Urbanisme / Transports

Écologie

LA ZAD (A69) EST VIVANTE FACE A UNE REPRESSION ABJECTE

Retour sur un weekend où la répression ne nous désarma pas de notre joie, notre rage et notre déter Samedi 13h : Il fait grand soleil, une nouvelle cuisine et un bar finissent de se construire à la Crém’arbre en prévision de la soirée prévue sur place le soir même. 14h : Une petite foule carnavalesque se rassemble place Pierre Fabre (multinationale inititatrice du projet d’autoroute) à Castres pour démasquer la MAFIA69. Alors que cette dernière tente de museler l’opposition à coup d’arrêté préfectoraux, elle se prépare à une attaque abjecte. 14h15 : 200 flics se positionnent Route de la Crémade, profitant de l’absence d’une partie du camp pour prendre d’assaut et surprendre les écureuils au sol. Tous les arbres sont protégés. Les barricades sont enfoncées et le sol, dépourvu d’une bonne partie de ses habitant.es, est vite assailli. 15h : Un tractopelle entre sur zone, fracasse les installations au sol et retourne méthodiquement tout le pré, anéantissant deux mois et demi d’efforts. Les flics lacèrent les tentes, détruisent les cabanes à la masse, enterrent canapés, cuisinières, livres, pharmacie, vêtements et affaires personnelles sous des tonnes de terre, Tout ce qu’ils n’ont pas détruit ou enfoui à été saisi : téléphones portables, matériel de grimpe, outils éléctroportatifs, groupe éléctrogène ... Des personnes présentes sont retenues pour des contrôles d’identité et convoquées en audition libre. 17h58 : Le tractopelle quitte la zone et la gendarmerie se replie après une descente aussi bien illégale que destructrice. 18h00 : Les habitant.es constatent les dégâts. Sombre vision que ce champs de ruines. Et pourtant... l’énergie collective reprend vite le dessus ! Une petite foule se réunit et s’affaire. Un grand feu de joie jaillit des décombres. Il brûle vivement, à l’image de la rage ambiante. 21h30 : Deux voitures de gendarmerie bloquent la route de la Crémade afin d’en couper l’accès. Ils déguerpissent enfin, poussés par une foule joyeusement persuasive. Dimanche Matin : Après avoir assuré une vigie tout au long de la nuit, les habitant.e.s sont de nouveau sur le qui-vive. : des fourgons de gendarmes mobiles sont en route pour la Crém’arbre. Peu de temps après, une première lignée se déploie tandis que des barricades se montent avec entrain. Quelques précipitations d’objets non-identifiés s’abattent de-ci de-là en direction des uniformes. Ils ripostent en lançant des lacrymos de façon hésitante. Charges, ripostes, ce balai dure un certain temps avant que les forces de l’ordre élargissent leur rang et prennent finalement possession de la route. Midi : Résiliente, la foule se réunit sur un champ voisin. Un appel à rassemblement et chantier de construction avait été lancé pour 14h00. Les soutiens se réunissent, un grand repas se prépare. Après-midi : Les gendarmes mobiles se trouvent toujours sur la route de la Crémade mais la foule retourne malgré tout sur le site. Une crépière...

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Écologie

Code rouge : blocage contre l’entrepôt Alibaba à Liège et les vols de jets privés à Anvers

Le samedi 15 décembre dernier, la coalition « Code Rouge » organisait sa troisième action de désobéissance civile en un peu plus d’un an. Après avoir visé le site de Total à Feluy et le chantier d’une nouvelle centrale à gaz de la compagnie Engie à Flemalle, la coalition a cette fois-ci ciblé le secteur de l’aviation. Plus de 1500 militant·es ont convergé vers les aéroports de Liège et Anvers pour de tenter de les bloquer. Ces deux sites ont été ciblés parce qu’ils représentent des secteurs de l’aviation particulièrement polluants. L’aéroport d’Anvers est à 76% consacré aux jets privés. A Liège, c’est l’extension de l’aéroport dédié à l’entreprise Alibaba qui a été visée. Celle-ci permet à l’entreprise chinoise de vente sur internet (Alibaba), d’avoir un site de distribution en Europe alors que l’entièreté de ses produits son fabriqués et exportés depuis la Chine. Si la plupart des militant·es n’ont pas réussi à rentrer dans l’aéroport d’Anvers, une soixantaine d’entre-elleux ont su y pénétrer en évitant les barrages policiers. De plus, en vue de la présence massive de militant·es arrêté·es à quelques mètres de l’aéroport, les autorités ont été contraintes d’annuler les vols en raison de la menace d’action. Du côté de l’aéroport de Liège, plus de 600 militant·es ont réussi à entrer sur les lieux. Après être entré·es sur le site aux alentours de quinze heures, les activistes de Code Rouge ont bloqué l’entrepôt de l’entreprise Alibaba avant d’être évacué·es de force par la police aux alentours de deux heures du matin. Les secteurs aériens liés au tourisme et à l’import de marchandises représentent une part importante des émissions de gaz à effet de serre. Les oxydes d’azotes (Nox), le Carbonne, la suie, les trainées noires et les trainées de condensation, propres aux résidus liés à l’aviation, contribuent deux fois plus au réchauffement climatique que les émissions de CO2. Il n’est pas ici question de porter un discours moralisateur sur l’utilisation de l’avion dans le secteur touristique, alors qu’il comporte des prix plus avantageux que d’autres moyens de mobilité moins polluants comme le train, mais bien d’en cerner les principaux responsables. Soulignons que 80% de la population mondiale n’a jamais pris l’avion tandis que les moins de 1% de celle-ci sont responsables de plus de la moitié des émissions des vols de passagers au niveau mondial. Il semble donc cohérent de cibler l’aéroport d’Anvers qui se concentre sur le secteur des jets privés, utilisés par les ultra-riches dans le cadre de voyage d’affaires et touristiques. D’un autre côté, l’extension de l’aéroport de Liège dédiée à l’entreprise « Alibaba » qui s’affiche comme un symbole même de la société de consommation à l’échelle mondiale, a été ciblée par des centaines d’activistes afin d’en dénoncer le modèle. Les activités autour d’Alibaba ont des effets désastreux sur la biodiversité et l’augmentation de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. De plus, permettant (...)

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Écologie

ZAD CONTRE L’A69 ET POUR LA DEFENSE DU VIVANT

APPEL A PERSONNES DETERMINEES POUR OCCUPER ET STOPPER LA CONSTRUCTION DE L’AUTOROUTE A69,ET CREER DES NOUVEAUX MONDES Bienvenue à la Crém’Arbre ! Village au sol et dans les arbres, lieu de relation, d’ancrage, d’imagination, de lutte et d’adelphité. Communauté d’êtres où explorer et incarner la fin de l’autoroute et son monde. 🚧 L’année 2023 a été haute en couleurs dans le Sud-Tarn, alors qu’une lutte quotidienne se déployait contre le projet d’autoroute A69 entre Toulouse et Castres. Essayant de prendre de vitesse les recours en justice et nous mettre devant le fait accompli, NGE-Atosca, la région et l’État ont choisi d’accélérer les travaux. Portés par une large coordination de collectifs, les rassemblements de masse en avril (Sortie de Route) et en octobre (No Macadam) ainsi que les occupations et les grèves de la faim et de la soif ont permis de visibiliser les oppositions locales, mobiliser au niveau national et structurer la lutte. Les abattages, lancés en mars sur l’allée de platanes centenaires de Vendine, se sont achevés en novembre par la destruction de la forêt de Sherwood. En moins d’un an, NGE-Atosca est parvenu à massacrer tous les écosystèmes forestiers du tracé de l’A69. Tous ? Non. Route de la Crémade à Saïx, à quelques encablures de la CrémZAD, expulsée le 22 octobre, la Crém’Arbre résiste encore et toujours, dernière forêt debout sur le tracé. 🌳 La Crém’Arbre est un lieu de vie s’inscrivant dans un contexte global de refus des aménagements imposés, un ilot de plus dans l’archipel des zones d’expérimentation, de défense et de soin. Ici cherche à s’inventer le futur, libéré de toutes les dominations qui nous ont amené à nier le vivant, à empoisonner les sources, la terre et l’air pour construire une route de trop. Ici se construit une terre d’espoir et d’imaginaires. La lutte s’y inscrit sur plusieurs niveaux, aussi bien physiquement, des cimes au sol, que politiquement, à travers diverses sensibilités, modes d’action etd’organisation. Ici comme ailleurs, la cohabitation et la valorisation des richesses individuelles est centrale, chaque instant est riche des histoires de chacun.es. Nous apprenons à nous entrevivre, à construire des communs et à créer de nouveaux mondes. Comme beaucoup d’autres luttes, plus anciennes ou plus lointaines, celle-ci est rurale et locale et s’oppose à des décisions déracinées et déraisonnables. Comme beaucoup d’autres luttes, elle est arrivée à la conclusion que la défense du vivant est indissociable de la lutte contre les oppressions systémiques entre humains. Nous aspirons à un idéal décolonial, transféministe, anticapitaliste et écologiste et cherchons à l’incarner. Nous cherchons à appliquer collectivement chaque jour des pratiques démocratiques, anarchistes et autonomes. Enfin nous gardons la joie avec nous quelle que soit la violence qui nous est opposée car nous sommes catégoriques : les arbres resteront debout, leurs projets autoroutiers sont...

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Santé / Soins

BIM – Vos droits à la clé

« Les mots sont magiques et créent du réel » affirmait récemment Denis Dargent, codirecteur du mouvement Présence et Action Culturelles (PAC). Ces mots concluaient une table-ronde, organisée dans le cadre du lancement de la campagne « BIM – Vos droits à la clé », menée par PAC, en partenariat avec Solidaris. Ils faisaient suite à un constat : lors des échanges, aucun·e intervenant·e n’avait prononcé le mot « capitalisme ». Le fait de ne pas l’évoquer pourrait-il le faire disparaitre du réel ? « On est quand même englué dedans depuis deux siècles et demi, mais on fait tout pour tenter d’y échapper. Le problème, c’est que l’ombre du capitalisme se cache aujourd’hui sous d’autres termes, tel que celui de ʺnumérisationʺ… ». Mais la numérisation n’est qu’un outil. Tout dépend de l’utilisation qu’on en fait. Utilisée à outrance (comme c’est déjà actuellement le cas avec certains services publics), la numérisation peut éloigner encore plus les publics se trouvant en situation de fragilité sociale. À contrario, la numérisation peut également s’avérer un outil performant, lorsqu’il est réellement mis au service des citoyen·nes, en permettant de réduire drastiquement le non-recours aux droits sociaux. C’est notamment le cas avec le statut BIM. En effet, en Belgique, 300.000 personnes sont privées de ce statut, auxquelles elles auraient normalement droit. Et pourtant, le statut BIM – pour « Bénéficaires d’Intervention Majorée » – est un statut qui octroie une prise en charge plus importante du remboursement des soins de santé par la mutualité (prestataires, hôpitaux, médicaments, etc.) et qui permet de bénéficier de certains avantages sociaux (notamment en matière de mobilité). Un levier précieux lorsqu’une personne se trouve en situation de fragilité financière, en sachant qu’un·e citoyen·ne sur quatre renonce à des soins pour raisons financières. Le non-recours aux droits, comme l’ont expliqué à la table ronde Marie-Caroline Menu et Selma Lisein (de l’Atelier des droits sociaux à Bruxelles), vise « toute situation dans laquelle se trouve une personne qui, pour quelque raison que ce soit, ne tire pas profit d’une offre publique de droit et de service qu’elle pourrait réclamer et pour laquelle elle est éligible ». Appliqué au BIM, il y a donc en Belgique 300.000 personnes qui entrent dans les conditions pour bénéficier de ce statut mais qui, au final, n’y ont pas droit. Pourquoi ? Les raisons d’un non-recours sont multiples, de la non-information (on ne sait pas qu’on y a droit) à la non-demande (on ne fait pas la demande en raison, par exemple, de la complexité des démarches), en passant par le non-accès (on sait qu’on peut avoir accès à un droit, on l’a demandé mais il n’a pas été octroyé) et la non-proposition (personne n’a fait la proposition de bénéficier de ce droit). L’automatisation des droits : un levier contre la pauvreté « BIM – Vos droits à la clé » s’inscrit dans la continuité d’autres campagnes menées par PAC ces dernières (...)

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Écologie

[France] Pourquoi et comment lutter contre l’A69 ?

Pourquoi et comment lutter (localement et nationalement) contre l’A69 entre Castres et Toulouse ? Pourquoi lutter contre l’A69 ? Car cette autoroute entre Castres et Toulouse, ce n’est pas « que » 62 km de bitume, c’est une artificialisation croissante et étalée, le territoire privatisé et à la merci des entrepôts logistiques, la mort des paysan.nes et du territoire pour laisser place à des zones commerciales et industrielles pour enrichir les plus riches. NGE/Atosca, concessionnaire du projet autoroutier, fait installer des centrales à bitume dans le Lauragais, près d’écoles et de cours d’eau, sans consulter ses habitant.es, les condamnant à des pollutions chroniques et cancérigènes de l’air, la terre et l’eau ☢ Le Tarn est déjà asséché, déjà balafré d’autoroutes et de zones d’activités commerciales ou industrielles. Nous ne laisserons ni NGE, ni l’Etat et ses collusions avec le BTP, ni Pierre Fabre s’accaparer les terres une fois de plus. Ce que nous voulons, c’est qu’une partie de ces terres sur lesquelles déjà beaucoup trop d’arbres ont été décimés, alors que le recours judiciaire qui démontrera l’illégalité de ce projet n’a pas encore eu lieu, servent à Une Autre Voie, notre projet alternatif pour la première véloroute nationale de 87 km. Comment s’est organisé la lutte contre l’A69 ? Il y a environ un an, quelques centaines de personnes bivouaquaient le long du tracé, sous les étoiles, convaincues qu’on ne pouvait pas laisser les sombres alliances entre industriels et pouvoirs publics faire la loi dans le Tarn. En Avril, nous étions 8000, puis de nouveau 10 000 six mois plus tard où nous avons marché, couru, roulé, grimpé et résisté ensemble à la construction de l’A69. Puis en Décembre, nous renforcions encore le rapport de force en envahissant, à 1500 personnes, l’usine à bitume en construction dans le cadre des journées contre le béton.  💥 Du camping des platanes aux intrusions chez Pierre Fabre ou NGE, des arbres occupés par les écureuil.le.s au blocage ou au désarmement d’engins de chantier, jusqu’aux grèves de la faim : les actions ont été nombreuses durant cette année d’intensification de la lutte. Acculé, refusant de perdre la face en abandonnant un projet dont l’absurdité est évidente, l’État a brandit sans surprise le seul argument qu’il connaît : la répression judiciaire et policière. En effet, la flicaille a laissé nos éureuil.le.s assiégé.e.s, affamé.e.s et privé.es de sommeil pendant trois long jours jusqu’à ce qu’une manifestation spontanée ne fasse lever le dispositif policier. Beaucoup trop de camarades ont déjà eu leurs procès avec des lourdes peines et de nombreux restent à venir.  Comment lutter contre l’A69 dans le Tarn ? Rejoignez le Labo des Terres et la Crémarbe pour un coup de main, un jour ou des semaines. Le Labo des Terres, c’est un jeune collectif d’expérimentation qui se veut féministe, anticapitaliste, décolonial et écologiste avec des gens, des espaces, des façons de faire, de la...

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Logement / Squat

Pour Le Logement Social : BEM

Bruxelles en mouvements n°327 - Décembre 2023 Durant la dernière décennie, les mots « logements sociaux » ont pratiquement disparu des bouches de nos édiles. On parle désormais de « logements publics » ou de « logement à finalité sociale ». Un glissement sémantique qui n’est pas anodin. Derrière lui se cache la dilution physique du logement social. Si la Région bruxelloise se targue de comptabiliser près de 10 % de logements à finalité sociale (ce qui englobe les logements acquisitifs Citydev ou ceux qui sont confiés aux AIS), elle détient en réalité moins de 7 % de logements sociaux, à savoir un logement locatif public qui le reste dans la durée et qui est fourni contre un loyer tenant compte du revenu de ses occupants. 90 % des logements sociaux ont été construits avant la naissance de la Région et sont pour la plupart dans un état de dégradation avancée. Pourtant, le logement social reste à l’heure actuelle la seule mesure politique véritablement sociale en matière de logement. Confier au marché privé la responsabilité de loger la population, laisser primer le logement-marchandise sur le logement comme besoin et comme droit, c’est renoncer, de fait, au droit au logement pour tous. A l’inverse, développer une politique de logement social, c’est sortir de la logique du logement-marchandise, éviter l’appropriation des subsides publics par quelques-uns, lutter contre les discriminations au logement et assurer la justice sociale et le droit à la ville. De plus, les bâtiments qui sont, et restent, propriété publique ou collective forment un rempart contre la gentrification, phénomène qui rend les quartiers invivables pour une bonne partie des habitant.es. Pour ces raisons, le présent dossier, réalisé avec l’aide de l’IGEAT et d’Action Logement Bruxelles, se veut un véritable plaidoyer pour le logement social. Ce n’est pas pour autant qu’il fait l’impasse sur les réalités difficiles des occupants actuels des grands ensembles construits en majorité durant les deux périodes d’après-guerre. Les travailleurs de Bonnevie, de l’Union des locataires Marolliennes (ULM) et de l’Union des locataires d’Anderlecht-Cureghem (ULAC) se font ici le relais de leurs voix : liste d’attente interminable et dédale bureaucratique, vétusté et insalubrité, gestion défaillante par certaines SISP,… tant et si bien que la seule raison qui pousse les locataires à rester dans le logement social est son accessibilité financière. Le manque d’investissements dans les immeubles existants et les difficultés liées à la concentration d’une population précarisée ont terni l’image du logement social. Mais ce n’est pas une fatalité et les pouvoirs publics ont les moyens de construire des logements d’excellente qualité. Certes, on ne peut nier que la Région se heurte à des blocages divers venant notamment des réticences communales et de la contestation de certains riverains. Nous publions une cartographie montrant que le nombre total de logements sociaux ayant été ou...

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Écologie

Code rouge is back !

Code Rouge est de retour ! Après TotalEnergies et Engie, nous visons l’aviation, une industrie polluante et irrespectueuse des droits humains et dont rien ne semble pouvoir stopper la croissance. A moins que… ? Du 16 au 17 décembre, nous passons à l’action. #PeopleNotFlights Nous avons besoin de vous pour faire de cette édition une réussite ! Ce n’est un secret pour personne : le secteur de l’aviation a des conséquences désastreuses sur le climat, repose sur des métiers offrant des conditions de travail difficiles et a un impact néfaste sur la nature, le secteur agricole et la santé. Pourtant, cette industrie bénéficie d’innombrables allègements fiscaux et de millions de dollars de subventions. L’aviation continue donc de se développer, bien au-delà des limites planétaires. Tout cela alors qu’elle profite seulement au 1% de l’humanité responsable de la moitié des émissions de gaz à effet de serre et que la majorité de la population mondiale en paie le prix. Il est grand temps de mettre l’industrie de l’aviation au pas et de lui faire opérer un virage radical, dans lequel la priorité est donnée aux personnes et à la planète ! Code Rouge est un mouvement de désobéissance civile créé par des activistes et soutenu par différentes organisations et groupes d’action : c’est notre présence en masse qui fait notre force ! Il est encore temps de s’inscrire ! Toutes les informations sur le matériel à avoir, les aspects légaux, les séances d’informations, sur le site internet (https://code-rouge.be/) et n’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations ! Rejoignez-nous !

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Extrême-droite / Antifascisme

Appel aux travailleurs du monde entier : “Bloquez les navires israéliens du génocide !”

Masar Badil, le Mouvement palestinien de la voie révolutionnaire alternative, appelle tous les activistes ouvriers, syndicalistes et organisations de travailleurs à entreprendre des actions en vue de bloquer les navires israéliens, de refuser de les charger ou décharger et de refuser de transporter des armes de guerre à destination de l’occupation israélienne qui, actuellement, se livre à un génocide contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza en état de siège. Nous avons déjà assisté à plusieurs actions importantes dans le monde, à commencer par les actions de l’armée et du peuple du Yémen qui ont bloqué l’utilisation des eaux territoriales yéménites pour le transport et le passage des navires et cargaisons sionistes. Les travailleurs du transport en Belgique, à Barcelone et au Japon ont déclaré qu’ils refuseraient de charger des armes destinées à l’occupation israélienne, alors qu’en Italie, les dockers ont mené une grève d’un jour contre le génocide en cours. De l’Inde aux Philippines et en Afrique du Sud, le mouvement ouvrier a exprimé clairement sa position, réclamant l’expulsion des ambassadeurs sionistes et rejetant l’utilisation de la main-d’œuvre immigrée pour soutenir le régime israélien d’occupation en remplaçant les travailleurs palestiniens. Nous assistons également à une volonté croissante des mouvements populaires à entreprendre des actions sérieuses et réfléchies afin de mettre à l’arrêt la machine de guerre sioniste, à l’exemple des actions directes de Palestine Action en vue de fermer Elbit Systems, le plus important fabricant d’armes israélien, en imposant à cette même firme Elbit Systems de très importants coûts financiers et matériels, et ce, aussi bien en Grande-Bretagne qu’aux États-Unis. Les travailleurs, organisations ouvrières et syndicats palestiniens ont déjà lancé un appel aux travailleurs du monde entier en vue pour qu’ils refusent de fabriquer et de transporter des armes destinées au régime d’occupation, et bien des organisations et activistes participent à des blocages d’usines d’armement, de chemins de fer et de ports qui transportent des armes et des fournitures à destination de l’occupation, comme on l’a vu avec la campagne Block the Boat (Bloquez le navire). Il importe au plus haut point qu’il ne s’agisse pas d’actions symboliques, de déclarations de solidarité ou de messages de soutien. En s’inspirant de l’exemple yéménite, détourner les navires israéliens des ports du monde entier constitue un moyen matériel d’assiéger l’occupation et de soutenir le peuple colonisé et occupé de Palestine. C’est une contribution matérielle à la confrontation et à la mise à l’arrêt de l’intensification du génocide mené depuis plus de 75 ans par le régime israélien, avec l’intense et sanglante escalade de ces 57 derniers jours qui a déjà coûté la vie à près de 20 000 Palestiniens. Israël ne commet pas ce génocide tout seul. Il est soutenu, armé et financé par les puissances impérialistes – avant...

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Écologie

Contrer la casse des conditions de travail et de transport : nouvelle grève de 48h aux chemins de fer

Dégradations des conditions de travail, nouvelles mesures de flexibilité, attaque du statut cheminot : cela fait des mois que la direction des chemins de fer joue la provocation et tente de passer en force. Le front commun syndical CGSP – CSC – SLFP (soutenu par le SIC) avait déposé un premier préavis de grève de 48 heures en novembre. Une deuxième grève de 48 heures aura lieu les 6 et 7 décembre. Par un cheminot Un accord social avait pourtant été signé entre les organisations du front commun et la direction au printemps dernier. Il prévoyait entre autres une accélération importante du recrutement pour faire face au manque de personnel, et au problème du nombre record de jours de récupération en retard. La direction brandit dans la presse les chiffres de recrutement en camouflant que malgré ça, le manque de personnel reste très critique sur certains lieux de travail. Les dirigeants syndicaux ont comparé les chemins de fer à une passoire : de janvier à octobre 2023, il y a eu à peine plus d’arrivées que de départs. Les mauvaises conditions de travail et l’absence de perspective positive font qu’un nombre croissant d’agents quittent la société. Avec pour conséquence, notamment, un record du nombre de trains supprimés par manque de personnel. Aux guichets, cela fait des années que la direction n’engage plus que des contractuels. Contrats précaires, hyper-flexibilité et arbitraire patronal sont monnaies courantes. Une sorte de laboratoire où la direction a testé jusqu’où elle pouvait aller dans les reculs des droits sociaux. Avec sa nouvelle structure adoptée avant l’été, la SNCB essaie maintenant d’étendre ces pratiques plus largement dans la société. Son plan « présence en gare », renommé à juste titre par les syndicats « absence en gare » met des centaines d’emplois en danger. La réorganisation sert de prétexte à une diminution radicale du nombre d’agents et une remise en cause du statut. Celles et ceux qui seront redéployés devront travailler en étant bien plus flexibles, sans lieu de travail fixe. Moins de personnel à disposition des voyageurs, des conditions de travail dégradées pour ceux qui restent : voilà ce que la direction de la SNCB considère comme « modernisation indispensable ». Le statut a sa propre histoire aux chemins de fer : il maintient un lien essentiel entre les travailleur-euses des différentes corporations malgré que la SNCB historique ait été scindée de façon absurde en différentes sociétés (SNCB, Infrabel et HR Rail). Il permet d’accéder à la mutuelle propre aux cheminots et à sa caisse de solidarité sociale. Financée par l’ensemble du personnel statutaire, elle fournit des avantages non négligeables. Le statut est aussi une assurance – bien qu’imparfaite – que femmes, hommes et minorités de genre soient rémunérés de la même manière. Enfin, la protection relative qu’offre le statut permet aux agents de traiter les usagers de manière égalitaire et avec l’intérêt collectif comme priorité, et non la logique de...

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Santé / Soins

Challenge - Rassemblement contre l’envoi d’armement en Israël

Challenge Handling, entreprise logistique israélienne présente à Liege Aiport participe aux massacres à Gaza en faisant passer du matériel militaire en Israël, comme l’a démontré Le Soir. A l’initiative du Collectif Liège-Palestine Solidarité, rassemblons-nous devant le siège de Challenge ce vendredi 1er décembre à 19h. Plus aucune arme, plus aucun matériel contribuant aux massacres à Gaza ne doit transiter par les aéroports de Belgique ! "Nous appelons à ce que des actions similaires se multiplient en Belgique, afin de tourner les projecteurs sur les entreprises complices des massacres. Nous appelons les travailleurs et les travailleuses à nous soutenir dans cette lutte, en prenant exemple sur les travailleur.se.s de Gênes, de Barcelone, d’Australie, d’Afrique du Sud... En suivant l’appel des syndicats palestiniens, et du front commun des syndicats belges du transport. Cette lutte ne peut être gagnée sans elles et eux." Ce vendredi 1er décembre, soyons nombreux.ses devant le siège de Challenge Handling !!! Rassemblement à 19H Rendez-vous CO-VOITURAGE : 18h15 tout près Guillemins Station d’essence Q8, début de la rue du Plan incliné en face du parking à étages Places auto disponibles Soyez au RdV à 18h30 AU PLUS TARD Pour y aller en Bus, possibilité de prendre : Le bus 53 depuis Saint Lambert (départ 17h58) Le bus 83 depuis Saint Lambert (départ 18h08) Le bus 57 depuis les Guillemins (départ 18h16) Cette entreprise israélienne participe aux massacres à Gaza en faisant passer du matériel militaire en Israël. Malgré la déclaration du CEO de Challenge, Yossi Choukroune, ce 8 novembre : « Nous amenons des ambulances et de la nourriture vers Israël, pas des armes », un article du Soir du 21 novembre démontre que selon les dires du ministère de la défense israélienne lui-même, une livraison d’arme avait eu lieu le 11 novembre, par l’intermédiaire d’un avion de l’entreprise Challenge ayant décollé de Bierset ce même 8 novembre. L’entreprise envoie également du matériel militaire comme des pièces de drones, du matériel servant à la confection d’explosifs, ou encore des balles en plastiques destinées à la répression des rassemblements anti-guerre et anti-apartheid. Ce commerce funèbre ne peut plus durer ! La Belgique ne doit pas être complice de ces transactions meurtrières ! Ce vendredi 1er, mettons la lumière sur Challenge, éclairons les trafics sanglants sur le sol Belge qui contribuent au génocide à Gaza et en Cisjordanie. Cette action n’est que la première. Nous appelons à ce que des actions similaires se multiplient en Belgique, afin de tourner les projecteurs sur les entreprises complices des massacres. Nous appelons les travailleurs et les travailleuses à nous soutenir dans cette lutte, en prenant exemple sur les travailleur.se.s de Gênes, de Barcelone, d’Australie, d’Afrique du Sud... En suivant l’appel des syndicats palestiniens, et du front commun des syndicats belges du transport. Cette lutte ne peut...

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Écologie

Appel à manifester 06/12 : Abattage des arbres de la Maison des Arts de Schaerbeek

Courant mi-décembre, la commune de Schaerbeek menace d’abattre 25 grands arbres dans le jardin de la Maison des Arts, situé sur la Chaussée de Haecht Appel à manifester 06/12 : Abattage des arbres de la Maison des Arts de Schaerbeek ACTION LE 6/12 de 16h à 18h à la Maison des Arts de Schaerbeek (Chaussée de Haecht 147, 1030) Mercredi 6 Décembre, une manifestation aura lieu dans le jardin de la Maison des Arts afin de contester la décision de la région et d’Urban.brussels d’abattre les 25 arbres qui s’y trouvent d’ici deux semaines. Le permis accordé prévoit l’abattage de l’intégralité des arbres du jardin, ce qui représente un désastre écologique pour ce coin de verdure unique. A l’occasion de St.e Nicole.as, nous nous réunirons symboliquement autour des arbres pour manifester le ras le bol des citoyen.nes et demander une nouvelle évaluation du projet en cours. Vin / chocolat chaud et spéculoos seront de mises pour l’occasion. Cela se finira par un cortège en bougie jusqu’à la Place Colignon d’où l’on interpellera la bourgmestre Cécile Jodogne ainsi que les échevins à l’urgence en cours. - - - - - - - - Signez la pétition ci-dessous https://www.change.org/p/sauvons-les-arbres-de-la-maison-des-arts-de-schaerbeek Courant mi-décembre, la commune de Schaerbeek menace d’abattre 25 grands arbres dans le jardin de la Maison des Arts, situé sur la Chaussée de Haecht. Si nous ne faisons rien, un petit joyau de verdure unique en son genre disparaîtra et ce quartier très minéral en souffrira. Vieille de 2 siècles, la Maison des Arts ( et son jardin ) fait partie des rares sites classés encore préservés qui témoignent avec fidélité le Bruxelles du 19e siècle. C’est aussi un lieu de rencontre pour les habitants et habitantes de tout un quartier qui viennent s’y ressourcer et s’y rafraichir au calme. Grâce à leur présence, ces arbres régulent tout un écosystème local et une biodiversité qu’il est de plus en plus dure à garder. Mais aujourd’hui, ce bijou est en danger car la commune de Schaerbeek, avec l’accord de la région Bruxelloise, a décidée d’abattre purement et simplement l’intégralité des grands arbres qui s’y trouvent : marronniers, peupliers et autres sycomores. Après consultation de l’étude phytosanitaire, nous savons avec certitude que tous ne méritent pas d’être abattus et que nous pouvons contester cette décision. Toutefois, nous ne contestons pas le fait que certains d’entre eux menacent réellement de causer de potentiels dégâts sur certaines habitations et bâtiments. Que demandons-nous concrètement ? L’annulation du permis d’urbanisme en cours pour l’abattage de tous les arbres. Interpeller Mme Jodogne ainsi que les échevins sur la nécessité de préserver ce site important pour le quartier de la place de la Reine. Ouvrir une nouvelle réflexion à ce sujet et trouver des solutions moins radicales, tout en prenant compte des urgences constatées. Nous appelons les citoyen.ne.s et les politiques à contester...

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Guerre / Antimilitarisme

Le transit de matériel militaire par la Belgique vers Israël doit cesser

Sur base de recherches menées par un collectif de citoyens, la CNAPD, Agir pour la Paix, l’Association belgo-palestinienne et Vredesactie constatent que la compagnie aérienne israélienne Challenge Airlines, qui opère à partir de l’aéroport de Bierset (Liège), est fortement impliquée dans la fourniture d’armes à Israël. Les associations appellent les Ministres compétents, Pierre-Yves Dermagne (Économie) et Georges Gilkinet (Mobilité), à faire toute la lumière sur ces activités et à mettre un terme au transit de matériel militaire vers Israël. La compagnie aérienne israélienne Challenge Airlines, qui opère à partir de l’aéroport de Bierset, est manifestement impliquée dans la fourniture d’armes à Israël. En effet, l’examen des données de vol démontre que la compagnie aérienne a effectué huit allers-retours entre les États-Unis et Israël au cours du mois dernier pour lesquels on observe des arrêts dans des bases militaires, ce qui n’était pas le cas avant le 7 octobre dernier. Ainsi, dans au moins un et probablement deux cas, Challenge a volé de Bierset vers une base aérienne israélienne (le 17 octobre, ligne 43 ; et les 19-20 octobre, lignes 37-36 dans l’aperçu). Ce matin (21/11), De Morgen et Le Soir, nous confirme que Challenge Airlines a effectivement transporté du matériel militaire par Bierset. Le PDG de Challenge leur signalé que des licences avaient été demandées à 7 reprises. Ils nous apprennent également l’existence d’un autre vol transportant du matériel militaire via Bierset, le 09 novembre. D’autres vols ont régulièrement lieu entre les États-Unis et Israël. (Vue d’ensemble des vols sur https://docs.google.com/spreadsheets/d/1tINXvIrLzm127OypI0G99I-AiFqusqfi1oECg2hd5SY/edit#gid=0) Ces observations démentent donc les précédentes déclarations du PDG de Challenge airlines, Monsieur Yossi Shoukroun, qui soutenait en réponse à une déclaration des syndicats, qu’aucune arme n’était transportée par sa compagnie vers Israël, mais bien de la nourriture et des ambulances. Pourtant, les communications du ministère israélien de la défense soulignent ouvertement que des armes ont été transportées par Challenge Airlines. C’est le cas, notamment, des images que le ministère a diffusées d’un avion de Challenge Airlines qui décharge une cargaison de matériel militaire (https://twitter.com/Israel_MOD/status/1711974859520041121). Des syndicats rapportent de leur côté que des employés de différents aéroports belges ont également été témoins de livraisons d’armes. D’autres compagnies pourraient ainsi être impliquées dans ce trafic, comme la société El Al, qui assure régulièrement des vols entre les États-Unis et Israël via Bierset, ou encore DHL à Zaventem. Pour le transport de matériel militaire via un aéroport belge, ou pour la simple traversée de l’espace aérien national, une autorisation du SPF Mobilité est requise, tandis que le SPF Économie doit délivrer une licence de transport de matériel explosif. Ces deux ministères détiennent...

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Féminismes / Antipatriarcat

Design 5 everyone - BirthdayParty

Le collectif Design 4 Everyone et ArtiCule fêtent leurs 5 ans ! Design for Everyone* et ArtiCulE asbl fêtent leurs 5 ans d’existence avec un événement exceptionnel !🎉🎈 ## Rendez-vous le 25 NOVEMBRE au GARCIA LORCA COLECTIVO ## Dès 14h : Exposition(s) regroupant les différentes actions des 5 années d’existence 📷🛠 Tombola et/ou enchères : Les éléments exposés constitueront des lots pour une tombola et/ou une mise aux enchères 16h : Projection du documentaire de Luc Jabon « Bruxelles, Une traversée urbaine ». 🎞🎬📽 18h : Apéro 🥂🍷et proclamation des résultats du concours. 🎁🍺 De 18h30 à 20h00 : SURPRISE pour laquelle aucune pub ne sera faite ! A partir de 19h, concerts ! 19h : Marius La Nuit ✨, côté bar 20h : Peter Clasen 21h : Eosine 🎸 22h30 : Valium 🎶 ... Et jusqu’à la fin : DJ Sets DJ Antiviral DJ Jean Mikili Bar accessible dès 14h. Restauration à partir de 19h00. L’accès est à prix libre. Préventes (prix libre) : https://www.billetweb.fr/design-5-everyone ou par mail à infos@articule.be * Design for Everyone est un collectif qui interroge l’aménagement de l’espace public et ses potentialités excluantes, les caractéristiques anti-sociales de certains aménagements (aussi appelés dispositifs anti-sdf). A travers des actions dans l’espace public, une PROUTMAP qui sera d’ailleurs largement disponible le jour J, la participation à des conférences, soirées, débats, expositions,... Tous les moyens sont bons pour faire en sorte que le plus grand nombre se saisisse de la question !

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Logement / Squat

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Vous nous lisez, vous nous suivez, vous nous appréciez ? Vous nous chérissez avec modération mais vous trouvez utile ou salutaire que nous participions et animions le débat démocratique et fassions connaître les multiples réalités des dossiers urbains ? Alors n’hésitez pas à nous soutenir pour que nous puissions continuer comme nous le faisons depuis presque 50 ans ! Inter-Environnement Bruxelles est une association fédérant des habitant·e·s de la région bruxelloise actif·ve·s sur des questions urbaines, écologiques et sociales. IEB se compose principalement de groupes d’habitant·e·s constitués sous forme de comités de quartier, d’associations et de collectifs qui pensent et agissent selon les objectifs et principes définis ci-dessous. IEB s’ouvre également à l’émergence de dynamiques naissantes ou plus éphémères ainsi qu’à des personnes actives dans des luttes locales, développant une expertise située, pour autant que les un·e·s et les autres s’inscrivent dans une dynamique collective. Inter-Environnement Bruxelles édite un journal appelé Bruxelles en mouvements. Il est possible de s’y abonner et de recevoir la version papier ou de le lire en ligne gratuitement. Liant les actions locales aux problématiques globales, Bruxelles en mouvements explique les enjeux dans tous les domaines qui touchent au cadre de vie en ville : que ce soient les permis d’urbanisme et d’environnement, les propositions en matière de déplacements, la problématique des déchets, la lutte contre les nuisances sonores et les pollutions ou la réflexion sur le logement et le patrimoine culturel. Comment faire un don ? Utilisez de préférence ce formulaire. Vous pouvez également effectuer votre versement sur le compte bancaire TRIODOS BE63 5230 8136 6608 au nom d’Inter-Environnement Bruxelles - 34-36, rue du Chimiste 1070 Bruxelles. 55 % d’amour, 45 % de déduction fiscale Si le total de vos dons sur l’année civile en cours atteint ou dépasse 40 €, vous bénéficiez d’une déduction fiscale de 45% sur le montant de votre don. Ainsi, un don de 100 € ne vous coûterait que 55 €. Veuillez, dans ce cas, à bien nous communiquer vos coordonnées afin que nous puissions vous faire parvenir l’attestation fiscale que vous joindrez à votre déclaration d’impôts. Pour la beauté du geste Vous pouvez faire un don unique mais aussi un don mensuel. Cette formule nous offre un soutien plus stable et prévisible et elle donne droit à la même déduction fiscale qu’un don unique si le total annuel atteint ou dépasse 40 €. En d’autres termes, il vous faut verser au minimum 3,4€ /mois pour en bénéficier... mais, pour la beauté du geste, nous recommandons un minimum de 4€ /mois. Que fait IEB des dons récoltés ? Votre don, autant apprécié qu’utile, contribue à assurer l’indépendance de notre association, notamment lorsque, faute de débat démocratique dans les matières urbaines ou de prise en compte de celui-ci, nous décidons de mener des actions en justice. Vous trouverez tous...

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