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ARTICLES LIÉS

Extrême-droite / Antifascisme

Programme : Festi’FAL 2023 le festival ardemment antiraciste !

11 h : Visite guidée « Résistances » : Visite antifasciste de Liège animée par l’historienne Tifany De Oliveira. La Ville de Liège a une longue histoire d’engagements politiques et de Résistances. Durant cette visite guidée, vous déambulerez dans Liège à la rencontre de traces des luttes pour la liberté et la justice sociale ! Sur inscription obligatoire : loic.decamp@peuple-et-culture-wb.be, nombre maximum de participant.e.s : 20. 12 – 18h : Village associatif et militant : En présence d’une vingtaine de collectifs et d’associations belges et français dont : Mentor Jeunes, Cellule Lutte Contre les Discriminations, Les Chats Errants, La Horde, Le Front Antifasciste de Liège 2.0, La Voix des Sans Papiers de Liège, La Trans-Pédé-Gouine, À nous la nuit, Le Glue Gang, Le CADTM, La libraire Entre-Temps, La Cible ASBL, Les Jeunes FGTB, Arsenic2. Plus un atelier créatif pour enfant, un atelier sérigraphie (ramenez vos t-shirt et autres textiles !) par l’Atelier du coin et petite restauration prévue par les Sangliers lâchés. 14 – 16h et 16 – 18h : Ateliers animés. 14h. Atelier du FAL – Création de Fanzine : « Tu souhaites t’exprimer d’une manière où d’une autre pour lutter contre l’extrême droite ? Tu as un texte, un dessin, un collage, une chanson, un poème, une blague, un montage, une tribune ou n’importe quoi qui puisse se coucher sur papier ? Alors viens l’intégrer à un Fanzine (même si tu ne sais pas ce que c’est !) » Maximum 8 personnes. Inscription : chatserrants@mailo.com 14h. Atelier de la Cible – Les nouveaux visages de l’extrême droite : À partir de son nouveau livret pédagogique, l’ASBL La Cible vous propose une animation sur les mutations de leurs discours et de leurs stratégies mais également de terrasser le vampire en déployant des pistes d’actions collectives. Maximum 10 personnes. Inscription : info@lacible.be 16h Atelier du CPCR – KIKIDIKOI, quizz sur l’extrême droite : Afin de décortiquer les discours et programmes de l’extrême droite afin de mieux les repérer et d’éviter de tomber sous leurs charmes et pour donner des outils aux participants et participantes pour mieux déchiffrer les discours politiques de l’extrême droite, rien de tel qu’un quizz ! Maximum 20 personnes. Inscription : info@cpcr.be 16h Atelier de PEC – Jeux de rôle Clair-Obscur : Plongé dans un futur proche et un univers comparable au nôtre, les joueurs et joueuses vont interpréter différents personnages engagés politiquement. Défenses d’objectifs personnels, batailles de l’opinion publique et impacts sur le niveau démocratique sont au rendez-vous ! Êtes vous prêt.e.s à affronter « les monstres » ? Maximum 12 personnes. Inscription : stephane.jonlet@peuple-et-culture-wb.be 19 – 21h30 : Table ronde « Médias alternatifs et lutte contre l’extrême droite ». Intervenant.e.s : Philippe Engels de la coopérative « Médor », des intervenant.e.s de « Irruption-WebMédia Engagé » et de « Krasnyi collective ». La Ligue d’impro sera présente pour...

Wallonie Wallonie |
Écologie

Code-Rouge #2 / Fin de la semaine d’actions Contre Engie

We did it ! Avec 700 personnes, nous avons mené quatre jours d’action contre Engie. Pendant quatre jours, Engie était bon gré mal gré à l’arrêt. Le siège social a été fermé pour qu’on puisse à notre aise le transformer en Engie-la-Plage. Le chantier de l’usine à gaz fossile de Flémalle était à l’arrêt car des centaines de personnes y avaient planté leurs tentes. Les centrales nucléaires de Doel et de Tihange étaient en état d’alerte maximale parce qu’Engie pensait qu’on allait aussi passer leur faire coucou. Envie de revivre les moments forts de l’action depuis chez vous ? Regardez vite la vidéo faite par Irruption Media, consultez la revue de presse, toutes les photos sur Facebook et Instagram et la chronologie étendue ci-dessous. Débriefing : jeudi 13 juillet à 18h. Plus d’informations ci-dessous. Pour celles et ceux qui auraient manqué un ou plusieurs épisodes de cette saison de Code Rouge, voici un petit récap’ des rebondissements survenus cette semaine : Mercredi matin, des briefings se tenaient à Bruxelles, Liège et Gand, pour former les fingers qui investiraient dans les heures suivantes les sites visés par Code Rouge. À partir de 18h, des centaines de participant·es descendaient des trains en gare d’Engis et Flémalle-Haute. Leur objectif : s’introduire sur le chantier d’une nouvelle centrale à gaz fossile, construite par Engie. Parallèlement, le courageux finger Tortue s’approchait de son but : poser avec leur bannière devant la centrale nucléaire de Tihange, et défier ainsi la loi interdisant les prises de vue des centrales nucléaires belges. Le finger Salmon est le premier à pénétrer sur le chantier, par la voie des airs, sur une passerelle surplombant la route. À 20h, les fingers Frog et Elephant rejoignent les Salmon et prennent possession des lieux. Le site est désormais entièrement bloqué. Le jeudi, un autre groupe, le finger Shark, s’élance à l’assaut du QG d’Engie à Bruxelles, armés de parasols et de ballons de plage. Cette action, organisée en collaboration avec différents mouvements pour la justice climatique et sociale et des syndicats, remporte l’adhésion du public avec des images bigarrées parues dans de nombreux médias. Grâce à une magnifique diversion de la part des activistes, la livraison du souper du jeudi soir peut finalement s’effectuer au nez et à la barbe de la police. Le vendredi, les fingers Bees et Bats réussissent à s’introduire en vagues successives sur le blocage, grâce à la collaboration des activistes déjà présent·es sur place qui érigent une barricade pour les protéger d’une interpellation de police. Le samedi matin, les activistes reçoivent une livraison très spéciale par kayak : c’est l’heure du déjeuner. À 14h, les activistes quittent les lieux pour rejoindre la manifestation de soutien organisée à Engis. La série d’actions contre Engie se finit sur des discours, de la musique et un délicieux repas frais préparé par nos ami·es de (...)

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Économie / Anticapitalisme

Manifestation pour les libertés syndicales et contre le dumping social

🔴 25.000 personnes ont manifesté ce mardi 22 Mai à Bruxelles pour les libertés syndicales et contre le dumping social. Les libertés syndicales sont mises à mal depuis des années en Belgique. Mais les provocations et attaques contre ces libertés atteignent des sommets depuis que s’est ouvert le conflit Delhaize. Avec le déploiement massif d’huissiers et de policiers sur les piquets dans tout le pays, le droit à l’action collective est brutalement touché. Des militants sont menacés d’astreintes pouvant aller jusqu’à 1 000 euros. D’autres sont arrêtés et menottés pour avoir fait grève, ou passent la nuit en prison pour avoir participé une manifestation solidaire… Des démonstrations de force à grande échelle sont utilisées, comme autant de tentatives d’intimidation. À la suite d’une requête unilatérale, un juge a décidé que les syndicats ne pouvaient plus empêcher l’accès aux magasins et dépôts, dans tout le pays, pendant le mois à venir. Les tribunaux estiment ainsi que les intérêts économiques d’une entreprise sont plus importants que le droit de grève, et que la liberté de commerce l’emporte sur le droit à l’action collective ! La défense des droits sociaux et syndicaux est donc rendue impossible en Belgique, contre l’avis du Comité européen des droits sociaux (Source : FGTB). Des actions de solidarité ont également été menées à travers tout le pays, notamment sous la forme de détournement de publicité appelant au boycott de Delhaize ou encore via des graffs. Manifestation pour les libertés syndicales et contre le dumping social (Conflit Delhaize) Lecture Réseau ADES Centrale Nationale des Employés SETCa LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES

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Extrême-droite / Antifascisme

Hommage à Semira Adamu : tous·tes contre les centre fermés

🔴 Le Dimanche 24 Septembre 2023, plusieurs centaines de personnes se sont réunies à l’esplanade Sainte Gudule à Bruxelles contre les centres fermés et en hommage à Semira Adamu. Il y a 25 ans, Semira Adamu, jeune femme nigériane de 20 ans, subit sa sixième tentative d’expulsion, à laquelle elle tente de résister encore, en chantant. Les 9 gendarmes qui l’« escortent » veulent alors la faire taire et décident d’appliquer la « technique du coussin ». Pendant 11 minutes, ils maintiennent sa tête enfoncée dans un coussin. Ils la tuent. Son assassinat choque le pays tout entier. Des mobilisations s’organisent et conduisent alors à la démission quelques jours plus tard du ministre de l’intérieur Louis Tobback. La politique de retour forcé (expulsions) est questionnée publiquement. Pourtant aujourd’hui rien n’a changé. Des milliers d’autres personnes ont depuis été enfermées au centre 127 bis, dans cette même prison qui ne dit pas son nom. D’autres « centres fermés » ont depuis été construits. Aujourd’hui, on en dénombre 6 en Belgique, et les gouvernements successifs prévoient d’en construire d’autres encore. Les expulsions se font à la chaîne : elles se comptent par milliers chaque année. Plus d’infos : Getting The Voice Out Niemand is illegaal . No one is illegal . Personne n’est illegal Abolish Frontex Hommage à Semira Adamu : tous·tes contre les centre fermés Lecture https://www.irruption.be/ https://www.instagram.com/irruption_webmedia/ https://www.facebook.com/IrruptionMediaLES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES

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Contrôle social / Répression

[Vidéo] Manifestant·es, pas criminel·les – Non à la loi Van Quickenborne

🔴 Le 5 octobre, plus de 10.000 manifestant.es issus de syndicats, ONG des droits humains, ONG environnementales ou de simples citoyenn.es, se sont rassemblés à Bruxelles devant le cabinet du ministre de la justice Vincent Van Quickenborne pour marquer leur opposition à sa loi qui portera atteinte au droit de manifester et aux droits fondamentaux. Après avoir fait entendre leur voix devant les bureaux du ministre, ils se sont rendus devant les sièges d’Ecolo et du Parti Socialiste (PS) pour les appeler à la raison : ne pas voter cette loi. Censé viser une interdiction de manifester pour les « casseurs », le texte, tel qu’il est rédigé, risque de pénaliser beaucoup plus largement les militant.es et les activistes de tous horizons. Des personnes engagées dans les causes sociales, environnementales, etc. risquent à l’avenir une double condamnation, et une interdiction de se rendre dans des manifestations légales. Se pose aussi la question de la mise en pratique de la loi. Comment, dans les faits, les autorités vont-elles contrôler l’application de la peine ? Est-ce que cela signifie que des contrôles d’identité auront lieu dans des manifestations ? Que l’on utilisera la reconnaissance faciale ? Ce projet de loi peut pénaliser citoyennes et citoyens qui se rendent à des manifestations et est donc dangereux pour la démocratie. Si la loi du Ministre de la Justice Van Quickenborne est votée, les militant·es les plus engagé·es, quelle que soit la cause défendue, risquent bien de ne plus pouvoir manifester dans ce pays ! Manifestant·es, pas criminel·les - Non à la loi Van Quickenborne Lecture LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Médias

Après la mort de Fabian, la répression policière s’abat sur les proches

Lundi 2 juin, dans le parc Élisabeth à Bruxelles, Fabian, un enfant de 11 ans, a été tué, percuté par une voiture de police qui roulait à plus de 40 km/h, sans sirène ni gyrophare, alors que des policiers poursuivaient l’enfant dans un parc. Aucune trace de freinage n’a été retrouvée sur place. Le dimanche qui a suivi, une marche blanche en hommage à Fabian a rassemblé plus de 1000 personnes. Mais cette mobilisation solidaire s’est achevée par des violences policières. La police a dispersé les participant·es avec force : usage de flashballs, autopompes, présence de la brigade anti-banditisme (BAB). Les témoignages rapportent une répression policière brutale tout au long de la semaine. Perquisitions, intimidations, passages à tabac, pression pour faire retirer une banderole. La douleur d’une communauté et l’indignation face aux meurtres policiers se sont trouvées face à une tentative d’étouffement par la violence institutionnelle. Retour sur la semaine qui a suivi le décès de Fabian. Après la mort de Fabian, la police quadrille le lieu des faits. Alors que Fabian est encore là au sol dans le parc, 2 jeunes proches de Fabian veulent venir près de lui. Ils se font chasser : gazés et insultés. Des habitant·es, des proches, viennent se recueillir au parc, et se rapprochent du lieu la scène pour essayer de comprendre, exprimer leur colère. Beaucoup sont choqué·es. Dans une vidéo que nous avons pu consulter, on entend un agent dire : « Vous allez me chercher votre carte d’identité, madame ? » alors qu’il n’y a pas plus de 10 personnes, toutes non-violentes. Un autre policier tente alors de justifier la mort de l’enfant en déclarant : « Quand vos jeunes en trottinette tuent des petites vieilles sur les trottoirs ». Ce à quoi un habitant rétorque : « Donc, rouler sur un trottoir, ça mérite la mort ? » La police a ensuite ordonné aux personnes de circuler, alors même qu’elles se trouvaient dans la rue, un espace public où elles ont pleinement le droit de circuler ou de rester. Dans la même journée, un policier lance à un habitant « Qu’est-ce que tu t’en fous, toi, t’es maghrébin ». Ce dernier nous explique : « Il dit ça comme si on avait la haine, comme si on n’avait pas de cœur ! Je lui ai dit moi, qu’il soit juif noir blanc chinois, athée, chrétien, n’importe je m’en fous je l’aurais défendu parce qu’on est des humains avant d’avoir notre nationalité, nos cultures » La police interdit de filmer ou de parler avec les témoins directs qui ont très vite été emmené·es au poste. Plusieurs personnes présentes ce soir-là affirment que c’est à cet instant que des personnes auraient été identifiées par les forces de l’ordre pour avoir exprimé leur colère en interpellant les policiers par rapport aux meurtres policiers. Dans les jours suivants, certain·es vont faire l’objet d’interpellations ciblées. Vers 19h, une dizaine de jeunes, non-blancs pour la plupart, sont présents au parc Élisabeth. Ils sont calmes, posés sur un banc. Des...

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