Éducation populaire / Partage de savoirs

Santé / Soins

Festival On se (re)met en grève !

Un festival féministe autogéré, artistique et politique. Le collectif 8 mars vous invite à deux jours de festival pour relancer une mobilisation joyeuse et déferlante le 8 mars 2023. PROGRAMME SAMEDI 3/12/22 13h : inscriptions aux ateliers 13h30-15h30 : première session d’ateliers 1. Média sport de combat par ZIN TV Afin de se sentir mieux outillées à prendre la parole en public ou dans les médias, ZIN TV vous propose un atelier où nous apprendrons ensemble à connaître et comprendre les codes médiatiques dominants, exprimer nos revendications et construire un discours commun. 2. Resistencils par Sororidad sin Fronteras Nous proposons un atelier de stencils (pochoirs) comme forme de résistance active. Nous voulons nous réapproprier des espaces publics grâce à des messages visuels qui amplifient l’expression de nos luttes. L’atelier sera en français et en espagnol. Contre le harcèlement de rue et le silence du gouvernement, organisons-nous ! 15h30-16h : pause café, pipi, papote, expos (voir plus bas) 16h-18h : deuxième session d’ateliers 1. Répondre à l’antiféminisme par Garance Que ce soit le vieil Oncle Jacques lors d’un repas familial, un.e collègue en pleine réunion de travail ou encore un.e ami.e sur les réseaux sociaux, les discours anti-féministes foisonnent dans tous les contextes de la société. En tant que féministes — en herbe ou de longue date — nous allons découvrir les stratégies à notre disposition pour y faire face 2. Transmission des chants de lutte par Strike Sisters. Lors de cette rencontre les Strikes Sisters, une chorale autogérée en mixité choisie (sans hommes cisgenres), partageront deux chants de lutte qui font partie de leur répertoire. Plus tard dans la soirée, lors d’un petit concert participatif, nous pourrions chanter ensemble les chants appris pendant l’atelier ! 3. Mon Corps, ma danse par Eliza Pais (Turn a lab_Bxl) Cet atelier est né avec le désir d’ouvrir un espace de liberté et d’expression par le mouvement. Une invitation à dédier un moment à soi même à travers un voyage d’exploration corporelle. Danser en étant à l’écoute de sa peau, présente à ses sensations et émotions. Soutenue par l’énergie du groupe et par ma guidance, chacune va vivre sa propre expérience. Cette pratique vous encourage à retrouver votre fluidité, votre authenticité, au lâcher prise sur des possibles tensions, à rire, à prendre du plaisir. Ouvert à tous les niveaux 18h : pause, papote, souper solidaire 19h : micro ouvert et karaoké 21h : clôture et rendez-vous le lendemain ! DIMANCHE 4/12/2022 11h-11h30 : projection du film “Les résistantes” de ZIN TV Un petit saut en arrière lors notre première mobilisation en 2019 pour vous accueillir au mieux pour cette journée et nous donner de l’énergie :) 11h30-13h30 : table ronde des luttes et en vue de la mobilisation du 8 mars Différentes thématiques y seront traitées : de la grève féministe en Belgique aux luttes des femmes...

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Écologie

Forum Annuel de Rencontre des Continent au DK !

Engagements, écoféminisme, écologie des marges & pratiques d’éducation populaire en époque obscure... Après 3 ans d’absence, RdC organise son FORUM ANNUEL ! Samedi 3 décembre de 14h à 18h30 au DK (Rue du Danemark 70b, St-Gilles) > Pour s’inscrire c’est ici > Évènement facebook à partager ! *** OBJECTIFS *** Se rencontrer, s’inspirer, se questionner, se nourrir et s’enjouer ensemble. Une après-midi équilibrée entre le sensible et le réflexif. Ouvert à tous.toutes, proches ou éloignés de RdC ou curieux d’un jour **** THÉMATIQUE **** Nous partirons d’expériences d’engagement qui tentent de remédier aux dominations systémiques en réhabilitant des perspectives marginalisées de l’écologie (écoféministe, décoloniale, sociale et populaire, etc.), ainsi que des richesses et arts de faire de RdC, afin d’enrichir nos pratiques d’éducation et engagements respectifs. L’idée n’étant pas de prétendre à expliciter tous ces enjeux à l’aide d’un cours ou d’une conférence, mais d’organiser un échange dynamique et riche à partir des expériences de nos invité·es, de RdC et des participant·es. ***** INTERVENTIONS ***** Renda Belmallem : mène une thèse à l’EHESS sur le croisement des différentes dominations au sein des mouvements écologistes. Militante active au sein du collectif féministe et anti-nucléaire des Bombes Atomiques à Bure et au sein de la maison de l’écologie populaire « Verdragon » de Bagnolet aux côtés de Fatima Ouassak et bien d’autres... Julien Didier : Activiste et formateur. Membre du cercle coeur de Mycélium et actif au sein du Climate Justice Camp de Bruxelles. Mais aussi un ami de RdC. Nous finirons l’après-midi par un verre au DK, avant d’aller pour les plus motivé.e.s fêter les 10 ans du Réseau ADES...

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Féminismes / Antipatriarcat

Stage d’autodéfense féministe le 21 et 28 janvier

Stage d’autodéfense féministe, en mixité choisie de femmes, cis et trans, et de personnes trans de tous les genres. A Bruxelles, le 21 et 28 janvier 2023 NOUS AVONS TOUS.TES LE DROIT DE VIVRE SANS VIOLENCES ET DISCRIMINATIONS NOUS AVONS TOUS.TES LES CAPACITES ET LE POUVOIR DE NOUS DEFENDRE… …IL SUFFIT D’APPRENDRE QUELQUES MOYENS SIMPLES ET EFFICACES ! Stage d’autodéfense féministe – en mixité choisie de femmes (cis et trans) et de personnes trans de tous les genres À partir de 18 ans, quelle que soit la condition physique – maximum 14 participant.e.s En pratique, suivre un stage c’est : S’encourager à RIPOSTER lors de harcèlements ou d’agressions, qu’elles soient physiques, verbales, psychologiques ou sexuelles, par des proches ou des inconnus. Pratiquer des TECHNIQUES PHYSIQUES ET VERBALES par le biais de discussion, de mises en situation et de jeux de rôle. Apprendre à SE PROTÉGER dans une ambiance coopérative et chaleureuse avec d’autres personnes concernées S’AFFIRMER au quotidien, agir sur la peur, se sentir plus libre et plus confiant.e. Se concentrer sur ce que l’on PEUT faire, et non sur ce que l’on ne peut pas faire. Quand ? Les samedis 21 et 28 janvier 2023, de 9h30 à 17h (la participation aux deux jours est demandée) Où ? A Bruxelles, l’adresse sera communiquée au moment de l’inscription PrIx libre L’argent ne doit en aucun cas être un obstacle à la participation au stage Inscription obligatoire Contact : autodeffem@gmail.com

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Santé / Soins

Présentation publique du livre « Folie de l’hospitalité »

L’hospitalité est un univers qui inspire les expériences du Cheval Bleu. C’est un monde qui se laisse difficilement cerner. C’est également un sujet largement travaillé au travers des écrits du Centre Franco Basaglia. Et durant quelques mois, Mathieu Bietlot est venu déployer cette question chez nous, ce qui a mené à plusieurs textes et finalement un livre : « Folie de l’hospitalité », paru cette année chez Couleur Livres. Le 28 novembre à Liège et le 30 novembre à Bruxelles, Mathieu Bietlot vous présentera son livre lors de rencontres sur l’hospitalité au trouble. Une occasion de vous offrir ce livre dont voici la présentation : « Folie de l’hospitalité : Un autre accueil des personnes en troublepsychique » Issue d’une ambivalence étymologique, l’hospitalité ouvre sa porte aux paradoxes de l’humain. Elle se laisse difficilement cerner. Cet essai l’approche par petites touches philosophiques, politiques et poétiques, en vue de penser un accueil des personnes en trouble psychique esquivant les écueils aliénants et déshumanisants aussi bien de l’hôpital psychiatrique que de la responsabilisation néolibérale. Dans une volonté pédagogique, cette petite odyssée rappelle quelques incontournables expériences, telle la psychiatriedémocratique italienne, et références, tels Foucault ou Derrida, et d’autres plus surprenantes. L’ouvrage en assume l’héritage et tente de l’ancrer dans la réalité sociopolitique de notre temps afin de subvertir les imaginaires dominants et soutenir des transformations sociales et subjectives. Il se veut aussi au plus près de l’expérience vécue du contact tempétueux avec la “folie”. Le livre est commandable dans toutes les librairies ou directement via le site de l’éditeur

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Féminismes / Antipatriarcat

Rencontre sur la prise en charge d’auteur.ice.s de violences conjugales et intra-familiales avec Praxis ASBL

Rencontre avec Louise et Julie, des travailleuses de l’association Praxis, qui interviennent auprès d’auteur.ice.s d’agressions, de violences et d’abus dans la sphère intime, conjugale et intra-familiale. Jeudi 24/11, le Steki accueille une nouvelle rencontre organisée par des membres de NLP et de la CLAC dans le cadre d’un cycle de programmation sur l’abolition pénale. 18h30 : Accueil 19h : La parole aux intervenantes, suivie d’une discussion Praxis propose un accompagnement à la responsabilisation par le biais de groupes de paroles. Les bénéficiaires de cet aménagement sont principalement des personnes sous main de justice. Praxis est affilié au système pénal, et la plupart de leurs interventions s’inscrivent dans ce cadre. La politique interne et externe menée à Praxis n’utilise pas le cadre de référence des justices alternatives (restauratrices ou transformatrices). Pour autant ces dernières se retrouvent régulièrement confrontées à la question de la responsabilisation des auteurs d’agressions, d’abus et de préjudices. C’est l’une des raisons qui nous ont poussé à les inviter et appréhender leur pratique. Depuis leur travail de terrain, elles évoqueront les réussites, les limites, et les méthodes de cette pratique qui pose de nombreuses questions éthiques et (micro)politiques : sur l’usage et le rôle de la contrainte, sur l’apprentissage entre pairs de conditions sociales et de niveaux de violence très différentes, sur les cadres de références théoriques et cliniques mobilisés, sur la marge de manœuvre entre secret professionnel et degré d’intervention lors des récidives… Elles évoqueront aussi le contexte politique dans lequel s’inscrit leur pratique, notamment depuis le constat de précarité des personnes qui arrivent dans ces structures, la plupart ne sachant pas bien se défendre face à un juge ou ne pouvant pas se payer un avocat ; mais aussi sur les conditions sociales de reproduction de la violence. Quels impacts ont les politiques pénales sur leur pratique ? Quelles suggestions de ressources au quotidien ou en cas d’urgence pour éviter d’enclencher des logiques strictement sécuritaires ? Qu’est-ce qui existe et qu’est-ce qui manque, en Belgique francophone, sur ce sujet ? Quelles sont leurs revendications et propositions en tant que travailleuses de terrain qui ont développé une analyse critique ? Et quelles sont les revendications portées par les associations qui les emploient ? Quels sont leurs liens avec les structures d’accueil et d’accompagnement de personnes qui ont subit ces violences ? Voici quelques-unes des questions que nous aurons à cœur de leur poser. Elles tiennent à préciser qu’en tant qu’intervenantes psychosociales de terrain, elles n’auront pas forcément toutes les réponses ni le point de vue plus global de chercheuses ou académiciennes. Ce dont nous nous réjouissons ! Bienvenue !

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Éducation populaire / Partage de savoirs

Lancement de la Campagne : Pas de salaire, pas de stagiaires !

Signe la pétition et rejoins-nous dans le combat. Les stages se retrouvent dans la plupart des cursus d’enseignement professionnel ou supérieur et demandent un investissement considérable de la part des stagiaires. Ces stages ne sont pas rémunérés et constituent une forme de travail gratuit. De plus, les stages renforcent la précarité étudiante, les frais de déplacement, de logement et de matériel étant à la charge des stagiaires. Celleux-ci peuvent aussi perdre le revenu de leur job étudiant, les stages empêchant de nombreux·ses jeunes de jobber. Et en contrepartie de ces heures prestées gratuitement : pas de protection liée au droit du travail ni d’accès à la sécurité sociale. Pourtant, les stagiaires effectuent dans la majorité des cas le même travail que le personnel salarié. C’est dans les secteurs sociaux et hospitaliers qu’on comptabilise le plus grand nombre d’heures de stages, les secteurs publics étant sous-financés et reposant en grande partie sur une main d’œuvre gratuite. Et ce sont majoritairement les femmes, surreprésentées dans ces secteurs, qui subissent cette exploitation. Il est urgent de reconnaître le travail des stagiaires en tant que tel, de le rémunérer et de débanaliser l’exploitation des femmes et des stagiaires. Nous luttons pour : Un salaire pour toustes les stagiaires (équivalent au moins au salaire minimum) ; Une prise en compte de ce salaire dans les dispositifs de sécurité sociale (droit au chômage et pension), ainsi qu’une prise en compte du stage scolaire dans la période de stage d’insertion ; Un remboursement des frais engendrés par le stage ; Une meilleure prise en charge des stages par les établissements d’enseignement et la création d’une cellule d’encadrement des stages ; Un refinancement des services publics pour mettre fin à l’utilisation abusive des stagiaires dans les secteurs du soin. Signer la pétition n’est qu’un début, rejoins-nous et luttons ensemble pour une rémunération des stages ! Signe la pétition et rejoins-nous dans le combat : https://change.org/salaire-stagiaires Nos réseaux sociaux pour suivre l’évolution de la campagne : Instragram : Union syndicale étudiante & Jeunes FGTB Facebook : Union syndicale étudiante & Jeunes FGTB Une campagne commune de l’Union syndicale étudiante et des Jeunes FGTB

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Économie / Anticapitalisme

Pourquoi un blocage de l’ULB et une grève étudiante ?

Retour sur la pertinence du mode d’action de la grève étudiante, de la grève de solidarité, et du blocage d’un lieu de travail. Ce mercredi 9 novembre s’est déroulée en Belgique une grève générale contre la hausse des prix. Dans à peu près tous les secteurs, travailleuses et travailleurs étaient à l’arrêt et de nombreux piquets de grève se sont organisés sur leurs lieux de travail. C’est quoi une grève générale ? La grève générale est une action solidaire et collective qui rassemble toustes les travailleur.euses d’un pays par l’arrêt de leur travail. C’est un moyen pour toustes les travailleureuses d’arracher des droits au gouvernement, des augmentations de salaire, et de meilleures conditions de travail au patronat. En effet, ce sont elleux qui font tourner le pays et l’économie : lorsqu’iels s’arrêtent, tout s’arrête. Les travailleur.euses prennent alors conscience de leur pouvoir et du pouvoir relatif qu’a l’Etat bourgeois. La grève est à l’origine de la quasi-totalité des droits sociaux que nous avons aujourd’hui : les congés payés, le salaire minimum, la semaine de 38 heures, les congés maladie, la sécurité sociale, l’allocation de chômage, la retraite, etc. Ceux-ci ont été arrachés dans la rue avant d’être votés au parlement. La grève est un droit fondamental reconnu par la cour Constitutionnelle qui est constamment remis en question par le patronat et les forces réactionnaires. Une grève étudiante, pourquoi faire ? Déjà car en tant qu’étudiant.es nous nous considérons aussi comme travailleur.euses, étant donné que l’on produit une forme de savoir via nos études qui peut être réutilisé par nos professeur.es, maîtres de stages, etc. C’est pourquoi nous avons rejoint la grève générale du 9 novembre à l’ULB : c’est, d’une certaine manière, notre lieu de travail. Il est aussi important de rappeler qu’un près d’un étudiant sur deux se voit dans l’obligation d’avoir un job en parallèle à ses études, et est donc, très souvent, un travailleur flexible. Nous avons également fait grève en solidarité avec les travailleur.euses. Mais aussi parce que nous non plus, nous ne pouvons plus payer nos loyers, nos factures, nos courses. La précarité étudiante augmente : bon nombre d’étudiant.es ne peuvent pas compter sur l’aide financière de leurs parents et de plus en plus doivent faire appel à des services d’aides sociales et/ou travailler à côté de leurs études pour se financer. S’il était déjà difficile, voir impossible, pour certain.es de combiner études et travail rémunéré, l’augmentation des prix ne fait qu’empirer leurs situations. De plus en plus d’étudiant.es doivent choisir entre aller en cours ou aller travailler pour se financer et ce n’est pas normal. Des mesures concrètes doivent être établies dès maintenant contre la précarité étudiante. Face à l’urgence pour bon nombre d’étudiant.es, nous avons décidé de bloquer ce mercredi 9 novembre pour la grève générale. Et le blocage ? Nous avons bloqué pour forcer l’État à nous...

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Santé / Soins

Retour sur la 2e édition des « Rencontres autour des souffrances psychiques » qui se sont tenues en octobre sur le Plateau des Millevaches.

🎙 Radio Zinzine – Psypsy tagada soin soin 🎙 Retour sur la 2e édition des « Rencontres autour des souffrances psychiques » qui se sont tenues en octobre sur le Plateau des Millevaches. Le but de cet évènement est de créer une culture commune autour des souffrances psychiques pour construire un réseau de soutien fort. Au fil de 4 émissions très intéressantes, Radio Zinzine donne la parole à différents collectifs présents durant ces journées et nous permet de découvrir de riches initiatives empreintes d’entraide et d’humanité : 🔎 Le réseau PsyPsy : constitué uniquement de bénévoles, ce réseau propose aux personnes en souffrance psychique (suite à des violences, une séparation, des troubles psychiques) un soutien dans la vie quotidienne en s’appuyant sur un réseau d’entraide local (qui peut soulager une personne en s’occupant 2 heures de ses enfants ou la conduire à un rendez-vous parce qu’elle n’a pas l’argent pour faire le plein) et en travaillant en lien avec des professionnels du soin. (épisode 1) 🔎 Le projet Open-dialogue : cette approche développée en Finlande et testée à l’Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille permet de repenser les pratiques professionnelles en organisant et articulant les soins autour de l’usager et de son réseau. (épisode 2) 🔎 Le CoFor : ce centre de formation en rétablissement s’adresse aux personnes en souffrance psychique ainsi qu’à celles qui s’intéressent à cette problématique. (épisode 2) 🔎 Soutien et Rétablissement : ce mouvement transnational né aux Pays-Bas s’adresse aux activistes et propose des outils de prévention adaptés au stress lié à l’organisation des actions et à la répression subie, en amont, pendant ou après les mobilisations. (épisode 2) 🔎 CLE Autistes : cette association organise la solidarité entre personnes autistes et lutte contre la prise de pouvoir des institutions et le validisme. (épisode 3) 🔎 La psychothérapie institutionnelle : comment traiter les dispositifs de soin de leurs aliénations ? Le psychiatre Mathieu Bellahsen témoigne des sanctions qu’il a subies pour avoir dénoncé pendant le premier confinement des pratiques institutionnelles portant atteinte aux droits des patients hospitalisés, il porte une vision politique de la psychiatrie, s’opposant au modèle voulu par le néolibéralisme qui détruit le soin. (épisode 4) 🎙 Episode 1 (fichier mp3) 🎙 Episode 2 : (fichier mp3) 🎙 Episode 3 : (fichier mp3) 🎙 Episode 4 : (fichier mp3) Pour plus d’info sur ces initiatives et approches : PsyPsy Open-Dialogue CoFoR Soutien et Rétablissement CLE Autistes #SouffrancesPsychiques #Entraide #Réseau #Validisme

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Racismes / Colonialismes

Vernissage : Noirs desseins pour blanches aspirations

« Noirs desseins pour blanches aspirations ? Une histoire belgo-congolaise » est une exposition qui met en avant des archives sur la thématique de la colonisation belge au Congo. Ces documents vidéos, photos et archives ont été compilés pour vous présenter une autre lecture de l’histoire, loin de la vision « post-colonialiste » de certains manuels scolaires belges. Nous vous invitons ce mercredi 16 novembre dès 18h au 53 avenue du Port, dans les locaux de l’asbl Toestand pour un vernissage dans une ambiance musicale. Programme de la soirée : 18h : mot d’accueil et drink 18h-19h : Visite libre ou guidée de l’exposition 19h : performance de l’artiste poétesse et slammeuse Joëlle Sambi. 19h20 : table-ronde entre Joëlle Sambi, Sabiha El Youssfi et des acteur.rice.s de la pièce théâtre « Sankofa », pièce née de l’exposition. La modération de ce débat sera assurée par le Collectif Mémoire Coloniale et Lutte contre les Discriminations. Nous aborderons les questions liées à l’enseignement, aux narrations, à l’histoire coloniale belge ainsi que le(s) rôle(s) de l’art comme support de mémoire et de transmission. Cette exposition a été créée par des étudiant.e.s du Lycée Guy Cudell et encadrée par son équipe pédagogique. La visite guidée de l’exposition et l’accueil seront assurés par des étudiant.e.s dans le cadre de leur formation en français, en histoire ou en auxiliaire d’accueil. C’est événement est organisé par la CNAPD en partenariat avec Sabiha El Youssfi et le Collectif Mémoire Coloniale et Lutte contre les Discriminations Contact : info@cnapd.be

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Éducation populaire / Partage de savoirs

[Rencontre] Jouer vers l’anarchie - Spelen naar de anarchie

Samen spelen en bewegen - jouer et bouger ensemble ! Cette activité vise à inspirer comment vivre sans coercition. Ceci en offrant des méthodes possibles sur comment y aller, d’analyser ce qu’est précisément la hiérarchie, comment et quand elle se manifeste. Nous allons bouger, jouer et réfléchir ensemble, à partir de l’espace dans lequel nous nous trouvons. [Nederlands hieronder] Samedi 12 novembre à 15h, au Zotte Morgen ou dans le parc à côté. À partir de mes intérêts, j’aborde ces questions d’un point de vue systémique et mathématique. En regardant radicalement les racines des choses, permettant de libérer notre imagination sur cette simplification et créer un monde nouveau. Donc (pas) d’inquiétude : nous n’allons pas faire de mathématiques profondes, mais simplement appliquer cette façon de penser. À l’aide de jeux, nous explorerons les questions suivantes. Nous examinons une structure possible derrière l’autonomie, où il y a des cycles et des entrées multiples, par opposition à une structure arborescente hiérarchique. Les cycles peuvent apporter de la stabilité ou du changement. Cependant, dans notre vie personnelle, nous pouvons parfois nous retrouver dans des cycles vicieux d’actions et/ou de pensées que nous ne voulons pas, tout comme une société ou une organisation peut commencer à vivre sa propre vie. Je vais donner un modèle possible de changement à partir de cela de manière autonome. Pour ensuite ouvrir un espace de discussion sur ces théories et concepts, et sur quand, comment et si nous pouvons apporter un changement sociétal sans ne rien imposer. J’espère que certaines de ces idées pourront servir d’outils ou d’inspiration dans nos luttes, et nous allons donc réfléchir concrètement à des manières de mettre ces choses en pratique. Pour déjà en savoir plus, jetez un coup d’oeil à la brochure et aux articles sur mathematicalanarchism. // Zaterdag 12 november om 15u, in Le Zotte Morgen of int park ernaast. Deze activiteit wil inspireren hoe te leven zonder dwang. Dit door mogelijke methoden aan te reiken hoe we daar naartoe kunnen gaan, te analyseren wat hiërarchie juist is, en hoe en wanneer het ontstaat. We gaan samen bewegen, spelen en nadenken, vanuit de ruimte waarin we ons bevinden. Vanuit mijn achtergrond bekijk ik deze vragen met een systemische, wiskundige blik. Door radicaal naar de wortels van de zaken te kijken, om op deze versimpeling je verbeelding los te laten, en zo een compleet nieuwe wereld te creëren. Dus (no) worries : we gaan geen diepe wiskunde doen, maar enkel deze manier van denken toepassen. Aan de hand van spelen gaan we volgende zaken exploreren. We bekijken een mogelijke structuur achter autonomie, waar er cycli en meerdere inputs zijn, tov een hiërarchische boomstructuur. Cycli kunnen zowel voor stabiliteit als verandering zorgen. Soms kunnen we in ons persoonlijk leven echter ook in vicieuze cirkels zitten van gedrag en/of gedachten die we niet willen, net zoals een...

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Écologie

Présentation : 15e numéro de la Revue Z

Montagne limousine. Forêts désenchantées. Jeudi 17 novembre à 19h, nous accueillons la Revue Z pour une présentation du 15e numéro intitulé : Montagne limousine. Forêts désenchantées. Depuis les plantations d’arbres qui quadrillent la Montagne limousine, ce numéro s’attaque à la sylviculture industrielle qui détruit les sols comme les corps des personnes qui y travaillent. “ Avec celles et ceux qui se battent pour des usages populaires et collectifs des forêts, on tente de faire entendre des voix trop souvent recouvertes par le vacarme des machines, (…) nous avons remonté la filière de la pâte à papier et plongé dans les méandres de l’industrialisation des forêts. Nous avons convergé depuis le Finistère, le Perche, les Cévennes, la Drôme, Lyon, Marseille ou encore la région parisienne vers les sous-bois aux couleurs d’automne de la Montagne limousine. Depuis un siècle, sur ce bout de terre du centre de la France, des arbres ont été plantés en rangs bien serrés et la machine industrielle forestière s’est mise en branle, maltraitant inlassablement les corps et les écosystèmes. Une réalité bien loin de la forêt fantasmée par les chantres du développement personnel qui y voient une possibilité de déconnexion et de ressourcement, ou par les classes aisées qui la prennent d’assaut pour y télétravailler au grand air. Derrière le mirage vert d’une filière qui se prétend écolo et renouvelable, les suicides se multiplient parmi les salarié·es de l’Office national des forêts et de gigantesques coopératives forestières accaparent la « ressource bois ». Les entreprises les plus fortunées rachètent et plantent des arbres à marche forcée sur des terres paysannes, prétendant ainsi compenser leurs émissions de CO2. Tout cela avec le soutien du ministère de l’Agriculture et plus largement de l’État, dont la police n’hésite pas à s’acharner sur les habitant·es qui tentent de faire exister un autre discours sur la « gestion » de la forêt. Depuis les sentiers à l’ombre des bois, on a suivi le bruit des tronços et des abatteuses autant que l’écho des chants de lutte. On a écouté les récits de celles et ceux qui ont été arraché·es à leurs territoires, anciennes colonies, pour fournir une main-d’œuvre bon marché à l’industrie galopante et qui, malgré l’épuisement, ne se laissent pas abattre. Ou encore de celles et ceux pour qui la forêt est une question de survie, un espace de refuge, et de toutes les personnes qui, à la lisière des logiques productivistes, tissent d’autres rapports aux mondes forestiers en expérimentant des imaginaires et des pratiques émancipatrices.”

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Contrôle social / Répression

Droits et solidarité face à la répression policière

Vous avez déjà été confronté.e à la police dans des contextes variés (quotidiennement dans l’espace public, dans des locaux d’associations, en manifestation, etc.), et pour cette raison vous désirez vous informer sur vos droits face à la police ? Deux journées pour comprendre et agir sur les conditions d’émergence et les conséquences des violences policières et certaines formes de répression, à l’encontre des personnes migrantes, dans le cadre d’actions militantes, dans la rue, etc. Impossible de penser abstraitement les violences policières sans interroger les politiques migratoires, les politiques criminelles ainsi que le traitement judiciaire et médiatique de ce sujet. La multiplication et la médiatisation des affaires de violence policière mettent en lumière et en débat le racisme et l’impunité structurant ce phénomène et font émerger plusieurs questions que nous tenterons d’aborder lors de ces deux journées – Quels sont les cadres organisationnels, politiques et juridiques dans lesquels s’ancrent les interventions policières en Belgique ? – Quelle analyse critique produire du traitement médiatique des violences policières ? – Quels sont nos droits face à la police dans des contextes de solidarité notamment avec les personnes migrantes, en manifestation ou dans des actions plus directes ? – De quels soutiens légaux peut bénéficier la lutte contre la criminalisation racialisée dont font l’objet la majorité des victimes de violences policières, parmi lesquelles les personnes migrantes et sans-papiers ? Intervenant·e·s Rémy FARGE, formateur à la Ligue des droits humains Sarah BAHJA, coordinatrice d’outils pédagogiques chez ZIN TV Alexis DESWAEF, avocat militant pour les droits humains Objectifs Connaître les droits face à la police en contexte de solidarité ; Appréhender les enjeux légaux et institutionnels de la répression en Belgique ; Dégager des pistes d’action au départ d’affaires concrètes. Infos pratiques Quand ? 2 journées de formation : les mardis 15 et 22 novembre 2022 (de 9h00 à 17h00) Où ? Au CFS-ep 26 rue de la Victoire, 1060 Saint-Gilles Prix ? 65 euros /30 euros - réduction pour étudiant·e·s ; demandeur·euse·s d’emplois... Le prix ne doit pas être un obstacle à l’inscription, contactez-nous ! (pause café et lunch-sandwich inclus)Pour s’inscrire ? Compléter le formulaire d’inscription en ligne (CODE formation : répression_2022) RENSEIGNEZ-VOUS / Les formations du CFS-EP sont éligibles au financement des formations du Fonds 4S. Soutien à la formation « Formations clés sur porte » qui concerne tout travailleur.euse.s issu de la Commission Paritaire 329.02 ou 329.03. > https://www.fonds-4s.org/

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Santé / Soins

Journée care liée à la vie collective

Bonjour tout le monde, Depuis que le soin est devenu tendance depuis le covid et que les injonctions au bien-être pleuvent par millier, comment prendre soin de manière radical et révolutionnaire ? Comment ne pas tomber dans les travers culpabilisants et individualistes du courant néo-libéral ? Quels sont les freins au soin dans nos collectifs ? Quels sont les freins de nos individualités ? Voici une idée approximative du programme. Idéalement nous sommes à la recherche d’activités et de personnes pour tenir une garderie, une bonne occasion pour les alliés de se manifester. Inscriptions souhaitées via hotelflambeau@riseup.net – Si nous sommes dépassé.es par le nombre de personnes intéressées, nous donnerons la priorité aux membres de l’intersquat/occup. Besoin de garderie ? Merci de nous indiquer l’âge des enfants concernés. Idée du programme approximatif : 14-14h30 : Accueil 14h30-16h30 : Discussion sur « partage de ressources pour prendre soin à l’échelle individuelle et collective face à des traumas, des troubles psy, des situations de violence, … » L’idée est de discuter en petits groupes de comment on a réussi à trouver des ressources au sein du collectif, ou à l’extérieur pour faire face à des situations compliquées. Nous reviendrons ensuite en plénière pour mettre en commun ces ressources et dresser un inventaire sommaire qui pourrait par la suite être diffusé pour servir de pistes à des situations ultérieures. 17h-19h : Discussion autour des addictions. Quelles places elles peuvent prendre au sein des collectifs, comment en parler, comment elles viennent répondre parfois à un mal-être, quelles ressources pour y faire face, comment cela peut peser sur le reste du collectif, comment sortir du discours culpabilisant, … 19-20h30 : repas et moment détente 20h30-21h45 : petite boum pour finir en douceur On imaginait en parallèle de ces deux sujets plutôt cérébraux des animations plus concrètes autour du soin (massages, jeux, théâtre, …). Si vous avez de l’énergie pour porter quelque chose, n’hésitez pas à vous manifester ! Le programme définitif ainsi que les jauges et les formes des différentes discussions seront communiquées prochainement.

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Santé / Soins

Journée autour du care lié à la vie collective

Bonjour tout le monde, depuis que le soin est devenu tendance depuis le covid et que les injonctions au bien-être pleuvent par millier, comment prendre soin de manière radicale et révolutionnaire ? Comment ne pas tomber dans les travers culpabilisants et individualistes du courant néo-libéral ? Quels sont les freins au soin dans nos collectifs ? Quels sont les freins de nos individualités ? Idée du programme approximatif : 14-14h30 : Accueil 14h30-16h30 : Discussion sur « partage de ressources pour prendre soin à l’échelle individuelle et collective face à des traumas, des troubles psy, des situations de violence, … ». L’idée est de discuter en petits groupes de comment on a réussi à trouver des ressources au sein du collectif, ou à l’extérieur pour faire face à des situations compliquées. Nous reviendrons ensuite en plénière pour mettre en commun ces ressources et dresser un inventaire sommaire qui pourrait par la suite être diffusé pour servir de pistes à des situations ultérieures. 17h-19h : Discussion autour des addictions. Quelles places elles peuvent prendre au sein des collectifs, comment en parler, comment elles viennent répondre parfois à un mal-être, quelles ressources pour y faire face, comment cela peut peser sur le reste du collectif, comment sortir du discours culpabilisant, … 19-20h30 : repas et moment détente 20h30-21h45 : petite boum pour finir en douceur Le programme définitif ainsi que les jauges et les formes des différentes discussions seront communiquées prochainement. On imaginait en parallèle de ces deux sujets plutôt cérébraux des animations plus concrètes autour du soin (massages, jeux, théâtre, …). Si vous avez de l’énergie pour porter quelque chose, n’hésitez pas à vous manifester ! Inscriptions souhaitées via hotelflambeau@riseup.net – Si nous sommes dépassé.es par le nombre de personnes intéressées, nous donnerons la priorité aux membres de l’intersquat/occup. Besoin de garderie ? Merci de nous indiquer l’âge des enfants concernés. Idéalement nous sommes à la recherche d’activités et de personnes pour tenir une garderie, une bonne occasion pour les alliés de se manifester. Voici une liste de quelques ressources identifiées par Fée-Niks pour les personnes qui veulent déjà creuser le sujet en amont ou qui n’auront pas l’occasion d’en être. Article The Unspoken Complexity of “Self-Care” de Deanna Zandt (vraiment cool !) Vidéo Stress Vicariant (sur youtube) https://www.youtube.com/watch?v=gT91HVEjbok&t=220s Brochure Quelles ressources pour le soin et le soutien collectif ? Brochure Si c’est contraint, c’est pas du soin - Psychiatrisé.es contre les traitements forcés Brochure Guide de navigation en eaux troubles Brochure Rien sur nous sans nous Brochure Dissonances Au plaisir de vous y voir, Texas et Fée-Niks

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Écologie

[Rencontre] Des empires sous la terre - Mohamad Amer Meziane

Histoire écologique et raciale de la sécularisation On appelle généralement « sécularisation » le phénomène qui aurait vu les sociétés occidentales sortir du règne de l’hétéronomie et entrer dans l’ère de l’histoire et de l’autonomie. Dès lors les humains, guidés par la Raison, auraient construit un monde libéré des croyances et des superstitions. C’est une tout autre histoire que raconte ce livre, une histoire dans laquelle la proclamation d’un monde sans Dieu est le fruit d’une « impérialité » hantant l’Europe et ses colonies depuis l’échec de la réunification de l’Empire chrétien par Charles Quint – un monde impérial qui s’annonce, dès la fin du XVIIIe siècle, comme le seul ayant dépassé les religions et ainsi capable de les réconcilier. Mais cette affirmation n’est possible qu’au prix de la racialisation de l’islam et de sa réduction à un universalisme concurrent, insécularisable et irrémédiablement « fanatique », ouvrant ainsi la voie à l’expansion européenne vers l’Afrique et l’Asie. Outre la dimension raciale de la sécularisation, ce livre en met au jour une seconde, écologique celle-là. En l’absence d’un Royaume de l’au-delà, la Terre devient le seul monde « sacré », et l’exploitation de ses sols et sous-sols la source unique de la légitimité de l’Empire. Aiguisée par les rivalités interimpériales (entre la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne), la ruée sur les biens terrestres s’est peu à peu muée en destruction de l’écosystème global. Ainsi pouvons-nous faire remonter la crise climatique à ce surgissement impérial-séculier et qualifier l’ère qu’il a ouverte de « Sécularocène ». C’est la critique du Ciel qui a bouleversé la Terre. La rencontre sera animée par Montassir Sakhi, chercheur en anthropologie sur les révolutions en Syrie et en Irak. Elle aura lieu à la Librairie Météores, une librairie indépendante avec un espace de rencontre autour d’événements culturels, concerts, projections... dans le quartier des Marolles.

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Guerre / Antimilitarisme

[Formation] Changement de système… en cours : Comprendre, déconstruire et agir collectivement

Formation participative en éducation populaire Le SCI et APLP vous proposent un weekend de formation pour : réfléchir à nos représentations de “pouvoir” et “puissance” ; mieux comprendre les systèmes de domination et oppression, des causes des injustices et de discriminations ; retrouver l’espoir et des ressources pour se mobiliser en faveur d’une société plus solidaire ; poser des bases pour s’organiser collectivement en vue d’un changement de système. Les enjeux sociétaux actuels sont énormes. Nous sommes confrontés au quotidien aux discriminations et injustices : à l’injustice climatique et migratoire, à l’inégalité de genres, aux difficultés d’accès aux droits sociaux et à la pauvreté, la guerre et la violence, à l’exploitation de l’environnement et des personnes… et bien d’autres. Les logiques d’individualisme, compétition et consumérisme nous aliènent des autres et de nous-mêmes. Comment, dans ce contexte, retrouver une puissance d’agir et la capacité de s’organiser avec les autres pour une autre société ? Durant ce weekend nous allons proposer différents ateliers et créer un espace d’échange et de co-construction pour toute personne qui a envie d’apprendre, comprendre, désapprendre, retrouver l’espoir, rencontrer les acolytes et allié·es pour faire part du changement et créer un demain plus enviable. Formulaire d’inscription en lien.

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