Arts / Créations

Économie / Anticapitalisme

Connexion Lille x Bruxelles 25/10

BATARDS + TRANS*PORT PUBLIK + UTOPIE + DJ LARIAT Lille × Bxl Vendredi 25 octobre 19h 1h Au Zonneklopper, 23 avenue de la verrerie, Forest Le principe : on invite principalement des groupes/artistes d’une ville pour faire des 🔥connections🔥 Et si ça marche bah pourquoi pas faire ça avec d’autres villes ! Viens faire ta com ! Si tu veux faire connaître ton ou un collectif ou juste partager un super zine tu pourras le faire sur une table de presse prévue pour ça. Entrée et bouffe prix libre ! C’est le collectif des femmes* qui cuisinera pour nous ! Ça sera vegan. L’argent recolté leur reviendra. Le line-up : Batards : De la poésie de chauve-souris avec une guitare électrique ! Trans*port Publik : Du punk Transfeminista 🔥 Utopie : Du punk froid qui envoie 🤘 Dj Lariat : Du Rrrregeaton et de la Mumbacore 🥵 *Le collectif des femmes : « Nous sommes un groupes de femmes intégré sur le territoire, sans papier, expulsées de bâtiment en bâtiment. Maintenant nous voulons nous émanciper du système patriarcale des occupations, nous voulons une convention pour du logement entre femmes, un collectif afro, arabo, feministe militant et radical. Nous sommes pour la plupart agées, avec des handicaps, nous voulons un espace collectif ou nous pouvons faire un système alternatif de soin et s’organiser dans une mixité choisie , sans hommes cis. »

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Extrême-droite / Antifascisme

Appel à soutien pour empêcher l’expulsion de Sabine Amiyeme !

Sabine Amiyeme, Camerounaise, est arrivée en Belgique il y a 13 ans, après un parcours migratoire violent et traumatisant. Elle a réussi à reconstruire sa vie, à se tisser un réseau, à créer son entreprise. Malgré cela, elle n’a jamais réussi à obtenir la régularisation de son séjour, comme des milliers de personnes qui survivent sans papiers en Belgique… Elle a été arrêtée à Liège le 2 octobre et détenue au centre fermé pour femmes de Holsbeek. Elle a subi une première tentative d’expulsion vers le Cameroun le 15 octobre, à laquelle elle a résisté, et a été reconduite au centre fermé. Mais l’Office des étrangers peut à tout moment décider d’une nouvelle expulsion. Sabine est le personnage principal du documentaire « Chez Jolie coiffure » (2018). Vous lirez ici la lettre de la réalisatrice, Rosine Mbakam, qui donne plus d’informations sur sa situation. Avec l’équipe de production du film, elle mobilise toute son énergie pour empêcher l’expulsion de Sabine vers un pays où rien ni personne ne l’attend. Ainsi, iels organisent une première action de soutien le mercredi 23 octobre à 19h au Cinéma Galeries (28 Galerie de la Reine, 1000 Bruxelles). Programme : Projection de « Chez Jolie coiffure » avec prise de parole de la réalisatrice sur la situation de Sabine Questions/débat avec le public sur les politiques migratoires en Belgique, avec notamment Sotieta Ngo, directrice du CIRÉ Les recettes de la soirée permettront de financer les frais de justice pour la défense de Sabine. Venez nombreux·ses le mercredi 23 octobre 2024 à 19h au Cinéma Galeries (Bruxelles) Retrouvez le teaser du documentaire ici .

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Écologie

Rencontres Perdurer et transmettre nos espaces collectifs

Trois journées d’échanges et de réflexions autour des savoir-faire qui permettent aux communs de perdurer et de se transmettre à travers le temps. Programme : Vendredi 18 octobre 2024 - 18h - CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Quels communs face aux ravages écologiques ? Une rencontre avec Isabelle Stengers et Les soulèvements de la terre autour des enjeux de l’organisation politique des communs et de ses effets. Samedi 19 octobre 2024 - à partir de 10h - CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Table ronde de 10h à 17h avec la participation de la coopérative Longo Maï, les Terres maraîchères de Vaux, La Casserole, Les Lentillères, le Flêche d’Or, Gache Warache. ➡︎ La maintenance d’un espace collectif : Réflexion sur l’entretien des espaces communs, souvent invisibilisé et dévalorisé, mais essentiel pour la pérennité des lieux partagés. ➡︎ La transmission de l’esprit du lieu et de ses rituels Comment transmettre l’âme et les traditions d’un lieu mutualisé aux futures générations ? Exploration des rituels et des pratiques qui façonnent l’identité d’un espace partagé. ➡︎ La circulation des savoirs et les dangers des savoirs experts Discussion sur la transmission des connaissances au sein des collectifs et les déséquilibres de pouvoir que cela peut engendrer. ➡︎Conflits et responsabilités Débat sur la gestion des conflits au sein des collectifs : comment les anticiper, les gérer, et en tirer des leçons constructives. ➡︎ Qui vient ? Qui reste ? La subsistance des lieux autogérés dépend essentiellement des forces vives qu’ils abritent et de leur capacité à se régénérer. Qui arrive, qui part, qui reste ? Dimanche 20 octobre 2024 - à partir de 14h - Cercle Du Laveu, Rue des Wallons 45, 4000 Liège De 14h à 16h : Discussion partir des expériences d’Usus, Cinéma Nova et la Cafétéria Collective Kali/Fondation Mur Par Mur De 17h à 19h : Rencontre avec Sarah Vanuxem qui nous entretiendra de ses recherches sur le droit de propriété, et plus précisément des Des droits et des obligations des lieux entre eux. La soirée se poursuivra par la projection d’Une île et une nuit, un film des Pirates des Lentillères. Infos Pratiques Repas à prix libre le vendredi soir et le samedi midi. Apéros, soupes & papotes de 17h à 20h le samedi CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Facilement accessible en bus (3 minutes à pied de l’arrêt le plus proche « place des déportés ») ou en train (gare saint-lambert puis 10 minutes à pied.) Trois des cinq salles que nous utiliserons sont accessibles aux PMR mais malheureusement les toilettes ne le sont pas en fauteuils roulants. Possibilité de se garer en voiture dans le quartier. Cercle Du Laveu, Rue des Wallons 45, 4000 Liège Arrêts les plus proches ( le 1 - 2min à pieds - Arrêt Place des Wallons ou Jacob Makoy) ou en train (gare des Guillemins - 15/20 minutes à pieds) Pas d’accès PMR : 3 marches de +/-20 cm (entrée large à double battants) Toilettes non-accessibles...

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Féminismes / Antipatriarcat

[Conférence gesticulée] C’est qui l’bonhomme ? Voyage chez les dominants

Jeudi prochain ! Conférence gesticulée sur les masculintés et l’urgence d’un monde plus égalitaire. “C’est qui l’bonhomme ? Voyage chez les dominants” est une conférence gesticulée créée et jouée par Nico : “En 2018, je parviens à hurler « J’en ai marre d’être un homme ! ». Mais au fait, c’est quoi un homme, un vrai ? Et comment ça se dresse, un homme ? Entre ma vie en zigzag et celle de mon père, (re)découvrons ensemble la folie et les jeux silencieux qui gouvernent les hommes. Et surtout, l’urgence de s’en émanciper pour un monde plus égalitaire.” Cette conférence gesticulée parle de violence et d’aliénation. Mais aussi et surtout de résilience, d’amour et d’espoir. La conférence gesticulée sera suivie d’une discussion animée par La Bonne Poire. # C’est quoi une conférence gesticulée ? Une conférence gesticulée est une prise de parole publique qui porte nécessairement une dimension politique. Elle naît d’une décision personnelle mais s’élabore au cours d’une formation collective : c’est un acte d’éducation populaire. # Quand ? Le 24 octobre 2024 # Où ? Au café-bouquinerie coopératif La Vieille Chéchette Rue Montenegro 2, Saint-Gilles, BE 1060 # Horaire ? Ouverture des portes à 18h30, Début de l’activité à 19h, Fermeture à 22h. # Événement sans inscription préalable # Prix libre et conscient Nous espérons que cette activité touche principalement des hommes. Si tu es intéressé·e et que tu n’es pas un homme, tu es lae bienvenu·e ! Mais c’est encore mieux si tu viens accompagné·e 

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Extrême-droite / Antifascisme

Qu’est ce que tu r’gardes ? décoder les regards dominants au cinéma

Atelier 1 : déconstruction du regard blanc 🔶 Qu’est ce que tu r’gardes ? décoder les regards dominants au cinéma - atelier 1 : déconstruction du regard blanc 🔶 L’équipe Ra‧ciné vous propose de remettre en question votre regard sur l’audiovisuel grâce à une activité sur le concept du white gaze ou regard blanc. On se retrouve le samedi 19 octobre après-midi pour un atelier où l’on apprendra à décoder notre regard. Le jeudi 24 octobre, on projette le film Mambar Pierrette de Rosine Mbakam qui prend le contre-pied en proposant un regard décolonial. Il n’est pas nécessaire d’avoir participé à l’atelier pour profiter de la projection. Ra‧ciné, un projet qui visibilise les problèmes de représentations raciales dans le cinéma à travers des témoignages, des parodies vidéos et des textes qui défendent un cinéma plus représentatif. Retrouvez leur travail sur leur Instagram @ra.cine_bxl. 📣Et toi, qu’est-ce que tu r’gardes ? Le Poisson sans bicyclette lance des ateliers et projections pour apprendre collectivement à décoder les regards dominants dans le cinéma. Le but est de mettre des lunettes critiques pour comprendre comment les biais racistes, sexistes, bourgeois, cis-hétéro s’expriment dans le cinéma, particulièrement celui qui est encensé par la critique et primé dans les concours. Lors de chaque atelier, un type de regard dominant (un “gaze”) sera abordé par un·e intervenant·e externe pour mieux comprendre de quelle manière ces “gaze” nous sont imposés dans la majeure partie des films que nous regardons. Une semaine après l’atelier, nous proposerons la projection d’un film à contre-courant de la perspective dominante analysée. Regard blanc : atelier le 19/10 et projection le 24/10 Regard bourgeois : atelier le 07/12 et projection le 11/12 Regard cis hétéro : atelier le 08/02 et projection le 12/02 Regard masculin : atelier le 19/04 et projection le 23/04 L’objectif n’est pas de tracer une ligne entre la “bonne” culture et la “mauvaise”. Il ne s’agit pas non plus de culpabiliser pour nos goûts cinématographiques, mais plutôt d’apprendre à regarder les films autrement, et identifier les éléments constitutifs de la culture dominante. Si le temps imparti nous le permet, d’autres biais et intersections pourront être discutés pendant les ateliers en fonction des films projetés ou des connaissances des intervenant·es et participant·es.. Après ça, tu ne verras plus les films du même œil ! Informations pratiques pour l’atelier : 📅 Samedi 19 octobre 2024 de 14 h à 17 h (temps d’accueil de 14 h à 14 h 30, début de l’activité à 14 h 30) 📍 Le Récif, local du Poisson sans bicyclette (avenue du Pont-Neuf 4 1000 Bruxelles) 🚌 Transports en commun : à 260 m de l’arrêt Yser (métros 2 et 6, bus 45, tram 51), à 500 m de l’arrêt Rogier (métro 2 et 6, pré-métro 3 et 4, tram 25 et 55, bus 58, 61, et 88), à 500 m de l’arrêt Sainte-Catherine (métro 1 et 5). Pas de parking pour les voitures. Parking vélo dans la cour arrière. 💸 Événement gratuit,...

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Racismes / Colonialismes

Ce sont d’autres gens. Contre-anthropologies décoloniales du monde blanc

Nous aurons le plaisir d’accueillir Jean-Christophe Goddard (Université de Toulouse) à la librairie Par Chemins, le lundi 21 octobre à 19h, pour présenter son livre Ce sont d’autres gens. Contre-anthropologies décoloniales du monde blanc, paru aux éditions Wildproject. Manuel Tangorra (UCL) animera la discussion en compagnie d’un de nos libraires. Comment penser le monde blanc ? Dans Ce sont d’autres gens, Jean-Christophe Goddard répond en prenant au sérieux la façon dont les colonisé·es ont pensé et figuré par des rites ce qui leur arrivait. Goddard propose ainsi d’éviter de concevoir les dominé·es comme si leur attitude était essentiellement la passivité, le défaitisme et la résignation. Comme si le monde colonial, capitaliste et patriarcal avait réussi à façonner tous les mondes à son image, comme s’il était doté d’une force irrésistible. Ce que Goddard invite à voir et sentir, c’est que les colonisé·es, face à l’anthropologie que les blancs ont inventé (que ce soit pour légitimer leur conquête ou la contester de l’intérieur) a été immédiatement réappropriée et retournée en contre-anthropologie décoloniale : les colonisé·es ont développé des interprétations du type d’humanité qui les colonisait afin de se donner des prises sur la situation et résister. Sont ainsi présentés des rituels (des « cultes du cargo » à la danse n’gaulle), les œuvres d’artistes (Sony Labou Tansi, Aimé Césaire, …) et de penseur·euses (Davi Kopenawa, Joseph Tonda, Fabien Eboussi Boulaga, Gloria Anzaldúa, …), avec lesquels et à partir desquels Goddard invite à penser la logique du monde colonial. En contrepoint, c’est l’histoire de la philosophie et des sciences sociales occidentales qui se trouve re-contextualisée et re-décrite. Goddard propose ici un tour d’horizon de ces contre-anthropologies qui, de l’Amazonie et la Guyane jusqu’à la Mélanésie et le Congo, ont créé des rites, des œuvres et des pensées qui sont appelées à renouveler la façon dont on peut envisager de penser et agir contre la machine occidentale tout en y vivant.

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Migrations / Frontières

SOLIDARITY AGAINST BORDERS (BETWEEN POLAND AND BELARUS)

[EN/NL en-dessus] La frontière entre la Pologne et la Biélorussie est devenue l’un des passages les plus actifs et les plus dangereux pour les personnes en migration pour entrer en Europe. En 2021, l’Union Européene et l’État polonais ont construit un mur le long de la frontière et ont depuis pris des mesures de plus en plus violentes et racistes pour empêcher les gens de passer, en ciblant particulièrement les personnes arabes et africaines. Cet été, l’État polonais a autorisé ses gardes-frontières à tirer à balles réelles sur les personnes qui tentent de passer. Nous organisons cette collecte de fonds pour un petit collectif sur place qui lutte contre cette frontière et soutient les personnes qui la traversent. Cet argent leur servira à acheter du matériel qu’ils pourront donner aux personnes en mouvement et à payer d’éventuels frais de justice, vu que l’Etat polonais essaye régulièrement de criminaliser leur pratique. Venez nous rejoindre chez Mona à Jette le dimanche 20 octobre, de 16h à 22h30, dans le magnifique jardin s’il fait beau ou dans une salle chaleureuse s’il pleut. Tous les bénéfices de l’événement iront directement au Bez Collective (https://bezcollective.noblogs.org/). PROGRAMME : Tattoos by FREDDYSérigraphie by HashëtCoupes de cheveux by Coupé en friteCoin bricolage pour les enfants et les adultesZine stand No BorderRécolte d’amourage by Flam DJ’s : _prinx.s txe txe txe_AnissaJanoBoissons et crêpes à prix raisonnable Adresse : Avenue de Jette 225 - BRING CASH The Polish-Belarussian border has become one of the most active and most dangerous routes for people on the move to get into Europe. In 2021, the EU and the Polish state built a wall along the border and have since taken increasingly violent and racist measures to stop people from crossing, targeting Arab and African people specifically. During this summer, the Polish state has authorised its border guards to shoot with live ammunition on people if they try to cross. We are organizing this fundraiser to raise money for a small collective over there fighting against this border and supporting the people that cross it. This money will be used by them to buy materials that they can give to people on the move and to pay for possible legal costs, as the Polish state regularly tries to criminalise their practice. Come and join us at Mona in Jette on sunday the 20th of October, from 16h to 22h30, in the beautiful garden if the weather is nice or in a cosy warm hall if it rains. All benefits of the event will go directly to Bez Collective (https://bezcollective.noblogs.org/). PROGRAM : Tattoos by FREDDYSilkscreening by HashëtHaircuts by Coupé en friteBricolage corner for kids and adultsZine stand No BorderRécolte d’amourage by Flam DJ’s : _prinx.s txe txe txe_AnissaJanoDrinks and crêpes at reasonable prices Adresse : Avenue de Jette 225 - BRING CASH De grens tussen Polen en Wit-Rusland is één van de meest actieve en gevaarlijke routes geworden...

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Santé / Soins

Journée mondiale de Lutte contre la misère

‼️𝐥𝐞 𝟏𝟕 𝐨𝐜𝐭𝐨𝐛𝐫𝐞 c’est 𝐥𝐚 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐫𝐞𝐟𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐢𝐬𝐞̀𝐫𝐞. Alors 𝐌𝐎𝐁𝐈𝐋𝐈𝐒𝐎𝐍𝐒-𝐍𝐎𝐔𝐒 pour dire 𝐍𝐎𝐍 à une société qui fabrique de la misère et 𝐎𝐔𝐈 à un système qui rend effectif l’accès aux droits fondamentaux de 𝐓𝐎𝐔𝐓𝐄𝐒 𝐞𝐭 𝐓𝐎𝐔𝐒‼️ Cette année, nous avons décidé de nous attaquer au fléau de la 𝐒𝐔𝐑𝐂𝐇𝐀𝐑𝐆𝐄 𝐀𝐃𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐀𝐓𝐈𝐕𝐄. C’est-à-dire l’ensemble des démarches qui font obstacle et rendent parfois impossible l’accès aux droits fondamentaux des personnes. Cette absurdité administrative est indigne, violente et plonge parfois les gens dans des situations gravissimes. Parce qu’ils•elles n’ont pas les papiers ou sont bloquées dans leurs démarches ils•elles n’existent pas aux yeux de la société. Le 17 octobre 2024 nous clamerons haut et fort : « 𝐌𝐎𝐈𝐍𝐒 𝐃𝐄 𝐃𝐄́𝐌𝐀𝐑𝐂𝐇𝐄𝐒, 𝐏𝐋𝐔𝐒 𝐃𝐄 𝐃𝐑𝐎𝐈𝐓𝐒 ! ». Rejoignez-nous ! 🚩Rendez vous : Place de la Bourse (Bruxelles à 16h ! PROGRAMME : 🔹16h : Animations 🔹Témoignages 🔹Occupation de l’espace public 🔹19 h : Parade aux lanternes

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Féminismes / Antipatriarcat

[France/Toulouse] présentation de la bibli/brochurothèque « Le Placard Brûle »

Voici enfin un texte qui explicite les bases politiques du Placard Brûle, son histoire et son fonctionnement. Le Placard Brûle, une bibli, brochurothèque en lutte contre toutes les dominations à Toulouse ! PDF Qu’est-ce que c’est et comment ça fonctionne ? Ça fait un moment qu’on voulait faire un point, pour partager quelques-unes de nos réflexions. Déjà pour tenter de préciser comment on voit cet espace, afin d’être plus explicites et compréhensibles. Mais aussi pour essayer de limiter les projections décalées sur ce collectif. (On a reçu une invitation d’un député et on s’est dit d’une part qu’il n’avait pas lu nos programmes et d’autre part qu’il fallait peut-être qu’on soit plus clair..es !...) Ce texte écrit à plusieurs est un aperçu d’où nous en sommes en 2024. Le Placard Brûle (PB) est amené à évoluer au fil du temps, de nos discussions et de nos parcours toujours en mouvement. Un rapide bout d’histoire Depuis sa création en 2009, il y a eu beaucoup de changements de fond, de forme et de personnes impliquées. Le PB est né au squat du TDB (Trou D’Balle) à Toulouse, un lieu entre TransPédésGouines. Le fond de livres, d’archives et de brochures a été accessible pendant 9 ans dans cet endroit, en parallèle d’événements organisés ponctuellement. À la fin du TDB en 2018, le fond a été entreposé dans la cave de l’Obs, un autre squat d’habitation et d’activités. En 2021, quelques personnes se sont retrouvées avec cette envie de ressortir les cartons et de redonner vie à ce projet. C’est à partir de ce moment-là que le PB a commencé à organiser des discussions régulièrement. Dans le contexte du procès de l’Obs et de la préparation de sa défense, un conflit politique avec certaines personnes habitant..es et soutiens a provoqué le déménagement du Placard Brûle dans un autre squat : le Blobitch en 2022. D’expulsions en ouvertures, il est ensuite passé par Euforie en 2023 et maintenant l’Impasse. Aujourd’hui, plus aucune des personnes présentes aux débuts ne participent au projet. Plusieurs de celles et ceux qui ont contribué à le ressortir des cartons ont quitté le collectif pour diverses raisons personnelles ou politiques. D’autres y ont participé pendant quelques temps, ou l’ont rejoint plus récemment. En fonction des périodes, il y a eu entre 3 et 7 personnes au sein du collectif. Ce projet nous dépasse en tant qu’individu..es qui y participons actuellement. Il sera surement repris ou traversé par d’autres, et continuera d’évoluer. On y fait un passage, on contribue à un moment, et personne n’y est indispensable. Un espace ? Le Placard Brûle est aujourd’hui principalement un espace de discussion publique régulier sur des sujets qui nous touchent, nous foutent la rage ou nous questionnent. C’est aussi une bibliothèque, et un infokiosque qui comprend une sélection de brochures mises en avant. On a eu envie de péter la hiérarchie qui valorise en général plus les livres que les brochures et les zines. Ça fait qu’on...

Ailleurs Ailleurs |
Racismes / Colonialismes

RAISING ASIAN VOICES

TALK ON ANTI-ASIAN HATE TO ASIAN PRIDE RAISING ASIAN VOICES : TALK ON ANTI-ASIAN HATE TO ASIAN PRIDE The Asian community, often considered the "silent minority" and the "model minority," has long been rendered invisible and excluded from anti-racist struggles. However, with the COVID-19 crisis, we have observed a significant increase in anti-Asian racism and racist acts against Asian-descendants worldwide, strongly shaking the entire diaspora. Four years after this upheaval, it is more important than ever to raise the volume and reach of our voices ! To focus on the issues, the discrimination faced, and the particularities of the racism directed at Asian-descendants, we have decided to explore these themes through various mediums. The conference panel will combine theoretical discussions, personal narratives, activism, and artistic representations. To amplify our voices, we will welcome Asian-descendant speakers residing in Belgium, including researchers, activists, and artists. This event will also be the occasion to launch the highly anticipated first issue of the collective edition "Stirring the Pot" compiled by contributions from Asian-descendants and initiated by the st1ckyr1ce collective. _______ RAISING ASIAN VOICES : DÉCONSTRUIRE LE RACISME ANTI-ASIATIQUE ET CÉLÉBRER NOS IDENTITÉS La communauté asiatique, souvent considérée comme la « minorité silencieuse » et la « minorité modèle », a longtemps été invisibilisée et écartée des luttes antiracistes. Cependant, avec la crise du COVID-19, nous avons observé une augmentation du racisme anti-asiatique et des actes racistes envers les personnes asio-descendantes à travers le monde, secouant fortement toute la diaspora. Quatre ans après cette secousse, plus que jamais, il est temps d’augmenter le volume et la portée de nos paroles ! Pour nous concentrer sur les enjeux, les discriminations vécues, et les particularités du racisme adressé aux personnes asio-descendantes, nous avons décidé d’explorer ces thèmes à travers différents médiums. Le panel de conférences mêlera propos théoriques, récits personnels, activisme et représentations artistiques. Pour porter nos voix, nous accueillerons des intervenant·e·s asio-descendant·e·s résidant en Belgique, des chercheur·euse·s, militant·e·s et artistes. Cet événement sera aussi l’occasion de lancer le premier numéro très attendu de l’édition collective « Stirring the Pot », réalisé par l’assemblage de contributions de personnes asio-descendantes à l’initiative du collectif St1ckyr1ce. 26 OCTOBER 2024 centre culturel Bruegel Rue des Renards 1F, 1000 Bruxelles PROGRAM *13:00* Doors open - Public welcome *13:30* Introduction by FAB Collective (FR/ENG) *14:00* Listening to cuts from the podcast “Je vous parle ici de ce qui n’existe pas” [I’m talking about what doesn’t exist] and Discussion on Asiofeminism Now ! and its evolution // [75min] (FR) Mélanie Cao *15:45* Round table : Exploring the Challenges and Insights of Academic...

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Guerre / Antimilitarisme

« Soleil Noir » n°8, bulletin apériodique anarchiste (août 2024)

Salut, Voici le nouveau numéro (n°8) de Soleil Noir. Il y est question de la révolte en Kanaky, d’opposition à la guerre, de critique du maoïsme ou encore du nationalisme, du contexte électoral et d’un rappel sur ce que fût le Front populaire pour les exilé-es ou encore de la nouvelle réforme du chômage alors suspendue au moment de la rédaction (pour combien de temps ?). Tout cela est complété par des textes plus théoriques ou poétiques, ou encore une présentation d’André Léo, cette communarde féministe et solidaire de la paysannerie, sans oublier les fameux fragments de révolte. Il est possible que ce soit la dernière mouture de Soleil Noir. Débutée comme une aventure individuelle en 2020 au moment du confinement, elle était aussi un appel à devenir collective. Ce qu’elle fût. Or, de numéros en numéros, l’aventure s’est de nouveau rétrécie ces derniers temps, marquant peut-être le temps de passer à autre chose. À bientôt toutefois, sous cette forme ou une autre, pour continuer d’alimenter nos révoltes et nos désirs de détruire le vieux monde. Vive l’anarchie ! n°8 Soleil Noir n°8 Contact : soleilnoir-caen@@@riseup.net On peut également télécharger sur infokiosques.net le n°1 de juillet 2020, le n°2 de mai 2021, le n°3 de mars 2022, le n°4 de juin 2022, le n°5 de mars 2023, le n°6 d’octobre 2023 et le n°7 de février 2024.

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Écologie

Ode aux perdants (ploum.net)

Ode aux perdants Le Fediverse est-il pour les perdants ? se demande Andy Wingo fedi is for losers (wingolog.org) La question est provocante et intelligente : le Fediverse semble être un repère d’écologistes, libristes, défenseurs des droits sociaux, féministes et cyclistes. Bref la liste de tous ceux qui ne sont pas mis en avant, qui semblent « perdre ». Je n’avais jamais vu les choses sous cet angle. Pour moi, le point commun est surtout une volonté de changer les choses. Or, par définition, si on veut changer les choses, c’est qu’on n’est pas satisfait avec la situation actuelle. On est donc « perdant ». En fait, tout révolutionnaire est, par définition, un·e perdant·e. Dès qu’iel gagne, ce n’est plus un·e révolutionnaire, mais une personne au pouvoir ! Être progressiste implique donc d’être perçu comme perdant selon le filtre d’Andy. Le progrès nait de l’insatisfaction. Le monde ne sera jamais parfait, il faudra toujours l’améliorer, toujours lutter. Mais tout le monde n’a pas l’énergie de lutter tout le temps. C’est humain, c’est souhaitable. Lorsque l’énergie me manque, lorsque je ne suis pas un révolutionnaire, je me concentre sur un objectif minimal : ne pas être un obstacle à celleux qui mènent la lutte. Je ne suis pas végétarien, mais lorsqu’un restaurant propose des menus végés, je félicite le personnel pour l’initiative. Ce n’est pas grand-chose, mais, au moins, j’envoie un signal. Si vous n’avez pas la force de quitter les réseaux sociaux propriétaires, encouragez celleux qui le font, ayez un compte sur les réseaux libres, mettez-les au même niveau que les autres. Vous ne serez pas révolutionnaire, mais, au moins, vous ne serez pas un obstacle. Le coût de la rébellion Je suis conscient que tout le monde n’a pas le loisir d’être rebelle. J’enseigne à mes étudiants qu’ils vont avoir un des meilleurs diplômes sur le marché, que les entreprises se battent pour les embaucher (je le sais, j’ai moi-même recruté pour mes équipes). Qu’ils sont donc, pour la plupart, immunisés contre le chômage longue durée. Et ce luxe vient avec une responsabilité morale : celle de dire « Non ! » lorsque notre conscience nous le dicte. D’ailleurs, j’ai suffisamment dit « Non ! » (et pas toujours très poliment) pour savoir que le risque est vraiment minime lorsqu’on est un homme blanc avec un beau diplôme. Remarquez que je ne cherche pas à vous dire ce qui est bien ou mal ni comment vous devez penser. C’est votre affaire. Je pense juste que le monde serait infiniment meilleur si les travailleurs refusaient de faire ce qui est contraire à leur conscience. Et arrêtez de vous raconter des histoires, de vous mentir à vous-même. Non, vous n’avez pas une « mission ». Vous cherchez juste à aider à construire un système pour vendre de la merde afin de pouvoir acheter votre propre merde. Après, dire « Non », ce n’est pas toujours possible. Parce qu’on a vraiment quelque chose à perdre. Ou à gagner. Que le compromis moral nous semble...

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Écologie

[Projection ZineKlub] « Une ïle et une nuit » par les pirates des Lentillères

Une île et une nuit est un film de fiction réalisé collectivement au cours des deux dernières années par les habitant-es et usagèr-es du Quartier Libre des Lentillères, lieu autogéré s’étendant sur les dernières terres maraîchères de la ville de Dijon. Ces 8 hectares ont été occupés et remis en culture depuis 13 ans, en résistance à un projet d’« écocité » en béton qui les menace encore aujourd’hui. Au milieu de la ville, ces espaces en friche et ces maisons abandonnées se sont transformées en un quartier autogéré aux multiples usages, faisant s’entremêler habitat collectif, maraîchage, jardinage, auto-construction, événements festifs et culturels, etc. C’est un lieu de luttes et de solidarités en tous genres ainsi qu’une véritable réserve de biodiversité. Auto-produit, auto-diffusé, basé sur la participation bénévole, ce film tourné sur pellicule argentique 16mm s’est construit au fil de la vie du lieu, en corrélation avec celle-ci, au rythme des événements et des saisons. De l’écriture au montage en passant par le tournage, chaque étape a été collective et participative, dans une démarche de partage de savoir-faire ouverte à tou-tes. A Zonneklopper / 23 avenue de la verrerie / 1190 Forest Ouverture des portes : 19h Film : 20h Prix libre - en présence de certaines personnes qui ont participé au film

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Écologie

3 questions à Véronique Clette-Gakuba sur le féminisme décolonial

A la veille de l’event « Kimpa Vita et ses héritières », organisé ce samedi à Charleroi par trois associations en partenariat avec le Musée de l’Afrique, la Docteure en sociologie analyse cette mise à l’honneur belge de Kimpa Vita, résistante anticoloniale du Royaume Kongo, et les enjeux sociopolitiques actuels. Trois questions à Véronique Clette-Gakuba. Investig’Action : En quoi l’évènement autour de Kimpa Vita est-il important ? Donner son nom à un parc et statufier cette figure historique du royaume Kongo – largement inconnue de la majorité des Belges, afro-descendant.e.s ou non – ne relève-il pas d’une habile récupération politicienne, d’un « ravalement de façade décolonial » à bon compte, d’une « opération de marketing » sans lendemains ? Véronique Clette-Gakuba : C’est toujours le risque. Il est très fréquent que des images-symboles se retrouvent mobilisées par des autorités ou des partis politiques dans l’espace public pour tenter de se montrer progressiste sur une réalité, celle du racisme anti-Noir, qui, depuis des siècles, ne bouge pas, n’est absolument pas traité à la hauteur du problème. Le surlendemain du rassemblement Black Lives Matter à Bruxelles, on se souvient du MR qui n’a pas hésité à orner la façade de son siège d’une grande photo de Martin Luther King Jr alors que 2 ans plus tard c’est ce parti (avec l’OPEN-VLD, le CD&V et la N-VA) qui fait échouer la commission sur le passé colonial de la Belgique en refusant que le gouvernement belge s’excuse pour les crimes commis pendant la période coloniale. Dans le cas de Kimpa Vita qui va donner son nom à un parc à Charleroi, lequel va accueillir une statue à son effigie, c’est bien sûr différent car il y a cette matérialisation, c’est-à-dire une référence que l’on inscrit durablement dans l’espace public. C’est clairement une autre démarche. Néanmoins je pense que la question de la récupération se pose. Après tout, même si je pense qu’il y a de quoi se réjouir, cela ne mange pas de pain de renommer un parc et d’y mettre la statue d’un personnage féminin historique. Selon moi, il s’agit de ne pas perdre le fil qui relie les différentes problématiques qui font le déni colonial et perpétue le racisme aujourd’hui. Par exemple, il serait regrettable que cette initiative ne soit pas accompagnée de l’inscription de la lutte et de l’histoire de Kimpa Vita dans le programme d’enseignement. Et à ce moment-là, la question importante sera celle de « qui parle (qui est autorisé à parler ?) » et comment est-ce qu’on en parle ? Il serait par exemple intéressant de faire un parallèle entre Kimpa Vita et Simon Kimbangu qui est aussi un personnage prophétique et anticolonial et qui, lui aussi, s’est fait condamné à mort par l’autorité coloniale, belge, cette fois-ci. Ces dernières années, plusieurs statues de femmes africaines ont été érigées dans différentes villes européennes. Je pense notamment à la statue de Mary Thomas (a mené une révolte en 1878 contre le colonialisme (...)

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Santé / Soins

Vers une écologie décoloniale : regards pluriels

Le 12 octobre, au DK à Saint-Gilles,70b rue de Danemark à 1060 Saint-Gilles, Coopération Education Culture organise une rencontre plurielle sur l’écologie décoloniale. De 17h30 à 19h, Renaud-Selim Sanli des éditions Météores sera en discussion avec Samy Manga qui lira des extraits de son texte. À 20h, Samy Manga participera à une table ronde. De l’Afrique aux Caraïbes, en passant par l’Europe, cette soirée sera l’occasion d’explorer les liens profonds entre écologie et histoire coloniale, tout en ouvrant des pistes critiques sur ce qu’on nomme aujourd’hui la “transition écologique”. La table ronde réunit des intervenant-e-s aux parcours variés, chacun-e apportant une perspective unique liée à son histoire et à son expertise. Malcolm Ferdinand, d’origine martiniquaise, est chercheur et auteur d’ Une écologie décoloniale. Penser depuis le monde caribéen. Il partagera sa perspective caribéenne, où l’héritage colonial reste très présent dans les enjeux écologiques et sociaux. Stéphanie Ngalula, militante afrodescendante, abordera les luttes pour la justice sociale et la décolonisation en Belgique. Samy Manga, auteur de Chocolaté - Le goût amer de la culture du cacao et La dent de Lumumba : Régicide contre la colonie, ethno-musicien, sculpteur et militant écologiste camerounais, alimentera le débat écologique d’une dimension artistique et culturelle. Enfin, David Maenda Kithoko, d’origine congolaise, président de l’Association Génération Lumière, une association écologiste et de solidarité internationale qui agit en France et dans la région des Grands Lacs en Afrique de l’Est, présentera des initiatives concrètes alliant écologie et luttes sociales sur le terrain. Un échange animé par la journaliste Wendy Bashi.

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Écologie

[Royaume-Uni] 2 ans de prison pour un lancé de bol de soupe lors d’une action pour l’écologie

Vendredi, deux militantes écologistes du groupe « Just Stop Oil » ont été condamnées à des peines de prison ferme pour avoir jeté un bol de soupe tomate sur l’œuvre « Les tournesols » de Vincent Van Gogh à la National Gallery à Londres le 14 octobre 2022, à l’époque, « Just Stop Oil » demandait l’arrêt immédiat de tout nouveau projet pétrolier ou gazier au Royaume-Uni. Phoebe Plummer a été condamnée à une peine de deux ans de prison ferme et Anna Holland a écopé d’une peine de 20 mois de prison. Elles avaient mené cette action spectaculaire qui n’avait pas endommagé l’œuvre protégée par une vitre, mais avait dégradé très légèrement le cadre entourant cette dernière. l’ONG Greenpeace a dénoncé des peines de prison disproportionnées pour une manifestation qui a causé des dommages mineurs au cadre d’un tableau et aucun à la toile. Ces condamnations sont une nouvelle étape dans la répression des manifestations pacifiques pour l’écologie. En juillet, cinq militants de la même organisation, qui avaient mis en place le blocage d’une autoroute, avaient été condamnés à quatre ans de prison par la justice britannique, le fondateur, Roger Hallam, avait lui été condamné à cinq ans pour avoir préparé cette action ( voir article ici ). Pour protester contre ces condamnations, toujours ce vendredi, des militants de « Just Stop Oil » ont à nouveau aspergé de soupe deux tableaux de Vincent Van Gogh à la National Gallery de Londres. Les peintures ont été retirées, elles sont en cours d’examen, elles ne sont pas endommagées. Les trois activistes ont été arrêtés.

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Santé / Soins

Grande fête solidaire pour Valparaíso du Chili le 5 octobre 2024

en soutien aux sinistrés des incendies de Février à Valparaiso du Chili Castellano abajito... Nous vous invitons le 5 Octobre à partir de 14h au ZonneKlopper, Rue de la Verrerie 23 à Forest, à une fête solidaire pour les sinistrés des incendies dans la région de Valparaíso. Le méga incendie de Valparaíso des 2 et 3 février 2024, dans les hauteurs de la ville de Valparaíso, à Viña del Mar, Quilpué et d’autres villes de la région, est considéré comme l’un des plus grands incendies urbains de l’histoire du pays. La catastrophe a détruit plus de 7 700 maisons, laissé 22 000 personnes sinistrées, en plus de 137 décès et des milliers de blessés. La région de Valparaíso, dans les zones forestières, les campements et les villes, ont vécu plusieurs jours sous alerte rouge et a été déclarée « zone de catastrophe ». Des milliers de personnes sont encore sans logement, vivant sous des tentes, avec des besoins de base non satisfaits. Et quand on sait que de nombreux incendies précédents à Valparaíso, Quilpué et San Antonio se sont terminés en projets immobiliers, cela pousse à réfléchir sur les causes réelles de ces incendies forestiers et urbains. C’est pourquoi nous voulons apporter notre modeste contribution depuis Bruxelles, aux habitants touchés, organisés en cuisines communautaires pour survivre, avec l’espoir de reconstruire un toit, afin qu’ils sachent qu’ils ne sont pas oubliés. Nous vous invitons donc à cette fête solidaire, à partir de 14h, avec de la nourriture chilienne, de la musique et un micro ouvert, une tombola, et des super concerts de Niña Maleza, Trino Colectivo, Nikanor et Awa keme kemo, DJ Mapuxe, entre autres artistes. Tous joueront solidairement et avec toute l’énergie pour que toute l’énergie et l’argent collecté parviennent directement aux sinistrés. Parce que quand s’amuser rime avec solidarité, la fête en vaut d’autant plus la… joie de vous retrouver !! Gran fonda solidaria para Valparaíso el 5 de Octubre de 2024 a partir de las 14 horas en el ZonneKlopper, Rue de la Verrerie 23 en Forest. Los invitamos a la fonda solidaria con los damnificados por los incendios en la región de Valparaíso. El megaincendio de Valparaíso del 2 y 3 de febrero de 2024, en la parte alta de la ciudad de Valparaíso, en Viña del Mar, Quilpué y otras ciudades de la zona, es considerado uno de los mayores incendios urbanos en la historia del país. El siniestro dejó más de 7.700 viviendas destruidas, 22.000 personas damnificadas, aparte de 137 fallecidos y miles de heridos. La región de Valparaíso en zonas forestales, campamentos y ciudades, vivió varias jornadas en alerta roja y fue declarada « zona de catástrofe ». Miles de personas están aún sin casa, viviendo en carpas, con necesidades básicas no resueltas. Y cuando se sabe que muchos de los incendios anteriores en Valparaíso, Quilpué y San Antonio terminaron en proyectos inmobiliarios da para pensar qué es lo que origina estos incendios forestales y urbanos....

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Santé / Soins

Soirée de Soutien à l’association WAOH RDC au CONGO

Soirée de Soutien à l’association WAOH RDC au CONGO Nous avons le plaisir de vous convier à un événement solidaire au profit de l’association Waoh-RDC [1], qui œuvre pour les enfants orphelins de Goma, au Nord du Congo. Quand ? **Le 12 octobre prochain, de 18h à 3h du matin**, au chaleureux Zonneklopper [2]. Préparez-vous à une soirée haute en couleurs et en émotions ! Au programme : Dégustation de spécialités congolaises, une exposition et du live painting, un accès privilégié à la Bibliothèque Lumumba, récemment rapatriée dans nos locaux. Un échange en video conférence avec Chantal Saïda depuis Kinshasa, qui nous parlera de son prochain livre sur les violences systémiques faites au femmes au Congo. Des concerts live pour une ambiance festive et émouvante, Des DJ sets qui vous feront danser jusqu’au bout de la nuit, Et en tête d’affiche, l’incroyable groupe Fulu Miziki [3], venu spécialement pour nous soutenir avec leur énergie unique et leurs sons engagés. Cet événement est bien plus qu’une fête : c’est une opportunité de se rassembler, de célébrer, mais surtout de soutenir une cause essentielle. L’ensemble des fonds collectés sera directement reversé à Waoh-RDC pour aider ces enfants à avoir un avenir meilleur. Nous comptons sur votre présence et votre générosité pour rendre cette soirée inoubliable et pleine d’espoir ! Notre initiative née d’une rencontre avec l’association Waoh-rdc que nous présente en février dernier, Alexis Gil Moreno fondateur de la coopérative d’information : CircoDelMal. Depuis notre objectif a été d’aider son président Anase Enock Nsabi, à recréer un site internet qui traduise la réalité des actions de l’association existante depuis 7 ans. Le prochain pas est de permettre à l’association d’initier une campagne de fonds et de ce fait régulariser le statut et le compte en banque de l’association. Nous organiserons pour cela un évenement de soutien pour parler de la réalité du congo au travers de rencontres avec les nombreux acteurs.rices et la mise en lumière des artistes militants. Le groupe Fulu Miziki [4] à déjà répondu présent ainsi que l’écrivaine Chantal Faida [5] en tant qu’écrivaine, du Live Painting, des projection de film, des ouvres exposées ainsi qu’une premiere présentation de la bibliothèque Lumumba rappatriée il y a peu dans nos locaux et de la restauration Congolaise. Nous cherchons du soutien pour faire le lien avec la communauté Congolaise, tout particulierement pour visibilité des Associations interessées à parler de leurs luttes, et ouvrir le débat lors d’une conférence autour de la réalité aujourd’hui au Congo et projeter des films sur les mêmes thématiques.

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Éducation populaire / Partage de savoirs

[FRANCE (Bordeaux) ] Fête du Livre Libertaire et de l’édition Militante

Vendredi 11 octobre 2024 ▶ 19h : Ouverture des portes ▶ 19h30 : Présentation de l’ouvrage Bakounine vodka – Punk et anarchisme de Jim Donaghey par les éditions BPM. ▶ 20h : Concert de soutien à la librairie du Muguet avec Gurs (Punk – Bilbao) et Phosphore (Punk dbeat – Bordeaux) – 5€ + 2€ d’adhésion à l’Athénée Libertaire Samedi 12 octobre ▶ 14h : Ouverture des portes ▶ 15h : Présentation de l’ouvrage La Gaie panique – Une histoire politique de l’homophobie de Mickaël Tempête aux éditions Divergences et discussion avec l’auteur. ▶ 17h : Présentation de l’ouvrage Gouverner les exilés aux frontières de Annalisa Lendaro aux éditions du Croquant et discussion avec l’autrice. ▶ Suivi de la projection du documentaire « Ecoute les murs tomber » du collectif La Friche, en présence de Leo Kekemenis, réalisateur. Dimanche 13 octobre ▶ 10h : Arpentage autour de l’ouvrage Le paysan impossible - récit de luttes de Yannick Ogor aux éditions du Bout de la ville. (Inscriptions par mail : lafllem@@@proton.me) ▶ 14h30 : Écoute collective du podcast « Le convoi de l’eau ». ▶ 15h30 : Présentation de l’ouvrage Avoir 20 ans à Sainte-Soline du collectif du Loriot, aux éditions La Dispute et discussion avec les auteurices. ▶ 18h00 : Fermeture des portes Les stands Les maisons d’éditions et revues qui seront présentes : éditions BPM, éditions du Bout de la ville, éditions du Commun, Atelier McClane, La Tempête, Le Sabot, Zanzara athée. Infos pratiques Notre festival est entièrement bénévole, autogéré et fonctionne sans subventions ! Pas de CB au bar. Athénée libertaire – 7 rue du Muguet – Bordeaux Contact : lafllem@@@proton.me Le programme en PDF . Plus d’infos : https://www.atheneelibertaire.net/la-fllem/

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