brisé les portes d’entrées. Le Proxy Delhaize appartient à Laure et Stijn Van Der Weeën, et le Delhaize affilié sera repris par ces mêmes gérants dans les semaines à venir. Notre message est clair : vous ranger du côté des dominants d’un conflit de classes sociales ne vous rendra pas gagnants pour autant, et encore moins tranquilles. Laure et Stijn Van Der Weeën ont décidé de reprendre un magasin Delhaize intégré malgré le conflit social en cours. Ils se croient au dessus de la voix des 9000 travailleurs qui tirent le signal d’alarme depuis plus de 5 mois. Ils se moquent ouvertement de la voix des syndicats, montrant leur mépris envers l’organisation...

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Action de solidarité avec les grévistes Delhaize - Mons

⚡ action de solidarité avec les grévistes de Delhaize ce 24 juin 2023 à 10h ! Le Delhaize ciblé sera décidé lors de la réunion du comité de soutien de la veille Si tu veux nous rejoindre https://fb.me/e/1dzOX2wUo 🔥 Depuis le 7 mars 2023, les travailleuses et travailleurs de Delhaize essayent de faire entendre leurs droits. Ils sont en grève et se battent contre la franchisation et la déstructuration des droits sociaux dans le secteur retail. La réaction de Delhaize est d’une violence rarement égalée et le droit de grève est piétiné. Les grévistes sont menacés de lourdes amendes et la lutte sociale légitime est réprimé. 🔥 Face à la violence du patronat, nous, clients, travailleuses et travailleurs de tous les secteurs, citoyennes et citoyens solidaires, avons décidé d’apporter notre soutiens aux Delhaiziennes et Delhaiziens. Lors de nos deux premières actions, nous étions nombreux à nous rassembler en soutien aux travailleurs. Pour cette troisième action , soyons encore plus nombreux. 🔥 Puisqu’elles et ils sont empêchés de mener leur grève, nous vous appelons toutes et tous à boycotter l’enseigne Delhaize jusqu’à ce que le conflit social se soit résolu en faveurs des travailleuses et des travailleurs de Delhaize. 👉 Motivé.e à soutenir les travailleur.euse.s de Delhaize en lutte et à défendre le droit de grève et à l’action collective, rejoignez le comité de soutien aux travailleuses et travailleurs de Delhaize : soutienluttedelhaize@gmail.com Des covoiturages seront organisés lors de la réunion du comité !

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Delhaize - Loi Van Quickenborne, votre répression n’étouffera pas la colère...

Delhaize - Loi Van Quickenborne, votre répression n’étouffera pas la colère... Ces mots ont été tagués sur la façade en travaux du palais de justice de Bruxelles, tôt ce matin. Le groupe ayant tagué le palais revendique aussi des tags sur le ministère de la justice de Vincent Van Quickenborne ainsi que du "sacage" au bureau d’un huissier, à Kraainem, ayant participé à la répression du mouvement de lutte des Delhaiziens. Le groupe anonyme responsable de ces actions a écrit un communiqué de presse que nous avons également reçu. Nous vous relayons quelques extraits. Il faut « Dénoncer la logique de Van Quickenborne qui sous-entend que la violence n’existe qu’en raison d’un manque de répression. La violence dont il est question répond à des injustices socio-économiques et au mépris de la part des classes politiques et patronales ». (…) « Renforcer le cadre par cette loi n’étouffera rien, au contraire cela donne encore plus de légitimité aux attaques. Enfin, saper ces attaques au prétexte qu’elles sortent du cadre légal revient à faire miroiter que le cadre légal protègerait la population. Que cela soit bien clair : les dégâts humains créés par Delhaize et Vanquickenborne sont sans commune mesure face à de simples dégradations matérielles ». (…) « l’exécutif et le judiciaire ont en réalité déjà fait le choix d’une répression grandissante des mouvements sociaux. La lutte de Delhaize de ces derniers mois l’a montré. Une telle répression des piquets de grève est assez inédite, cette loi n’est pourtant pas encore passée. Ce projet de future loi ne doit pas nous illusionner sur la situation actuelle, qui est déjà alarmante en soi. Structurellement, les pouvoirs étatiques ont déjà fait le choix de toujours plus contrôler et réprimer les classes populaires, tout en laissant le champ libre aux multinationales et aux stratégies de leurs actionnaires ». (…) Notons que si la loi Van Quickenborne passe, les auteurs identifiés de ce type de tag seront interdits de manifestation.

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Médias

Des policier·ères lancent une cagnotte en soutien au policier qui a tué Fabian

Une fresque réalisée à Bruxelles en hommage à Fabian, 11 ans tué par une voiture de police. Le 2 juin 2025, un agent de police a tué Fabian, 11 ans, dans le parc Elisabeth. Il a renversé et écrasé le jeune garçon alors que celui-ci roulait en trottinette électrique. Le policier est poursuivi pour « entrave méchante à la circulation ayant entrainée la mort ». Il a été placé sous mandat d’arrêt et a été assigné à résidence sous bracelet électronique. En défense de leur collègue, des policier·ères ont initié une cagnotte visant à soutenir l’agent qui a tué Fabian. En parallèle, un rassemblement en soutien au policier était organisé ce vendredi 13 juin. Cette solidarité envers l’agent met en évidence un problème structurel dans la police : le corps policier considère que toute violence exercée par un·e policier·e est légitime et qu’iels ne peuvent pas être responsables de crimes commis. La cagnotte a été lancée par « Alpha Cops Asbl ». Une ASBL belge fondée il y a moins d’un an par des policier·ères. Le nom « Alpha Cops » semble être un renvoi à l’idéologie masculiniste du mâle alpha*. Dans ses statuts d’ASBL, disponibles publiquement, il est expliqué qu’elle a pour but « d’aider financièrement des policiers en service qui seraient victimes d’accidents graves tels que des attentats, accidents de la route, etc. L’association a également pour but d’aider financièrement la famille d’un policier ayant perdu la vie en service. […] L’association peut être l’intermédiaire d’action de solidarité envers un policier ou la famille d’un policier pour toute autre cause. » [1] Dans les médias, des policier·es, sous anonymat, expliquent que l’agent qui a tué Fabian « voulait simplement bien faire son travail« , que « Avec du recul, on est tenté de dire que les policiers ont tout mal géré lors de ce fameux lundi noir. Qu’ils n’auraient jamais dû poursuivre un enfant de 11 ans en trottinette électrique, que c’était disproportionné. Mais cela faisait simplement partie de leur mission. Dans et autour du parc Élisabeth, une lutte contre les nuisances fait rage depuis des mois : la drogue, mais aussi l’utilisation intempestive de trottinettes. Cette approche est inscrite noir sur blanc dans le plan de sécurité zonal. Ce soir-là, les policiers devaient procéder à des contrôles proactifs.” [2] Sur le plateau de la RTBF quelques jours à peine après la mort Fabian dans l’émission : » ‘QR le débat’ : Police, coupable ou victime ? « , un policier invité justifiait l’intervention policière ayant mené à la mort de Fabian par ces mots : « Je ne sais pas si l’enfant ici [Fabian], sa physionomie réelle, ressemblait à celle qu’on a mis dans la presse. […] Parfois un enfant de 12 ans en apparaît 18, parfois un de 18 parait 12. » Une rhétorique similaire pour justifier des violences sexuelles des adultes sur les enfants. Parallèlement, le plus grand syndicat de police du pays, le NSVP, se dit « consterné » par le fait que le policier soit poursuivi. Il déclare...

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En uniforme contre la justice : quand la police manifeste pour l’un des siens

En uniforme contre la justice : quand la police manifeste pour l’un des siens Ce vendredi 13 juin, au pied du Palais de justice de Bruxelles, un spectacle surréaliste s’est déroulé sous les yeux de manifestant·es venu·es réclamer justice pour Sourour Abouda, morte dans un contexte policier. Face à elles et eux, environ 200 policiers, en uniforme pour la plupart, sont venus soutenir l’un des leurs, inculpé pour la mort de Fabian, 11 ans. Une scène qui dit beaucoup de l’impunité policière en Belgique et du deux poids, deux mesures dans la gestion des mobilisations. Un enfant tué, un agent soutenu en uniforme Fabian, 11 ans, est mort le 4 juin à Ganshoren, renversé par un véhicule de police lancé dans une course-poursuite. Le policier au volant, âgé de 26 ans, a été inculpé pour entrave méchante à la circulation ayant entraîné la mort et placé en détention provisoire à domicile avec bracelet électronique. Cette décision a été prise car l’individu aurait menti lors de l’écriture de son PV, affirmant avoir les gyrophares et sirènes allumés, éléments démentis par l’analyse du véhicule de police. Il roulait également, toujours d’après les premiers éléments de l’enquête, à une vitesse supérieure à 40km/h dans un parc. Et pourtant cette décision a déclenché l’ire des syndicats policiers, qui dénoncent un « acharnement » judiciaire et médiatique. Le ton est donné dans l’appel à mobilisation rédigé par les collègues de l’agent, issus du service Trafic de la zone Bruxelles-Ouest : « Cela aurait pu être n’importe lequel d’entre nous. (…) Allons montrer que nous ne formons qu’un, le corps de police belge. » C’est donc à 13h, qu’environ 200 agents se sont rassemblés place Poelaert, en plein centre de Bruxelles, en uniforme, en contradiction flagrante avec la circulaire ministérielle GPI 65 de 2009 qui interdit le port de l’équipement fonctionnel lors de toute manifestation. Venir en uniforme, en tant que force publique, pour protester contre une décision judiciaire, celle d’un juge d’instruction, est un acte politique lourd de sens. Une manière de dire que la police, au-delà des procédures, reste juge de ses propres actes. « C’est un réel danger pour la démocratie que des policiers contredisent ouvertement une décision de justice, en tenue », s’indigne une manifestante. Une contre-manifestation… réprimée En face de cette manifestation en soutien au policier inculpé, quelques dizaines de citoyen·nes, venu·es dénoncer cette posture d’impunité, sont encerclé·es, nassé·es par la police. Une nasse, pourtant illégale, pratiquée ici à l’encontre de militant·es pacifiques, dont la majorité étaient présents pour soutenir la famille de Sourour. « C’est une démonstration en direct de ce que nous dénonçons : l’usage arbitraire de la force, le mépris des libertés fondamentales, la répression de toute opposition », témoigne une personne présente sur place. Une tentative de brouillage de la mobilisation pour Sourour Mais ce n’est pas...

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Fabian, 11 ans, fauché par la police : pour une émotion collective qui lutte contre l’oubli des autres morts

Fabian, 11 ans, fauché par la police : pour une émotion collective qui lutte contre l’oubli des autres morts Samedi 02 juin 2025, à Bruxelles. Un enfant de 11 ans, Fabian, meurt percuté par une voiture de police alors qu’il se trouve sur sa trottinette. Les circonstances exactes restent floues, mais l’événement a bouleversé une partie importante de la population. Une émotion forte s’est exprimée dans les médias, sur les réseaux sociaux, dans les familles, dans la rue. Et cette émotion est légitime. Elle est nécessaire. Un enfant meurt, et rien ne devrait jamais banaliser cela. 1. Un meurtre d’Etat à analyse à l’aulne raciale. Pourtant, à Bruxelles Panthères, à et dans tous les milieux antiracistes de terrain, nous savons qu’il ne s’agit ni d’un fait divers isolé, ni d’un simple accident de la route. C’est un meurtre d’État. Un assassinat policier inscrit dans un système de domination raciale. Dire cela n’est pas une provocation. C’est un impératif analytique. Il est impossible de comprendre la mort de Fabian sans adopter une lecture antiraciste, c’est-à-dire une lecture qui relie cette tragédie à un système plus large, celui de la suprématie blanche, et à ses manifestations concrètes dans les dispositifs policiers, judiciaires et médiatiques. C’est pourquoi l’ensemble des questions doivent être posées, y compris celle des (in)sensibilités différenciées selon la race. Car au-delà de la tristesse, du choc, de la sidération, une question politique profonde se pose. Pourquoi certaines morts suscitent-elles l’émotion collective et d’autres non ? Pourquoi la mort de Fabian devient-elle un fait de société, alors que celle d’Adil, d’Ibrahima, de Mehdi, de Lamine, …— pour ne citer qu’eux — n’a pas provoqué une indignation aussi large, aussi partagée, aussi transversale ? Soyons clairs : il ne s’agit pas d’opposer les douleurs. Il ne s’agit pas de dire que la mort de Fabian « mérite moins » de compassion. Au contraire : chaque vie compte, chaque deuil mérite d’être entendu, chaque injustice doit être dénoncée. Ce que nous proposons ici, c’est un déplacement du regard. Un appel à élargir notre boussole morale. Une invitation à interroger nos sensibilités collectives : à qui s’adresse-t-on quand on parle de victime ? À partir de quand une mort devient-elle « intolérable » ? Mais nous proposons aussi de penser Fabian comme une victime du racisme d’Etat. Les deux doivent être pensées « en même temps ». 2. La mort de Fabian, 11 ans : un meurtre d’État, un meurtre raciste — lecture antiraciste d’une tragédie structurelle 2.1. Une police structurée par la race Commençons par-là : la police belge est une structure d’État raciste, et elle ne peut être comprise autrement. Rappelons-le, le racisme n’est pas une attitude individuelle, mais, d’après la géographe abolitionniste Ruth Gilmore, la production et l’exploitation de différences groupales justifiant l’exposition différenciée à la mort. Or, que fait la police en...

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