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Fresque à Bueren : Liège solidaire avec la Palestine #freepalestine

Fresque à Bueren : Liège solidaire avec la Palestine #freepalestine

🔴 Durant la nuit du 17 au 18 mars 2024, un groupe de personnes a repeint les célèbres escaliers de Bueren (374 marches), à Liège, aux couleurs du drapeau de la Palestine.

Belgique | Liège | sur https://stuut.info | Collectif : Irruption | Collectif : Irruption

Ce geste symbolique, qui s’inscrit à la suite d’actions similaires dans plusieurs villes de France et de Belgique (Marseille, Paris, Lyon, Nantes, Bruxelles, etc.), vise à montrer la solidarité de Liège avec le peuple Palestinien qui subit la colonisation, l’apartheid et les violences au quotidien de l’Etat israélien et de ses alliés depuis plus de 75 ans, ainsi qu’un génocide depuis le 7 octobre 2023.

Il vise aussi à soutenir les revendications du peuple Palestinien : un arrêt immédiat des meurtres et des violences à Gaza et en Cisjordanie ainsi qu’un retrait total et inconditionnel de l’armée israélienne de ces territoires occupés. Doivent s’en suivre un processus de décolonisation, de réhabilitation des territoires de la Palestine et de réparation pour toutes les pertes humaines, matérielles et écologiques provoquées par la colonisation.

Notons que, contrairement à Nantes où le maire de la ville a décidé de ne pas retirer la fresque, les autorités locales liégeoises (Willy Demeyer, bourgmestre PS, et Gilles Foret, échevin MR) se sont empressées d’effacer toute trace de soutien à la Palestine.

@pal_action_be

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Résistances et solidarités internationales

Communiqué de presse : Les escaliers de Bueren à Liège repeints aux couleurs de la Palestine

Durant la nuit du 17 au 18 mars 2024, un groupe de personnes a repeint les célèbres escaliers de Bueren (374 marches), à Liège, aux couleurs du drapeau de la Palestine. Solidarité avec le peuple et la résistance palestiniennes Contre le génocide et la colonisation israéliennes. Ce geste symbolique, qui s’inscrit à la suite d’actions similaires dans plusieurs villes de France et de Belgique (Marseille, Paris, Lyon, Nantes, Bruxelles,...), vise à montrer la solidarité de Liège avec le peuple Palestinien qui subit la colonisation, l’apartheid et les violences au quotidien de l’Etat israélien et de ses alliés depuis plus de 75 ans, ainsi qu’un génocide depuis le 7 octobre 2023. Il vise aussi à soutenir les revendications du peuple Palestinien : un arrêt immédiat des meurtres et des violences à Gaza et en Cisjordanie ainsi qu’un retrait total et inconditionnel de l’armée israélienne de ces territoires occupés. Doivent s’en suivre un processus de décolonisation, de réhabilitation des territoires de la Palestine et de réparation pour toutes les pertes humaines, matérielles et écologiques provoquées par la colonisation. Plus de 31.000 Palestinien·nes assassiné·es, 70 000 autres blessés, plus de 17 000 orphelins qui ont pour certains vu leurs parents se faire tuer sous leurs yeux ! La famine de masse comme arme de guerre, l’usage d’armes au phosphore blanc (qui continuent à tuer longtemps après leur explosion dévastatrice), la destruction délibérée de terres agricoles et d’équipements d’assainissement des eaux, la pollution durable volontaire des sols et des nappes phréatiques, plus de 60% des bâtiments réduits en poussière, la contamination des eaux qui « menace de redéfinir l’épidémiologie de la résistance aux antimicrobiens à Gaza et au-delà (source : OMS), des centaines de milliers d’enfants gravement malades, une santé mentale des habitant·es décimée, des parties entières de la bande de Gaza rendues inhabitables. Selon l’OMS les agissements de l’armée israélienne indiquent que »nous verrons plus de gens mourir de maladies que nous n’en voyons tués par les bombardements". Et sans oublier toutes les destructions délibérées du patrimoine culturel et humain palestinien (écoles, universités, mosquées, lieux historiques, etc.) et de toutes les infrastructures de santé. C’est un peuple entier et tout son avenir que le gouvernement israélien d’extrême droite cherche à détruire ! Et face à celà, nous sommes révolté·es par l’immobilité du gouvernement et des partis belges, qui malgré les belles déclarations d’intentions de certains, n’ont toujours RIEN fait de concret pour tenter d’y mettre fin. L’Europe doit prendre ses responsabilités et assumer que ce n’est pas en sacrifiant les Palestinien·nes qu’elle règlera ses propres crimes antisémites d’hier et d’aujourd’hui. Par ailleurs, nous refusons le discours binaire selon lequel soutenir la résistance et les droits fondamentaux des palestinien·nes équivaudrait à renier les...

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Santé / Soins

Un an après l’occupation fédérale, 150 demandeur·ses d’asile expulsé·es par l’ULB

Ce vendredi 16 février, un an après l’occupation du Centre Fédéral de Crise par des demandeur·ses d’asile, ces mêmes collectifs ont tenté de l’occuper à nouveau. En vain, iels en ont été empéché·​​​​​​​es et trois personnes ont été arrêtées. Afin de remettre la question de la crise de l’accueil dans le débat public et d’interpeller les pouvoirs fédéraux à ce propos, les 150 demandeur·​​​​​​​ses d’asile ont donc choisit d’occuper un bâtiment de l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Après avoir occupé la salle des sports de l’ULB, ceux-ci ont fait face à une répression violente, tant de la part de la sécurité de l’ULB que de la police. L’ensemble des demandeur·​​​​​​ses d’asile ont été trainé·es dehors et remis·es à la rue par les forces de l’ordre. [1] Cette nouvelle expulsion fait écho à la saga de la honte de l’année passée autour de différentes expulsions de bâtiments occupés par des demandeur·​​​​​​​ses d’asile. Celle-ci débutait le 14 février 2023 avec l’expulsion du Palais des droits à Schaerbeek qui était occupé par plus de 850 demandeur·​​​​​​​es d’asile. A la suite de cette expulsion, en signe de protestation, des centaines de demandeur·s​​​​​​​es d’asile avaient installé des campements devant le Petit Château [2] . Iels seront ensuite violemment délogé·es de leur campement. En dernier recours, 250 demandeur·​​​​​​​ses d’asile s’étaient installé·es dans l’occupation Allée du Kaai mais les forces de l’ordre ne tardaient à nouveau pas avant de les déloger. Ce jour-là, d’importantes mesures policières étaient utilisées pour déloger les demandeur·s​​​​​​​es d’asile. La police était par exemple équipée de combinaisons sanitaires, rappelant de tristes mesures « hygiénistes », tandis que l’on demandait à des ouvriers de perforer le toit du bâtiment pour avoir la certitude qu’il devienne inhabitable. À la suite de ces expulsions consécutives, le 12 mars 2023, des collectifs de sans-papiers occupaient le bâtiment du Centre Fédéral de Crise où une centaine de demandeur·​​​​​​​es d’asile étaient logé·es. Une fois dans le bâtiment, la police assiégeait les occupant·es qui se trouvaient à l’intérieur. Pendant plusieurs jours, la police qui entourait l’occupation, avec notamment une autopompe, contrôlait tout soutien venu de l’extérieur et décidait des heures d’entrée et de sortie. Cette occupation, faite dans un bâtiment fédéral, a permis de pointer du doigt les responsabilités fédérales vis-à-vis de la crise de l’accueil à Bruxelles et en Belgique. Les rassemblements organisés chaque jour devant l’occupation ont permis de mobiliser une masse importante de personnes, faisant cet épisode un élément marquant récent de la lutte pour les droits des demandeur·​​​​​​​es d’asile. Un peu moins d’un an après, les personnes sans-papiers et en situation de demande d’asile font face à des réalités inchangées malgré toutes les promesses politiques. Depuis un an, on décompte une augmentation de plus ou moins 900 demandeur·​​​​​​​ses d’asile dans les...

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Racismes / Colonialismes

[Vidéo] Manifestation contre les violences policières - 15 mars 2024

🔴 Le samedi 15 mars, 2000 personnes se sont rassemblées dans les rues de Bruxelles pour manifester contre les violences policières et les violences d’Etat. Le parcours de la manifestation a traversé le centre-ville en passant aux abords des commissariats où Sourour, Ilyes, Mohammed-Amine et Ibrahima, sont décédé·es. La famille de Sourour et la famille de Ouassim et Sabrina, ont pris la parole à la place du Congrès. En face du commissariat de la Gare du Nord, où Ibrahima a été tué, sa sœur Aïcha a prononcé un discours. 3 ans après sa mort, les premières audiences arrivent enfin le 10 mai prochain. La famille a appelé les manifestant•es à rejoindre cette date. La manifestation s’est également arrêtée en face de l’ancienne occupation fédérale, ouverte dans le cadre de la Saga de la Honte où des centaines de demandeur.ses d’asile avaient été mis illégalement à la rue par l’Etat belge. Comment soutenir ? Rejoignez les prochains rassemblements : Le 10 mai au Palais de Justice pour soutenir la famille d’Ibrahima. ! Soutenez le Comité des Femmes Sans-papiers pour la libération d’Aïcha Toure, dans les frais scolarité et de soutien à ses enfants autant que les coûts du dossier du recours contre cet enfermement : NOM : Comité : IBAN BE55 973385100744 Communication : LIBEREZ AÏCHA TOURE. ! Soutenir la famille d’Imad économiquement dans son combat : IBAN : BE65 5230 8110 3896 Banque : Triodos Bank. Nom : Fondation Marius jacob. Communication : Justice pour Imad ! Soutenir la famille d’Adil économiquement dans son combat : IBAN : BE65 5230 8110 3896. Banque : Triodos Bank. Nom : Fondation Marius jacob. Communication : Justice pour Adil ! Soutenir économique la famille de Sourour via cette cagnotte https://www.leetchi.com/c/soutien-a-allan-abouda-et-sa-famille Manifestation contre les violences policières - 15 mars 2024 Lecture LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES

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Migrations / Frontières

Non au nouveau Pacte sur la migration et l’asile de l’Union Européenne

🔴 Ce mercredi 10 Avril, une mobilisation s’est tenue place du Luxembourg ainsi qu’une action coup de poing en plein cœur du Parlement européen pour dénoncer le vote sur le nouveau Pacte sur la migration et l’asile. Le nouveau pacte sur la migration et l’asile crée un système mettant en danger le droit d’asile dans l’Union européenne. Cela engendrera une prolifération de violation des droits des personnes en Europe, du seul fait de leur statut migratoire. La détention de fait aux frontières sans aucune exception pour les familles avec les enfants, quel que soit leur âge, des procédures accélérées et avec des standards plus bas pour l’examen des demandes d’asile à la place d’un examen complet et juste des demandes, et un accent sur les expulsions avec moins de protection. Beaucoup plus de demandeurs-ses d’asile se retrouveront dans des procédures à la frontière, et avec l’introduction d’une fiction juridique de « non-entrée » sur le territoire, ils-elles seront considérée-s comme n’étant pas sur le territoire de l’UE, ce qui permet des standards inférieurs et augmente le risque de violations de droits humains et de refoulement (push-backs) aux frontières. Même les mineurs non accompagnés pourront être détenus dans ces procédures. A travers l’élargissement du concept de « pays tiers sûr », les personnes demandant l’asile verront leur demande déclarée « non-recevable et seront de plus en plus déportées vers des pays hors Union européenne sur la base d’un lien large avec ces pays, augmentant le risque de refoulement. Merci à @ZinTV pour les images à l’intérieur du parlement. Non au nouveau Pacte sur la migration et l’asile de l’Union Européenne Lecture LES MURS LES PLUS PUISSANTS TOMBENT PAR LEURS FISSURES

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Racismes / Colonialismes

Récit d’une militante - Gaza Freedom Flotilla #FreePalestine

« Moi, c’est Rosy. Je viens de Belgique, je suis une militante NoBorder et j’ai rejoint la coalition Freedom Flotilla qui va bientôt partir de Turquie pour amener 5.500 tonnes d’aides humanitaires à Gaza et briser le siège qu’Israël leur impose. » Le jeudi 25 avril, Irruption interviewe Rosy par caméra interposée. Présente depuis plusieurs jours à Istanbul, elle nous décrit l’atmosphère sur place, les préparatifs avant le départ, l’effervescence autour de cette solidarité internationale pour Gaza. Le départ est maintes fois repoussé, mais la détermination semble intacte. “Après des mois à regarder ce génocide sur nos écrans, cette opération, cette coalition, là c’est une opportunité de passer à l’action”. Nous convenons avec Rosy de diffuser son interview sur nos réseaux ainsi que de prendre quotidiennement de ses nouvelles pour relayer l’avancée de la flotte vers Gaza. Deux jours plus tard, c’est la douche froide. Sous pression diplomatique d’Israël, la coalition Freedom Flotilla ne peut quitter Istanbul. Son pavillon lui est retiré. Les internationalistes doivent rentrer chez elleux. Nous avons quand même décidé de vous partager le récit de Rosy sur ces quelques jours sur place, sur son parcours, et sur son regard par rapport à cette situation. La coalition “Freedom Flotilla” est un regroupement d’organisations du monde entier qui se sont mises ensemble pour briser le blocus qu’Israël impose à Gaza (depuis 2007) et amener de l’aide humanitaire sur place. Leur première opération date de 2008 avec 7 bateaux. Un succès. Depuis lors, il y’en a eu plusieurs. L’opération la plus emblématique est celle de 2010, avec une flotille de plusieurs bateaux humanitaires qui se dirigeaient sur Gaza et 700 activistes, dont 5 belges. Ils ont été abordés dans les eaux internationales par les forces armées israéliennes. 9 activistes ont été tués et des dizaines de personnes ont été blessées. Cette action a été largement condamnée par la “Communauté internationale”. Israël a toujours essayé de ralentir et de bloquer toutes ces opérations. Le contexte actuel est différent. Depuis le 7 octobre, le degré de violence est beaucoup plus élevé, où Israël dépasse tous les entendements. Avant le 7 Octobre, il y avait encore certains protocoles, certaines lignes rouges à ne pas dépasser. Ici, on a eu deux décisions de la cour de justice internationale qui obligent Israël à ce que l’aide humanitaire arrive à Gaza, ce qui n’est pas respecté. On ne peut plus compter sur les lois internationales, sur les entendements de base. Nous on va simplement apporter de l’aide humanitaire. C’est vraiment des trucs hyper basiques. C’est de la nourriture, c’est de l’aide médicale, c’est de l’eau potable, c’est du matériel pour enfants, … Même ça, malgré que cela soit si basique, Israël nous considère comme terroristes. Actuellement à Gaza, les personnes risquent de mourir autant sous les bombes qu’à cause des maladies et de la famine à cause du blocus....

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Kimpa Vita, une femme prophétique

Kimpa Vita, une femme prophétique Aujourd’hui encore, elle est considérée comme l’une des premières révolutionnaires anticoloniales d’Afrique. Après avoir lu l’histoire de Kimpa Vita, vous n’oublierez jamais son nom, son engagement envers son peuple et son courage sans faille. Kimpa Vita n’était qu’une adolescente lorsqu’elle a commencé à défier les pouvoirs qui dirigeaient son monde. Née en 1684 au royaume du Kongo, Kimpa Vita grandit dans l’ombre grandissante de la dévastation coloniale. Autrefois puissant royaume africain, le Kongo que son peuple connaissait avait été déchiré par l’invasion européenne et la traite transatlantique des esclaves. Les envahisseurs portugais avaient alimenté les guerres civiles, dressé les dirigeants contre leur propre peuple et transformé le royaume en champ de bataille. Mais Kimpa Vita voyait un avenir différent. Formée aux pratiques spirituelles traditionnelles du Kongo en tant que guérisseuse et médium, Kimpa Vita tomba un jour gravement malade ; et alors qu’elle était allongée sur son lit de mort, elle eut une vision profonde : un Kongo unifié, libre de la guerre et du contrôle étranger . Une fois remise de sa maladie, elle se proclama prophétesse et fonda le Mouvement Antonien , un puissant soulèvement religieux et politique. Kimpa Vita prêcha que le peuple du Kongo était divinement élu, que le Christ n’était pas une figure européenne mais africaine, et que le royaume devait se libérer de la domination européenne et reconquérir sa souveraineté pour préserver son avenir et la sécurité de son peuple. Par ses enseignements, Kimpa Vita a réinterprété le christianisme d’un point de vue africain, rejetant la version de la foi des missionnaires européens qui justifiait l’esclavage et la domination européenne. Son message se répandit comme une traînée de poudre. En quelques années, des milliers de personnes, dont des soldats et des dirigeants exilés, suivirent son appel. Elle ramena ses fidèles à leur capitale abandonnée, São Salvador, et entreprit de reconstruire ce que les Portugais avaient détruit. Mais sa résistance eut un prix. Qualifiée d’hérétique et de rebelle par les autorités catholiques européennes, elle fut capturée par l’élite dirigeante du Kongo, alliée aux Portugais, et brûlée vive en 1706. Elle n’avait que 22 ans. Son exécution était censée éteindre son mouvement, mais son héritage a perduré. Plus de trois siècles plus tard, le combat qu’elle incarnait se poursuit. Aujourd’hui, les femmes congolaises mènent des mouvements pour la justice, l’autodétermination et la libération des forces modernes de l’impérialisme – les entreprises, les puissances étrangères et les élites locales qui exploitent encore les richesses apparemment inépuisables du Congo. Kimpa Vita est une prophétesse africaine, figure de la résistance à la colonisation portugaise dans l’actuel Angola au 18e siècle. Kimpa Vita serait née vers 1684 dans une famille noble...

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