Résistances et solidarités internationales

Écologie

[France] XR s’en prend à Axa, 25 interpellations, 2 gardes à vue

Le mouvement écologiste radical a ciblé le siège d’AXA pour son soutien à TotalEnergies. La police est intervenue, 25 militants ont été interpellés pour vérifications d’identité, 2 militants ont été placés en garde à vue. Après les agences Caisses d’Épargne et Banque Populaire à Nantes, ils se sont donnés rendez-vous ce mercredi 14 mai pour bloquer l’entrée du siège d’Axa. Sur une banderole on pouvait lire « Total détruit, Axa s’en assure », du faux pétrole a été déversé sur les marches et la façade vitrée avait été repeinte. Leur but, empêcher les salarié•es d’Axa de pénétrer dans le bâtiment. Après quelques minutes, des dizaines de policiers ont débarqué et procédé à l’interpellation de presque toutes les personnes présentes. Les arrestations ne se font pas sans violence : clés de bras et étranglements se succèdent. Au commissariat, on peut entendre des « action de pd », » pue le bicot » de la part des policiers. Malgré les tentatives d’intimidations et menaces, les militants ont presque tous été relâchés. Les 2 personnes placées en garde à vue seront relâchées au bout de quelques heures, après avoir été entendues. Extinction Rébellion rappelle qu’Axa « est une multinationale française, leader mondial des assureurs qui a réalisé plus de 110 milliards de chiffre d’affaires et a reversé trois quarts de ses bénéfices à ses actionnaires. Comment fait-elle ? En assurant les projets écocides de Total. En effet, Axa assure l’expansion des projets de gaz naturel liquéfiés (GNL), expansion largement menée par Total, qui souhaite augmenter de 50% sa production de GNL d’ici 2030 ».

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Médias

[Turquie] Libération du journaliste Joakim Medin

Le journaliste suédois Joakim Medin a été libéré après 51 jours de prison. Il avait été arrêté le 28 mars pour « terrorisme » après avoir écrit un article « pro-kurde » dans le passé, s’ajoutait à cela « insulte au président » et « appartenance à une organisation terroriste » (notre article ici ). Arrêté alors qu’il entrait en Turquie, Medin a été condamné à 11 mois et 20 jours de prison lors de la première audience de l’affaire « insulte au président » ouverte contre lui le 30 avril, il a été libéré pour ce crime. Cependant, sa détention avait été prolongée en raison d’accusations d’« appartenance à une organisation terroriste » (notre article ici ). Joakim Medin a atterri sur le sol suédois il y a quelques heures, il a été libéré sur objection de l’unité juridique de l’Association des médias et des études juridiques (MLSA). L’acte d’accusation contre le journaliste pour appartenance à une organisation terroriste a été envoyé à Istanbul par la 17e Haute Cour pénale d’Ankara, cette dernière s’est déclarée incompétente, de ce fait, la demande de libération du MLSA a été acceptée par la 13e Haute Cour pénale d’Istanbul. Suite à cette décision, Medin a été libéré de la prison de Silivri où il était détenu. Une première audience pour « appartenance à une organisation terroriste » se tiendra à Istanbul le 25 septembre.

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Médias

Sécurité IT : Derrière les écrans des TV connectées, le flicage

A grands coups de captures d’écran sauvages, les « smart TV » enregistrent tout ce que le téléspectateur regarde, permettant aux fabricants de dresser un portrait-robot très précis de chaque utilisateur. En France, plus de 9 TV vendues sur 10 sont des smart TV, ces écrans sont bourrés de fonctionnalités. Une fonction équipe toutes ces télés, elle n’est jamais mise en avant par les constructeurs et les vendeurs : l’ACR ou la « reconnaissance automatique de contenu » (automatic content recognition). Le procédé est simple : plusieurs fois par seconde, la télévision opère une capture d’écran et l’envoie sur les serveurs du fabricant. Tout peut être capturé, les séries regardées, les photos de vacances lues sur un lecteur DVD, un documentaire YouTube. Ces informations permettent, à de gigantesques bases de données, de déterminer, précisément, ce que l’utilisateur regarde, pendant combien de temps, etc. La technologie est identique à celle qu’a développée l’application Shazam, qui permet de reconnaître (à peu près) n’importe quel morceau de musique. Shazam a proposé un service d’ACR aux fabricants de TV dès 2011. Connaître les vidéos regardées sur YouTube, le contenu sur Netflix ou, simplement, quels appareils sont connectés à la TV permet de dresser un portrait-robot extrêmement précis de l’utilisateur. On en déduit son emploi du temps, son statut socioprofessionnel, ses opinions politiques, son orientation sexuelle ou encore son identité de genre. Autant d’informations sensibles qui sont utilisées pour suggérer du contenu. L’ACR n’est pas le seul outil pour collecter un maximum de données, ces écrans disposent de micros permettant de le contrôle vocal de ceux-ci. Le mois dernier, LG a annoncé un partenariat avec Zenapse, une société qui analyse les images récoltées à l’aide d’une IA capable de déterminer l’émotion des spectateurs. Un vrai flicage qui rappelle le livre « 1984 » de Georges Orwell.

Partout Partout |
Extrême-droite / Antifascisme

Provocations racistes, arrestations violentes et nasse contre les rassemblements quotidiens à Bourse

Depuis le début du génocide en Palestine, des Palestinien·nes organisent quotidiennement des rassemblements à Bruxelles. Majoritairement originaires de Gaza, ces jeunes portent haut la mémoire et le combat de leur peuple et dénoncent, jour après jour, l’horreur qui frappe leur terre d’origine. Face à elles et eux : la violence policière, les arrestations arbitraires et les intimidations s’intensifient. Leur présence se heurte à la répression d’un droit fondamental : celui de manifester. D’abord organisés à la Gare Centrale, les rassemblements ont été déplacés depuis plusieurs mois à la Bourse, en plein centre de Bruxelles. Mais cette occupation pacifique de l’espace public dérange. Ces dernières semaines, la répression s’intensifie. Le bourgmestre de la Ville, Philippe Close (PS), semble déterminé à empêcher ces manifestations quotidiennes. À plusieurs reprises, la police est intervenue avec une violence injustifiée. Le jeudi 8 mai, un jeune homme palestinien, H., a été violemment interpellé alors qu’il était simplement assis sur les marches de la Bourse. Il a été mis au sol par plusieurs agents de police qui ont utilisé une prise d’étranglement pour l’immobiliser. Il a également reçu plusieurs coups à la tête, et des coups de pied sur les mains. Il a été libéré le samedi 10 au soir. Selon les autorités de la Ville de Bruxelles, le rassemblement ne serait plus autorisé à déborder sur les marches du bâtiment de la Bourse, pour des « raisons d’accès à un bâtiment privé ». Une justification étonnante, quand on sait que les marches sont quotidiennement occupées par les touristes, des passant·es assis·es pour se reposer, ou regarder des spectacles de danse de rue qui ont lieu à ces mêmes endroits. Plusieurs semaines auparavant, le 6 avril, un autre homme palestinien T., avait été arrêté et tabassé par les forces de l’ordre, puis emmené dans un centre fermé, où il a à nouveau subi des violences. Son incarcération en centre fermé s’est révélée être « une erreur« , car il avait une procédure d’asile en cours pour être reconnu comme réfugié. Il a été libéré deux jours plus tard, le 8 avril. Cette situation est symptomatique d’un fonctionnement global de répression envers les personnes que l’État considère comme « illégales », plus particulièrement celles ayant des activités politiques : l’État utilise ses outils de contrôle et de défiance pour criminaliser et enfermer les personnes non blanches et sans titre de séjour, comme si elles n’avaient aucun droit. La répression ne s’arrête pas à la violence physique exercée lors des rassemblements. En amont même des manifestations, les forces de l’ordre mettent en place des contrôles visant les personnes perçues comme palestiniennes ou solidaires. En effet, T. depuis son arrestation du 6 avril est « interdit de manifester préventivement« . Cette interdiction préventive a été prononcée par un juge d’instruction dans le cadre de sa libération conditionnelle. Le 9 mai, toujours lors d’un (...)

Bruxelles Bruxelles |
Racismes / Colonialismes

[Allemagne] « Un génocide n’en justifie pas un autre » : carte postale de Berlin

Quatre Belges ont participé à une manifestation à Berlin en solidarité avec la Palestine, et témoignent de la répression grandissante policière, politique et médiatique des voix dénonçant le génocide. « Come to Berlin ! » Jeudi 15 mai, nous quittions Bruxelles pour répondre à un appel international pour la Palestine : #Nakba77. Cette manifestation annuelle se veut une commémoration et un appel à l’action, faisant référence à la dépossession violente de 750 000 Palestiniens en 1948, la Catastrophe, qui persiste aujourd’hui. Les jours précédant notre voyage, nous avons reçu de nombreux messages d’ami-es inquie-ètes. « Comment allez-vous vous protéger ? Vous avez vu les vidéos de violences policières dans ces manifs ? » Nous savions que des slogans, des drapeaux et même l’usage de l’arabe lors des manifestations ont été interdits. Nous savions que deux manifestations pour la Nakba avaient été interdites. Nous avions entendu la Rapporteuse spéciale des Nations Unies, Francesa Albanese, exprimer sa profonde inquiétude face aux restrictions de la liberté d’expression en Allemagne, où toute contestation du génocide perpétré par Israël est réprimée. Pour nous, raison de plus d’y aller. À notre arrivée à 16h à la station de métro Südstern, 600 policiers attendaient 1 100 manifestant-es. Nous étions surpris-es par la petite taille de ce rassemblement international – ayant tout juste participé à une manifestation de 80 000 personnes à Bruxelles le dimanche précédent. La tension était palpable. Avant même le début de la manifestation, nous avons vu la police arrêter un photographe racialisé. Iel a été relâché-e quelques minutes plus tard, après avoir été contrôlé-e : « ils se sont trompés de personne » nous a-t-iel expliqué. Les arrestations aléatoires sont devenues le mode opératoire policier lors de ces manifestations. Un-e ami-e vivant à Berlin nous a décrit le protocole : une poignée de policiers se précipitent dans la foule et arrêtent quelqu’un-e sans raison claire. Pendant ce rassemblement de quatre heures, entre 50 et 88 personnes ont été arrêtées violemment. Le rassemblement était le premier depuis des mois à être autorisé à marcher, suite à une décision de justice publiée le matin même. Quelques heures plus tard, l’autorisation est annulée, la police ayant fait appel. Depuis, nous avons appris qu’un petit rassemblement de contre-manifestant-es pro-israélien-nes se préparait à affronter notre manifestation à quelques rues. En plus d’une forte présence policière (un policier pour deux manifestant-es), deux canons à eau nous ont fait face pendant quatre heures. Avant toute prise de parole, nous avons dû écouter une annonce sinistre de trois minutes, pour nous informer de ce ne pouvions pas faire et dire, en anglais, en allemand et en arabe. Pendant quatre heures tendues à Südsterne, nous avons constaté le courage et la détermination des personnes présentes. Des femmes se protégeaient de médias hostiles en levant des...

Racismes / Colonialismes

« Ce ne sont pas de vrais Juifs » : comment la Commission européenne exclut les Juifs critiques d’Israël de l’espace politique européen contre l’antisémitisme

Par Yoav Shemer-Kunz, politiste, attaché au laboratoire SAGE de l’Université de Strasbourg et enseignant à l’Université de Syracuse, Etats-Unis, dans son centre à Strasbourg, membre du Réseau juif européen pour la Palestine. L’article examine les relations de l’Union européenne avec de nouvelles organisations juives issues de la société civile européenne qui adoptent une posture critique à l’égard d’Israël et du sionisme. Ces groupes s’opposent notamment à la définition opérationnelle de l’antisémitisme adoptée par l’International Holocaust Remembrance Alliance (IHRA), perçue comme un outil de défense d’Israël et du projet sioniste. La Commission européenne les écarte de son groupe de travail sur l’antisémitisme, réservé exclusivement à des organisations juives sionistes. Cette exclusion contribue à éclairer l’orientation pro-israélienne et sioniste de la politique européenne en matière de lutte contre l’antisémitisme. Lancement du réseau juif européen pour la Palestine, Bruxelles, octobre 2024. Crédits : Miles Fischler Dès ses débuts, le mouvement sioniste en Europe a rencontré une opposition marquée au sein même des communautés juives, où de nombreuses voix le percevaient avant tout comme une menace pour les Juifs eux-mêmes. Cette contestation fut portée de façon particulièrement structurée par le Bund, un mouvement socialiste juif actif en Europe centrale et orientale, et resta majoritaire parmi les Juifs européens jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Après la Shoah et la création de l’État d’Israël, les courants non sionistes ou antisionistes sont devenus minoritaires au sein des communautés juives européennes. Les rapports qu’entretiennent ces derniers avec l’Union européenne restent un indicateur significatif du niveau d’acceptation – ou de rejet – par les décideurs européens de la critique du sionisme et du soutien à Israël. Pour analyser cette dynamique, cet article se penche sur les liens entre la Commission européenne et deux réseaux juifs présents à l’échelle européenne : European Jews for a Just Peace (EJJP) et European Jews for Palestine (EJP), qui rassemblent des groupes critiques d’Israël dans plusieurs États membres de l’UE. L’analyse s’appuie sur une observation participante menée au sein de ces deux organisations entre 2023 et 2025. European Jews for Palestine (EJP), fondée en 2024, est composée de 20 groupes affiliés dans 13 États membres de l’UE. Sa ligne politique est plutôt antisioniste : EJP rejette « l’idéologie de la suprématie juive de l’État sioniste » et s’oppose à « 76 ans de nettoyage ethnique, d’occupation et d’apartheid en Palestine par Israël ». Il appelle également à « dissocier le judaïsme de la doctrine coloniale du sionisme et à s’engager pour l’égalité des droits pour tous en Palestine historique, du fleuve à la mer ». Au sein d’EJP nous trouvons des groupes juifs français, dont l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP), TSEDEK ! – collectif juif décolonial , ainsi que des...

Contrôle social / Répression

[France] Usage au quotidien des drones de police à Rennes

Depuis avril 2025, la préfecture d’Ille-et-Vilaine a autorisé l’utilisation de drones par la police pour surveiller plusieurs quartiers sensibles de Rennes à des fins de prévention et de lutte contre la délinquance organisée, et servent aussi à appuyer les opérations de police judiciaire. Cette mesure, d’abord présentée comme exceptionnelle et limitée à la période du 4 au 30 avril, vient d’être officiellement prolongée jusqu’à la fin du mois de mai. La prolongation préfigure une une utilisation au quotidien des drones, puisque leur usage restait jusqu’alors cantonné à des contextes exceptionnels (événements sportifs, manifestations, opérations ponctuelles). La Ligue des droits de l’Homme avait déposé un recours devant le tribunal administratif de Rennes, dénonçant une atteinte aux libertés fondamentales et l’absence de caractère réellement urgent ou proportionné, mais le tribunal avait rejeté la requête. La justice a cependant sanctionné un usage abusif de ces drones en acquittant, le 24 avril dcernier, sept antifascistes poursuivis pour des violences sur des militant du RN. La police avait présenté comme preuve des images d’un de ses drones, mais réalisées en dehors du périmètre elle peut faire usage de drones. C’était donc hors du cadre légal que la police avait capté les images présentées au tribunal, celui-ci avait acquité les sept prévenus sous les applaudissements des militants venus les soutenir.

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Résistances et solidarités internationales

Fête · 30 ans des Brigades Civiles d’Observation au Chiapas

Les Brigades Civiles d’Observation -initiées par l’ONG Frayba, active dans la défense des droits humains au Chiapas- fêtent leurs 30 ans d’existence ! 30 ans de lutte pour la défense des droits des communautés autonomes au Chiapas, 30 ans de solidarité internationale, 30 ans d’échanges et de partages en faveur d’une société anticapitaliste, antisexiste, antiraciste et non-violente. À cette occasion, Frayba et ses partenaires invitent à se rassembler et à célébrer comme il se doit les 30 années passées, ainsi que celles à venir. Que tu sois ancien·ne ou futur·e brigadiste, curieux·se… bienvenue à toustes ! Pour marquer le coup, nous te proposons deux temps forts de retrouvailles à La Fabriek : Une soirée festive > repas, concert et musique Une après-midi d’ateliers > lunch et mise à jour sur le contexte actuel au Chiapas et sur les BriCO (en espagnol, pas de traduction prévue) PROGRAMME : FIESTA - VENDREDI 24 MAI 18h30 : accueil et exposition photos 19h : mot de bienvenue 20h : repas 21h : concert 22h : fiesta jusqu’au bout de la nuit > Soirée à prix libre ATELIER - SAMEDI 24 MAI 12h30 : lunch "auberge espagnole" > chacun·e ramène un petit truc à partager 14h00 : présentation du rapport « Chiapas, en la espiral de la violencia armada y criminal » et questions-réponses -15h15 : 30 années de solidarité entre le Chiapas et l’Europe : histoire et témoignages 16h30 : les BriCOs en 2025, mise à jour des nouveautés > En espagnol INSCRIPTIONS : Merci de nous signaler ta présence le vendredi et/ou le samedi via https://framaforms.org/fiesta-30-anos-brico-bruselas-1745487462

Santé / Soins

[Zine] CrashTest#5 : SPORT + prépa #6

CRASH-TEST = Zine noir et blanc participatif à tendance anarco-punk, ouvert sur le monde. Le titre, le contenu, l’équipage... tout peut encore changer, c’est le principe du test , et tout peut s’arrêter, c’est le principe du crash. CRASH-TEST #5 52 petites pages en Noir et Blanc Où trouver Crash-Test ? PIY (Print It Yourself) Les liens vers le PDF sont ou seront bientôt disponibles ICI si vous souhaitez gérer des impressions, des distributions ou des ventes. Participe à Crash-Test#6 On propose pas de thème pour le n°6 mais pour le n°7 ce serra « Drogue » (au cas où ça te donne des idées) Et tout ce qui est envoyez en retard sera publié en retard. DEADLINE de la recolte du contenu le 1er MAI PARTICIPER ? C’est cool d’envoyer des trucs le plus tôt possible, comme ça d’autre personnes pourront peut être ajouter des images ou peaufiner les mises en pages toussa. mag-a-zinne@proton.me Toujours à faire, encore à faire : Print It Yourself (cf plus haut) Distribuer, faire la promo du trucs, trouver de nouvelles personnes qui pourrait aimer prendre de la place dans ces pages. Envoyez vos conseils, critiques, retours pour orienter les crash dans un meilleur axe ou vers un autre mur. Envoyer vos propositions ou contributions ou thune pour la suite. Dite nous si vous souhaitez vous occuper d’une page en particulier ou d’une rubrique en particulier. Vous pouvez rejoindre le Comité Ré(d)actionnaire pour aider à la recherche de contenus, à la compilation et à la finalisation (mise en page, impressions etc). mag-a-zinne@proton.me Le formulaire de participation est aussi toujours utilisable si vous souhaitez rejoindre l’équipage (c’est une mailing-list) sans encore trop savoir quoi y apporter (les stages d’observation sont acceptés) :https://stuut.info/IMG/pdf/formulaire_candidaturev4-2.pdf

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