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[Vidéo] Action Baisse des loyers #2

[Vidéo] Action Baisse des loyers #2

Bruxelles | sur https://stuut.info

Le 25 mai à Molenbeek se réunissaient, à l’initiative du RBDH, de nombreuses associations militant pour le droit au logement. Une occasion de rappeler l’urgence d’une baisse des loyers à Bruxelles et d’aller à la rencontre des habitants du vieux Molenbeek. Cette action prend place dans un mouvement plus large visant à faire de la baisse des loyers un thème central des élections de 2024. Retrouvez les grands moments de cette action, et des précédentes, dans la vidéo. Et surtout, rejoignez nos rangs lors de la prochaine action Baisse des loyers !

Voir en ligne : https://ieb.be/Video-de-l-action-Baisse-des-loyers-2 ?suivi=2023-06-07&n

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ARTICLES LIÉS

Économie / Anticapitalisme

STOP EXPULSION !!! Lettre ouverte à Comensia, société de logement social

Signée par 18 organisations de défense du droit au logement, des droits sociaux et du droit à la ville, cette lettre exige l’abandon de l’expulsion d’une des locataires de Comensia, au nom de la mission de service public du logement social et des objectifs publics en matière de lutte contre le mal-logement et le sans-abrisme. "Aux administrateurs et administratrices de Comensia, société de logement social Mme M* vit avec son fils dans un logement social de votre SISP depuis 25 ans. Sa situation socio-économique compliquée la mène à avoir ponctuellement des arriérés de loyer. À chaque fois que cela arrive, après une assignation en justice, Mme M se débrouille pour trouver une solution et payer les arriérés. Mais en septembre 2022, suite à une nouvelle procédure en justice initiée par Comensia, un nouveau jugement d’expulsion est tombé. Malgré la prise en charge des arriérés par le CPAS et la mise en place d’un règlement collectif de dettes pour éviter de nouveaux impayés, et malgré les procédures en justice encore en cours, vous maintenez la décision d’expulsion le 31 mai quoi qu’il arrive. Comensia est l’une des 16 Sociétés Immobilières de Service Public (SISP) de la région bruxelloise. Comme toutes les autres SISP, elle est sous la tutelle et le contrôle de la Société du Logement de la Région Bruxelles-Capitale, elle-même sous contrôle du gouvernement bruxellois. Comensia est donc au service et sous le contrôle de la collectivité. Si le jugement à l’encontre de Mme M est mis à exécution, Comensia aura obtenu qu’une personne en situation déjà très précaire se retrouve à la rue – parce que vous le savez très bien, Mme M n’aura pas accès à un logement, ni sur le marché privé, ni dans le logement social. De votre côté pourtant, vous avez bel et bien reçu tous vos loyers. Cette décision et la posture inflexible de Comensia est incompréhensible et indéfendable. Mme M se dit que de deux choses l’une : soit Comensia la considère comme une menteuse et une profiteuse, refusant de reconnaitre la situation précaire dans laquelle elle se trouve, soit votre SISP préfère se débarraser des locataires les plus vulnérables. Faut-il le rappeler, le logement social est un service public destiné à réaliser le droit à un logement décent pour les personnes à revenus modestes qui ont difficilement accès au logement (décent et de qualité) sur un marché privé cher et qui discrimine. En tant que SISP, Comensia se définit comme un « acteur engagé dans l’amélioration du cadre de vie en Région Bruxelloise » qui « contribue au bien-être de ses locataires ». Comensia se targue de mettre au centre de ses valeurs la coopération, la confiance, le respect, l’épanouissement, l’écoute. Expulser des personnes vulnérables qui n’ont pas d’autre endroit où aller va totalement à l’encontre de l’objet même du logement social et des valeurs que vous prônez. Pourtant, ce n’est pas la première fois que Comensia procède à une expulsion sans prendre en compte la (...)

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Économie / Anticapitalisme

Actions contre le SNPC

Lors du carnaval sauvage, le 18 mars, la façade du Syndicat National des Propriétaires et des Co-propriétaires, a été recouverte d’affiches, d’ordures, et d’une banderole. Le SNPC œuvre activement contre le droit au logement, contre les décisions sur le gel de l’indexation des loyers, contre la trêve hivernale, et pour la criminalisation du squat. Les revendications placardées sur la façade invitent à différencier les petit.es propriétaires des multi-propriétaires (nouvellement renommés « profiétaires »), contre la confusion des genres entretenue par le SNPC. Sur l’une des affiches on pouvait ainsi lire : « Le mot Syndicat rendu aux travailleur.euse.s et locataires, l’ex-SNPC devient la Nécrose des Profiétaires Cupides ». Sur une autre, une référence à la retraitée sans le sou pour qui le SNPC se battrait : huhu, on vous a démasqués ! Si le SNPC a été visé par cette action, c’est qu’il œuvre activement contre le droit au logement, contre les décisions sur le gel de l’indexation des loyers, contre la trêve hivernale, et pour la criminalisation du squat. Les revendications placardées sur la façade sont une invitation à différencier les petit.es propriétaires des multi-propriétaires (nouvellement renommés « PROFIétaires »), ces derniers instrumentalisant les premier.e.s pour faire valoir un droit à la propriété toujours plus absolu, lucratif et abusif, au détriment de la dignité humaine. Cette action étant décentralisée, les revendications étaient diverses. Pourtant dans sa newsletter (voir image) le SNPC a choisi de ne commenter qu’une seule des critiques formulées sur les affiches. Effectivement, cher.es profiétaires, la TVA et les impôts n’étaient peut-être pas l’angle d’attaque le plus pertinent, mais pourquoi ne pas avoir réagi aux autres critiques, comme celle portant sur l’instrumentalisation des petit.es propriétaires pour assouvir vos sombres desseins ? Faut-il y voir un aveu de votre part ? Effectivement, cher.es profiétaires, ces activistes « s’en sont pris [à vous] à coup de clichés, de raccourcis et autres caricatures », mais comment pouvez-vous sérieusement qualifier ces actions « d’incitation à la haine (...) portant atteinte à autrui » ? C’est votre participation à la fabrique de cette crise du droit au logement qui incitent à la haine ! Comment ne pas réagir à vos actions quand les loyers ne cessent d’augmenter chaque année pendant qu’on se débat avec une poignée d’euros ? Comment ne pas réagir aux 3900 expulsions ordonnées chaque année à Bruxelles, dont certaines mettent à la rue des familles entières été comme hiver sans solution de relogement ? Comment tolérer que plus de 20000 logements restent vides alors qu’ils pourraient largement accueillir les 5300 personnes sans-abri et mal logées à Bruxelles ? Comment tolérer les milliers de réfugié.e.s laissé.e.s à la rue, dans le déni de leur droit à l’accueil ? La liste est sans fin, tant la situation est insupportable. Nous avons enquêté et nous tenons à rassurer le...

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Logement / Squat

Communiqué de presse - Syndicat des locataires

Nous relayons ce communiqué de presse du Syndicat des locataires, qui appelle à un référendum des locataires sociaux afin de déterminer s’il y a lieu de lancer un mot d’ordre de grève régionale de l’augmentation des loyers. Les réponses sont à renvoyer au Syndicat des locataires pour le 28 février 2023 au plus tard. Madame, Monsieur ; Plus d’une centaine de délégués et militants du Syndicat des Locataires se sont réunis en congrès, ce samedi 14/01/23 pour protester contre la hausse de leurs loyers sociaux. Dans certains cas, ces hausses atteignent au 1er janvier 2023, 150€ par mois. En moyenne, la hausse des loyers dans le logement social concerne 25 % des locataires. Ces augmentations sont dues essentiellement à deux phénomènes : 1) En 2022, suite au Covid, les loyers ont été calculés sur base des revenus de 2020, moyennant une légère indexation ; 2) En 2023, l’indexation des loyers de base a atteint 9,7% !!! Ces deux phénomènes ont produit des augmentations de loyer hors normes, jamais observées depuis plus de 20 ans. Les locataires sociaux concernés sont d’autant plus dépités que le Gouvernement Régional a, pour les locataires du privé uniquement, aménagé l’impact de l’indexation des loyers en prohibant celle-ci aux locataires vivant dans des passoires énergétiques. Pour le Syndicat des Locataires, cette situation est injuste et hautement discriminatoire. Afin de faire pression sur le gouvernement, les délégués et militants du SL, présents à l’assemblée, ont demandé aux locataires concernés de participer à un référendum pour déterminer si le SL devait lancer un mot d’ordre régional de non-payement des augmentations de loyers. Si, à l’issue ce référendum, 2.000 locataires sociaux acceptaient de participer à une action de diminution de leur loyer, l’assemblée estime que le Syndicat des Locataires devrait alors lancer un mot d’ordre de grève régionale de l’augmentation des loyers. Les locataires concernés sont donc invités à envoyer leur avis et souhaits par mail : syndicatdeslocataires@gmail.com ou par courrier à l’adresse : Square Albert 1er numéro 22, 1070 Anderlecht. Le référendum débute ce lundi 16 janvier 2023 et se terminera le 28 février 2023. Pouvez-vous diffuser ce message ? D’avance merci. Bàv, José GARCIA Secrétaire général du Syndicat des Locataires

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Économie / Anticapitalisme

Logement ou profit à Bruxelles ?

Les loyers flambent et les listes d’attente pour les logements sociaux s’allongent toujours plus. FairFin a donc décidé de s’intéresser de plus près à l’influence de la finance sur le logement à Bruxelles. Sa conclusion ? Nous nous trouvons à un moment charnière. Le monde de la finance n’a pas encore mis la main sur ce marché mais il y a déjà fait ses premiers pas : tout peut donc très vite basculer. Il est temps de passer à l’action ! Car l’influence croissante des banques, des investisseurs et d’autres acteurs financiers exerce un impact non négligeable sur le logement, nous le savons depuis belle lurette. C’est par la « financiarisation » que ces intervenants agissent sur ce qui est construit, sur l’apparence de notre ville et donc aussi sur notre habitat. Le logement représente à leurs yeux un produit financier. Ils veulent avant tout réaliser des bénéfices et ne s’intéressent aucunement à son objectif social : permettre à la population d’avoir un toit correct au-dessus de la tête. Les conséquences sont dramatiques, nous les observons déjà dans d’autres villes européennes comme Amsterdam, Paris et Berlin. FairFin a donc décidé de prendre la température à Bruxelles. Où en est la financiarisation dans notre capitale ? Des tours de logements hors de prix Nous nous sommes intéressés à Atenor et Immobel, deux promoteurs belges qui ont une forte présence à Bruxelles. Nous avons ainsi capté toutes sortes de signaux préoccupants. Atenor et Immobel intensifient leurs activités et implantent d’énormes tours de logements dans tout Bruxelles. Cette intensification se fait avec l’aide des banques et autres acteurs financiers, qui passe par l’octroi de crédits, l’achat d’obligations, une entrée dans l’actionnariat, etc. En échange, ils reçoivent une partie des bénéfices futurs d’Atenor et Immobel. Et c’est là que le bât blesse. Car pour garantir ces bénéfices, les promoteurs immobiliers empruntent généralement le point de vue financier de leurs bailleurs de fonds : ils considèrent le logement comme un simple produit financier destiné à générer des bénéfices. Un promoteur immobilier qui adopte ce prisme va évidemment lancer des projets de construction d’envergure avec le plus grand nombre possible d’appartements de luxe, petits mais onéreux. C’est ce qui se révèle le plus profitable. Or, ces projets ne répondent absolument pas à la demande sociale. Les Bruxelloises et Bruxellois ont besoin de logements sociaux et abordables qui conviennent à des familles de plusieurs personnes et dont les environs sont correctement verdurisés. Argent et croissance Si nous voulons nous attaquer à la crise du logement, il faut que cela change. Les intérêts des habitants et habitantes de la ville doivent l’emporter sur ceux des banques et des investisseurs. Mais aussi bien Atenor qu’Immobel semblent avoir fait un choix. Ces dernières années, les deux entreprises ont augmenté les dividendes qu’elles versent à leurs actionnaires, avec la...

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Logement / Squat

Mobilisons-nous pour des loyers PLUS justes

Pour une limitation de l’indexation de nos loyers avec effet rétroactif au 1er Janvier 2022. Pour le moratoire sur les expulsions. NOUVEAU MÉCANISME D’INDEXATION EN RÉGION DE BRUXELLES CAPITALE Après plusieurs mois d’intenses mobilisations en particulier du secteur associatif, le Parlement bruxellois a adopté finalement l’Ordonnance du 13 octobre 2022 de limitation voire de blocage de l’indexation en conditionnant cette dernière à la performance énergétique et à l’enregistrement du bail. L’objectif est de venir au secours des locataires pris à la gorge par une inflation exponentielle jamais vue depuis 1975 des loyers et des prix des énergies. Depuis de multiples articles ont été publiés entre autres sur le net en vue d’informer le public des nouveaux mécanismes instaurés. Force est de constater que la plupart de ces publications n’appréhendent pas correctement ces nouveaux mécanismes fort techniques et ce plus singulièrement pour ce qui est de la production du certificat PEB. Ainsi le texte suivant rend compte de la nouvelle réglementation de la manière suivante : Une ordonnance modifiant le système d’indexation pendant 12 mois est entrée en vigueur ce 14 octobre 2022. Le taux d’indexation des loyers variera en fonction de la performance énergétique du bien concerné. De nouvelles obligations préalables à toute indexation font par ailleurs leur apparition. La nouvelle ordonnance vise à soutenir les locataires confrontés à la crise énergétique et s’inscrit pleinement dans le programme d’accélération de la rénovation du bâti bruxellois initié par le gouvernement. Deux obligations préalables pour pouvoir indexer son loyer Avoir enregistré son bail (art 227 du Code du Logement) Avoir communiqué au locataire un certificat PEB du bien mis en location Un régime temporaire d’indexation des loyers en fonction du PEB L’indexation (telle que prévue à l’article 224/2 du Code du Logement) : pourra être appliquée à 100 % pour les logements disposant d’un certificat PEB A, B, C ou D ; pourra être appliquée à 50 % pour les logements disposant d’un certificat PEB E ; sera bloquée pour les logements disposant d’un certificat PEB F ou G. Il nous parait, dès lors, impératif de cerner l’unique et l’exacte lecture du texte adopté ce 13 octobre 2022 pour ce qui est de la production du certificat PEB à savoir que le bailleur ne peut désormais réclamer l’indexation du loyer que si le bail écrit a été dûment enregistrer et si un certificat PEB est non seulement disponible mais encore faut-il qu’il ait été préalablement communiqué au preneur lors de l’étape précontractuelle et au plus tard lors de la conclusion du bail. Autrement dit, disposer d’un certificat PEB ou le transmettre en cours de bail ne permet pas de rencontrer le prescrit de la condition énoncée par l’Ordonnance et donc de procéder à l’indexation du loyer ceci même dans l’hypothèse ou cette production du certificat aurait eu lieu antérieurement à l’entrée en vigueur de l’Ordonnance....

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DANS LES MÊMES THÉMATIQUES

Extrême-droite / Antifascisme

« Cet hôtel est un centre de rétention » : Un témoignage du front de la lutte contre les expulsions en France, 1999

Ce récit reprend là où le précédent article sur le Collectif contre les expulsions s’est arrêté, en relatant des scènes du mouvement contre les expulsions à Paris à la fin des années 1990. Alors que Donald Trump cherche à consacrer 45 milliards de dollars à l’expansion d’un système de goulag pour détention d’immigrés aux États-Unis, il est crucial d’apprendre comment les habitants d’autres pays ont résisté à la violence de l’État contre les sans-papiers dans un passé récent. Cette histoire vraie est adaptée des mémoires à paraître dans Another War Is Possible (Une autre guerre est possible), un récit du mouvement mondial contre le fascisme et le capitalisme au tournant du siècle. Vous pouvez le soutenir sur Kickstarter jusqu’au 11 avril et suivre l’auteur ici . Le Collectif Anti-Expulsions a explicitement indiqué que notre soutien aux sans-papiers est intrinsèquement lié à nos principes anarchistes. Nous avons souligné que nos intérêts étaient liés aux leurs dans notre désir d’abolir les états et les frontières, de mettre fin à l’exploitation capitaliste du travail, pour la liberté et l’autonomie des êtres humains. En même temps, nous avons travaillé main dans la main avec les collectifs de sans-papiers qui étaient largement autonomes par rapport aux structures des partis ou des ONG et qui accueillaient très favorablement la solidarité sous la forme d’actions directes. Hôtel Ibis de l’aéroport Charles de Gaulle, 23 janvier 1999, midi L’hôtel Ibis de l’aéroport Charles de Gaulle à Paris est à peu près ce que l’on attend d’un hôtel deux ou trois étoiles, accolé à un aéroport. Extérieur terne et architecture de bureau peu spectaculaire, intérieur composé d’hommes d’affaires à l’air maussade et de familles stressées stéréotypées avec 2 ou 3 enfants qui courent dans le hall. Le hall est la seule et unique particularité architecturale de l’établissement. Il s’agit d’une structure de plain-pied avec un toit plat qui relie les bâtiments beaucoup plus hauts où se trouvent les chambres d’hôtel. Ce qui rend cet hôtel unique se trouve à l’intérieur. Et c’est ce qui s’y trouve qui fait la raison pour laquelle deux cents personnes s’apprêtent à franchir les portes principales, à accéder à l’une des tours (avec l’aide d’un camarade entré incognito pour tenir ouverte une porte d’accès stratégiquement importante), à monter les escaliers, à briser une fenêtre et à prendre le contrôle du toit qui surplombe le hall d’entrée. Ce qui rend cet hôtel unique, c’est qu’il témoigne de la nature banale de l’oppression dans la société de consommation capitaliste. Dans cet hôtel, à côté de l’agitation des hommes d’affaires et de la joie des familles européennes blanches en vacances, il y a le désespoir d’autres êtres humains qui sont retenus ici contre leur volonté. Une aile entière de cet hôtel Ibis est une prison, où les sans-papiers sont détenus avant leur expulsion définitive dans un avion d’Air Afrique ou d’Air France. Une prison rendue possible...

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