Secours Rouge

Le Secours Rouge de Belgique est un collectif anti-répression qui agit à Bruxelles et alentours depuis l’an 2000. Il comprend l’activité anti-répression comme un front essentiel de la lutte révolutionnaire. Ses campagnes d’action comprennent notamment la solidarité internationale avec les prisonnier·e·s de différents courants révolutionnaire, l’étude des techniques de répression et des moyens de s’en protéger, etc.

Le Secours Rouge de Belgique est l’une des sections fondatrices du Secours Rouge International. Depuis 2019, le Secours Rouge fait partie de l’organisation révolutionnaire Classe Contre Classe

La Légal-team du Secours Rouge fournit une ligne téléphonique (l’utilisation de Signal est encouragée) contre la répression.
Info ici.

Coordonnées :
https://secoursrouge.org
info@secoursrouge.org (Protonmail)

Contrôle social / Répression

[Espagne] Toujours des poursuites contre la gauche indépendantiste catalanne

Le juge de l’Audience nationale espagnole, Manuel García Castellón, a clos l’enquête sur 12 indépendantistes membres des Comités pour la défense de la République (CDR) accusés de terrorisme. Leurs arrestations avait eu lieu dans le cadre du raid de la Garde civile en Catalogne en 2019. Ce raid, baptisé Opération Judas, avait mobilisé de façon spectaculaire 500 policiers et les médias espagnols, accusant le mouvement indépendantiste de terrorisme, quelques jours seulement avant les condamnations de la Cour suprême pour le procès des dirigeants catalans. Plus tard, les « preuves » initialement divulguées se sont transformées en allégations et les suspects ont été discrètement libérés sous caution. Mais l’affaire a continué, certaines parties étant menées de manière confidentielle, de sorte que même les avocats n’avaient pas accès à certaines parties des dossiers. Le juge a maintenant renvoyé l’affaire à la chambre criminelle du même tribunal pour décider d’ouvrir ou non un procès contre les personnes poursuivies pour les crimes d’appartenance à une organisation terroriste et de possession et fabrication d’explosifs. Le premier chef d’accusation entraîne des peines de prison comprises entre six et douze ans tandis que le second, de huit à quinze ans. C’est la deuxième fois que l’enquête est clôturée parce que les personnes faisant l’objet de l’enquête ont demandé que davantage de preuves soient examinées.

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Anarchismes / Antiautoritaire

[Italie] Alfredo Cospito arrête sa grève de la faim

Les avocats d’Alfredo Cospito ont remporté une victoire juridique hier avec la décision de la Cour constitutionnelle qui non seulement s’est prononcée sur le sort du prisonnier anarchiste, mais a également fait une déclaration d’inconstitutionnalité de l’interdiction de la prévalence de toutes les circonstances atténuantes, en ce qui concerne la récidive répétée, pour tous les crimes dont la peine légale est fixe et ne prévoit que la réclusion à perpétuité. La condamnation d’Alfredo qui a entraîné sa mise au 41bis est donc inconstitutionnelle. À ce résultat s’ajoute la déclaration de recevabilité et l’enregistrement consécutif du recours à la Cour européenne des droits de l’homme, ayant précisément pour objet le régime pénitentiaire différencié prévu par l’article 41-bis. L’appel, dans lequel des violations graves de la Convention UDE ont été dénoncées, sera évalué au fond d’ici deux ou trois ans (tels sont les délais d’un jugement) et pourrait bannir le 41 bis, comme cela s’est produit dans le cas de la réclusion à perpétuité. Dès lors, après 180 jours de jeûne et après avoir exposé sa vie à un risque, ayant perdu 50 kilogrammes et ayant désormais irrémédiablement compromis sa fonction ambulatoire en raison de la détérioration irréversible du système nerveux périphérique, Alfredo Cospito il a décidé aujourd’hui 19 avril de mettre un terme à sa grève de la faim. Vidéo d’action de soutien proche de Zaventem, 16 Avril.

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Résistances et solidarités internationales

[France] De nouveaux affrontements lundi après le discours de Macron

Des affrontements ont de nouveau éclaté à travers la France après qu’Emmanuel Macron ait annoncé à la télévision qu’il n’y aurait « pas de demi-tour » sur la loi sur les retraites. 374 concerts de casseroles avaient été organisés dans toute la France pendant le discours télévisé. La préfecture de police de Marseille s’est distinguée en prenant un arrêté interdisant sous peine d’amende cette manifestation devant la mairie de Marseille… Quelques minutes après que le président a prononcé son discours télévisé, des manifestations ont éclaté à travers le pays. Une foule a défilé dans le quartier de la République à Paris en scandant « Macron démissionne ! » et « Macron ne nous écoutera pas ? Nous ne l’écouterons pas ! » tout en allumant des feux et en brisant des vitrines. Il y a eu des scènes similaires autour de l’Hôtel de Ville – l’hôtel de ville de Paris – où une autre manifestation illégale s’est formée. Il y a eu des heurts similaires à Marseille, Toulouse, Rennes et Nantes. À Lyon, lors d’une manifestation sauvage, la mairie du 1er arrondissement a été un moment occupée et taguée. D’autres manifestants ont incendié la devanture du poste de la police du même arrondissement. Sur le parcours de cette manifestation, des jets de projectiles et des tirs de feux d’artifice ont visé les forces de l’ordre qui ont alors répliqué par des tirs de gaz lacrymogène.

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Guerre / Antimilitarisme

Déclaration de notre camarade G. devant les juges.

Voici la déclaration faite par notre camarade G. lors de son procès pour son engagement internationaliste. (English below) « Aujourd’hui on m’accuse de service militaire à l’étranger. La grande question semble être de savoir si oui ou non j’ai contribué à la résistance des Unité de Défense du Peuple (YPG) lors de mon séjour. En tant que militant communiste suisse, le but de mon voyage était de voir une révolution de mes propres yeux et d’y participer. Aujourd’hui, la Confédération suisse me juge par votre biais car j’aurais violé la « fameuse » neutralité helvétique en me rendant au nord de la Syrie et j’aurais porté atteinte à la puissance défensive du pays. A se demander si la Suisse a tant d’intérêt commun avec l’État Islamique ou le fascisme turc ? Deux rapports de police disent clairement qu’il n’est pas possible de savoir ce que j’aurais fait durant mon séjour. Les preuves manquent à l’évidence. A contrario, les preuves que la neutralité suisse n’est qu’un mythe bien utile à la bourgeoisie sont nombreuses Quand la Suisse vend des armes ou des composants d’armes à l’État fasciste turc la neutralité importe peu, seul le profit compte. Ces armes servent à réprimer les mouvements progressistes en Turquie. Certaines se sont aussi retrouvées dans les mains de l’Etat Islamique. Quand la Suisse extrade des militants et militantes progressistes turques et kurdes à la demande du régime d’Erdogan ou d’autres Etats européens, où est donc la neutralité ? Quand les plus grandes banques du pays investissent chaque année plusieurs milliards dans l’industrie de l’armement, qui alimente les conflits du monde entier, où est donc la neutralité ? L’État suisse n’est pas neutre. Il a choisi son camp depuis longtemps, celui de l’impérialisme occidental. Moi aussi j’ai choisi mon camp, celui des opprimés. Depuis deux siècles s’est développée une tradition de solidarité révolutionnaire internationale. En me rendant au Rojava, j’y ai soutenu le camp des peuples qui luttent pour leur liberté. Il n ‘ y a qu’une solidarité internationale, ses formes sont multiples et toutes sont légitimes. Une révolution ne peut se construire sans projet de société et elle ne peut vivre si elle ne peut pas se défendre. En suivant l’exemple donné par Norman Bethune ou Barbara Kistler , j’ai continué cette tradition. De même que toutes celles et ceux qui ont participé, d’une manière ou d’une autre, à la lutte de peuples qui n’était pas le leur. De la résistance antifasciste en Espagne à la lutte pour la libération de l’Algérie ou de la Palestine, nombreux et nombreuses sont les camarades qui ont porté leur engagement au niveau international. Cet engagement a pris différentes formes, toutes ayant leur importance. En me rendant au Rojava, j’ai soutenu la construction d’une société basée sur des principes de justice sociale, de féminisme et d’écologie. Une société qui aujourd’hui lutte toujours contre le fascisme turc et ses soutiens occidentaux. Mon choix...

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Résistances et solidarités internationales

[France] Affrontements dans plusieurs villes après la décision du Conseil constitutionnel

La décision du Conseil constitutionnel, qui a validé l’essentiel de la réforme des retraites, a été accueillie vendredi par des huées sur le parvis de l’Hôtel de Ville à Paris, où plusieurs milliers de personnes étaient rassemblées. Une manifestation sauvage s’est alors mise en route. Le cortège se dirigeait vers le Conseil constitutionnel, mais il a été stoppé par la police, il s’est alors dirigée en direction de la place de la Bastille. Plusieurs vélos en libre-service et plusieurs poubelles ont été incendiés. À 22 h 30, la préfecture de police avait procédé à 112 arrestations. D’autres manifestations ont été organisées partout en France ce vendredi soir, notamment à Marseille (ou le trafic ferroviaire a été suspendu en raison de la présence de manifestants sur les voies), Toulouse, Nantes, Montpellier ou Lille. Une manifestation sauvage a également eu lieu à Grenoble, où des gaz lacrymogènes ont été tirés par la police contre les manifestants. À Strasbourg, quelques centaines de personnes, sont parties après la fin du rassemblement en manifestation sauvage dans les quartiers bordant l’hypercentre et les forces de l’ordre ont là aussi fait usage à plusieurs reprises de gaz lacrymogènes. A Rennes, la porte d’un poste de police du centre de Rennes et celle d’un centre des congrès ont été incendiées lors de la manifestation.

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Guerre / Antimilitarisme

Russie : Lourde condamnation de militants anti-guerre

Deux hommes, un ancien militaire et un ex-secouriste, Roman Nasryev et Alexeï Nouriev, qui travaillaient alors dans la Garde Nationale et au ministère des Situations d’urgence, avaient cassé à la mi-octobre, pendant la nuit, une vitre au rez-de-chaussée de la mairie de Bakal, une petite ville de la région de Tcheliabinsk. Ils avaient ensuite jeté plusieurs cocktails Molotov dans ce bâtiment qui abritait un bureau de recensement militaire. Plus de 4 000 dossiers de personnes mobilisées auraient été brûlés dans l’incendie. Les deux hommes (des amis qui jouaient dans le même groupe de rock) ont été condamnés lundi à 19 ans de prison par un tribunal militaire d’Ekaterinbourg (Oural), notamment pour « acte de terrorisme » en bande organisée. Ils n’ont pas nié les faits, mais ont rejeté tout acte de terrorisme en affirmant avoir voulu dénoncer la campagne militaire en Ukraine. « Je voulais seulement montrer que dans notre ville il y a des gens contre la mobilisation et « l’opération militaire spéciale » » en Ukraine, a expliqué Alexeï Nouriev pendant le procès. Des dizaines d’attaques similaires antiguerre, contre des bâtiments publics, ont été signalées en Russie depuis le début de l’offensive en Ukraine, mais les chefs d’inculpation et peines prononcées ont été jusqu’à présent moins sévères. Voir ici les récentes affaires

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Contrôle social / Répression

[France] Vague de manifestations (parfois interdites) contre la répression

Plusieurs marches et rassemblements ont eu lieu jeudi en France, principalement devant les préfectures pour dénoncer les violences policières le week-end dernier à Sainte-Soline. Au moins 10 préfectures avaient pris des arrêtés afin d’interdire ces manifestations. C’est le cas en Côte-d’Or, à Paris, en Haute-Vienne, dans le Tarn, le Finistère, le Doubs, la Haute-Saône, le Bas-Rhin et la Seine-Maritime. Dans certains départements, plusieurs villes sont concernées par ces interdictions. C’est le cas notamment de Rouen et du Havre en Seine-Maritime. A Paris, le rassemblement devant l’Hôtel de ville de Paris s’est transformé dans la soirée en manifestation non-déclarée. Un cortège a circulé pendant quelques heures jeudi soir dans le centre de Paris. Du mobilier urbain et de nombreuses poubelles ont notamment été incendiés. Une manifestation sauvage a également eu lieu après le rassemblement devant la préfecture de l’Hérault, à Montpellier. Alors que la préfecture du Rhône avait pris un arrêté interdisant la manifestation, plusieurs milliers de personnes sont rassemblée à Lyon. Un cortège s’est formé et il y a eu des affrontements avec la police (photo). Les bassines ont volé au-dessus des grilles de la sous-préfecture de Lannion (Côtes-d’Armor). À la préfecture de Niort, ce sont des centaines d’éclats de grenades tirées par les forces de l’ordre à Sainte-Soline qui ont été lancés par dessus la grille. Un rassemblement a aussi eu lieu devant l’ambassade de France à Bruxelles.

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Résistances et solidarités internationales

« Tous et toutes avec Alfredo Cospito »

Déclaration de clôture de la Conférence internationale du Secours rouge International (mars 2023) Les participant.e.s à la Conférence bisannuelle du Secours Rouge International ont achevé leurs travaux. Ceux-ci ont notamment porté sur le développement et de la qualification de notre fraternité de lutte avec le Rojava et la gauche révolutionnaire palestinienne. Il a également été question du procès à venir, le 14 avril prochain, contre un camarade du Secours Rouge de Genève. Ce camarade doit comparaître devant le tribunal militaire, à Sion, qui l’accuse d’avoir participé comme internationaliste à la défense armée du Rojava. Ce procès sera l’occasion de réaffirmer la légitimité et la nécessité de défendre la révolution au Rojava comme partie d’un processus révolutionnaire international. Il a énormément été question de la lutte du prisonnier anarchiste Alfredo Cospito contre le régime carcéral 41bis. Voilà presque 20 ans que le SRI lutte contre ce régime d’isolement total auxquels sont soumis depuis 2003 les prisonniers des Brigades Rouges PCC Nadia Lioce, Roberto Morandi et Marco Mezzasalma. Le 41bis n’est pas, dans le cas de ces révolutionnaires, une mesure de sécurité ou un mode de châtiment : c’est un moyen de pression. Il leur suffirait de collaborer avec les forces de polices pour en sortir. Comme le dit Alfredo Cospito : « L’unique possibilité que j’ai de sortir d’ici est de renier mon anarchie et de vendre quelqu’un à mettre à ma place. » Faire souffrir pour extorquer un reniement ou des informations : c’est l’exacte définition de la torture. C’est aussi pour refuser cette alternative – trahison ou 41bis -, que la militante des Brigades Rouges PCC Diana Blefari s’est suicidée le 31 octobre 2009. Ce suicide et la grève de la faim jusqu’à la mort, si nécessaire, d’Alfredo Cospito montrent combien le 41bis est une insupportable torture. Le choix d’Alfredo Cospito, parfaitement exposé dans ses déclarations, n’est pas un choix de désespoir, c’est un choix de combattant. C’est comme cela qu’il faut le comprendre, c’est comme telle qu’il faut le soutenir. Dans sa lettre rendue publique le 1er mars, Alfredo Cospito déclarait : « Je suis convaincu que ma mort mettra un obstacle à ce régime » Cette conviction, c’est à nous à lui donner raison, en dénonçant de toutes les manières la barbarie de l’état italien et de son appareil policier-judiciaire. Cet état et cet appareil ont un lourd bilan de tortures et de massacres, c’est pour eux une longue tradition, plongeant ses racines loin dans le passé. Ils ont la tête dure, ils sont sans scrupule, et ils bénéficient de la lâche complicité de presque toute l’intelligentsia italienne et européenne. Il faudra frapper fort, et à coups répétés. Secours Rouge International Zürich, le 26 mars 2023 Annexe : Déclaration d’Alfredo Cospito lors de l’audience du 14 mars 2023

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Résistances et solidarités internationales

[France] Les familles de deux manifestants dans le coma portent plainte

Les familles des deux manifestants grièvement blessés lors de la manifestation de samedi contre les « méga-bassines » porte plainte à son tour pour « tentative de meurtre » et « entrave aux secours ». L’enquête judiciaire sur les conséquences de ces violents affrontements a été transférée mardi du parquet de Niort au parquet de Rennes en raison de sa compétence pour les affaires militaires (les gendarmes sont des militaires). Les investigations ont été confiées à l’IGGN (Inspection générale de la Gendarmerie nationale), ce qui n’est pas pour rassurer… « Quand on prévoit autant de grenades [4000 grenades ont été tirées) tirées, on peut anticiper pour prendre en charge de manière urgente les personnes qui peuvent être atteintes par ce dispositif », a déclaré l’avocate des familles. Un enregistrement a rpouvé que non seulement rien n’avait été prévu pour prendre en charge les blessés, mais que les secours ont même été interdit d’aller les prendre en charge : voir ici Les parents d’un des blessés ont rendu publique cette déclaration : Notre fils Serge est actuellement hospitalisé avec un « pronostic vital engagé », suite à la blessure occasionnée par une grenade GM2L, lors de la manifestation du 25 mars 2023 organisée à Sainte-Soline (79) contre les projets de bassines irrigantes. Nous avons porté plainte pour tentative de meurtre, entrave volontaire à l’arrivée des secours ; et pour violation du secret professionnel dans le cadre d’une enquête de police, et détournement d’informations contenues dans un fichier de leur finalité. Suite aux différents articles parus dans la presse, dont beaucoup sont inexacts ou mensongers, nous tenons à faire savoir que : – Oui, Serge est fiché « S » – comme des milliers de militants dans la France d’aujourd’hui. – Oui, Serge a eu des problèmes judiciaires – comme la plupart des gens qui se battent contre l’ordre établi. – Oui, Serge a participé à de nombreux rassemblements anticapitalistes – comme des millions de jeunes dans le monde qui pensent qu’une bonne révolution ne serait pas de trop, et comme les millions de travailleurs en lutte actuellement contre la réforme des retraites en France. Nous considérons qu’il ne s’agit là nullement d’actes délictueux qui saliraient notre fils, mais que ces actes sont au contraire tout à son honneur. Les parents de Serge Le mercredi 29 mars 2023

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Anarchismes / Antiautoritaire

Italie : La suspension de peine pour raison de santé est refusée à Alfredo Cospito

Alfredo Cospito, en grève de la faim depuis cinq mois, avait été victime le 21 mars d’une crise cardiaque. A cette date déjà, il pouvait souffrir de dommages neurologiques et d’une paralysie permanents. Une demande de son avocat avait été faite pour qu’il soit assigné à résidence dans le cadre d’un ajournement de peine pour raison médicale chez sa sœur à Pescara. Le parquet de Milanémis un avis négatif sur la demande. Le verdict de la Cour de surveillance, présidée par la juge Giovanna di Rosa, a été rendu aujourd’hui : la demande a été rejetée au motif que l’état de santé du détenu était le résultat de son propre choix. La solidarité s’élargit et se radicalise. Il y a eu des tags, des accrochages de banderoles, des rassemblements, des affichages et des meetings un peu partout mais aussi : l’explosion d’une bombe à l’Eurobank à Athènes (9 mars), l’explosion d’un engin pyrotechnique dans un siège du Parti Démocrate à Rome (13 mars), une antenne relais incendiée à Gènes (15 mars), l’interruption d’une activité en présence de l’ambassadeur d’Italie à Athènes (17 mars), l’incendie de 16 véhicues de la poste à Rome (18 mars matin, photo), 22 bus incendiés à Rome (25 mars au soir), l’incendie d’une antenne relais à Rome (23 mars), l’incendie d’une voiture de la société de sécurité Prosegur à Barcelone (25 mars)…

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