Urbanisme / Transports

Écologie

TodayInLiège fantasme une « guerre écologiste »

Cet article est une réponse directe adressée au media local TodayInLiège, après la parution d’un article sensationaliste sur l’occupation du parc de la Chartreuse à Liège. Sur la forme On ne va même pas parler du nombre impressionnant de coquilles dans l’article qui donne le ton sur le temps qui a été consacré à ce travail. Par contre, sérieusement, c’est quoi ce titre !? A l’heure où les autres médias publient les images des horreurs des guerres en Ukraine, au Mali, au Yémen et ailleurs, vous, vous parlez de « guerre écologiste » pépouze ! Avec ce choix de vocabulaire, mettre en parallèle l’imaginaire de soldats armés chargés de tuer leurs ennemis et des gens qui défendent un parc face à un promoteur immobilier, ça ne vous perturbe pas plus que ça !? Vous voulez du sang, de la douleur ? C’est quoi le délire ? On pensait que le journalisme en mode « huile sur le feu » sans aucun fond était réservé à d’autres... Sur le fond Votre texte est un déroulé de fausses informations, en ce compris dans les citations dont vous ne prenez pas la peine de vérifier la véracité : Le « Pic vert », outre le fait que c’est le joli nom de plusieurs oiseaux qui sont en ce moment en train de faire leur nid au-dessus de nos têtes, est le nom que nous avons donné à la barricade sud et non à l’ensemble du campement. Evidemment, c’est juste un détail, mais n’importe qui sur le site aurait pu vous le dire, encore aurait-il fallu venir nous parler plutôt que de vous contenter de déductions hasardeuses à partir de photos prises à l’entrée de la zone. Vous écrivez que « les entrées du site ont été bloquées ». C’est faux, le site est toujours chaleureusement ouvert à tous·tes les promeneurs/euses qui sont d’ailleurs encore nombreux/ses à circuler et à nous apporter leur soutien puisque c’est avant tout leur parc. Les barricades empêchent juste le passage de véhicules pour empêcher les travaux qui détruiraient ces sentiers de promenades. Vous parlez d’une « vingtaine de militants écologistes ». A nouveau, il va falloir expliquer d’où vous sortez vos informations. Apparement nous « sembl[ons] prêt[·e]s à défendre cette bande de nature à coups de pierres. » Pourquoi pas changer votre titre en « Bientôt une intifada écologiste à la Chartreuse » tant que vous y êtes ? 2.8 hectares bétonisés ce n’est pas juste « voir surgir des maisons sur l’autre trottoir » à la place d’un peu de végétation mais on est sûr·es que les riverain·es vous remercient pour la compréhension... D’ailleurs, sur les 42 hectares du reste du site, on aimerait bien que le président de l’ASBL Chartreuse nous donne son estimation de la surface déjà bétonnée (parce que c’est marrant, la projet Matexi tombe justement sur la dernière parcelle de la zone Est du parc qui n’est pas encore couverte de béton. Laisser croire qu’il n’y aurait « que » 2.8 hectares qui allait être bétonnisés sur la Chartreuse comme si tout le reste du sol était toujours en terre, c’est réellement malhonnête). "Il est donc...

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Écologie

APPEL A REJOINDRE L’OCCUPATION DE LA CHARTREUSE AU PLUS VITE !

La bétonisation menace une fois encore l’existence d’une zone humide (en déclin) et de tous les êtres vivants qui l’habitent ou la côtoient. Le promoteur immobilier Matexi semble bien décidé à passer en force pour commencer les travaux d’un quartier résidentiel alors que la décision du conseil d’état sur la validité du permis de bâtir n’a pas encore été donnée ! Une occupation du terrain a donc débuté ce dimanche 27 mars dans le but de bloquer l’accès aux engins. Une demande de suspension est en cours, lancée rapidement par le collectif « Un Air de Chartreuse ». La décision à cette demande sera rendue lundi 4 avril par le tribunal. Nous vous appelons à nous rejoindre dès maintenant, en nombre. Il nous semble important d’avoir le plus de cerveaux et de corps possible pour penser/construire l’avenir de cette lutte. D’autant plus que le rendu de ce recours va changer radicalement la suite des évènements, et nous avons des raisons de croire que la décision du tribunal ne sera pas en notre faveur. Samedi 2 avril marquera le lancement de notre super week-end « Ren-Fort de la Chartreuse » qui, en plus d’être un moment d’organisation collective, sera l’occasion d’avancer sur les différents chantiers, de passer un moment agréable autour de concerts et repas et qui sait peut-être de s’installer pour un petit bout de temps... D’autres évènements suivront ! On veut toujours de cette Chartreuse et on la veut pour toutes et tous, verte et non marchande ! LE MEILLEUR ECOQUARTIER C’EST CELUI QU’ON NE CONSTRUIT PAS Contact : chartreuselazone@protonmail.com FB & Insta : Chartreuse Occupée

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Féminismes / Antipatriarcat

Balade féministe à Ixelles

La collective Noms Peut-être vous propose deux balades féministes à Ixelles le mercredi 18 mai : une à 15h et l’autre à 17h30. Le parcours de cette balade nous emmènera à la découverte d’histoires de femmes [1] de cette commune, de celles qui y ont vécu ou qui l’ont marquée de leurs empreintes. Nous irons à la rencontre de femmes célébres ou oubliées, comme Dame Gisèle, fondatrice de l’abbaye de la Cambre, Maria Malibran ou encore des femmes brasseures de bières. Au fil des arrêts, nous nous intéresserons également à l’histoire de la répression de l’adultère, au rôle des femmes dans la colonisation, ou encore à la visibilité lesbienne dans l’espace public... Rejoignez nous ! Le parcours durera environ 2h. Pour s’inscrire le mercredi 18 mai à 15h : https://forms.gle/v3v3bPCQ3HJFb7oq8 Pour s’inscrire le mercredi 18 mai à 17h30 : https://forms.gle/DHnRdXwNwXvLUUk39 Le point de rendez-vous sera communiqué par mail après inscription. Les balades sont gratuites grâce au subside d’Equal Brussels. Noms Peut-être est une organisation féministe sans but lucratif visant, en Région bruxelloise, à mettre en avant des femmes d’ici et d’ailleurs, dénoncer l’invisibilité des femmes dans l’espace public et dans l’Histoire et proposer des modèles inspirants à tou.te.s. En plus de la balade d’Ixelles, Noms Peut-être a crée et anime régulièrement une balade féministe dans le centre ville et une dans le quartier des Marolles.

Urbanisme / Transports

Don’t Look Down : une série documentaire pour explorer les dessous du métro 3

Une série vidéo nécessaire pour informer et lancer un débat public en marge de l’enquête publique sur le tronçon nord du métro 3. Présenté comme « l’un des plus grands projets d’infrastructure à Bruxelles pour les 10 prochaines années », synonyme de grands chantiers, de profondes mutations urbaines et de dépenses estimées à 2,3 milliards d’euros, le métro 3 mérite bien un débat public ! Cette série explore les dessous du projet d’infrastructure le plus coûteux de l’histoire de la Région bruxelloise : le métro 3. Les cinq premiers épisodes viennent d’être mis en ligne, à l’occasion de l’enquête publique actuellement en cours sur le tronçon nord de cette ligne. Tandis qu’une enquête publique est actuellement en cours à propos du tronçon nord du métro 3 (jusqu’au 5 avril dans les communes de Schaerbeek, Evere et Bruxelles-Ville), et que les Bruxellois disposent de seulement 30 jours pour prendre connaissance d’un dossier de 6300 pages et s’exprimer à son propos, « Don’t Look Down » vient de mettre en ligne ses 5 premiers épisodes. Lire la suite de l’article sur le site de Zintv Épisodes et diffusion : La série « Don’t Look Down » est composée de 10 capsules de 5 à 10 minutes. Chacune décortique un aspect du dossier : son historique, son mode de gouvernance, sa durée de réalisation, ses coûts financiers, le bilan écologique de l’opération, la disparition du tram en surface, les possibles alternatives, le mode opératoire du chantier, ses impacts sociaux et sur l’espace public, etc. Les 5 premiers épisodes sont d’ores et déjà en ligne, les voici ci-dessous. Les 5 suivants seront publiés au fil des prochaines semaines, en marge de l’enquête publique. La série est visible gratuitement sur la page Facebook @metro3dontlookdown et sur le site www.dontlookdown.be. Épisode 1 :

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Logement / Squat

« J’habite, tu habites, ils spéculent » - conférence gesticulée

"J’habite, tu habites, ils spéculent" est une conférence gesticulée de Sarah De Laet sur les thèmes du logement, du droit à la ville, des expulsions, de la gentrification, de la propriété privée et de la spéculation Une conférence gesticulée, c’est quoi ? C’est une conférence d’un genre particulier, une rencontre entre des savoirs chauds (savoirs de vie et savoirs populaires utiles à l’action collective) et des savoirs froids ( savoirs théoriques et politiques), cela ne donne pas des savoirs tièdes… cela fait de l’orage ! Et de quoi ça parle ? "Dans les villes de l’an 2000 la vie ne semble pas plus facile… les loyers flambent, de plus en plus de personnes « vivent » en rue, peu de logements sociaux se construisent, des milliers d’expulsions ont lieu chaque année, et des bâtiments de logements chics se construisent mais restent vides… que se passe-t-il dans nos villes ? À travers mon parcours dans Bruxelles et mon amour de la géographie urbaine, j’aborde des problèmes de logement que de plus en plus de personnes rencontrent dans les villes d’Europe. Je vous raconterai comment par mon expérience d’habitante, de chercheuse, de travailleuse, par des mobilisations, des expériences institutionnelles, des essais en tout genre, j’en suis arrivée à penser que la propriété privée sous sa forme actuelle était le frein à la réalisation du droit au logement. Comme j’aime Starmania, et que cette comédie musicale parle de tout, même de changements urbains et de logement, on chantera aussi un peu. Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi des bâtiments restent vides dans des villes chères, si vous vous demandez pourquoi les loyers ne font qu’augmenter, si vous avez un logement ou si vous n’en avez pas, venez !" Infos pratiques : Quand ? Mardi 22 mars à 18h30 Où ? Campus du Solbosch, batiment H, salle H1309 Avenue Franklin Roosevelt, 50, 1050 Bruxelles Inscriptions : https://framaforms.org/conference-gesticulee-jhabite-tu-habites-ils-speculent-de-sarah-de-laet-1646240377 Plus d’infos : https://conferences-gesticulees.net/conferences/jhabite-tu-habites-ils-speculent/

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Logement / Squat

...And City for All ?

Il n’y a jamais vraiment d’entracte dans les travaux de nos villes, toujours un petit quelque chose à faire, « moderniser », « revitaliser », « régénérer le tissu urbain », « embellir », « mixifier », « rendre la ville aux habitants »… Autant de formules qui sont souvent synonymes, sans jamais le dire, de ce mécanisme déloyal et sournois par lequel les populations des quartiers populaires sont volontairement remplacées par une couche sociale plus aisée. Il est rare que la réorganisation de l’espace urbain soit seulement une question de paysage, et pourtant les processus de gentrification sont toujours présentés à leurs victimes comme « naturels ». Face à cette arme silencieuse des politiques urbaines, filmer reste une manière judicieuse de mettre en lumière ces processus peu visibles, de laisser une trace de ce qui a été... Ce mois-ci, le Cinéma NOVA vous propose quatre films de fiction venus des Etats-Unis, inédits en Belgique, tous nourris par le réel et portant des regards singuliers sur la gentrification telle qu’elle sévit à Washington, Portland ou dans la ville imaginaire de Checkford ; ainsi qu’un film sur la transformation de l’avenue de Stalingrad à Bruxelles, comme le miroir d’une histoire commune à toutes les villes du monde. A Bread Factory Part 1 - Ce qui nous unit Patrick Wang, 2017, US, 16mm > video, vo st fr, 122’ Il y a quarante ans, dans la petite ville de Checkford, Dorothea et Greta ont transformé une usine à pain désaffectée en un espace dédié aux arts : c’est La Bread Factory, dépositaire d’une certaine idée de l’éducation populaire. Mais May-Ray, un couple célèbre d’artistes-performeurs chinois est arrivé en ville et menace de récupérer les subventions culturelles permettant de faire vivre ce lieu. Non sans humour, la communauté de personnages hauts en couleurs qui fréquentent la Bread Factory tente de la faire survivre… Film artisanal réalisé par le très inspiré et inclassable réalisateur new-yorkais Patrick Wang, « A Bread Factory » a été nourri par la lecture de romans russes et leur propension à dépeindre des sagas familiales. D’abord imaginé comme une mini-série, de celles que Fassbinder, Rivette ou Bergman ont pu réaliser, il a finalement pris la forme d’un généreux diptyque. Un récit choral d’un humour et d’une poésie insensés, qui prend le temps, s’intéresse à la vie comme elle va, prête une attention précieuse à la psychologie de chacun de ses personnages, pour capturer l’essence d’une communauté et défendre l’importance sociale de l’art tout en pointant ses dérives élitistes. 28.01 > 19:00 + 30.01 > 21:00 + 05.02 > 21:00 + 20.02 > 15:30 6€ / 4€ A Bread Factory Part 2 - Un petit coin de paradis Patrick Wang, 2017, US, 16mm > video, vo st fr, 120’ Checkford a bien changé depuis l’arrivée des célèbres May-Ray : les touristes affluent, l’immobilier flambe… A la Bread Factory, Dorothea et Greta travaillent sur l’adaptation d’Hécube d’Euripide. Mais le vrai spectacle se situe à (...)

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Logement / Squat

Het Pand (le Bâtiment) sera-t-elle vendue au plus offrant ?

Une fois… Deux fois… Squatté une troisième fois contre la privatisation ! Le 19 décembre 2021, deux semaines après la dernière expulsion, nous avons re-squatté het Pand ! Par nécessité politique, car encore une fois la voix du peuple est ignorée et la ville Gand et ses marionnettes veulent vendre le Caermersklooster (Couvent des Carmes) au plus offrant. Depuis plus de quarante ans, het Pand symbolise la lutte des Gantois pour préserver leurs patrimoine et le droit à un logement décent. Face à eux se trouve l’intérêt des investisseurs privés et des spéculateurs, notamment intéressés par l’achat du patrimoine pour en tirer profit. Plus que cela, het Pand incarne le pouvoir du peuple s’il fait entendre sa voix assez fort. En 1980, des milliers de Gantois, squatters et sympathisants, sont descendus dans la rue contre la vente de het Pand au secteur touristique privé. Ils ont gagné cette bataille et pendant plus de 25 ans, le Caermersklooster a été utilisé pour le logement social. Maintenant, pour la deuxième fois en un demi-siècle, la perte du Pand est imminente. Alors que tant de personnes recherchent un logement et un espace de vivre, WoninGent a expulsé les logements sociaux et par la suite les squatters et ils veulent vendre le Caermersklooster. Gand en solde ! En plus de het Pand, de nombreuses autres privatisations de biens publics suivront, comme le Blauwhuis et le site Arsenaal et des centaines de logements sociaux. Par notre action, nous voulons en dénoncer la cause : une politique néolibérale du logement et anti-squat défaillante, dans laquelle toute personne ayant un revenu normal ou faible est chassée du centre-ville. Tu te sens connecté à notre combat et aimes-tu aider même si tu ne sais peut-être pas comment ? Alors deviens un Pandemist et aidez-nous à gagner la lutte ! Il y a de quoi faire : viens réfléchir, construire, parler, faire… As-tu deja une idée de projet dans het Pand ou vous êtes simplement curieux de connaître le lieu ? Alors viens ! Tu peux nous contacter sur notre site web https://hetpand.noblogs.org/english/ venir à la cuisine communautaire le samedi ou regardez notre vidéo d’introduction https://www.youtube.com/watch?v=KsSWXEKFkoc

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Écologie

ZAP GAME : Bruxelles Zone Anti-Pub, plusieurs centaines de panneaux attaqués

Le 15 novembre se lançait le ZAP (Zone Anti Pub) Game. Le but du jeu est très simple : détourner et/ou détruire le plus de pubs possible dans un temps imparti pour libérer un quartier de la publicité. Depuis le lancement du jeu, on dénombre déjà plus de 40 actions anti-pubs dans différents quartiers bruxellois ainsi qu’à Charleroi, toutes répertoriées sur le site du ZAP Game. Le premier round se terminait le 25 novembre, à l’aube du black Friday, summum du consumérisme. En ville, la pub est partout, tout le temps, elles nous harcèlent d’injonction à consommer et de norme à respecter. Elles capte notre regard. C’est toute l’architecture urbaine qui a rendu les pubs inévitables à chaque sortie dans l’espace public, à un tel point qu’elles en sont devenues banales. Pourtant la pub nous agresse, visuellement en enlaidissant le paysage urbain, économiquement en nous incitant à surconsommer, et dans un rapport normatif, en nous induisant des standards esthétiques, culturels, relationnels, … En plus de cela, la pub nuit à l’environnement. La démultiplication des publicités à écran génère une certaine consommation d’énergie et contribue grandement au phénomène de pollution lumineuse (l’effet étant décuplé avec les écrans LED) qui produit des effets néfastes pour la faune et la flore ainsi que chez les humain.e.s. Le média publicitaire est un pilier du capitalisme : il soutient la logique de surproduction capitaliste en incitant à surconsommer. Il est aussi intéressant d’observer comment fonctionne l’aménagement de la publicité dans l’espace public par des sociétés privées. A Bruxelles, ce sont les deux multinationales JCDecaux et Clear Channel qui en ont le monopole. Ces dernières vont proposer l’installation de pubs dans différents services publics (arrêt de bus par exemple) et de les entretenir. En contrepartie, elles reçoivent une concession de la ville (allant jusqu’à 15 ans) qui leur permettent d’aménager à leur guise le dispositif publicitaire notamment sur les axes routiers. Ce sont donc des enjeux publics comme l’aménagement de services publics et des dispositifs urbain qui nous concernent, qui sont laissés à des multinationales, ayant des intérêts privés opposés aux nôtres, ceux du collectif. Le ZAP Game s’est lancé pour se réapproprier ces espaces publicitaires qui nous font face au quotidien. Il lie action et créativité : on peut y retrouver des détournements humoristiques ou politiques, des mises hors-service, des dégradations ... Sur le site du ZAP Game on peut également retrouver une boite à outils réunissant toute une série de guides & conseils pratiques pour jouer efficacement et surement. Le site du ZAP Game : https://zapgames.net Sources : https://zapgames.net/pourquoi/ https://zapgames.net/#actions https://ieb.be/Publicratie?fbclid=IwAR34D1nliHnXPlN_zwQSpL4pQdtm1VNi8Ii2YGdXmvUlNcUKSf5xx2WqeIc Article produit par Bruxelles Dévie

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