stuut.info

[Rencontre] Les Marolles, un quartier en lutte ? - Léopold

[Rencontre] Les Marolles, un quartier en lutte ? - Léopold

Bruxelles n’existait pas encore que les Marolles accueillaient indigents, lépreux et chiffoniers.

sur https://stuut.info

Tout au long de son histoire, les pouvoirs en place ont tenté d’incendier, moraliser, détruire, reconstruire et sabloniser les Marolles. Mais rien n’y fait, malgré des désirs de grands projets, voir de gentrification accélérée quelque chose résiste, ça zwanze, ça marchande, ça bricole et ça lutte comme en témoigne la guerre des matelas de 91, la Bataille des Marolles de 69 avec l’Abbé Vanderbiest et le fameux slogan « on a marché sur la lune, on ne marchera pas sur les Marolles ».
Avec Léopold, habitant et guide dans les Marolles, proche de l’ancien Comité d’action de lutte des Marolles et éditeurs du désormais épuisé *800 ans de luttes dans les Marolles* ainsi qu’avec le collectif ATTA (collectif co-auteur d’un livre de rencontres avec des habitants des Marolles) nous discuterons de ce qui fait la vie et l’âme de ce quartier malmené mais toujours debout.


Anciens évènements

[Rencontre] Les Marolles, un quartier en lutte ? - Léopold

 mercredi 22 février 2023  19h00 - 22h00
 mercredi 22 février 2023
19h00 - 22h00
 Librairie Météores,

 

rue Blaes 207, Bruxelles

Notes

Une question ou une remarque à faire passer au Stuut? Un complément d'information qui aurait sa place sous cet article? Clique ci-dessous!

Proposer un complément d'info

ARTICLES LIÉS

Médias

Le « Pavé dans les Marolles » sort son numéro 10 !

Né en 2017 d’un réseau de connaissances nouées pendant la bataille contre la construction d’un parking sous la place du Jeu de Balle, ce journal à parution aléatoire est fait par des habitants·es et usagers·ères des Marolles pour parler de petites histoires de quartier qui font aussi l’histoire des villes, celle de Bruxelles en particulier. Gratuit comme toujours, le nouveau numéro est composé de 28 pages sans publicité et aux sujets variés. Venez le découvrir en primeur et rencontrer l’équipe autour d’un verre, à la librairie Météores. Édito : “Déconfiné” titrions-nous en été 2020 en une du n°8 de notre journal. On vous parlait du marché aux puces pas encore rouvert, des commerces en temps de la Covid, de la mobilisation du personnel médical du CHU, des violences policières Cité Hellemans… Depuis au gré des reconfinement, redéconfinement, re-reconfinement, re-redéconfinement, notre collectif peinait à se retrouver… Mais nous voilà de retour ! Nous sommes toujours convaincu·e·s qu’un petit journal qui parle avec plaisir de la vie du quartier, tout en mettant en lumière les transformations sociales et urbanistiques en cours, est primordial. Au fil des numéros, nous avons pu nous rendre compte, qu’en partant d’un espace circonscrit et qu’en essayant de servir de porte-voix aux 1000 histoires qui sillonnent toujours ses rues, qu’en décrivant des lieux, des événements liés à notre vie quotidienne, qu’en documentant le passé, se dessine un monde. Avec la publication du numéro 9 du Pavé dans les Marolles, journal papier toujours distribué gratuitement, nous continuerons à écrire ce qui nous semble important pour ne pas s’en laisser conter ni compter sur les problèmes du quartier. Entre autres, ceux causés par la gentrification déployée par les pouvoirs publics et les promoteurs privés, la révolte d’habitants notamment celle des mères du quartier. Le Pavé reste aussi attentif aux réunions de la Commission du Contrat de Quartier Marolles pour veiller à ce que le programme serve les intérêts de la population la plus précaire. Ce n’est pas toujours gagné… Dans ce numéro, vous pourrez lire aussi la suite passionnante de l’histoire de la Maison du Peuple et notre amusante exploration du musée créé à la gloire d’un chanteur qui ne chantera plus jamais aux prochaines fêtes nationales… On a pris beaucoup de plaisir à réfléchir et à écrire ensemble. Et on s’est surtout bien marré pour ce n°9 ! Un numéro qui en appelle d’autres ! Si vous habitez le quartier et que vous avez une idée d’article qui vous trotte dans la tête, n’hésitez pas : écrivez-nous, rencontrons-nous, rejoignez-nous !

Bruxelles Bruxelles |
Logement / Squat

Operation ’Matelas’ : les Marolles contre la gentrification (1989)

Contenu réalisé par Irruption-Webmedia Contexte : En juillet 1989, la ville de Bruxelles déclare 12 immeubles insalubres dans le quartier de la Samaritaine, se situant dans les Marolles. 79 personnes louant ces appartements reçoivent alors des avis d’expulsions, sans plan de relogement au sein du quartier. Dès le début des années 80, le quartiers populaire des Marolles subit l’arrivée de propriétaires et promoteurs immobiliers (qu’avait subi précédemment le quartier du Sablon) qui voient en ce quartier un potentiel commercial important pour faire du profit. Les habitant.e.s doivent faire face à des hausses de loyers ou des expulsions pour cause d’insalubrité. Les immeubles ensuite rénovés ne leur sont plus destinés et leur deviennent inaccessibles. L’annonce de 1989 est une nouvelle tentative de “sablonisation”, terme local pour “gentrification”. Le Sablon, (re-)devenu un quartier couru, s’étend petit à petit au quartier des Marolles. Les habitant.e.s et commerçant.e.s plus aisé.e.s remplacent ainsi les plus précaires. Déroulé des évènements : Suite à plusieurs réunions entre les habitant.e.s réuni.e.s en comité et les pouvoirs publics se révélant infructueuses, les samaritain.e.s passent à la vitesse supérieure : il.elle.s prennent la rue ! « L’opération matelas » se met en place : le quartier, alors rebaptisé « Quartier libre de la Samaritaine », est investi par les matelas et les fauteuils, et les habitant.e.s y passent leurs nuits. Il.elle.s sont rejoints par diverses associations et réclament le droit de rester vivre dans leur quartier. Le 13 Août, les habitant.e.s et leurs soutiens annoncent : « Nous bloquerons les rues de la Samaritaine et des Chandeliers, et réclamerons un droit de passage de 50 francs à ceux qui voudront emprunter ces rues ! ». L’action est plus symbolique qu’effective, mais restera tout de même dans les mémoires. Impact : Ce mois d’occupation à la belle étoile imposera à la ville et aux propriétaires de faire des pas de côté : plusieurs suspensions des arrêtés d’expulsions ont lieu, le relogement au sein du quartier et la prise en charge de ses coûts sont garantis par les pouvoirs publics, une commission de concertation pour la rénovation du quartier est créée, et les propriétaires s’engagent à rénover les immeubles tout en maintenant les loyers accessibles. Finalement, la majorité des habitant.e.s seront relogé.e.s dans le quartier, mais certain.e.s seront tout de même contraint.e.s de le quitter. La ville mettra également en place un plan de construction de 80 logements sociaux dans le quartier, dont le comité de la Samaritaine assurera l’accompagnement des personnes. A l’heure actuelle, le comité est toujours actif et le droit au logement constitue toujours un enjeu crucial au sein du quartier des Marolles. Sources : Pavé dans les Marolles (2019) 1989, Opération Matelas : chronique d’une insoumission marollienne Comité de la Samaritaine (Site internet) Radio Panik...

Bruxelles Bruxelles |
Racismes / Colonialismes

[Projo de Soutien] : « La bataille des Marolles »

Projection en soutien de l’action d’occupation du 12 rue de la Porte Rouge. AU PROGRAMME : 19h : soupe et croque-monsieur 20h : projection du film « La bataille des Marolles » (1969) - 63 minutes. LE FILM : Emission « Fait dIvers » de Novembre 1969 En juin 1969, les habitant·e·s du quartier des Marolles luttent contre le projet d’extension du palais de justice qui menace de raser leurs maisons. Face à un gouvernement qui les tait, les réalisateurs Pierre Manuel et Jean-Jacques Péché leur donnent la parole. RAPPEL DES EVENEMENTS (communiqué du 16/09/2022) : Depuis le 16 septembre, une famille, soutenue par le collectif Jacques Van der Biest et plusieurs associations [1] occupe l’immeuble situé au n°12 de la rue de la Porte Rouge dans les Marolles (1000 Bruxelles). L’occupation de ce bâtiment, appartenant à la Fabrique d’Eglise des Minimes est vide depuis plusieurs mois, permet de loger dès aujourd’hui des personnes précaires et sans logement. Une famille avec 5 enfants, victime d’un marchand de sommeil s’était faite expulser le matin même, sans solution de relogement. En parallèle, l’occupation souhaite dénoncer la vente de l’immeuble et de 4 bâtiments voisins à un promoteur privé plutôt qu’au CPAS de la Ville de Bruxelles. Fin 2021, la Fabrique d’Église des Minimes a en effet accepté l’offre d’un promoteur privé pour le rachat des 5 immeubles alors que le CPAS de la Ville de Bruxelles avait fait une offre quasi équivalente. L’intention du CPAS était pourtant d’y créer du logement de transit pour reloger les personnes précaires ou dans une situation de vulnérabilité (personnes sans-abri, victimes de violences familiales et conjugales, d’insalubrité, d’expulsion, d’incendie, ...). Le besoin de logements abordables est de plus en plus criant, comme en témoignent les associations qui soutiennent l’action et qui accompagnent les personnes logées actuellement dans le bâtiment. Est-il normal que la Fabrique d’Eglise privilégie quelques euros de plus, plutôt que d’aider le CPAS à réaliser sa mission d’aide et de relogement des plus vulnérables ? La vente des bâtiments à un promoteur immobilier risque, tout au contraire, de renforcer la spéculation immobilière et la hausse des loyers dans ce quartier en pleine gentrification. Les Fabriques d’Église sont sous la tutelle de la Région de Bruxelles-Capitale. Pour que la transaction puisse se réaliser, le Ministre-Président Rudi Vervoort doit donner son accord écrit. Dans son Plan d’Urgence Logement 2020-2024, le gouvernement bruxellois s’est engagé à lutter contre la crise du logement abordable qui frappe plus de la moitié des habitant·e·s de la Capitale. Il serait donc cohérent que les pouvoirs publics ne donnent pas leur aval à cette vente et qu’ils soutiennent le rachat des biens par le CPAS de la Ville de Bruxelles ou par une société immobilière de service public (logement sociaux) afin de contribuer à l’augmentation du nombre de logements abordables. La...

Bruxelles Bruxelles |
Racismes / Colonialismes

Bruxelles, prends garde aux Mèrolutionnaires des Marolles !

Nous (Pavé dans les Marolles) sommes parti.e.s à la rencontre de Saida et Fatiha Amarchouh, deux mamans du quartier qui ont participé à la création du collectif “Les Mèrolutionnaires” début 2021 pour soutenir les jeunes et les mamans du quartier afin de défendre leur droit à occuper l’espace public dans la sérénité, la paix et la sécurité. Pourriez-vous vous présenter ? Depuis combien de temps habitez-vous le quartier ? Saida : Moi c’est Saida Amarchouh, j’ai 41 ans et j’habite le quartier depuis fin 1989. Fatiha : Moi je suis la sœur de Saida, je m’appelle Fatiha Amarchouh et j’ai habité le quartier en même temps que ma sœur. Comment s’est créé le collectif ? Saida : Le collectif s’est créé au fur et à mesure. Au départ ça ne devait pas être un collectif mais une simple rencontre entre voisins. Une arrestation arbitraire a eu lieu le 31 décembre 2020. Ce jour-là nos enfants jouaient au foot, ils avaient organisé un tournoi pour Noël. Le jour de la finale, ils se sont réunis pour jouer le match et ils ont été arrêtés par la police. Une arrestation incomprise, injuste, arbitraire. C’étaient des enfants qui étaient très jeunes, des mineurs et même des enfants de 8 ans qui étaient sur place. Tout le monde a été mis dans le même sac. C’était vraiment impressionnant. Nos enfants étaient par terre dans l’eau, colsonnés, dans le froid. On a décidé d’avoir une rencontre avec le bourgmestre pour exprimer notre frustration et pour dire qu’on n’était pas d’accord avec ce qui s’était passé. Au fur et à mesure, on s’est dit que si on était plusieurs mamans, notre parole aurait plus de poids. On a essayé de réunir des mamans et quand on a vu que ça marchait bien et qu’il y avait une bonne entente, on s’est dit qu’on pourrait créer un collectif. Quel impact a eu l’arrestation du 31 décembre 2020 sur votre enfant ? Fatiha : Mon fils va avoir 15 ans et depuis cette arrestation, il n’est plus le même. Il ne travaille plus bien à l’école, il a une colère en lui, il ne respecte plus les professeurs. Il déteste la police. C’est plus le même garçon qu’avant. Au lieu de se renfermer sur lui-même, au contraire, il se révolte. À la maison ça va, mais dès qu’il est dans le monde extérieur, ce n’est plus le même. On m’a arrêté deux de mes enfants. Le plus grand ça va, il s’était déjà forgé une personnalité, mais le plus jeune, lui, il a perdu confiance en l’autorité. Il a même envie de faire des bêtises pour se faire arrêter, parce qu’il se dit qu’au moins là, il se fera arrêter pour quelque chose qu’il a réellement fait et pas pour rien. Et c’est pas rien, depuis il y a eu beaucoup de choses dans le quartier, la police est toujours là en train de les humilier, en train de les rabaisser donc ça continue. Saida : Mon fils, il n’en parle même pas. C’est pire, il ne reconnaît pas que c’est cet évènement-là qui a eu un impact sur lui. Il était encore plus jeune, il va avoir 14 ans et depuis ce jour-là il y a comme une sorte de révolte à l’intérieur...

Bruxelles Bruxelles |
Économie / Anticapitalisme

Victoire dans les Marolles ! Nous ne sommes pas impuissants face à la gentrification !

Communiqué du collectif Jacques Van der Biest Bruxelles, le 9 mars 2023 Le collectif Jacques Van der Biest se réjouit. Grâce à la lutte et la mobilisation de tout un quartier, des logements ont été arrachés aux griffes de la promotion privée et viennent s’ajouter au parc des logements publics, au bénéfice des familles précaires. Chasser les pauvres ou chasser la pauvreté, il fallait choisir rappelent les membres du collectif. En effet, la Fabrique d’Eglise des Minimes, propriétaire de 5 maisons situées dans la Rue de la Porte Rouge, avait pris la décision de vendre leurs biens à un promoteur privé qui y projetait d’y faire du coliving, c’est-à-dire des logements destinés à la colocation avec des loyers impayables pour le bruxellois moyen. Le CPAS de la ville de Bruxelles avait pourtant fait une offre quasi équivalente, à peine 20 000 euros de moins, pour y faire du logement de transit c’est-à-dire du logement destiné à des personnes précarisées ayant besoin d’être hébergées en urgence. La Région, exerçant une tutelle sur la Fabrique d’Eglise n’avait pas encore approuvé la vente, mais rechignait à la refuser, ce qui était pourtant en son pouvoir. Associations, voisins, collectifs, se sont immédiatement mobilisés pour dénoncer cette vente qui privilégiait le profit sur l’utilité sociale, l’intérêt privé sur l’intérêt général. Une mobilisation, une pétition, et finalement l’occupation d’une des maisons vide par une famille expulsée le matin même par son propriétaire marchand de sommeil a permis de remettre la pression sur les autorités. En relançant les négociations entre la Fabrique d’Eglise, la Région, le CPAS et la Ville de Bruxelles, le collectif Jacques Van der Biest (du nom du célèbre curé des Marolles, qui mettait déjà en garde contre le promoteur privé qu’il considérait « l’homme dangereux par excellence ») a obtenu la victoire : les 5 maisons de la Rue de la Porte Rouge seront finalement vendues au CPAS de la ville de Bruxelles ! Le 12 décembre 2022, le Ministre-Président Rudi Vervoort a enfin signé un arrêté stipulant notamment que la décision de la Fabrique d’Eglise de vendre à un promoteur privé plutôt qu’au CPAS « est jugée comme une décision qui blesse l’intérêt général ». De ce fait, le compromis de vente signé avec le promoteur est annulé. C’est un signal fort envoyé aux promoteurs car il n’existait aucun précédent d’une vente annulée en vertu d’un arrêté basé sur le principe de tutelle de légalité et d’opportunité par la Région bruxelloise. Un subside de 1,5 millions d’euros de la Région permettra ensuite au CPAS de racheter les immeubles. Selon, Khalid Zian, Président du CPAS de la Ville de Bruxelles, « Le CPAS entend développer un projet de logements à caractère social sur ce site ». Il n’existe pourtant aucune garantie que les logements développés seront bien à destination des ménages les plus modestes et que les habitant.e.s actuels, locataires et occupants, seront relogés lorsque les travaux débuteront....

Bruxelles Bruxelles |

DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

18 juillet - 17h00 - Le Steki

[Projo, chill] Université d’été du QG décolonial à St Gilles

2 salles deux ambiances. Vendredi, Samedi et Dimanche sera diffusé en direct ( sur twitch et youtube) le camp d’été du QG décolonial. un article a été relayé sur Stuut On sait qu’on est quelques plusieurs à vouloir suivre ça. « on » c’est pas grand monde, mais il y a surement d’autre personnes qui regarderaient ça, en direct ou pas, et on pourrait se réunir, ça économiserai de la bande passante mondiale en plus d’ajouter un évènement prétexte à rencontrer d’autre personnes dans un Bruxelles un peu vide. C’est le bon moment pour se dire bonjours. L’évènement est improvisé, et le Steki a accepté de l’heberger. Pour l’instant on ne mise pas sur un marathon complet, mais pourquoi pas selon qui viens aider. Le Steki permet 2 salle + toilettes + assez d’espace pour quelques enfants, le tout en rez-de-chaussé. L’idée, si on est plusieurs, c’est d’avoir une salle papotte, buvette et mangeaille (avec une enceinte pour écouter quand même d’une oreille les conférences) et une salle projo (pour écouter les conférences/débats plus au calme ou pour dormir sans ronfler trop fort). Le Programme Actuel : (Les moments rayés sont ceux qu’on est pas sure d’assurer) et donc si tu veux venir à ces moments il faudrait le dire pour nous motiver ou carément pour nous aider Vendredi soir 17h-23h Buvette du Steki dés 17h bienvenue Projo : Soirée d’ouverture 19-23h : Le choix des ancêtres Samedi 10h-13h-21h (besoin de gens) Projo : Plénières 10-12h – Négrophobie, antitsiganisme, islamophobie, antisémitisme : unité, singularité, priorité (pas sure de tenir la permanence sans aides) Plénière 13-15h – Combattre le progressisme libéral Plénière16-18h – État, hégémonie, pouvoir avec Fanon et Gramsci Discussion plénière 19-21h – « La culture, c’est nous ? » Dimanche 10h-20h (besoin de gens) Projo : Plénière 10-12h – Dérèglement climatique ou la vengeance des ancêtres : que peut l’écologie décoloniale ? (ce serait quand même vachement bien) Atelier 13-15h – Municipales : Prendre le pouvoir (là c’est un peu plus chiant car c’est plus franco-frouze comme sujet mais on pourrait faire des batailles de pouces ou un concours d’imitation) Atelier 13-15h – Reconstruire le mouvement anti-impérialiste et anti-guerre ? (ça s’enchainerait super bien avec, de 17h à 20h, un échange au local Sacco&Vanzetti Compétition, conflit, effondrement du climat et des relations sociales. Un effort pour comprendre les conséquences du militarisme forcé dans notre société et au-delà.) Atelier 16-18h : Etre Musulman/e et le rester Atelier 16-18h : Sortir de l’Europe et reconquérir la souveraineté populaire Plénière 18h30 – 20h30 – Pour un communisme décolonial Programme en détail (avec les noms des intervenant.es) ICI PETITE ANNONCE : On aurait besoin d’aide. Ce qui est bienvenues : présence sur place (avec une humeur allant de « bonne » à « taiseuse ») prévenir si tu penses venir, car ça peut être vraiment motivant pour nous et ça peut nous aider ramener...

Bruxelles Bruxelles | Santé / Soins |

Publiez !

Comment publier sur Stuut ?

Stuut est un média ouvert à la publication.
La proposition d'article se fait à travers l’interface privée du site.
Si vous rencontrez le moindre problème ou que vous avez des questions,
n’hésitez pas à nous le faire savoir par e-mail: contact@stuut.info