Arts / Créations

Appel à soutien pour empêcher l’expulsion de Sabine Amiyeme !
Sabine Amiyeme, Camerounaise, est arrivée en Belgique il y a 13 ans, après un parcours migratoire violent et traumatisant. Elle a réussi à reconstruire sa vie, à se tisser un réseau, à créer son entreprise. Malgré cela, elle n’a jamais réussi à obtenir la régularisation de son séjour, comme des milliers de personnes qui survivent sans papiers en Belgique… Elle a été arrêtée à Liège le 2 octobre et détenue au centre fermé pour femmes de Holsbeek. Elle a subi une première tentative d’expulsion vers le Cameroun le 15 octobre, à laquelle elle a résisté, et a été reconduite au centre fermé. Mais l’Office des étrangers peut à tout moment décider d’une nouvelle expulsion. Sabine est le personnage principal du documentaire « Chez Jolie coiffure » (2018). Vous lirez ici la lettre de la réalisatrice, Rosine Mbakam, qui donne plus d’informations sur sa situation. Avec l’équipe de production du film, elle mobilise toute son énergie pour empêcher l’expulsion de Sabine vers un pays où rien ni personne ne l’attend. Ainsi, iels organisent une première action de soutien le mercredi 23 octobre à 19h au Cinéma Galeries (28 Galerie de la Reine, 1000 Bruxelles). Programme : Projection de « Chez Jolie coiffure » avec prise de parole de la réalisatrice sur la situation de Sabine Questions/débat avec le public sur les politiques migratoires en Belgique, avec notamment Sotieta Ngo, directrice du CIRÉ Les recettes de la soirée permettront de financer les frais de justice pour la défense de Sabine. Venez nombreux·ses le mercredi 23 octobre 2024 à 19h au Cinéma Galeries (Bruxelles) Retrouvez le teaser du documentaire ici .

Rencontres Perdurer et transmettre nos espaces collectifs
Trois journées d’échanges et de réflexions autour des savoir-faire qui permettent aux communs de perdurer et de se transmettre à travers le temps. Programme : Vendredi 18 octobre 2024 - 18h - CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Quels communs face aux ravages écologiques ? Une rencontre avec Isabelle Stengers et Les soulèvements de la terre autour des enjeux de l’organisation politique des communs et de ses effets. Samedi 19 octobre 2024 - à partir de 10h - CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Table ronde de 10h à 17h avec la participation de la coopérative Longo Maï, les Terres maraîchères de Vaux, La Casserole, Les Lentillères, le Flêche d’Or, Gache Warache. ➡︎ La maintenance d’un espace collectif : Réflexion sur l’entretien des espaces communs, souvent invisibilisé et dévalorisé, mais essentiel pour la pérennité des lieux partagés. ➡︎ La transmission de l’esprit du lieu et de ses rituels Comment transmettre l’âme et les traditions d’un lieu mutualisé aux futures générations ? Exploration des rituels et des pratiques qui façonnent l’identité d’un espace partagé. ➡︎ La circulation des savoirs et les dangers des savoirs experts Discussion sur la transmission des connaissances au sein des collectifs et les déséquilibres de pouvoir que cela peut engendrer. ➡︎Conflits et responsabilités Débat sur la gestion des conflits au sein des collectifs : comment les anticiper, les gérer, et en tirer des leçons constructives. ➡︎ Qui vient ? Qui reste ? La subsistance des lieux autogérés dépend essentiellement des forces vives qu’ils abritent et de leur capacité à se régénérer. Qui arrive, qui part, qui reste ? Dimanche 20 octobre 2024 - à partir de 14h - Cercle Du Laveu, Rue des Wallons 45, 4000 Liège De 14h à 16h : Discussion partir des expériences d’Usus, Cinéma Nova et la Cafétéria Collective Kali/Fondation Mur Par Mur De 17h à 19h : Rencontre avec Sarah Vanuxem qui nous entretiendra de ses recherches sur le droit de propriété, et plus précisément des Des droits et des obligations des lieux entre eux. La soirée se poursuivra par la projection d’Une île et une nuit, un film des Pirates des Lentillères. Infos Pratiques Repas à prix libre le vendredi soir et le samedi midi. Apéros, soupes & papotes de 17h à 20h le samedi CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Facilement accessible en bus (3 minutes à pied de l’arrêt le plus proche « place des déportés ») ou en train (gare saint-lambert puis 10 minutes à pied.) Trois des cinq salles que nous utiliserons sont accessibles aux PMR mais malheureusement les toilettes ne le sont pas en fauteuils roulants. Possibilité de se garer en voiture dans le quartier. Cercle Du Laveu, Rue des Wallons 45, 4000 Liège Arrêts les plus proches ( le 1 - 2min à pieds - Arrêt Place des Wallons ou Jacob Makoy) ou en train (gare des Guillemins - 15/20 minutes à pieds) Pas d’accès PMR : 3 marches de +/-20 cm (entrée large à double battants) Toilettes non-accessibles...

[France/Toulouse] présentation de la bibli/brochurothèque « Le Placard Brûle »
Voici enfin un texte qui explicite les bases politiques du Placard Brûle, son histoire et son fonctionnement. Le Placard Brûle, une bibli, brochurothèque en lutte contre toutes les dominations à Toulouse ! PDF Qu’est-ce que c’est et comment ça fonctionne ? Ça fait un moment qu’on voulait faire un point, pour partager quelques-unes de nos réflexions. Déjà pour tenter de préciser comment on voit cet espace, afin d’être plus explicites et compréhensibles. Mais aussi pour essayer de limiter les projections décalées sur ce collectif. (On a reçu une invitation d’un député et on s’est dit d’une part qu’il n’avait pas lu nos programmes et d’autre part qu’il fallait peut-être qu’on soit plus clair..es !...) Ce texte écrit à plusieurs est un aperçu d’où nous en sommes en 2024. Le Placard Brûle (PB) est amené à évoluer au fil du temps, de nos discussions et de nos parcours toujours en mouvement. Un rapide bout d’histoire Depuis sa création en 2009, il y a eu beaucoup de changements de fond, de forme et de personnes impliquées. Le PB est né au squat du TDB (Trou D’Balle) à Toulouse, un lieu entre TransPédésGouines. Le fond de livres, d’archives et de brochures a été accessible pendant 9 ans dans cet endroit, en parallèle d’événements organisés ponctuellement. À la fin du TDB en 2018, le fond a été entreposé dans la cave de l’Obs, un autre squat d’habitation et d’activités. En 2021, quelques personnes se sont retrouvées avec cette envie de ressortir les cartons et de redonner vie à ce projet. C’est à partir de ce moment-là que le PB a commencé à organiser des discussions régulièrement. Dans le contexte du procès de l’Obs et de la préparation de sa défense, un conflit politique avec certaines personnes habitant..es et soutiens a provoqué le déménagement du Placard Brûle dans un autre squat : le Blobitch en 2022. D’expulsions en ouvertures, il est ensuite passé par Euforie en 2023 et maintenant l’Impasse. Aujourd’hui, plus aucune des personnes présentes aux débuts ne participent au projet. Plusieurs de celles et ceux qui ont contribué à le ressortir des cartons ont quitté le collectif pour diverses raisons personnelles ou politiques. D’autres y ont participé pendant quelques temps, ou l’ont rejoint plus récemment. En fonction des périodes, il y a eu entre 3 et 7 personnes au sein du collectif. Ce projet nous dépasse en tant qu’individu..es qui y participons actuellement. Il sera surement repris ou traversé par d’autres, et continuera d’évoluer. On y fait un passage, on contribue à un moment, et personne n’y est indispensable. Un espace ? Le Placard Brûle est aujourd’hui principalement un espace de discussion publique régulier sur des sujets qui nous touchent, nous foutent la rage ou nous questionnent. C’est aussi une bibliothèque, et un infokiosque qui comprend une sélection de brochures mises en avant. On a eu envie de péter la hiérarchie qui valorise en général plus les livres que les brochures et les zines. Ça fait qu’on...

« Soleil Noir » n°8, bulletin apériodique anarchiste (août 2024)
Salut, Voici le nouveau numéro (n°8) de Soleil Noir. Il y est question de la révolte en Kanaky, d’opposition à la guerre, de critique du maoïsme ou encore du nationalisme, du contexte électoral et d’un rappel sur ce que fût le Front populaire pour les exilé-es ou encore de la nouvelle réforme du chômage alors suspendue au moment de la rédaction (pour combien de temps ?). Tout cela est complété par des textes plus théoriques ou poétiques, ou encore une présentation d’André Léo, cette communarde féministe et solidaire de la paysannerie, sans oublier les fameux fragments de révolte. Il est possible que ce soit la dernière mouture de Soleil Noir. Débutée comme une aventure individuelle en 2020 au moment du confinement, elle était aussi un appel à devenir collective. Ce qu’elle fût. Or, de numéros en numéros, l’aventure s’est de nouveau rétrécie ces derniers temps, marquant peut-être le temps de passer à autre chose. À bientôt toutefois, sous cette forme ou une autre, pour continuer d’alimenter nos révoltes et nos désirs de détruire le vieux monde. Vive l’anarchie ! n°8 Soleil Noir n°8 Contact : soleilnoir-caen@@@riseup.net On peut également télécharger sur infokiosques.net le n°1 de juillet 2020, le n°2 de mai 2021, le n°3 de mars 2022, le n°4 de juin 2022, le n°5 de mars 2023, le n°6 d’octobre 2023 et le n°7 de février 2024.

Ode aux perdants (ploum.net)
Ode aux perdants Le Fediverse est-il pour les perdants ? se demande Andy Wingo fedi is for losers (wingolog.org) La question est provocante et intelligente : le Fediverse semble être un repère d’écologistes, libristes, défenseurs des droits sociaux, féministes et cyclistes. Bref la liste de tous ceux qui ne sont pas mis en avant, qui semblent « perdre ». Je n’avais jamais vu les choses sous cet angle. Pour moi, le point commun est surtout une volonté de changer les choses. Or, par définition, si on veut changer les choses, c’est qu’on n’est pas satisfait avec la situation actuelle. On est donc « perdant ». En fait, tout révolutionnaire est, par définition, un·e perdant·e. Dès qu’iel gagne, ce n’est plus un·e révolutionnaire, mais une personne au pouvoir ! Être progressiste implique donc d’être perçu comme perdant selon le filtre d’Andy. Le progrès nait de l’insatisfaction. Le monde ne sera jamais parfait, il faudra toujours l’améliorer, toujours lutter. Mais tout le monde n’a pas l’énergie de lutter tout le temps. C’est humain, c’est souhaitable. Lorsque l’énergie me manque, lorsque je ne suis pas un révolutionnaire, je me concentre sur un objectif minimal : ne pas être un obstacle à celleux qui mènent la lutte. Je ne suis pas végétarien, mais lorsqu’un restaurant propose des menus végés, je félicite le personnel pour l’initiative. Ce n’est pas grand-chose, mais, au moins, j’envoie un signal. Si vous n’avez pas la force de quitter les réseaux sociaux propriétaires, encouragez celleux qui le font, ayez un compte sur les réseaux libres, mettez-les au même niveau que les autres. Vous ne serez pas révolutionnaire, mais, au moins, vous ne serez pas un obstacle. Le coût de la rébellion Je suis conscient que tout le monde n’a pas le loisir d’être rebelle. J’enseigne à mes étudiants qu’ils vont avoir un des meilleurs diplômes sur le marché, que les entreprises se battent pour les embaucher (je le sais, j’ai moi-même recruté pour mes équipes). Qu’ils sont donc, pour la plupart, immunisés contre le chômage longue durée. Et ce luxe vient avec une responsabilité morale : celle de dire « Non ! » lorsque notre conscience nous le dicte. D’ailleurs, j’ai suffisamment dit « Non ! » (et pas toujours très poliment) pour savoir que le risque est vraiment minime lorsqu’on est un homme blanc avec un beau diplôme. Remarquez que je ne cherche pas à vous dire ce qui est bien ou mal ni comment vous devez penser. C’est votre affaire. Je pense juste que le monde serait infiniment meilleur si les travailleurs refusaient de faire ce qui est contraire à leur conscience. Et arrêtez de vous raconter des histoires, de vous mentir à vous-même. Non, vous n’avez pas une « mission ». Vous cherchez juste à aider à construire un système pour vendre de la merde afin de pouvoir acheter votre propre merde. Après, dire « Non », ce n’est pas toujours possible. Parce qu’on a vraiment quelque chose à perdre. Ou à gagner. Que le compromis moral nous semble...

[France] Attaque fasciste pour un sticker
Un étudiant membre du syndicat Solidaires à Assas, l’université parisienne, a été tabassé par des militants d’extrême droite pour avoir simplement recouvert un sticker de la Cocarde Assas (section du syndicat étudiant proche du RN) avec un autocollant antifasciste. La victime sortait des cours lorsqu’elle les a croisés devant l’université, ils distribuaient des tracts marqués du logo « Les Natifs » groupuscule héritier du mouvement interdit « Génération identitaire ». Les militants d’extrême droite l’ont fait chuter et l’ont roué de coups au visage en l’injuriant avant de s’enfuir. La victime a été évacuée par les pompiers vers l’hôpital. Le blessé s’en sort avec deux dents cassées, des points de suture et le visage tuméfié. Quelques heures plus tard, une autre membre du syndicat était attendue par deux hommes, l’un cagoulé, l’autre arborant une croix celtique au bras, se sentant menacée, elle a dû être exfiltrée par la sécurité de la faculté. Cette dernière avait signalé à la sécurité une nouvelle distribution de tracts d’extrême droite par deux jeunes femmes devant l’université, elles avaient quitté les lieux avant l’intervention des agents.

3 questions à Véronique Clette-Gakuba sur le féminisme décolonial
A la veille de l’event « Kimpa Vita et ses héritières », organisé ce samedi à Charleroi par trois associations en partenariat avec le Musée de l’Afrique, la Docteure en sociologie analyse cette mise à l’honneur belge de Kimpa Vita, résistante anticoloniale du Royaume Kongo, et les enjeux sociopolitiques actuels. Trois questions à Véronique Clette-Gakuba. Investig’Action : En quoi l’évènement autour de Kimpa Vita est-il important ? Donner son nom à un parc et statufier cette figure historique du royaume Kongo – largement inconnue de la majorité des Belges, afro-descendant.e.s ou non – ne relève-il pas d’une habile récupération politicienne, d’un « ravalement de façade décolonial » à bon compte, d’une « opération de marketing » sans lendemains ? Véronique Clette-Gakuba : C’est toujours le risque. Il est très fréquent que des images-symboles se retrouvent mobilisées par des autorités ou des partis politiques dans l’espace public pour tenter de se montrer progressiste sur une réalité, celle du racisme anti-Noir, qui, depuis des siècles, ne bouge pas, n’est absolument pas traité à la hauteur du problème. Le surlendemain du rassemblement Black Lives Matter à Bruxelles, on se souvient du MR qui n’a pas hésité à orner la façade de son siège d’une grande photo de Martin Luther King Jr alors que 2 ans plus tard c’est ce parti (avec l’OPEN-VLD, le CD&V et la N-VA) qui fait échouer la commission sur le passé colonial de la Belgique en refusant que le gouvernement belge s’excuse pour les crimes commis pendant la période coloniale. Dans le cas de Kimpa Vita qui va donner son nom à un parc à Charleroi, lequel va accueillir une statue à son effigie, c’est bien sûr différent car il y a cette matérialisation, c’est-à-dire une référence que l’on inscrit durablement dans l’espace public. C’est clairement une autre démarche. Néanmoins je pense que la question de la récupération se pose. Après tout, même si je pense qu’il y a de quoi se réjouir, cela ne mange pas de pain de renommer un parc et d’y mettre la statue d’un personnage féminin historique. Selon moi, il s’agit de ne pas perdre le fil qui relie les différentes problématiques qui font le déni colonial et perpétue le racisme aujourd’hui. Par exemple, il serait regrettable que cette initiative ne soit pas accompagnée de l’inscription de la lutte et de l’histoire de Kimpa Vita dans le programme d’enseignement. Et à ce moment-là, la question importante sera celle de « qui parle (qui est autorisé à parler ?) » et comment est-ce qu’on en parle ? Il serait par exemple intéressant de faire un parallèle entre Kimpa Vita et Simon Kimbangu qui est aussi un personnage prophétique et anticolonial et qui, lui aussi, s’est fait condamné à mort par l’autorité coloniale, belge, cette fois-ci. Ces dernières années, plusieurs statues de femmes africaines ont été érigées dans différentes villes européennes. Je pense notamment à la statue de Mary Thomas (a mené une révolte en 1878 contre le colonialisme (...)

[Royaume-Uni] 2 ans de prison pour un lancé de bol de soupe lors d’une action pour l’écologie
Vendredi, deux militantes écologistes du groupe « Just Stop Oil » ont été condamnées à des peines de prison ferme pour avoir jeté un bol de soupe tomate sur l’œuvre « Les tournesols » de Vincent Van Gogh à la National Gallery à Londres le 14 octobre 2022, à l’époque, « Just Stop Oil » demandait l’arrêt immédiat de tout nouveau projet pétrolier ou gazier au Royaume-Uni. Phoebe Plummer a été condamnée à une peine de deux ans de prison ferme et Anna Holland a écopé d’une peine de 20 mois de prison. Elles avaient mené cette action spectaculaire qui n’avait pas endommagé l’œuvre protégée par une vitre, mais avait dégradé très légèrement le cadre entourant cette dernière. l’ONG Greenpeace a dénoncé des peines de prison disproportionnées pour une manifestation qui a causé des dommages mineurs au cadre d’un tableau et aucun à la toile. Ces condamnations sont une nouvelle étape dans la répression des manifestations pacifiques pour l’écologie. En juillet, cinq militants de la même organisation, qui avaient mis en place le blocage d’une autoroute, avaient été condamnés à quatre ans de prison par la justice britannique, le fondateur, Roger Hallam, avait lui été condamné à cinq ans pour avoir préparé cette action ( voir article ici ). Pour protester contre ces condamnations, toujours ce vendredi, des militants de « Just Stop Oil » ont à nouveau aspergé de soupe deux tableaux de Vincent Van Gogh à la National Gallery de Londres. Les peintures ont été retirées, elles sont en cours d’examen, elles ne sont pas endommagées. Les trois activistes ont été arrêtés.

[FRANCE (Bordeaux) ] Fête du Livre Libertaire et de l’édition Militante
Vendredi 11 octobre 2024 ▶ 19h : Ouverture des portes ▶ 19h30 : Présentation de l’ouvrage Bakounine vodka – Punk et anarchisme de Jim Donaghey par les éditions BPM. ▶ 20h : Concert de soutien à la librairie du Muguet avec Gurs (Punk – Bilbao) et Phosphore (Punk dbeat – Bordeaux) – 5€ + 2€ d’adhésion à l’Athénée Libertaire Samedi 12 octobre ▶ 14h : Ouverture des portes ▶ 15h : Présentation de l’ouvrage La Gaie panique – Une histoire politique de l’homophobie de Mickaël Tempête aux éditions Divergences et discussion avec l’auteur. ▶ 17h : Présentation de l’ouvrage Gouverner les exilés aux frontières de Annalisa Lendaro aux éditions du Croquant et discussion avec l’autrice. ▶ Suivi de la projection du documentaire « Ecoute les murs tomber » du collectif La Friche, en présence de Leo Kekemenis, réalisateur. Dimanche 13 octobre ▶ 10h : Arpentage autour de l’ouvrage Le paysan impossible - récit de luttes de Yannick Ogor aux éditions du Bout de la ville. (Inscriptions par mail : lafllem@@@proton.me) ▶ 14h30 : Écoute collective du podcast « Le convoi de l’eau ». ▶ 15h30 : Présentation de l’ouvrage Avoir 20 ans à Sainte-Soline du collectif du Loriot, aux éditions La Dispute et discussion avec les auteurices. ▶ 18h00 : Fermeture des portes Les stands Les maisons d’éditions et revues qui seront présentes : éditions BPM, éditions du Bout de la ville, éditions du Commun, Atelier McClane, La Tempête, Le Sabot, Zanzara athée. Infos pratiques Notre festival est entièrement bénévole, autogéré et fonctionne sans subventions ! Pas de CB au bar. Athénée libertaire – 7 rue du Muguet – Bordeaux Contact : lafllem@@@proton.me Le programme en PDF . Plus d’infos : https://www.atheneelibertaire.net/la-fllem/

[Brochure] Colibris pyromanes
Pour lire la bd, le mieux est de consulter la version pdf en couleur : PDF couleur Colibris pyromanes - version page par page couleur 52 pages A5 couleur à imprimer en format livret. Ou si c’est trop lourd la version noir et blanc : PDF NB Colibris pyromanes - version page par page 52 pages A5 à imprimer en format livret. Voir en ligne : Site de chomeuse go on