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Toute l’équipe d’Irruption est plus déterminée et préparée que jamais pour continuer cette année à visibiliser et amplifier ces luttes sociales et environnementales toujours plus cruciales et déterminantes pour notre avenir à tous·tes.
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11 h : Visite guidée « Résistances » : Visite antifasciste de Liège animée par l’historienne Tifany De Oliveira. La Ville de Liège a une longue histoire d’engagements politiques et de Résistances. Durant cette visite guidée, vous déambulerez dans Liège à la rencontre de traces des luttes pour la liberté et la justice sociale ! Sur inscription obligatoire : loic.decamp@peuple-et-culture-wb.be, nombre maximum de participant.e.s : 20. 12 – 18h : Village associatif et militant : En présence d’une vingtaine de collectifs et d’associations belges et français dont : Mentor Jeunes, Cellule Lutte Contre les Discriminations, Les Chats Errants, La Horde, Le Front Antifasciste de Liège 2.0, La Voix des Sans Papiers de Liège, La Trans-Pédé-Gouine, À nous la nuit, Le Glue Gang, Le CADTM, La libraire Entre-Temps, La Cible ASBL, Les Jeunes FGTB, Arsenic2. Plus un atelier créatif pour enfant, un atelier sérigraphie (ramenez vos t-shirt et autres textiles !) par l’Atelier du coin et petite restauration prévue par les Sangliers lâchés. 14 – 16h et 16 – 18h : Ateliers animés. 14h. Atelier du FAL – Création de Fanzine : « Tu souhaites t’exprimer d’une manière où d’une autre pour lutter contre l’extrême droite ? Tu as un texte, un dessin, un collage, une chanson, un poème, une blague, un montage, une tribune ou n’importe quoi qui puisse se coucher sur papier ? Alors viens l’intégrer à un Fanzine (même si tu ne sais pas ce que c’est !) » Maximum 8 personnes. Inscription : chatserrants@mailo.com 14h. Atelier de la Cible – Les nouveaux visages de l’extrême droite : À partir de son nouveau livret pédagogique, l’ASBL La Cible vous propose une animation sur les mutations de leurs discours et de leurs stratégies mais également de terrasser le vampire en déployant des pistes d’actions collectives. Maximum 10 personnes. Inscription : info@lacible.be 16h Atelier du CPCR – KIKIDIKOI, quizz sur l’extrême droite : Afin de décortiquer les discours et programmes de l’extrême droite afin de mieux les repérer et d’éviter de tomber sous leurs charmes et pour donner des outils aux participants et participantes pour mieux déchiffrer les discours politiques de l’extrême droite, rien de tel qu’un quizz ! Maximum 20 personnes. Inscription : info@cpcr.be 16h Atelier de PEC – Jeux de rôle Clair-Obscur : Plongé dans un futur proche et un univers comparable au nôtre, les joueurs et joueuses vont interpréter différents personnages engagés politiquement. Défenses d’objectifs personnels, batailles de l’opinion publique et impacts sur le niveau démocratique sont au rendez-vous ! Êtes vous prêt.e.s à affronter « les monstres » ? Maximum 12 personnes. Inscription : stephane.jonlet@peuple-et-culture-wb.be 19 – 21h30 : Table ronde « Médias alternatifs et lutte contre l’extrême droite ». Intervenant.e.s : Philippe Engels de la coopérative « Médor », des intervenant.e.s de « Irruption-WebMédia Engagé » et de « Krasnyi collective ». La Ligue d’impro sera présente pour...
We did it ! Avec 700 personnes, nous avons mené quatre jours d’action contre Engie. Pendant quatre jours, Engie était bon gré mal gré à l’arrêt. Le siège social a été fermé pour qu’on puisse à notre aise le transformer en Engie-la-Plage. Le chantier de l’usine à gaz fossile de Flémalle était à l’arrêt car des centaines de personnes y avaient planté leurs tentes. Les centrales nucléaires de Doel et de Tihange étaient en état d’alerte maximale parce qu’Engie pensait qu’on allait aussi passer leur faire coucou. Envie de revivre les moments forts de l’action depuis chez vous ? Regardez vite la vidéo faite par Irruption Media, consultez la revue de presse, toutes les photos sur Facebook et Instagram et la chronologie étendue ci-dessous. Débriefing : jeudi 13 juillet à 18h. Plus d’informations ci-dessous. Pour celles et ceux qui auraient manqué un ou plusieurs épisodes de cette saison de Code Rouge, voici un petit récap’ des rebondissements survenus cette semaine : Mercredi matin, des briefings se tenaient à Bruxelles, Liège et Gand, pour former les fingers qui investiraient dans les heures suivantes les sites visés par Code Rouge. À partir de 18h, des centaines de participant·es descendaient des trains en gare d’Engis et Flémalle-Haute. Leur objectif : s’introduire sur le chantier d’une nouvelle centrale à gaz fossile, construite par Engie. Parallèlement, le courageux finger Tortue s’approchait de son but : poser avec leur bannière devant la centrale nucléaire de Tihange, et défier ainsi la loi interdisant les prises de vue des centrales nucléaires belges. Le finger Salmon est le premier à pénétrer sur le chantier, par la voie des airs, sur une passerelle surplombant la route. À 20h, les fingers Frog et Elephant rejoignent les Salmon et prennent possession des lieux. Le site est désormais entièrement bloqué. Le jeudi, un autre groupe, le finger Shark, s’élance à l’assaut du QG d’Engie à Bruxelles, armés de parasols et de ballons de plage. Cette action, organisée en collaboration avec différents mouvements pour la justice climatique et sociale et des syndicats, remporte l’adhésion du public avec des images bigarrées parues dans de nombreux médias. Grâce à une magnifique diversion de la part des activistes, la livraison du souper du jeudi soir peut finalement s’effectuer au nez et à la barbe de la police. Le vendredi, les fingers Bees et Bats réussissent à s’introduire en vagues successives sur le blocage, grâce à la collaboration des activistes déjà présent·es sur place qui érigent une barricade pour les protéger d’une interpellation de police. Le samedi matin, les activistes reçoivent une livraison très spéciale par kayak : c’est l’heure du déjeuner. À 14h, les activistes quittent les lieux pour rejoindre la manifestation de soutien organisée à Engis. La série d’actions contre Engie se finit sur des discours, de la musique et un délicieux repas frais préparé par nos ami·es de (...)
🔴 25.000 personnes ont manifesté ce mardi 22 Mai à Bruxelles pour les libertés syndicales et contre le dumping social. Les libertés syndicales sont mises à mal depuis des années en Belgique. Mais les provocations et attaques contre ces libertés atteignent des sommets depuis que s’est ouvert le conflit Delhaize. Avec le déploiement massif d’huissiers et de policiers sur les piquets dans tout le pays, le droit à l’action collective est brutalement touché. Des militants sont menacés d’astreintes pouvant aller jusqu’à 1 000 euros. D’autres sont arrêtés et menottés pour avoir fait grève, ou passent la nuit en prison pour avoir participé une manifestation solidaire… Des démonstrations de force à grande échelle sont utilisées, comme autant de tentatives d’intimidation. À la suite d’une requête unilatérale, un juge a décidé que les syndicats ne pouvaient plus empêcher l’accès aux magasins et dépôts, dans tout le pays, pendant le mois à venir. Les tribunaux estiment ainsi que les intérêts économiques d’une entreprise sont plus importants que le droit de grève, et que la liberté de commerce l’emporte sur le droit à l’action collective ! La défense des droits sociaux et syndicaux est donc rendue impossible en Belgique, contre l’avis du Comité européen des droits sociaux (Source : FGTB). Des actions de solidarité ont également été menées à travers tout le pays, notamment sous la forme de détournement de publicité appelant au boycott de Delhaize ou encore via des graffs. Manifestation pour les libertés syndicales et contre le dumping social (Conflit Delhaize) Lecture Réseau ADES Centrale Nationale des Employés SETCa LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES
🟠 Le graff, par qui, pour qui, pourquoi ? On a accompagné des graffeur·euses dans la réalisation de peintures à messages politiques ! L’espace public est un espace de danger et de violence pour certain·es, ses aménagements sont excluants, et il est saturé par les messages publicitaires. Pour ces artistes militant·es, le graff est l’un des outils par lesquels on peut le transformer. Pour elleux, les murs, panneaux de pubs, ponts, ou abords des gares sont des espaces visibles bons à être détournés et réappropriés par tous·tes, pour revendiquer et interpeller sur des sujets politiques importants. Récemment, iels se sont allié.e.s avec le collectif Abolish Frontex, qui lutte contre la militarisation des frontières européennes et Frontex, sa principale agente. « Les frontières Européennes tuent », « Ouvrez les frontières » ou encore « Welcome migrants », ont été peints dans différents endroits du pays. Pour en savoir plus sur Abolish Frontex, suivez leur compte Instagram/Facebook. Alors, murs blancs, peuple muet ? Le graff engagé : par qui, pour qui, pourquoi ? Lecture Crédit photo : @DisposableYouth LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES
🔴 Le 20 juin dernier, nous suivions une action du réseau @abolishfrontex . Celui-ci lutte contre Frontex, l’agence Européenne de surveillance des frontières, qui est le bras armé de la politique migratoire criminelle de l’EU. Depuis 1993, au moins 52.760 personnes sont mortes à cause des frontières européennes : en traversant la mer, refoulées par les garde-côtes, torturées et tuées après avoir été déportées,… L’EU veut renforcer son action en la dotant de 10.000 garde-frontières d’ici 2027, alors qu’elle en compte aujourd’hui 1500. La crise de l’accueil est organisée par l’EU et ses états-membres. Les frontières Européennes tuent impunément. Pour plus d’infos : https://abolishfrontex.org/ Action d’Abolish Frontex - Nos frontières européennes tuent. Lecture https://www.irruption.be/ https://www.instagram.com/irruption_webmedia/ https://www.facebook.com/IrruptionMedia LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES
Le 4 juillet 1982, l’ancien membre du Black Panther Party et journaliste Mumia Abu Jamal était condamné à mort (voir notre dossier ). Récemment, la plus haute juridiction de Pennsylvanie a refusé d’examiner les ultimes recours de sa défense prouvant la partialité et l’inconduite des magistrats lors de son procès grâce à la découverte d’archives ces dernières années (voir notre article ). Cette décision condamne Mumia Abu Jamal à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Pour commémorer l’anniversaire de sa condamnation injuste en 1982 et exiger sa libération immédiate, plusieurs initiatives sont organisées ce samedi 5 juillet, parmi lesquelles une marche à Philadelphie ainsi qu’un rassemblement place de la Concorde à Paris dès 18H.
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